Elle 39 ans, lui 12 ans : 6 mois de prison
Un rappel d'abord : le 1er septembre 1969 Gabrielle Russier se suicidait. Certains se rappellent peut-être de cette enseignante de 32 ans qui a inspiré le film d’André Cayatte : « Mourir d’aimer ». Amoureuse d’un garçon de 16 ans, ayant eu des relations sexuelles avec lui, elle avait été condamnée en première instance à 13 mois de prison avec sursis.
Le parquet avait fait appel et demandait une peine plus sévère. Elle s’est suicidée avant le procès en appel. Le 22 septembre 1969, le président Pompidou répondait à une question d’un journaliste sur l’affaire :
- A Marseille, une femme, un professeur, 32 ans, est condamnée pour détournement de mineur. Elle se suicide. Vous-même, qu'avez-vous pensé de ce fait divers qui pose, je crois, des problèmes de fond ?
Après de longs silences embarrassés et quelques bouts de phrases insignifiantes, Georges Pompidou déclare :
- Comprenne qui voudra. Moi, mon remords, ce fut la victime raisonnable, au regard d'enfant perdue, celle qui ressemble aux morts, qui sont morts pour être aimés. C'est de l'Eluard.
Le poète Paul Eluard avait consacré ces vers aux femmes tondues à la Libération. Alors qu’elles étaient l’objet de l’opprobre populaire pour trahison et collaboration, Eluard avait choisi de les défendre au nom de l’amour.
En citant ces vers le président de la République avait alors défendu l’enseignante, au nom de l’amour. Il n’était pas le seul à la défendre. Charles Aznavour en avait même fait une chanson.
Aujourd’hui une enseignante de 39 ans, mère de cinq enfants, a été condamnée à six mois de prison ferme pour avoir entretenu il y a 5 ans et pendant trois ans une relation amoureuse complète avec un de ses élèves âgé de 12 ans au début des faits. Une histoire d’amour, dit le tribunal. Qui l’avait inculpée au chef d’atteinte sexuelle sur mineur. Une incrimination assez légère. Pas de notion d’agression sexuelle, encore moins de viol.
D’ailleurs en droit français il est impossible d’inculper une femme de viol, celui-ci étant défini par l’acte de pénétration et par la contrainte. Or ici il n’y a pas eu d’introduction sexuelle. Cela ne serait possible qu’en cas de sodomisation du garçon, manuelle ou avec un objet.
Cette affaire montre une discrimination entre les hommes et les femmes en matière de crime sexuel. On le constate encore dans l’affaire d’Outreau où Myriam Badaoui avait été condamnée pour viol. La presse met le mot viol entre guillements : « Myriam Badaoui, condamnée dans l'affaire Outreau à quinze ans de prison pour "viols", est désormais libre. » (Le Point, 7 novembre 2011).
Qu’aurait-on dit, de quoi aurait été accusé un homme de 39 ans menant pendant trois ans une relation amoureuse et sexuelle avec une mineure de 12 ans ? Viol, pédophilie, très probablement. Ici on ne parle pas de pédophilie. Parce qu’il y a de l’amour et qu’il n’y a pas de contrainte physique directe. Cela suffit-il à évacuer la notion de pédophilie quand le garçon a 12 ans ? La question est posée. Et si la justice a toute latitude pour apprécier les situation qu’elle doit juger, les principes sur lesquels elle se fonde ne sont pas toujours d’une clarté aveuglante, en particulier en matière de délinquance sexuelle féminine.
Il semble que depuis l’affaire Russier on n’ait guère avancé sur cette question. Six mois de prison ici, 12 mois avec sursis à l’époque pour Gabrielle Russier. L’affaire Strauss-Kahn avait aussi fait connaître la relation amoureuse entre Tristane Banon, alors âgée de 29 ans, et le fils du directeur de l’Express âgé de 16 ans. Il était alors présenté comme son fiancé.
La délinquance sexuelle féminine est un tabou majeur. Le psychiatre français Daniel Zagury, spécialiste de psychopathologie et de psychiatrie légale, expert auprès de la cour d'appel de Paris, en parle ainsi :
« C'était un sujet dont on ignorait tout, mais surtout que l'on voulait ignorer. On s'est petit à petit aperçu qu'il y avait beaucoup de femmes incarcérées pour ces motifs, et que c'était un vrai sujet. C'est un tabou, car la femme c'est la mère. Le tabou est lié au fait de télescoper la dimension sexuelle et la dimension chaste de la maternité. Nous avons tous au fond de nous une vision idéalisée de la femme mère. La dimension de la relation femme enfant est insupportable.
Nier la délinquance sexuelle des femmes est un réflexe très misogyne. Georges Canguilhem dans son livre « Le normal et le pathologique » affirme qu'on ne connaît la norme qu'à partir de sa transgression. Et, au fond, s'il n'y a pas de femmes qui commettent des actes de délinquance sexuelle, cela reviendrait à dire que les femmes n'ont pas de sexualité propre ou de normes sexuelles. »
L’auteur français Anne Poiret a écrit un livre documenté sur le sujet : « L’Ultime tabou ». Le site La Cause des homme expose l’un des cas recensé dans ce livre. Un vrai cas d’école. On peut aussi penser à Myriam Badaoui dont le comportement sexuel déviant a été particulièrement grave. Ou à Monique Olivier qui assistait aux viols de fillettes par son mari Fourniret, au point de mettre en scène sa défloration avec l’une des victimes.
Pour des raisons culturelles, pour un stéréotype (homme prédateur et supposée domination masculine) la criminalité sexuelle féminine est minimisée. Indice du sexisme misandre de notre société. Le sentiment qu'il y a deux poids deux mesures en matière de délinquance sexuelle ne va pas s'arranger.
118 réactions à cet article
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Cela me rappelle un épisode de la série « South Park ».
Stan, un des personnages principaux, découvre son son petit frère de trois ans a des rapports sexuels avec son institutrice de maternelle. Il va à la police porter plainte ( en anglais, l’usage du pronom indéfini permet aux dialoguistes d’entretenir le doute sur le sexe du prof). Dans un premier temps, les policiers s’indignent et s’arment. Dans la conversation qui suit, ils comprennent que le prof est de sexe féminin. Ils déposent alors leurs armes et se remettent à leurs bureau, qualifiant le petit frère de « veinard » au grand scandale de Stan.Comme quoi, ce problème a aussi cours de l’autre coté de l’Atlantique.-
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kemilein 11 septembre 2012 12:51c’est a cause d’une construction intellectuelle ancienne qui perdure encore aujourd’hui pour une part.
les hommes peuvent allez a gauche et a droite, ce n’est que les femmes qui sont des « trainées »
elles ne sont bonnes qu’a enfanter (soral défend encore aujourd’hui ce genre de concept, 2012 les gens !)
les filles doivent être vierge (pourquoi on sait pas) a vie ca serait mieux... (tant mieux y’aurait une chute de la natalité chez les cons)
les hommes doivent être initié le plus tot (y’a pas 100 ans on les envoyait au bordel autour des 12 ans)suis-je pour la pédophilie ? non
l’enfant est considéré a juste titre comme un incapable un inapte, un irresponsable (et quand on vois les soit disant adultes, on sait qu’eux même le sont), il n’est donc pas apte a consentir « librement » c’est a dire avec sa raison, de contracter une relation autre que celle de camaraderie (car elle ne prête selon la doxa en vigueur a aucune conséquence, ce qui est faux)
en france on pense a juste titre qu’une personne exerçant une profession d’autorité (prof, flic) ou qu’un parent (père, oncle) sera toujours dans une situation de contrainte, ce qui n’est pas idiot.et si aujourd’hui nous voyons les femmes comme des amoureuses et non des barbares pédophile c’est a cause d’un patriarcat dominateur, qui a ravagé les femmes durant quelques millénaires, aujourd’hui ont les voit comme des victimes sexuelles (demandez-vous en quoi est-ce un problème le polygamie-polyandrie... en rien, la seule excuse ? l’esclavage sexuelle des femmes) alors que l’homme a toujours été le bourreau.
