Au début du XXe siècle il y avait 200 000 chevaux à New York. Ces chevaux avaient besoin de fourrage pour être nourris, qui était produit en mobilisant des champs. Ce fourrage était ensuite transporté en ville (et oui, le lieu de production n’est pas le même que le lieu de consommation !). Le crottin de cheval s’accumulait dans les rues jusqu’à constituer des congères. Quelquefois ont s’en débarrassait en faisant un tas de plusieurs mètres dans un terrain en pleine ville (jusqu’à 20 mètres de haut).
ben voilà.Cabanel a déjà expliqué ,avec moulte chiffres, les bienfaits de la filière « crottins de cheval ».A l’époque, je n’avais pas bien compris son ostracisme contre les crottes de bique,et je m’en excuse.
Ne cherchez plus,Cabanel va vous expliquer.