constat sans appel !
vu sous cet angle, tout semble clair subitement, en raccourci, mais bien plaqué au sol, ça tue et donne envie de repartir immédiatement sur le chemin tracé par ce vieil indien à l’oeil pointu et vif comme sa flèche. Mais l’herbe à repoussé sur ses pas, le vent de sable a effacé ses traces, et l’angoisse nous étreint comme s’il était dans notre dos, nous scrutant dans les hautes herbes prêt à nous décocher sa pointe droit entre les omoplates sans un seul bruit autre que l’air cinglé...
seco secours... !