L’auteur oublie de mentionner les 50 millions d’euros libyens dont Sarko aurait bénéficié lors de la campagne présidentielle en 2007. Les révélations du fils de Kadhafi, Saif al-Islam, avaient provoqué peu après (17 mai), le bombardement des locaux de l’agence libyenne anticorruption à Tripoli, dont l’OTAN en avait fait une cible prioritaire.
Cette agence anticorruption enquêtait sur les mauvais placements de Goldman Sachs concernant 1.3 milliard de dollars des Fonds Souverain libyens. Selon le journaliste d’investigation Wayne Madsen, une partie de cet argent aurait alimenté les coffres de la campagne Sarkozy de 2007.
Peine perdue. Les preuves étaient dupliquées et conservées dans un autre endroit sécurisé.
A suivre...