"
Mais il y a un os. Les biens consommés ne sont plus là. Le
travailleur à qui l’on a prêté les a VRAIMENT consommés, car il en
avait besoin. Si le débiteur remboursait sa dette, le créancier verrait
qu’il n’y a plus rien à acheter avec cet argent. On peut compliquer
indéfiniment l’équation – on enseigne comment le faire à Harvard et
ailleurs – mais si on la simplifie et qu’on supprime les parenthèses,
il ne reste que des biens réels qui ont la valeur de leur utilité…. et
du papier."
non
cet argent est fictif
le capital rembourse est detruit et les interets conserves