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J’ai du mal à considérer une femme comme étant « amoureuse » quand elle se tape un gosse de 12 ans. C’est tout aussi grave que si cela avait été un homme. On touche pas à un gosse, quel qu’en soit le sexe.
Le plus scandaleux est que je suis certain que si cela avait été un homme, il aurait pas pris 6 mois mais bien 10 ans.Les féministes ont échoué sur toute la ligne : le sexisme existe toujours, il a juste changé de camp. -
Romain Desbois 11 septembre 2012 16:33Oui et on aurait tous les homophobes se serait jeté sur ce scandale pour nous le renvoyer à la gueule.
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Ha ! elle est bien bonne celle la : maintenant l’homophobie fiction
Pauvre victime... fictive, va ! -
Romain Desbois 11 septembre 2012 18:32Aldous
Non mais il suffit de lire les commentaires sur le mariage homo.
Si cela avait été un pédophile et non une pédophile vous auriez été un paquet à user de ce cas pour défendre vos opinions anti mariage homo.
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Nous soutenons le mariage entres hommes en espérant que ses partisans nous soutiendrons à leur tour dans notre reconnaissance du mariage avec notre animal préféré : moi je souhaite me marier avec ma biquette, en faire mon héritière, adopter des bébés et les nourrir de son lait (se chèvre)
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Romain Desbois 11 septembre 2012 21:33Dixneuf
Perso je vous soutiendrais si j’ai l’assurance du consentement de votre chèvre.
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Franchement, je risque peutetre de dire une connerie (une de plus) mais à 12 ans, ca m’aurait pas déplu de me taper ma prof...
Après on peut penser ce que l’on veut, mais pour être un homme vous savez bien que notre sexualité est différente de celle de femme. Avoir des rapports à 12 ans, même avec une femme adulte ne perturbera pas la sexualité de ce jeune homme. Au pir il fera le kéké devant ses potes....
Des gosses ont parfois eu des rapports entre eux à 12ans... Dans ce monde ou nous perdons complètement le fil de tout, tout se fait plus tot. Moi j’ai grandi en HLM, j’ai 32 ans et j’ai fumé mon premier joint à 12ans... J’imagine qu’aujourd’hui ils doivent y gouter à 9 ans :-s
En tout cas, je ne suis vraiment pas convaincu de la nocivité d’une telle relation pour ce jeune homme, comme cela aurait pu l’être pour une jeune femme. Excusez moi l’expression mais au lieu de se taper des queues à tout bout de champs (comme le font tous les garcons de 12 à 15 ans) il s’est tapé sa prof, et à mon avis tous ses potes auraient bien aimé être à sa place !
Après, y aura toujours un mec pour venir me parler du traumatisme ou de l’eventuel image de la femme... Je ne suis pas sur qu’elle ne soit pas bien plus dégradée à 20 ans, dans les boites de nuits, à serrer de la semi prostituée qui s’allonge en fonction du prix des verres qu’on leur paye !-
King, je sais que ça ne te fera pas plaisir, mais pour une fois je suis d’accord avec toi.
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Bien sur que si ca me fait plaisir Dened, et ce qui me fait le plus plaisir c’est ton honneteté.
On peut très bien ne être d’accord et se taquiner un peu, ca ne veut pas dire que je ne te respecte pas. Je pense qu’on serait sur un comptoir, la teneur de nos discussions seraient certainement différentes. -
Ou comment dans un seul commentaire conforter l’image que tous les hommes sont des êtres primaires sans aucune sensibilité et que la drogue est inoffensive y compris sur les enfants alors même que des études prouvent les dégâts sur un cerveau en formation... on en voit d’ailleurs un exemple patent...
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OU comment, avec une estime très (voir trop) haute de sa personne, on se permet de juger hativement des individus en trois lignes et d’en tirer des conclusions génériques sur des groupes d’individus.
Soyez assuré Mr ou Mme Blitz que les préjugés sont l’ennemi du bon sens. Que pour juger de la valeur d’un individu on prend en compte enormément de choses, et pas seulement trois lignes, car à lire les votres vous m’apparaissez comme un sombre crétin prétentieux, alors que si ca se trouve ce n’est absolument pas le cas...
Cordialement -
Blitz : bravo, t’as bien appris la leçon. Cela dit : King n’a pas dit que la drogue était inoffensive, il a juste dit qu’il a gouté au pétard à 12 ans. Quant à la nocivité du THC, la communauté scientifique est on ne peut plus partagée. Parmi ces derniers, il y en a qui sont payé par l’industrie des fibres synthétiques pour qui la culture du chanvre est une grosse épine au pied.
Le problème du pétard, c’est qu’il contient du tabac, dont la combustion produit clairement des substances cancérigènes. Parce que le THC serait plutôt le contraire. -
@ king et deneb
vous exprimez ici une opinion millénaire en vertu de laquelle on gardait les filles cloitrées à la maison et laissait les garçons faire ce qu’ils voulaient
je n’apprécie pas plus le dogme politiquement correct de l’égalité nécessaire entre les garçons et les filles mais j’aimerai lire un avis féminin sur la question
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Bonjour King
Vous dites cela parce que vous vous mettez à la place du garçon... maintenant imaginons que vous soyez à la place des enfants de cette femme... ou des parents du garçon...
Est ce qu’un garçon de 12 ans connait réellement les conséquences d’une relation sexuelle ? sait il qu’il peut attaper une MST voire pire, sait il que si l’adulte (en l’occurence cette enseignante qui m’a tout l’air de vivre en assouvissant ses pulsions sans reflechir plus avant à ses conséquences), bref sait il qu’il risque également de se retrouver père à l’insu de son plein gré ?
Ce n’est pas pour rien qu’on a établi l’âge de la majorité sexuelle à 15 ans et encore, nombre de jeunes de cet âge sont très mal informés en ce qui concerne le fonctionnement de leur corps, la sexualité et la contraception..
Ce n’est pas pour rien qu’on appele un garcon ou une fille de cet âge, des enfants........ -
Alors je suis désolé mais si c’est millénaire, c’est paut être qu’il y a un raison
Si le gosse de 12 ans, c’était fait violé, c’est à dire s’il s’était mangé un truc dans le cul, s’il avait été pénétré par quoi que ce soit, mon avis aurait été tout autre.
MAintenant, ce sont des rapports sexuels, et pour en avoir, quand on est un homme ben il faut bien bander... Donc à un moment on peut supposer un consentement, voir un désir...
Comme je vous le dit, entre baiser avec une gamine de son age, se branler ou se taper une dame de 36 ans, je ne vois rien de perturbant pour son avenir... fusse t il sentimental...
Certaines gamines sont bien plus méchante qu’une dame de 36 ans.
Après je ne sais pas si vous avez été des jeunes hommes, mais moi je sais qu’à douze je me le suis astiqué et sévèrement, donc j’aurais bien aimé pouvoir me taper tout ce qui bougeait du sexe opposé....
Pour ce qui est du shit, j’ai cité mon exemple personnel pour préciser simplement qu’aujourdui tout se fait plus tot. Si j’avais eu le choix j’aurais préféré vivre ailleurs que dans une tour du 93 avec 20 dealers en bas... Mais bon a défaut, j’ai fait mon Obelix....
