Démystification d’embrouilles : Tintin a-t-il jamais « marché sur la Lune » ?
Le 21 juillet 40e anniversaire du premier débarquement humain sur la Lune, sans battage médiatique, sans tambour ni trompette…
Voici quarante années très exactement que l’homme aurait foulé le sol de la Lune le 21 juillet 1969 après avoir quitté la Terre cinq jours plus tôt, le 16, et huit années seulement après le lancement du Programme spatial lunaire par JF Kennedy. L’humanité, au cours des années qui suivirent et jusqu’à l’ultime mission Apollo 17 en 1972, s’est alors trouvée plongée dans un état de profonde sidération admirative jusqu’au jour où des esprits chagrins commencèrent à poser des questions dérangeantes. Allant même à envisager l’impossible et surtout l’impensable, à savoir que des malins génies auraient créé - aux fins de propagande promotionnelle en faveur du modèle américain le plus beau - la fiction de vols habités vers notre satellite ! Une superproduction au coût pharamineux d’un total de 135 milliards de $ (40 mds pour le programme Apollo et 6 alunissages), soit à la valeur en 2005 de 3% du Pib américain !
Or dès 1978, une autre fiction, toute hollywoodienne celle-là, Capricorn One(1), film de Peter Hyams, décrit le scénario d’une supercherie politico-astronautique qui n’est en fait que la parabole de tous les doutes commençant à se cristalliser et à se diffuser Outre Atlantique au sein de la communauté informelle des esprits mal pensants… aussitôt taxés d’adeptes de la théorie du complot et renvoyés illico à leur néant mental présumé !
Reste qu’aujourd’hui une question lancinante se pose : si « nous » (terriens) sommes allés sur Sélène voici quarante ans, pourquoi n’est-il pas possible, ni même envisagé, d’y retourner avant au moins trois décennies ?
Pourquoi donc ne pas réitérer l’exploit réalisé avec des bout de ficelles (il y avait moins de puissance de calcul embarquée dans le véhicule orbital et LEM que dans un banal téléphone portable contemporain(2)) et grâce à un puissant lanceur, Saturn V (une version du V2 améliorée en premier lieu par le professeur Tournesol(3) avant son inventeur lui-même, Wernher Von Braun que Kennedy portera en triomphe – au sens propre – lors des premiers succès spatiaux américains) alors que l’intérêt stratégique d’une colonisation lunaire n’est plus dès cette époque à démontrer, même si celle-ci ne revêtirait pas aujourd’hui de dimension a priori militaire… car enfin nul n’ignore plus que « qui tient l’espace extra atmosphérique, tient l’espace terrestre, continental et maritime, sous sa coupe » !
Pourquoi aura-t-il fallu attendre soixante-dix ans, et peut-être plus encore, pour refaire un chemin si bien frayé par 6 missions abouties : 18 astronautes partis, 18 revenus et 12 d’entre eux auront accomplis, à 6 reprises et sans aucune casse, le prodigieux exploit(4) de s’arracher à l’attraction lunaire avec le derrière collé sur le puissant réacteur(5) du module (nous laisserons le soin aux scientifiques qui nous liront de dire si oui ou non ils ont eu chaud aux fesses ?!). Un prodigieux taux de réussite comparativement supérieur à celui de la navette spatiale dont les accidents à répétition - malgré l’avantage de techniques beaucoup plus évoluées et performantes - et cela, en dépit de la mission avortée d’Apollo 13 mais au dénouement heureux (happy end)(6). Aucun perte humaine en trois ans de tirs et d’allers-retours Terre-Lune relève en effet du domaine du pur miracle.
Nous ne nous appesantirons pas ici sur toutes les anomalies et invraisemblances relevées par les spécialistes notamment dans les photos, les lumières de prises de vues sans flash, les personnages aux ombres débourrées, la résistance à la chaleur et au froid de la gélatine des pellicules utilisés dans les Hasselblad, la présence ou l’absence du LEM avec en toile de fond d’une même et seule colline(7), mire de l’optique située derrière le sujet photographié ou encore l’absence de cratère sous le véhicule orbital, sans trace d’alunissage ni de poussière sur les pieds du véhicule, ou encore la capacité d’emport en carburant du LEM et la quantité nécessaire pour l’arracher au sol lunaire… 1/6ème de l'attraction terrestre n’étant pas une force tout à fait négligeable ! Une dernière question : pourquoi toutes les archives photographiques et bandes vidéos des missions Apollo, en principe patrimoine de l’humanité, ont-elles été (étrangement) perdues par la Nasa ? Question connexe : pourquoi n’existe-t-il pas d’image précises des sites d’alunissage alors que nos télescopes sont capables d’atteindre les galaxies les plus reculées aux confins de l’Univers, et que la résolution de nos satellites est de l’ordre de 4 m en ce qui concerne la surface terrestre, pourtant partiellement voilée par l’atmosphère ?
