Ce lundi 11 juillet, on diffuse sur toutes les radios une hypothèse sérieuse de mettre fin au conflit sans contraindre Kadhafi au départ, mais par des négociations.
En d’autre termes permettre aux chefs révoltés de réintégrer les cercles du pouvoir dont ils faisaient partie il y a seulement quelques mois.
Ce qui signifierait qu’au moins en France, on se résoudrait à admettre qu’un lamentable échec vaut toujours mieux qu’un désastre.
Mais soyons bien certains que le désastre surviendra d’ici peu : entre les printemps arabes, la montée en puissance de la CCS et les cataclysmes annoncés de la Crise, les opportunités ne manqueront pas dans l’année qui vient.