Par ailleurs, j’ai bac +5, été cadre dans une entreprise (hein Déned ) et aujd’hui j’ai crée
ma propre boite. Je n’ai pas de casier, ce qui vous en conviendrez, pour un gosse sans père ayant grandi dans une cité réputée parmis les plus dangereuses de France (le clos snt lazare à Stains), n’est pas si mal -
J’ai tendence aussi à être d’accord avec King.
Que dire plutôt de cette femme de trente-deux ans qui tombe amoureuse d’un gamin de douze ?Comment peut-on tomber en amour au point d’avoir des relations sexuelles avec un enfant ? Ca met extrêmement mal à l’aise. -
A loatse,
Je ne sais pas ce qui est le plus perturbant pour un gosse de 12 ans. Avoir une histoire d’amour qui dure 3 ans. Donc entre 12 et 15 ans, ou se mater des scenes pornos d’une rare violence sexuelle sur you tube... Parce que malgrè tous les filtrequ’on peut mettre, un gosse qui cherche, il trouve malheuresuement...
PAr contre Francesca a raison, la prof doit quand même avoir un profond déséquilibre... -
kemilein 11 septembre 2012 13:04les filles n’ont pas une sexualité différente de celle des garçons contrairement a ce que vous dites.
leur problème n’est pas leur pseudo sensibilité, mais l’éducation qu’elles ont reçu et qui leur dit, leur grave dans la chair des neurones
« tu doit être vierge au mariage »
« tu dois te marier »
« tu dois trouver le prince charmant »
« tu dois avoir des enfants »alors vous voyez des filles gogoles complètement idiote au mieux naïve se faire constamment abuser, les relations prédatrices qu’entretienne les garçon avec ces filles sont pour moi égale a du viole, car elle sont manipulée et utilisé comme des jouet sexuels.
si nous ne leur avions pas mis ces idées ridicule dans la tête peut être évalueraient elles avec plus de justesse les relations qui leur sont proposées, peut être ne s’attendraient elles pas a des demi dieux transit plein de bonté, mais a la réalité > des gens sexué qui veulent jouir EUX et non faire jouir (et quand il font jouir c’est encore pour EUX, pour leur petit narcissisme, voir pour aller le gueuler sur les toits)
certaine fille lucide accrédite cela. elles ne recherchent pas le prince charmant, mais simplement a exercer leur sexualité comme bon leur semble avec un désir de « jouir » sans amour pré-requis, elles dissocient sexe, « amour », ne sont pas non plus obnubilé par l’hétéro-conformité, ni non plus par la mono-andrie. et ceux de leur propre aveux au même âge que ce garçon.
en gros ? y’a des filles a 12 ans elle en veulent, comme du garçon qui se tate tous les jours sur des mirages.
la nature nous a constitué pareil, nous voulons nous accoupler, parce que nous éprouvons de la jouissance a le faire, et cela se passe au même âge. -
A Kemilien,
Je ne suis pas, mais alors pas du tout d’accord avec vous. La sexualité masculine, les facteurs d’excitation et la manifestation du désir sont complétement différents entre un homme et une femme, et a plus forte raison juste après ou pendant la puberté.
Je ne sais pas si vous êtes un homme ou une femme. Si vous êtes un homme, je vous demanderais de ne pas feindre de ne pas savoir.
Mais un gosse de 12 ans, ca bande pour rien. Ca pense beaucoup au sexe, et surtout ca se masturbe souvent. Et je ne crois pas que les filles aient le même apport à la sexualité à cet age là... -
Je ne plusse ni ne moinsse quasiment jamais.
Moi féministe je plusse King, parce que ce qu’il dit simplement, et sans détours,que oui, il y a deux poids deux mesures, non pas concernant la délinquance sexuelle,mais parce que il y a deux sexes, un sexe masculin et un sexe féminin,et que ce n’est pas pareil.Cet article est sale, et il est à vomir.a vouloir à tout prix, non pas l’égalité des droits, mais la mêmeté entre hommes et femmes,on n’aboutit qu’à une seule voie : tous des hommes, à égalité comme dans un ring où seul compte le KOet pourtant, même en boxe il y a des CATEGORIES, on ne mélange pas les plumes et les coqs. -
En gros, vous êtes n’êtes pas féministe, vous êtes pour la discrimination misandre, qui impose aux hommes des restrictions que vous n’imposeriez pas aux femmes. De plus, vous semblez vouloir les imposer pour nous punir de nous adapter à la société (vu votre amalgame de « catégorie », impliquant que nous serions dans une « catégorie » avantagée par la nature.)
Oui, en effet, tous sur le même plan, c’est la réalité d’une méritocratie. Soit les femmes sont les égales des hommes (ce dont je suis persuadé personnellement) et en ce cas elle doivent être traité de la même façon que ce soit en traitement positif (droit de vote par exemple) mais aussi négatif (accusée de pédophilie quand elles commettent un acte pédophile). Soit elles sont plus faibles, elles doivent bénéficier d’un traitement plus clément, et en ce cas, qu’on leur supprime le droit de vote, comme aux enfants.
Mon choix va évidement dans la première catégorie. Le choix de société que vous préconisez, visant à faire des femmes des privilégiées, je la combattrait systématiquement.
Une relation sexuelle entre un adulte et un enfant est un acte de pédophilie, quel que soit le sexe de l’enfant et de l’adulte. Toute loi n’étant pas en accord avec ce fait est nécessairement soit machiste, soit misandre. Le sexe d’un criminel n’a pas à avoir d’impacte sur le chef d’accusation.
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D’accord avec King pour dire que la sexualité masculine diffère de la sexualité féminine. Mais vous parlez de la sexualité masculine sans connaître du tout la féminine... Et c’est bien normal puisque c’est là un sujet bien taboo encore aujourd’hui.
Alors je suis une femme et pour info, nous aussi pouvons avoir, enfant, des fantasmes et une furieuse envie de se masturber ! Même que la masturbation, on peut s’y adonner avant la puberté ! Mais ça c’est pas bien du tout, c’est mal, c’est sale et dégradant. Bouh c’est pas vrai, il faut taire ces horreurs ! Et pourtant... A 5 ans, on aimait bien une copine et moi se caresser là où ça se faisait du bien. Mais on avait bien compris qu’il fallait pas en parler car les adultes ils allaient froncer les sourcils tout de suite. Et du coup même avec d’autres copines c’était dur d’en toucher un mot. Je me suis souviens avoir toujours eu du mal à en « parler » parce que je ne connaissais pas les mots, je ne savais pas comment appeler ça. Je parle pas de pénétration, ça c’est à 10 ans quand mon amoureux avait essayer de me mettre un doigt et j’avais pas aimé. C’est un petit peu plus haut que ça faisait du bien mais ça il l’a compris que plus tard ! Oh et à 13 ans je rêvassais durant le cours que mon prof de SVT me prenne sur la table.Je pense sincèrement que les enfants ont une sexualité. J’espère ne pas me faire bruler vive sur la place publique en disant cela, mais faut arrêter un peu ces conneries de déséquilibre mental qu’engendrerait forcément une sexualité plus ou moins active chez un(e) gamin(e).Ce que je concède, c’est que la sexualité d’un adulte diffère de la sexualité d’un enfant. Je ne suis cependant pas opposée, dans l’idée, à une « éducation sexuelle ». D’un point de vue très détaché des morales religieuses bien sûr. Ce serait plutôt une question... philosophique : pourrions nous éventuellement expliquer à un enfant que le sexe n’a rien de diabolique et sale, que c’est parfaitement naturel et que ça fait du bien au corps comme à l’esprit ? Jusqu’à même pourquoi pas, une démonstration, passer de la théorie à une pratique (modérée) ? Si c’est fait dans le respect des corps ; si ça fait du « bien » et pas du « mal ». On pourrait en discuter ; malheureusement le débat est tué par la réponse ô combien pertinente « tu es pro-pédophile ! ».On sait très bien qu’à 10 - 12 ans, ça s’asticote en bas et dans la tête, qu’on cherche à en savoir plus. Et c’est bien dommage qu’à cet âge là les références se trouvent sur le net avec du porno bien hard (et excessivement machiste).Mais pour les filles, c’est le néant total... Très difficile de seulement trouver un petit film érotique qui ne mette pas les femmes dans une condition de chienne. Beau modèle pour une enfant !Après pour les adultes qui, dans nos sociétés actuelles qui condamnent très violemment la pédophilie, et qui malgré ça, recherchent des relations sexuelles avec un enfant, c’est qu’il y a un trouble quelque part. Un trouble plutôt psychiatrique. A mon sens, le problème est plus d’ordre médical que pénal. J’arrive pas à voir ces horribles bonhommes comme des horreurs abjectes de la nature, mais comme des patients... (je suis étudiante en médecine, ça doit être une déformation professionnelle sans doute). -
@ Mycroft
POur qu’il y ait viol, il faut qu’il y ait (de mon point de vue de mal stupide) une pénétration forcée...
