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Guy Laflèche

Guy Laflèche

Professeur retraité de l'U. de Montréal

Tableau de bord

  • Premier article le 27/07/2017
  • Modérateur depuis le 07/05/2022
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Ses articles classés par : ordre chronologique








Derniers commentaires



  • Guy Laflèche Guy Laflèche 10 novembre 2023 22:05

    @ZenZoe

    Cher ZenZoe. Oui, votre David Graeber (1961-2020) est bien le co-auteur de l’ouvrage en question. David Wengrow est beaucoup plus jeune (né en 1972). Tous les deux ont été de très efficaces activistes pour les droits de l’homme, la justice et l’égalité. D. Graeber a été un des fondateurs du fameux mouvement « Occupy Wall Street ». D’ailleurs, leur livre est une évidente manifestation de leur engagement social, puisque tout l’ouvrage milite pour un renouvellement de notre conception de l’histoire de l’humanité, afin de prouver que l’évolution ne conduisait pas forcément au monde injuste dans lequel, malheureusement, nous marinons (ce qui est parfaitement exact).

    Mais malheureusement, leur point de départ est totalement faux. Et je suis de ceux qui n’acceptent pas qu’on mettent des idées fausses au service des bonnes causes. J’espère que vous serez d’accord avec moi sur ce point.

    Merci de votre précision. Je n’ai pas voulu alourdir mon article, notamment en faisant un compte rendu de la réception, aveugle et toujours dithyrambique, de l’ouvrage : tant mieux pour leurs auteurs, même si D. Graeber n’a pas pu en profiter longtemps.



  • Guy Laflèche Guy Laflèche 12 septembre 2023 23:19

    Cher monsieur Goetelen,

     

    J’ai lu votre article du 6 septembre reprenant la lettre d’un correspondant qui critiquait l’ouvrage de vulgarisation de Sébastien Carassou (_le Cosmos et nous_) pour être rédigé en écriture inclusive (en « inklu », bravo pour le néologisme). L’ensemble de votre article dénonce très justement l’écriture inclusive du point de vue de la lecture, ce qui correspond exactement à la position de l’Académie française et au Ministère de l’éducation en France. Pour ma part, linguiste et grammairien de la langue française, j’ai ajouté un second volet à votre argumentaire, en montrant que les propagandistes du style bigenre (comme leurs adeptes qui en sont de pauvres victimes et que l’on doit tenter d’informer) sont tout simplement des ignorants qui saccagent le système du genre en français, car ils ignorent que ce système est fondamentalement féministe. On le montre en expliquant que la seule et unique marque du genre en français est le féminin (le masculin est la forme grammaticale qui n’en est pas marqué, le genre « non marqué »), tandis que le « masculin générique » est un concept de la petite école qui n’a aucune réalité grammaticale : il s’agit des cas où le genre n’est pas pris en considération (exemple : AgoraVox doit rejoindre au moins cent mille lecteurs). J’en ai fait un petit livre de poche qui s’intitule _l’Office québécois de la langue française et ses travailleuses du genre_ (Laval, Singulier, 2020). Ne le cherchez pas en librairie car il ne se vend que par la poste, du moins au Québec.  Car vous ne savez probablement pas que le gouvernement du Québec préconise la « rédaction épicène » et que ses fonctionnaires sont pratiquement forcés de se livrer à cet exercice ! Vous trouverez un compte rendu de mon livre de poche à l’adresse suivante :

     https://carnetdunlinguiste.blogspot.com/2020/08/

    Mais je ne vous écris pas pour faire la promotion de mon livre de poche. Bien au contraire. Je voudrais comprendre comment il se fait que depuis le 6 septembre, c’est près d’une semaine, de toutes les réactions à votre article, il ne s’est trouvé aucun supposé féministe pour se plaindre de votre intervention, notamment en reprenant les arguments de la féministe de luxe à ce sujet, Éliane Viennot, et de son proxénète intellectuel, Raphaël Haddad. Pour moi, cela est vraiment inexplicable, car mon livre a été systématiquement boycotté au Québec, par crainte des prétendus féministes. J’ai lu les quelques articles d’AgoraVox portant sur l’écriture inclusive et à ma grande surprise je n’y ai trouvé, tout comme dans les commentaires sur votre article, aucune salve contre ces articles, qui dénoncent tous (avec leur commentateurs) l’écriture inclusive.  Pouvez-vous expliquer ce phénomène ?  Est-ce qu’AgoraVox serait complètement aseptisé des féministes de luxe ? Est-ce que la très grande majorité de ses membres se sentent « journalistes » ? – car c’est un fait qu’on ne trouve jamais de journalistes adeptes de l’écriture inclusive. En tout cas, J’ai lu votre article avec beaucoup d’intérêt et je suis aussi heureux que surpris qu’il n’ait donné lieu à aucun déchaînement de passion en faveur de l’écriture inclusive. —gl-



  • Guy Laflèche Guy Laflèche 26 août 2022 23:10

    @Adèle Coupechoux

    Chère Adèle Coupechoux, Le printemps dernier, je ne savais pas trop quel sens donner à votre message (sauf le sens politique que semblait confirmer votre second commentaire, sans aucun rapport avec mon article). Mais j’espérais qu’il ne soit pas de mauvais augure.

