Certains marchands ne comprennent que ce language : moins d’acheteurs. Heureusement qu’il y a de gens comme l’auteur qui essaient de conscientiser l’acheteur. Le vin, c’est comme l’immobilier : tant que ça marche, il y en a qui en profitent. Mais à la différence de l’immobilier, le vin, on peut très bien en acheter pour moins cher, ne serait-ce qu’en achetant des vins étrangers. D’où, la part de plus en plus importante pris par les vins Sud-Africains, chiliens et autres australiens.