Des rapports sexuels avec un garcon de 12 ans, si c’est lui qui pénètre ne me paraissent pas être comparables à une viol sur un enfant (ce qu’on considère comme un acte pédophilie hautement répréhensible). Si cette bonne femme avait défonsé le cul du gosse avec un godmichet, tout en parlant d’amour, elle aurait pris la même peine qu’un homme.
Maintenant si l’enfant a penetré l’adulte, il a bien fallu qu’il bande d’abord, et au pir ce sont des attouchements consentants...
Comprenez bien que justifier la légèreté de la peine par le sexe de son auteur ici n’a pas de sens. Elle est à mettre en relation avec la gravité du geste. Cette bonne femme est vraissembalblement une grande desequilibrée, mais je ne penses pas que cette histoire ait une réelle incidence sur lasexualité de l’enfant. J’ai parfois rencontré des bobos libetaires richissimes qui ont payé des call girls archi bonne à leur gosse de 16 pour leur faire découvrir la vie. Et ce n’est pas mieux. Mais a partir du moment ou vous bandez, on ne peut pas parler d’acte forcés... -
Romain Desbois 11 septembre 2012 17:14King
Je suis d’accord avec vous , d’ailleurs le seul acte condamnable est le viol. La difficulté étant de déterminer que l’enfant était consentant et non manipulé.Mais diriez-vous la même chose si le prof était un homme ?
Car à 12 ans aussi quand on est homo avoir envie de relations sexuelles.
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Mycroft,
ne vous égarez pas et ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.Je fais une différence entre l’égalité des DROITS, qui doivent être les mêmes pour tous,et la tendance de certains et certaines à prôner une MÊMETE qui n’existe pas, un aplanissement de nos différences qui est appauvrissante, et qui conduitcertains hommes à voir les femmes comme des « homme-bis » à combattre comme sur un ring,et certaines femmes à voir les hommes comme des « femmes-bis » en dénigrant la virilité.Je reconnais qu’il est difficile de se faire comprendre dans des commentaires nécessairement concis. -
C’est pas parce que tu te serais ’tapé des queues à 12 ans’ qu’il faut croire que c’est une généralité !
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Je viens de faire un tour sur le net pour en savoir un peu plus sur l’affaire en question.
J’ignore pourquoi exactement les juges ont décidé de cette peine-là en particulier.Par contre cette femme semble complètement à coté de la plaque concernant la sexualité,la loi et les devoirs des uns et des unes.Il s’agit d’un milieu religieux extrême où la sexualité est tellement archi-taboue et diabolisée,qu’elle est incapable de penser à ses actes autrement comme à des actes sexuels.En tout cas elle est bien brieffée par son mari, son avocat et ses confesseurs. -
"POur qu’il y ait viol, il faut qu’il y ait (de mon point de vue de mal stupide) une pénétration forcée...
Des rapports sexuels avec un garcon de 12 ans, si c’est lui qui pénètre ne me paraissent pas être comparables à une viol sur un enfant (ce qu’on considère comme un acte pédophilie hautement répréhensible). Si cette bonne femme avait défonsé le cul du gosse avec un godmichet, tout en parlant d’amour, elle aurait pris la même peine qu’un homme.
Maintenant si l’enfant a penetré l’adulte, il a bien fallu qu’il bande d’abord, et au pir ce sont des attouchements consentants...«Je n’ai pas parlé de viol, mais de pédophilie, qui n’implique pas un viol mais simplement une relation sexuelle avec un enfant. Je suis d’accord avec le juge qui reste dans son rôle en appliquant la loi telle quel est. Je suis en désaccord avec le législateur qui a donné au viol une définition bancale de la chose.
L’érection est un phénomène physique, vous savez très bien qu’on peut bander sans avoir vraiment envie (par exemple le matin). C’est comparable au fait de »mouiller" chez une femme. Savez vous que ça arrive chez des femmes violées ? Que ce n’est pas si rare ? Et que ça ne fait pas pour autant du viol une relation sexuelle consentie ? Vous faites, comme le législateur, une fixation sur la pénétration de la victime, ce qui est à mon sens un choix qui est plus subjectif qu’objectif.
De plus, ce n’est pas parce que l’enfant a l’impression d’être d’accord qu’il l’est vraiment. Un enfant est par nature non responsable de ses actes, c’est justement un enfant, il n’est pas assez éduqué pour choisir. Il est donc manipulé. Et la manipulation est un acte moralement grave. C’est du même registre que des pratique sexuelle sur un handicapé. Techniquement, un enfant est aussi libre de faire ses choix qu’un handicapé (après, il faudrait peut être arrêter de définir bêtement le passage à l’age adulte uniquement en fonction de l’âge physique, mais c’est un autre débat, qui impliquerais de revoir pas mal notre conception des droits, et je pense personnellement qu’un examens de passage à l’age adulte accessible à toute personne désirant essayer serait bien plus logique que le « tu as tel âge, tu es responsable, mais nous sortons du sujet).
Vous comparez également la situation avec des jeunes de 16 ans. Mais justement, il y a une grande différence : la majorité sexuelle. Qui se situe à 15 ans.
Pour ceux qui parlent du pornos, outre le cliché du porno machiste (alors qu’il donne une mauvaise image de l’homme tout autant que de la femme), le problème est peut être justement que l’industrie porno est complètement coincée dans une voie débile ou la sensualité et le sexe »beau« sont absent, faute d’offre sérieuse à ce niveau. C’est peut être là dessus qu’il faudrait travailler. Il faut également expliquer aux enfants l’intérêt du sexe, c’est une réalité, mais certainement pas en couchant avec eux ! Qu’ils se découvrent, qu’ils profitent de leur corps, éventuellement pour ceux qui se sentent près, qu’ils s’explorent, mais qu’on ne les laisse pas entre les mains d’adultes psychanalytiquement atteint. Car c’est un fait que vous semblez oublier : une relation saine, ça ne se fait pas avec une personne barge.
Comprenez moi, je ne pense pas forcément que cette femme doit subir une peine de 15 ans, je suis au contraire plus pour qu’on réduise les peines des pédophiles hommes, qu’on comprennent qu’ils ne sont pas différents de cette femmes, des malades, qui entrainent avec eux un enfants dans une situation malsaine même quand il ne recourent pas à des violence physiques (je suis d’accord avec vous pour affirmer que s’il y a violence physique, la peine doit être plus lourde encore et qu’un tel type de rapport est techniquement bien plus faisable par un homme que par une femme). Même si de mon point de vue, 6 mois pour un tel acte, c’est quand même très léger, comparé à certaines peine sanctionnant certains délies.
