La France réelle n’a pas à se préoccuper de la dette contractée par les suppôts de la finance internationale apatride que sont les politicards UMPS plus ou moins gaullistes qui la gèrent depuis un certain nombre de décennies. La France réelle, si elle revenait au pouvoir dans ce pays occupé, devrait tout simplement annuler les dettes qu’elle n’a pas contractées, tout comme, chaque année, la France virtuelle annule la dette de dix ou quinze pays du tiers-monde. C’est aussi simple que cela, mais MLP, pas plus qu’aucun autre politicard, n’ose dire que l’annulation unilatérale de la dette, parallèlement à la sortie de l’euro et la sortie de l’Ue, est la seule solution pour éviter que ce qui peut bien rester de la France ne devienne pas dans les vingt prochaines années un pays du tiers-monde. Une annulation qui, naturellement, serait partielle. Au lieu de tout perdre, les banquiers - le couteau sous la gorge - coopéreraient.