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tikhomir 24 août 2011 16:56

Je vais me contenter du titre et de l’introduction pour commenter autour de gros problèmes.

« L’homophobie n’est pas une valeur africaine »

- L’homophobie comme le rappelle un précédent commentateur, c’est la peur, l’aversion pour ce qui nous ressemble. En grec : Homos, c’est ce qui est pareil, identique et phobos, la peur et par extension l’aversion. L’homophobie est pratiquement inexistante, voire n’existe pas : on n’a généralement pas peur de ce qui nous ressemble ni même d’aversion.

Ce terme inventé pour servir une idéologie vise à disqualifier tout contradicteur en le faisant passer pour quelqu’un qui a un problème mental, on le traite d’homophobe, mot dont le suffixe -phobe rappelle ces angoisses terribles et autres problèmes du même acabit. Ça en fait « quelqu’un à soigner ».

Il est donc urgent de ne plus utiliser ce terme qui ne désigne pas du tout ce qu’il signifie en réalité et ne peut pas être au service du dialogue.

« Transcription annotée d’un débat tenu le 17 mai 2011 sur RFI au sujet des droits des homosexuel/le/s en Afrique entre Charles Gueboguo, sociologue camerounais, Jann Halexander, réalisateur et chanteur franco-gabonais, président de la commission culturelle de Tjenbé Rèd Prévention, et Alice Nkom, avocate camerounaise, fondatrice de l’Adéfho »

- On écrit des « homosexuels » et pas des « homosexuel/le/s ». Une règle élémentaire du Français veut que le masculin l’emporte sur le féminin, justement pour éviter ces lourdeurs d’écriture ridicules.

Je pense, au vu des autres commentaires et des commentateurs eux-mêmes, que le fond du reste a bien déjà été bien commenté.


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