Pour info, certains accusés passent ce temps en préventive tout en étant innocent. des hommes, systématiquement. Et ça, plus que tout, ça m’est intolérable, parce que je sais bien que ça peut nous arriver à tous et que je sais que ça peut nous détruire complètement.
voxagora
Je ne vois même pas où, dans la société, on peut voir de confusion »homme/femme" à l’heure actuelle. Au contraire, il y a bien une séparation des sexe, avec d’un coté les femmes qui sont défavorisées par l’inertie de la société (qui ne corrige pas assez vite les conséquences des injustices passé) et de l’autre les hommes, défavorisés par la non évolution des règles qui contrebalançaient les limitation injustement imposées au femmes auparavant.
Je suis de ceux qui pensent que combattre l’inertie sociale ne peut que provoquer des injustices (c’est ce qui va arriver si on fixe des quotas de femmes par exemple dans divers groupement alors que la sélection doit se faire indépendamment du sexe, quitte à rendre la sélection anonyme). Je suis également pour la disparition des règles favorisant les femmes (comme la définition actuelle du viol qui fait qu’une femme peut très difficilement être accusée de viol ou encore les règles de gestion de la garde des enfants).
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kemilein 11 septembre 2012 19:11« »D’accord avec King pour dire que la sexualité masculine diffère de la sexualité féminine.« »
et bien c’est bien ce que je dis, vous avez une image, un imaginaire qui vous fait croire que ce sont deux choses différentes ce qui n’est pas le cas.ni chimiquement, ni nerveusement, ni existentiellement.
tout ce qui change c’est juste vos Idées donc votre idéalisme donc votre dogmatisme fondé sur du vent (votre pensé)faites une IRM et voyons comment jouit une femme et un homme, le plaisir est le même, fonction de l’excitation donc de l’absence de (self)contrôle
la réalité a la tête dure !
que vous soyez 7 milliards d’idiots a penser que la Terre est plate ne la rendra pas plate, tout juste serez vous bon a stigmatiser anaxagore et a vous satisfaire dans votre entre soi élogieux. Mais la Terre restera ronde.
la sexualité des femmes n’est en rien différente de celle des hommes, seuls diffèrent des comportements SUBJECTIFS imposé par votre IMAGINAIRE.(et je ne le répèterais jamais assez que vous soyez 7 milliards a avoir tord ne vous donnera pas raison)
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kemilein 11 septembre 2012 19:22et j’aime la réponse de stuart qui dis sans détour
« que le prof me prenne sur la table »oui et toute fille normalement constitué dans cette société castratrice devrait éprouver ce désir du « tout de suite maintenant presque bestialement » tellement ca bout a l’intérieur et tellement on est frustré, castré, humilié !!
se palper le jonc ou le bouton n’a rien ni de sale ni de honteux, c’est bon, ca rend heureux, c’est facile, accessible, ca éduque au plaisir et ca dépend que de soi même.et dire qu’a 5 ans les filles se touchent... bah non, j’en connais qui l’on fait depuis presque la naissance sur les coins de canapés et en publique (c’est de là que je comprends l’humiliation donc le fondement de l’intimité) et qu’exposé ca jouissance ne l’indisposait guère.
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@ Kemilein
Concernant les sexualités masculines/féminines, je parlais simplement dans les faits. Nous sommes d’accord pour dire que biologiquement et chimiquement, il se passe à peu près la même chose. Par contre, désolée hein, mais les organes sexuels ont quelques différences tout de même. De façon générale les femmes se font pénétrer et les hommes pénètrent ; ce qui a quelques petites incidences lorsqu’on parle de viol. Pour ce qui des rapports annaux, les plaisirs diffèrent. De un, une femme ne prend qu’éventuellement un plaisir « psychique » à pénétrer avec un doigt ou autre un anus ; de deux, un homme peut jouir d’un plaisir tout particulier lors d’une sodomie du fait de la prostate me semble-t-il (ce n’est pas pour rien que la sodomie soit une pratique courante chez les hommes homosexuels et non chez les lesbiennes).J’admets cependant que ces différences de « pratiques sexuelles » n’influe pas sur la perception du désir et du plaisir.Ca, c’est surtout une question sociale. Comme vous vous amusez à le marteler comme un furieux, la différence est « imaginaire » ; elle provient de ce que nos (in)consciences ont enregistré en grandissant et en évoluant dans la société qui est la notre. Bien qu’imaginaire, cette différence a un impact dans nos réalités. J’affirme donc que si, il existe une différence entre sexualité masculine et sexualité féminine, mais qui n’est pas naturelle.Un peu farfelu, certes... comme notre société après tout. -
kemilein 11 septembre 2012 20:09la pratique est induite par la morphologie ce constat est factuel
deux femmes se touchent ou se pénètrent
deux hommes se touchent ou se pénètrent
un homme et une femme se touchent et se pénètrent
et a plus c’est encore la même chose.au fond on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a.
ce que je récuse c’est de considérer que la pratique n’est que fonction de cela, or la pratique est aussi fonction du comportement. et ce comportement est lui même induit par des tas de facteurs (de la poste, oui)
je rappel que jusqu’en c’était quoi ? 1960 ? les hommes n’étaient pas au courant que les femmes éprouvaient du plaisir (ou pas justement parce que les hommes sont des branques)
leur pratique de la sexualité s’en trouve modifié.pénétrer ou se faire pénétrer n’est qu’une question de symbolique dans un imaginaire culturel, c’est a dire encore et toujours du vent.
l’un vaut l’autre et l’autre vaut l’un
et le plaisir des hommes est égale a celui des femmes, une femme ne contrôle pas (souvent) elle se laisse donc porter par son partenaire, d’ou le sentiment juste d’être vulnérable, mais quand l’homme jouit de son contrôle lors du coït sont plaisir est infiniment moindre que celui d’une femme.
mais un homme qui laissera sa (ou son !) partenaire le contrôler, c’est a dire qu’il ne sera plus maître de son excitation aura une jouissance égale a celle d’une femme.tout cela (la différence) n’est qu’un vaste mythe, un mensonge, pratique pour certain (contrôle, manipulation, division) pour d’autre un mensonge sécurisant, pour moi c’est juste encore une invention inutile de l’humanité.
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Comme c’est brièvement évoqué dans l’article, une chose a plutôt tendance à me choquer :
Si nous avions eut affaire à un homme de 29 ans entretenant une relation avec une fillette de 12 ans, et même si cette relation était consentie, pleine d’amour, en quelque sorte « saine », l’home aurait été condamné à une peine de plusieurs années de prison ferme, et considéré comme un monstre (à juste titre ou non, là n’est pas la question).
Une gamine serait donc plus « vulnérable » qu’un gamin ? Le crime est-il définis par le sexe du perpétrant ? Je n’ose même pas imaginer ce qu’il serait advenu d’un homme de 29 ans ayant une relation avec un garçon de 12 ans, de manière parfaitement consentie...
Bref la différence de traitement, aussi bien judiciaire que médiatique, me fait peur. L’affaire ici présentée ne semble pas vraiment « trop » choquer« , du fait que ce soit une femme qui soit condamnée.
Après, que la relation soit »légitime« ou »saine" est une autre histoire, pour laquelle j’ai un avis mitigé.
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et vu la tronche de thon de la prof, on a du mal a imaginer un consentement...
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@Amaury
Faut vraiment que tu t’astiques le poireau partout, toi !
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Romain Desbois 11 septembre 2012 19:26Légalement je crois qu’netre prof et élève c’est interdit avant 18 ans
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Aldou, ce genre de réflexion est complètement débile. Aurait-ce été moins une agression sexuelle si la prof avait été belle ???