Un aspect particulièrement troublant retiendra cependant notre attention : était-il possible pour des hommes de franchir sans dommage les deux ceintures de Van Allen qui piègent, à notre périphérie planétaire, des particules à très haute énergie (< 5 MeV sur la ceinture extérieure entre 13 000 et 65 000 Km) provenant des vents solaires et du rayonnement cosmique ? Cela au risque de « griller comme des rosbifs dans un four à micro-ondes » ? Si l’on en croit Wikipedia et Futura-Sciences(8), deux sites de références relativement sérieux, la traversée de ces boucliers électromagnétiques requerrait, même lors d’une exposition de courte durée, un blindage adéquat et la sélection d’une trajectoire minimisant l’irradiation. Dans le cas contraire ce sont plusieurs millions de rads/h (la dose létale se situant à 500 rads), qui pourraient affliger les cosmonautes ! Or non seulement nos « héros » n’ont manifesté aucun symptôme immédiat mais apparemment aucun d’entre eux n’a ultérieurement développé de cancers ou autres désagréments… Ceux qui ne sont pas morts accidentellement (15% de décès suspects) se portent comme un charme. Rappelons enfin que depuis Apollo 17 aucun humain n’a franchi la redoutable barrière de Van Allen… et les seuls organismes biologiques envoyés par la suite sur la Lune furent des tortues russes à l’épaisse carapace ! Que dire finalement des combinaisons spatiales, si ce n’est qu’elles aussi se sont montrées terriblement efficaces dans le filtrage du rayonnement cosmique, à telle enseigne que l’on se demande bien pourquoi elles n’ont pas été utilisées par les liquidateurs de Tchernobyl et de Fukushima ?
Ce qui induit à conclure comme beaucoup(9) d’esprits sceptiques, mortifiés par leur rêve brisé, que si les astronautes sont bien allés dans l’espace, ils sont en fait restés en orbite terrestre tandis que des robots tournaient autour de la lune et y alunissaient tant que de besoin… entre autres pour y déposer des réflecteurs lasers dirigés vers la terre comme les Soviétiques l’ont d’ailleurs fait sans intervention humaine.
Bref un nombre extravagant d’incohérences auxquelles ne répondent les porte-paroles de la NASA – à l’instar de tous ceux qui appartiennent à la normalité anti conspirationniste – que par un déni en bloc, l’ensemble des objections étant balayées d’un revers de main comme nulles, non avenues, pitoyablement ridicules et attirant de graves soupçons quant à la santé mentale des sceptiques. Avec pour argument ultime qu’un tel secret (celui de la fiction des vols habités entre 1969 et 1972) n’aurait jamais pu être conservé alors qu’il était partagé par quelque 400 000 personnels ayant participé au Programme !
Pour notre part nous objecterons que le projet Manhattan de nucléarisation de populations civiles du Japon (comme avertissement adressé à Staline dans la course pour la « domination mondiale »(10)), a été « partagé » par 130 000 personnes environ et que rien n’a pourtant jamais transpiré. Il faut aussi admettre que si le mensonge - assorti d’abyssaux puits de silence - perdure quant aux fables et légendes unilatérales de la Seconde guerre mondiale, si les extravagantes incohérences des conclusions officielles relatives à la tragédie du 11 Septembre persistent dans la cervelle du plus grand nombre, incrustées qu’elles sont par l’excellent travail des médias (qui au moins sur ce plan ne faillissent pas à leur tâche), on ne voit pas pourquoi le « canular » du siècle n’aurait pas pu être monté ? Dans le contexte de la guerre froide et de rivalité spatiale exacerbé par les succès soviétiques des fusées de Sergueï Korolev grand continuateur de Von Braun, n’était-il pas tentant d’exploiter les missions robotisées pour en faire un outil de propagande inégalé… Une opération si titanesque qu’il en devenait de facto incontestable ?