    Eh bien non ! Les cinémas à Montréal ne sont plus, et depuis plusieurs mois, en mode épidémie.

    Le GFFM qu’annonçait en primeur mon article s’est ouvert hier soir (25 juillet) avec un hommage de douze jours au FFM dont il prend la relève. Le film d’ouverture était le génial Carmen de Claude Saura qui avait été présenté en première américaine au FFM en 1983 le premier, je crois, de ses films musicaux sur le flamenco.

    Prenez vite l’avion pour Montréal. Le mini-festival se déroule jusqu’au 5 septembre (voyez le programme sur le site internet du GFMM). Alors au plaisir de vous rencontrer à la porte de l’Impérial, le plus beau cinéma de Montréal.

    Bien amicalement, __gl>-



  • Guy Laflèche Guy Laflèche 8 mai 2022 01:38

    @Séraphin Lampion

    Mon Cher Séraphin,

    Merci. Jamais je n’aurais pensé que mon article aurait droit à un premier commentaire aussi juste et pertinent. Laconique et lapidaire. L’égorgement d’un grand festival merite votre ébahissement. Mais, attention, il ressuscite. Alors, dites plutôt : bien fait pour les écrevisses assassines !



  • Guy Laflèche Guy Laflèche 24 février 2018 22:13


    Depuis la publication de mon article, en quatre jours, AgoraVox accumule plus de cinquante Libres opinions. Je suis actuellement au cinquante-quatrième rang ! Ce ne sera pas long que je serai dans les limbes, retrouvé seulement par les archéologues du journal. Alors, je me dépêche d’ajouter un petit appendice à mon article. On me permettra ce fion, pour saluer la publication par la rédaction et les évaluateurs d’un texte d’opinion qui n’était nullement destiné à leur journal. Cela témoigne d’une grande ouverture d’esprit.

    Certes, une relecture de l’essai d’Henri Guillemin sur « L’affaire Jésus » aura été modestement, mais fort bien reçue de plusieurs lecteurs. Et pour ma part, je suis très heureux d’avoir pu profiter des critiques et corrections qu’on a bien voulu apporter à mon article.

    Et j’ai eu l’idée d’en aviser les premiers lecteurs auxquels mon article était destiné en proposant au Devoir une toute petite lettre pour son courrier des lecteurs. Elle a été refusée. La voici.

    L E T T R E

     Le petit Jésus de Cornellier et le véritable Jésus du professeur Guillemin

      C’est le marquis de La Palisse qui disait qu’une porte ne pouvait être qu’ouverte ou fermée. Alors, est-ce que le Devoir est ouvert ou fermé à la critique ? En ce qui concerne son chroniqueur Louis Cornellier, la porte est fermée.

     C’est comme lecteur du journal que je me suis proposé d’analyser le « Devoir de philo » de Louis Cornellier, paru la veille de Noël. Sous prétexte de faire un compte rendu du livre d’Henri Guillemin, intitulé « L’affaire Jésus », il livrait au lecteur du journal une profession de foi qui trahissait, en le contredisant, l’essai de Guillemin.

     J’ai pris le temps de relire l’essai de Guillemin et j’ai étudié de près le texte du chroniqueur du
    Devoir.

     La rédaction du journal n’a pas retenu mon article, sans m’en donner de raison. S’agissant d’un « Devoir du
    Devoir », qu’on ne publie que deux fois par mois, j’ai demandé qu’on m’avertisse rapidement si mon texte était retenu. Il ne l’a pas été. Il est paru hier sur AgoraVox où j’espère que des lecteurs du Devoir, dont ceux de Louis Cornellier, iront le lire, et même le commenter.

    Guy Laflèche
    Université de Montréal
    Professeur retraité
    Singulier.info

    Je prévoyais, évidemment, que Louis cornellier ajoute une « réponse » à la Lettre, ce qui aurait été tout à fait adéquat dans son journal. Mais s’il voulait vraiment le dernier mot, alors il aurait dû venir s’exprimer ici, sur AgoraVox. Au lieu de tout cela, on en restera à la censure et à l’ostracisme de Louis Cornellier et de son journal, dont leurs lecteurs font les frais. Heureusement, grâce à AgoraVox je n’aurai pas été victime de ce pouvoir discrétionnaire absolu.


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