(d’autant que la photo dans l’article est celle de Myriam Badaoui, pas du tout celle de la prof, pour info). -
Ce qu’il faut prendre en compte là, c’est l’âge du partenaire.
Il était consentant (encore heureux !) mais pas assez mature pour assumer une relation amoureuse non platonique.
C’est sur ce point qu’il faut insister. C’est ce qu’il faut répéter et répéter encore aux adultes : vous devez absolument vous interdire des relations sexuelles avec un ou une partenaire trop jeune, même si c’est lui ou elle qui vous séduit et vous « drague ».
Il ne s’agit pas de morale : des relations sexuelles trop jeune déséquilibrent psychologiquement.
Et c’est aussi grave pour un très jeune homme que pour une très jeune fille. Les désirs doivent rester fantasmes à l’âge-là.
D’ailleurs, dans ce cas précis, le jeune homme reconnait avoir été perturbé, malgré son consentement
L’inculpée ne s’en rend compte maintenant... si on le lui avait appris depuis toujours, ça ne serait pas arrivé.
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Romain Desbois 11 septembre 2012 19:29A 12 ans ca faisait déjà un moment que mes envies sexuelles étaient bien déterminées. Et bien que je fantasmais sur des garçons bien plus âges (entre 17 et 25 ans), c’est resté platonique. Non pas de mon fait mais de la morale sexophobe.
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En réalité, dans le cadre familial, les violences sexuelles commises par les mères sont les plus nombreuses :
- Toilettages obligatoires et forcés (’viens prendre ta douche !’)- Lavement systématique des parties sexuelles des jeunes enfants (des petites filles en particuliers, qui pourtant n’ont besoin de personne pour se savonner dès qu’elles savent marcher et parler)- Interdiction des jeux sexuels aux enfants (les jeux de touche pipi, de docteur, etc.)- Harcèlement psychologique, relevant de la jalousie, sur la vie amoureuse de l’enfant (« C’est qui ton amoureux/se ? vous vous faites de bisous ? etc. etc. »)- Interdiction de la masturbation aux pré-adolescentes (10-11 ans chez les filles), et pré-adolescents (11-12 an chez les garçons)A cela, dans les familles conservatrices et réactionnaires (ceux qui tiennent les propos les plus durs contre la pédophilie), s’ajoutent les sévices sexuelles d’ordre moral et religieux :- Circoncision (conséquence gravisimme sur le plaisir sexuel à l’age adulte), excision- Culpabilisation de la sexualité et des sentiments des petites filles (péché, etc.)- Maintient volontaire dans l’ignorance des enfants vis à vis de tout ce qui concerne la sexualité (particulièrement grave concernant les règles)Il est donc du rôle de l’Éducation Nationale de protéger nos enfants, tous nos enfants, les de la République Française, laïque et scientifique.Il est du rôle de l’Eduction Nationale d’enseigner aux enfants, dès le plus jeune âge les fondamentaux de la sexualité et du plaisir sexuel, de leur rappeler qu’il n’y a rien de mal à prendre du plaisir avec leur corps, de leur rappeler qu’aucun adulte n’a le droit de les forcer à faire quoi que cela soit avec leur corps (toilettage et giffles compris).L’éducation plutôt que la répression.-
Il y a pire encore !
Il y a celles qui lavent la figure de leurs gosses avec leur salive et un mouchoir quand elles n’ont pas d’eau à côté...Beuark... -
tu dis ça en rigolant, mais en effet, il s’agit authentiquement d’une sévice sexuelle.
la pédophilie n’est de toute manière qu’un paravent pour cacher la réalité de la maltraitance des enfants.Il est très facile de déverser sa haine sur un homme qui à des gestes déplacés avec une gamine de 12 ans, il est beaucoup plus difficile de dire :
1. Forcer des hordes de gamins à se lever à 7h du mat relève de la maltraitance2. Forcer des gamins de 7ans à rester assis sans bouger et à écouter une frigide 7h par jour relève de la maltraitance3. Les claques, les gifles, les fessés (très sexe), relèvent de la maltraitance4. Les punitions humiliantes relèvent de la maltraitance5. Forcer des jeunes adolescents (10-11 ans pour les filles, 11-12 ans pour les garçons) à rester dans le milieu familial relève de la maltraitance.Le fond du problème, c’est que notre société est ultra-violente envers les enfants, et que la famille est un milieu pathogène pour les adolescents. -
Une des plus grande maltraitance c’est de laisser la femme porter un enfant. Rendez-vous compte de la souffrance que l’enfant subit lors de l’accouchement : l’étroitesse de passage vaginal est une pure torture. Et puis y a le cordon ombilical qu’on coupe sans état d’âme, le sein maternel qu’on fourgue dans la bouche alors qu’on vient de prendre son premier souffle, etc...
Isga, permettez-moi un petit conseil : consultez le plus rapidement un très bon spécialiste. Vos nombreux traumatismes vous gâchent apparemment la vie. -
’ Rendez-vous compte de la souffrance que l’enfant subit lors de l’accouchement : l’étroitesse de passage vaginal est une pure torture. Et puis y a le cordon ombilical qu’on coupe sans état d’âme, le sein maternel qu’on fourgue dans la bouche alors qu’on vient de prendre son premier souffle, etc...’
100% D’accord. Un jour où l’autre, il faudra en finir avec ce traumatisme natal qui est responsable d’une bonne part des problèmes psychiatriques de l’adulte (on vit sur une planète de dingue, vous n’avez pas remarqué ? ). L’Uterus artificielle sera la prochaine grande victoire de la Femme sur son corps, comme ont pu l’être l’avortement et la contraception.Il faut en finir définitivement avec le mythe de la Nature ’bien faite’.Pour revenir à la question de la pédophilie, vous illustrez bien mon propos :On parle de pédophilie (combien de cas par an ? ) pour ne pas avoir à parler des maltraitances généralisées envers les enfants. Ce sont les mêmes qui appellent à des sanctions physiques contre les pédophiles qui gifflent leurs enfants, ne se soucient guère de leurs 12h de sommeils, et les répriment sexuellement.Ah, comme j’aurais aimé naître dans 5000 ans... -
après lecture de vos commentaires, je vois que vous êtes un islamiste (ou un fondamentaliste chrétien, pas facile de faire la différence).
Bref, je suppose que vous faites partie de ceux qui expliquent à leurs enfants que la masturbation rend sourd et que le sexe c’est mal. Pour le coup : c’est de la maltraitance.Et bien sachez le : une petite fille de 10 ans (en moyenne) a besoin de se masturber régulièrement pour aller bien dans sa peau. -
« une petite fille de 10 ans (en moyenne) a besoin de se masturber régulièrement pour aller bien dans sa peau. »
Et moi qui pensais être « bien dans ma peau » , sans penser à ça, (pratique inimaginable à cet âge) lorsque j’avais dix ans. Ai consulté mes copines : nous sommes toutes anormales.
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C’est ce qu’on appelle la branlette intellectuelle ?
