À l’avenir, faudrait-il opposer à la présomption d’innocence (du
violeur présumé) à la présomption de véracité (de la victime présumée) ?
Même sous forme de question, on ne peut inventer des concepts juridiques inexistants. Regardez les résultats de « la présomption de véracité » en action : http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2011/07/06/une-vie-en-france-aujourdhui/#xtor=RSS-32280322?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter