Dès le départ,, cela sentait le faisandé voir la chnoute. Les explications alambiquées des patrons de Renault, à propos de la protection de leur supposée avance technologique sur les véhicules électriques, étaient, on ne peut plus, fumeuses et suspectes. Qui a désigné la Chine, dénoncé des comptes en Suisse pour donner un semblant de preuves, sûrement pas les cadres incriminés. Cadres mais pas cons à ce point. Non peu importe les futurs développements de l’enquête, le discrédit sur Renault va perdurer surtout que la thèse sur des faits de collaboration non avérés du fondateur se font jour.
C’est l’entreprise et pas n’importe laquelle qui va être sévèrement pénalisé par la désinvolture et l’irréflexion de son état major soi disant irréprochable et sans états d’âme.