Bonne nouvelle pour les violeurs !!
Dorénavant toute personne qui aura fait une fausse déclaration sur une demande d’asile politique pourra être violée sans conséquences judiciaires...
les preuves médicales et biologiques sont bonnes pour la poubelle dès lors qu’un lien direct ou indirect pourrait ètre démontré entre vous et un délinquant quelconque ou un étranger en situation irrégulière.
La chasse est donc ouverte... pour tous les malades sexuels « séducteurs ».
Mais gare à celui qui dénonce les turpitudes des puissants, et qui parlerait « d’une personne vraisemblablement perturbée à la tête du FMI » et « des penchants, peut-être pathologiques, de Dominique Strauss-Kahn » . Tout comme Marine Le Pen il sera définitivement un menteur.
Pourtant il ne me semble pas avoir révé lorsque :
- Aurélie Filipetti (Députée PS) a déclaré après avoir personnellement subie plusieurs tentatives de drague « très lourde, très appuyée »,« Je me suis arrangée pour ne pas me retrouver seule avec lui (DSK) dans un endroit fermé ».
- Piroska Nagy (économiste hongroise employée du FMI) a écrit « M. Strauss-Kahn a abusé de sa position pour entrer en relation avec moi« .
- Tristane Banon (journaliste) a parlé d’un »chimpanzé en rut« lorsque DSK s’est précipité sur elle pour tenter de la violer.
- Danièle Évenou (actrice) a déclaré à la radio en direct chez Ruquier : « C’est un homme qui aime la chose. Qui n’a pas été coincé par DSK ? ».
Ou encore Le journaliste de Libération, Jean Quatremer,confirme aussi les relations troubles que DSK entretient avec les femmes journalistes (a qui l’on recommande de ne jamais aller l’interviewer seule) et qui déclarait à l’époque : « Le seul vrai problème de Strauss-Kahn est son rapport aux femmes. Trop pressant, il frôle souvent le harcèlement. Un travers connu des médias, mais dont personne ne parle (on est en France) ».
Mais il ne doit s’agir que de MENTEURS mal intentionnés et comploteurs « Bafouant, ..., la « présomption d’innocence ».
Présomption d’innocence dont l’auteur de l’article ne fait pas bénéficier la victime devenue »plaignante" en attendant qu’elle devienne l’accusée pour avoir dénoncé être violée par un homme trop puissant et trop riche pour être coupable.
À trop vouloir prouver l’auteur ne démontre que sa partialité, nous ne pouvons donc que lui refuser« la présomption de sincérité » qu’il renie en connaissance de cause...