@farfouille : il n’y a pas d’urgence la nuit pour expédier les gens dans l’au-delà
On calme les douleurs, et le lendemain on examine le dossier en équipe pluridisciplinaire, on consulte la famille, en attend que les adieux se fassent, on règle la dose de morphine séatifs pour que les malades soient calmés mais pas comateux.
Accélérer le débit de médicaments et le départ soulage l’équipe et l’entourage, libère des lits mais ne soulage pas le patient d’avantage et pose un problème de conscience pour celui qui fait des soins et non de la gestion des lits sa profession.