« 1- Quiconque n’a pas vu et ni entendu Olivier Mazerolles sur BFMTV le 1er juillet 2011, à l’heure où DSK re-passait devant le juge, ne saura jamais jusqu’où le métier de journaliste est descendu. »
D’un autre coté, il suffit de revisualiser les deux interview du second tour de la présidentielle de 2002, faites par Mazerolles et Clec pour savoir ce qu’ils valait :
1) Arrogants, vindicatifs, harcelant Lepen de question en question, lui coupant ses reponses, exprimant de façon claires et nettes leurs mépris pour l’Homme.
2) Miellleux, complaisant, complice avec Chirac dont « linteview a été un magnifique pas de 3 ou les »journaleux« n’edtaient la que pour relancer le Maitre...
Ces memes journalistes cvomplices enterraient Chirac en grande pompe quelques mois plus tard pour vendre du Sarkozy et apres 2005 du Royal.
Toutes les questions qu’ils avaient »oublié« de poser en 2002 etaient a nouveau sur la table quand il fallait punir celui qui avait osé dire non aux etats unis....et preparer l’arrivée du petit Nicolas.
Le »Mazerollisme« et le »Clerisme« sont les deux ecceuils du journaliste :
la servivilité avec les pouvoirs en place et le militantisme en lieu et place des politiques du journaliste »engagé".