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’Ai consulté mes copines : nous sommes toutes anormales.’
et encore, vous avez échappées à l’éducation des années 50.mais oui, la masturbation fait partie des fonctions physiologiques essentielles chez les jeunes adultes.10 ans ça peut paraître jeune (faut dire que j’aime bien jouer les provos ), mais c’est l’age vers lequel les seins commencent à pousser. Bien sûr, chez certaines cela vient plus tard (14ans max, sinon -> docteur ). Mais l’idée est juste : une adolescente qui ne se masturbe pas aura des problèmes de développement personnel (en plus d’affreux boutons d’acné.). Il en va de même pour un adulte sans sexualité : il ne peut pas se sentir bien dans sa peau.En tout cas, la prohibition de la masturbation chez les jeunes adolescents est une sévice bien plus répandue que la pédophilie. -
kemilein 11 septembre 2012 19:32encore et toujours d’accord avec toi isga, devrait on se marier ? ha non zut ! nous revendiquons l’abolition de cette institution féodale patrimoniale qu’est le mariage :/
complément sur les traumatismes de l’accouchement
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9rick_Leboyer
ainsi devrait naitre tous les enfants « douceur » autant pour lui que pour sa mère (et on peut faire mieux, s’abstenir d’en faire)
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Constant danslayreur 11 septembre 2012 22:00"une adolescente qui ne se masturbe pas aura des problèmes de développement personnel (en plus d’affreux boutons d’acné.).«
Isga, je me demandais d’où pouvait bien venir l’acné des boutonneuses, maintenant je sais. être sourd ou pustuleux il faut choisir...
»la prohibition de la masturbation chez les jeunes adolescents est une sévice ..."Et vous pouvez me dire comment ils s’y prennent au juste pour sévir les sévisseurs ayant décidé de prohiber la masturbation chez leurs jeunes adolescents ? Micros et caméras de surveillance ou le bon vieux don d’ubiquité ?
C’est moi où mes Isga ne sont plus ce qu’ils étaient ?
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Bin oui, il y a un rapport entre acné et manque d’activité sexuelle : c’est vrai chez les adultes aussi. Si vous avez des boutons, allez au sexshop du coin, c plus efficace que le dermato.
Pour la prohibition de la masturbation, il y a plein de techniques :- Le sermon morale (le fameux : ça rend sourd, c’est mal, etc.)- Les parents qui rentre dans les chambres sans frapper- L’obligation de dormir avec le petit frère (enfin, des fois, ça dérape : demandez à devillier )- L’interdiction des douches ’trop longues’- Avant mai 68, dans les internats, les filles comme les garçons étaient obliger de s’endormir les mains au dessus des draps.etc. etc.En fait, dans les familles réactionnaires (catholiques, musulmans, etc.), tout est fait pour maintenir l’enfant puis l’adolescent le plus longtemps que possible dans l’ignorance concernant le sexe. Ils fournissent ainsi largement les pédophiles en petites filles écervelées qui vont découvrir grâce à eux le bouton magique....Quoi qu’il en soit, le manque de sommeil reste la maltraitance la plus courante contre les enfants. -
kemilein 12 septembre 2012 01:29je suis un enfant et je dors 12 heures par nuit :o
si vous saviez comme ca rend heureux de bien dormir !!! (de manger ce qu’on aime aussi, et se masturber... purée que la vie est jouissive quand on sait la prendre par le bon bout ;) ) -
Décidément, on se comprend.
Oui, les choses sont aussi simples que cela :
Pour un enfant de 11 ans, le bonheur c’est de dormir, de se masturber, de s’amuser.L’enfer, c’est de devoir se lever à 7h du mat pour passer 8h assis sur une chaise.Mais bon, les ’chevaliers blancs’ de la protection de l’enfance savent mieux que tout le monde ce qui est bon ou ce qui est mal pour les ados... -
Sinon nous on avait 36 15 ulla...
Ok je sors... -
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15 ans en France, c’est la majorité sexuelle (13 ans au Japon et en Espagne). Il a fallu fixer une limite, les législateurs issus des majorités que nous avons élus l’a établie pour notre pays et nous devons nous y conformer, pas de doute là-dessus. Mais bon, à 14 ans et 365 jours vous avez des problèmes et le lendemain plus aucun ... Perso, je préfère la loi de la nature, qui disait depuis des millénaire que poils pubiens + règles = femme . S’il y a consentement mutuelle et pas de relation d’autorité, bien sûr. La mère de Napoléon s’était marié à 14 ans, et elle n’a pas mis au monde que des abrutis !
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Il faut tenir compte de l’époque aussi. Au XVIIIè siècle, les femmes étaient mariées jeune car la mortalité infantile et féminine étaient telles qu’il fallait donner toutes les « chances » aux femmes d’avoir un ou deux enfants avant de caner.
Ne pas oublier non plus qu’à cette époque, les mariages d’amour sont rares. Le mariage est avant tout un acte social qui unit deux familles, non pas deux individus. Quand le père annonçait à sa fille de 16 ans qu’elle allait épouser son associé de 40 afin de pérenniser son entreprise et non pas le freluquet de 18 ans sur qui elle lorgnait (et qui de toute façon était juste un bouvier), elle n’avait pas son mot à dire ! Et si elle faisait mine de se rebeller, le père n’avait aucun scrupules à « organiser » un « accident » pour ledit bouvier. Un coup de sabot mal placé et hop. -
Source ?
En fait, les historiens s’accordent à dire qu’au 18e siècle le mariage est tardif : 27-28 ans pour les hommes, 25-26 ans pour les femmes. -
Romain Desbois 11 septembre 2012 17:22Déclaration universelle des droits de l’homme
Article 16 1. A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. -
Age nubile qui est fixé à 18 ans en France pour les deux sexes depuis 2006...
Mais qui pourrait bien être fixé à 13 ans ou à 21 ans compte tenu de la subjectivité de la société. Il y a d’ailleurs contradiction (à mon avis) entre fixer la majorité sexuelle à 15 ans et l’age nubile à 18. -
Romain Desbois 11 septembre 2012 20:24« Age nubile qui est fixé à 18 ans en France pour les deux sexes depuis 2006... »
nubile :
- Qui est en âge de se marier.
- Selon le Code Civil français, les filles et les garçons sont réputées nubiles à dix-huit ans.w
- Qui est en âge de procréer, pubère. (Wiktionnaire)
Et donc l’âge du mariage du code civil est en contradiction avec la charte des droits de l’homme que l’état français s’est engagé de respecter.
- Qui est en âge de se marier.
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D’après le Larousse, nubile vient du latin nubilis : « se marier ».
Le premiers sens de nubile serait donc « en âge de se marier ».La notion de puberté serait secondaire. -
Romain Desbois 11 septembre 2012 23:35oui on nage toujours entre deux eaux et chacun peut interpréter à loisir
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Constant danslayreur 11 septembre 2012 13:39Et les parents de l’enfant ? les trois petites singes pendant oh à peine, trois petites années ?
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Pour moi, les déviants ne sont pas ceux qu’on pense ...
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Constant danslayreur 11 septembre 2012 13:57Par tiloo87 (xxx.xxx.xxx.205) 5 septembre 16:57Par tiloo87 (xxx.xxx.xxx.205) 11 septembre 13:48
Pour moi, les déviants ne sont pas ceux qu’on pense ...
Tiloo87, bien vu d’une part les accords d’évian n’ont satisfait que très peu de monde et de l’autre, pédophiles comme trans devraient devenir la norme...
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C’est c’que j’dis : mélanger pédophiles et trans, ça, c’est déviant !
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Constant danslayreur 11 septembre 2012 20:39Un peu facile tiloo je n’associe rien du tout, mais le péremptoire ça vous connait n’est-ce pas.
Je vais quand même reprendre si vous permettez :
Article 1 : un Trans fait sa rentrée dans une école catho, vous vous en réjouissez publiquement il y a toujours une part de choix la dedans mais c’est un peu la raison d’être du participatif n’est-ce pas mais vous allez au-delà puisque vous … n’arrivez pas à comprendre que certains ne partagent pas ladite joie, oui c’est fou comme ceux d’en face sont toujours plus ou moins cons, et plus ou moins malintentionnés voire carrément malveillants
Article 2 : Il est question d’une PEDOPHILE et vous y allez de votre décret définitif attention roulement de tambours : Les déviants ne sont pas ceux qu’on croit. Tain, c’est d’un profond...