Nous nous trouverions ainsi en présence d’une formidable, mais non exceptionnelle conspiration - à commencer par celle du silence - obéissant à une loi de la physique et de la configuration psychique de l’espèce humaine en tant qu’animal grégaire : dès lors qu’un conformisme social ou mythique s’est gravé dans l’imaginaire collectif il devient quasi indéracinable et violemment non contestable. La puissance d’attraction de l’idée, de la représentation du monde, fussent-elles des contre-vérités évidentes, et les esprits ordinaires se refusent mordicus à envisager qu’elles puissent être remises en cause ou simplement repensées.
En ce cas l’intelligence se trouve oblitérée par la force de l’« idée » collectivement partagée. Ce ne sont plus les faits qui priment mais le discours émotionnel construit autour. Singulièrement, s’il s’agit d’un mensonge savamment forgé, construit, soutenu par tout un appareil sophistique et les incantations ou les imprécations logorrhéiques d’usage, les yeux ne voient plus le décor en tant que tel, mais ce que le trompe-l’œil suggère… Ben Laden et sa kalach faisant avec une poignée de barbus s’écrouler les Tours de Manhattan… Le mensonge n’est-il pas in fine une sorte de trou noir qui par la seule puissance de ses ténèbres massives retient captive toute lumière de vérité ?
1 - Capricorn One - DVD Zone 2. Pal. Sortie 21 juin 2005
2 - Le LEM est équipé d’un ordinateur identique à celui du module de commande. Leur capacité mémorielle est de 36 Ko sur 14 bits, soit infiniment moins que sur la plus dérisoire clef USB. Les mémoires du LEM offraient 12K pour le programme et 4Ko de mémoire-vive (RAM) utilisable, or la plus petite « barrette » est d’1 Gigaoctet... Les hommes seraient donc allés sur la Lune avec une simple calculatrice améliorée, un exploit indéniablement époustouflant.
3 - Septième album des aventures de Tintin d’Hergé, « On a marché sur la Lune »(1954), la fusée du professeur Tournesol s’inspire fortement du V2 allemand et entre autres les fameux dessins à carreaux.
4 - Au moyen d’un véhicule dont l’instabilité était apparemment pathologiquement structurelle, en particulier en raison de son unique tuyère centrale : Neil Armstrong, l’homme qui fit « un petit pas pour l'homme, [mais] un bond de géant pour l'Humanité », l’avait échappé belle en s’éjectant in extremis du LEM lors d’un essai en vol.
5 - Un réacteur propulsant une masse de 5 tonnes (15 tonnes à l’alunissage - même si l’attraction lunaire est six fois moindre que sur Terre) dont les vibrations et le grondement à 150 décibels sont imperceptibles dans les bandes sons. Dans le même ordre d’idée au décollage d’Apollo 15, le rugissement de la tuyère ne semble pas avoir interféré avec la diffusion d’une cassette de l’hymne de l’US Air Force "Into the wild blue yonder". La présence d’un lecteur et d’une bande n’a semble-t-il choqué personne dans l’espace ultra confiné du module (4,5 m3) où chaque gramme embarqué est a priori connoté d’une impérieuse nécessité vitale. Un détail meurtrier donc : les dits astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire en s’arrachant au sol lunaire que de la propagande à la gloire de leur Marine ?
6 - Voir « Apollo 13 » film de Ron Howard – 1995. DVD 2005.
7 - Sur certaines images diffusées à l’époque (« perdues » depuis) se retrouvent à plusieurs reprises les mêmes montagnes ou des portions de paysage et une échelle identique, apparaît ou non le module d’alunissage ce qui tendrait à prouver qu’il s’agit en l’occurrence de décors, éventuellement naturels, ceux du désert du Nevada aux environs de la Zone 51, base interdite d’accès aux non habilités, ou d’images incrustées.
8 - http://fr.wikipedia.org/wiki/Ceinture_de_Van_Allen
http://www.futura-sciences.com/fr/definition/t/univers-1/d/ceintures-de-van-allen_1000/
9 - À titre de complément de réflexion on pourra visionner le documentaire en quatre parties de 10 mn chacune. Synthétique : 3ème partie traite des anomalies et invraisemblances picturales et des nombreuses morts suspectes dans la communauté des astronautes ; 4ème partie porte sur la question de l’impossible survie des astronautes exposés aux radiations au-delà de la Ceinture de van Halen.
http://www.dailymotion.com/video/x6z4nr_a-t-on-marche-sur-la-lune-part-1_tech
10 - Projet ouvertement développé à partir de la IIe Guerre mondiale : voir James Burnham, néoconservateur avant la lettre, « Vers la domination mondiale » 1947.
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