Félicitations à l’auteur qui sait se démarquer de cette curée généralisée, non étayée par des faits ni appuyée par des preuves. Chacun se fait sa petite idée, porte son propre jugement et assène « sa » vérité, alors que jusqu’ici, seule l’accusatrice a parlé. Bon, cela anime le débat.
Ce qui en revanche est vraiment préoccupant, c’est lorsque des magistrats qui n’ont pas eu accès au dossier et qui, sur la foi de ce qui a été écrit, auraient renvoyé DSK devant la Cour d’Assise... La France est-elle encore un pays où la présomption d’innocence fait partie des grands principes du droit.