Alors comme vous n’êtes pas du genre bavard se donnant cette peine de développer ses points de vue, il est pour le moins difficile de saisir toutes les nuances que vous avez sûrement voulu mettre dans ledit décret.
ça tombe bien les nuances ce n’est pas mon truc et encore moins quand on s’en prend à l’innocence.
Bref de votre propre et seule plume, la pédo n’est pas la déviante qu’on croit qui vient s’ajouter à youpee vive la Trans
Alors comment dire, l’inversion des pôles vous connaissez ? Pareil, il suffit de dire non partout où l’immense majorité des bipèdes dira oui et vice très vicieux versa
Je vous le fais simplement remarquer et alors tombe la sentence, c’est moi et non pas vous qui aurais associé pédophilie et trans ce qui renvoie dans le cas de trois subconscients sur quatre à bouuuuh le vilain homophobe confondant volontiers homosexuels et pédophiles, voyez-vous ça...
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S’il n’y a pas de victime, il n’y a pas crime. Ce qui n’est pas un crime est, au pire, un vice. Les vices qui n’engendrent pas de victimes n’ont pas à être punis. C’est une condition de la propriété de soi.
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Constant danslayreur 11 septembre 2012 14:02Mouais, cela dit et tant qu’il n’aura pas atteint la majorité mon enfant n’en déplaise à sa « propriété de soi » devra renoncer à la jouissance de ne se nourrir exclusivement qu’avec du Nutela, pourtant qu’est-ce que c’est bon le Nutela.
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Donc, pour revenir au précédent sujet de cet auteur, si aucun des circoncis durant leur enfance, ne s’estime mutilé ni victime du choix de ses parents. Il ne s’agit en aucun d’une mutilation, ni d’un crime... ????
Non parce qu’il y a quelquejours certains semblaient affirmer le contraire... -
« S’il n’y a pas de victime, il n’y a pas crime. Ce qui n’est pas un crime est, au pire, un vice. Les vices qui n’engendrent pas de victimes n’ont pas à être punis. C’est une condition de la propriété de soi. »
Tu tiendras le même discours quand tu surprendras ton voisin de 40 ans sur ta fille de 13 ? -
Rhaa mais faut arrêter de vouloir tout mettre dans le même sac. Le voisin de 40 ans qui chope la gamine dans le jardin pour la lui mettre bien profond, bien sûr qu’il mériterait quelques bons coups de pioche dans la tête par le père.
Peut-on bien vouloir admettre que la situation puisse être un tantinet différente s’il s’agit d’un adulte et d’un enfant très proche et très câlin l’un envers l’autre jusqu’à aller chatouiller le zibuibui de l’enfant ? Quand bien même il s’agirait du père tiens. Idem pour un prêtre.Ce n’est pas non plus à encourager puisqu’en général les enfants ne manifestent pas plus que ça l’envie de partager des relations sexuelles avec des adultes. Je voudrais simplement relativiser les choses... -
Champagne : je suis d’accord avec le Péripate !!!
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« Tu tiendras le même discours quand tu surprendras ton voisin de 40 ans sur ta fille de 13 ? »
La question a été posé plusieurs fois à Al Batar et il refuse de répondre.J’ai un autre question pour lui... Si la femme avait introduit son doigt dans le derrière de l’enfant (même si celui ci est consentant), est ce de la pédophilie ? -
kemilein 11 septembre 2012 20:25pénétration dans le corps de tout objet ayant une fonction phallique réelle ou symbolique sur une personne non consentante (et on ne reconnait pas le consentement sexuel en dessous de 15 ans, 18 s’il y a autorité) est considéré comme un viol.
une femme qui vous attache a une chaise et se pénètre de vous ne vous aura pas violé, pour ce faire elle aurait du vous introduire dans la bouche ou dans l’anus un symbole, tout au moins, phallique.
la qualification de viole est... vieillotte, mais la loi est ainsi faite. pas de pénétration > pas de viole.
un prête (pour faire genre de partager une référence culturelle avec vous) qui astique la nouille d’un garçonnet sera reconnu coupable d’attouchement sexuel, pas de viole. -
Romain Desbois 11 septembre 2012 20:48Black
Déjà posée plus haut du même accabit.
Bien que pas fonctionnaire King commente de son boulot ( une banque je crois). Donc on ne devrait pas avoir de réponse ce soir non plus.
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Oui c’est dégueulasse ces histoires.
Je m’interrogeais , peut-être condamne t-on un homme plus facilement car il risque de mettre une gamine en cloque , alors que si un gamin met une femme adulte enceinte il ne sera pas « responsable » mais plutôt elle le sera .Mais ça ne tient pas dés lors qu’on étend ces relations pédophiles à des relations également homosexuelles ou il n’y a pas de risque de grossesse.
Honnêtement je me demande si c’est la vision de la « femme mère toute tendresse » qui nous aveugle ou bien plutôt la vision « du petit veinard »...Et si ce n’est pas une incompréhension à plusieurs niveaux...Parce que ça que , bon , à la place d’un juge , on sait bien que dans l’ensemble les garçons ne pensent qu’à ça , à cet âge là surtout , que ça lui pose pas vraiment de problème , pas cette impression d’être souillé sexuellement , que oui on rêve plus de ce genre de relation que l’on ne la craint et tout ( on a tous été comme ça , inutile de le nier )... Et que donc on va pas en faire tout un plat même si l’égalité et la justice l’exigeraient .Tout ça mais en condamnant un petit peu , sinon ce serait simplement comme dire un grand oui à la pédophilie et ça on peut pas non plus le permettre . On donnerait seulement un sermon à la dame que ce serait pareil .Alors , on fait quoi ? On alourdie la peine des femmes ou bien on allège celle des hommes ?Sexisme il y a , c’est indéniable , mais c’est aussi un sujet tabou . Plutôt passer pour sexiste que de parler des tabous , à mon avis c’est comme ça que l’on pense . Et le sexisme anti-mec rend la chose plus facile mais n’est pas la première cause de cette discrimination en justice , elle n’en est que la seconde .
On punit moins la femme car c’est considéré comme moins grave mais ils ne veulent et ne peuvent pas l’avouer.C’est le problème quand on part d’une idée reçue (moins grave pour un garçon) et qu’on ne peut pas aller vérifier au cas par cas si le gamin appréciait ou pas sous peine de passer pour immoral et de laisser sous-entendre qu’il y aurait un moyen , sur le long terme , de dépénaliser la chose.-
’Parce que ça que , bon , à la place d’un juge , on sait bien que dans l’ensemble les garçons ne pensent qu’à ça , à cet âge là surtout , que ça lui pose pas vraiment de problème , ’
Idem chez les filles, et à partir d’un age plus jeune.’Alors , on fait quoi ? On alourdie la peine des femmes ou bien on allège celle des hommes ? ’On se concentre sur les vraies sévices dont les enfants sont victimes. Exemple :On passe une loi pour qualifier d’abus psychologique grave le fait d’empêcher un enfant d’avoir ses 12h de sommeil.Là, ça concerne 80% des gamins, et ça à des conséquences psychiques bien plus graves que de se faire chatouiller le zigouigoui. -
kemilein 11 septembre 2012 20:35la pédophilie pose un problème sérieux, faut pas le traiter par dessus la jambe avec désinvolture. il en va de même avec l’inceste (et aller regarder la définition du mot avant d’en parler)
la question n’est pas de savoir que des mômes se touchent seuls ou entre eux, c’est l’intervention d’un « adulte » (c’est a dire d’un enfant âgé de plus de 18 ans) qui a de fait une forme d’autorité sur les mineurs et que donc on ne peut jamais avec certitude savoir si la relation est consentie (ce qu’on ne reconnait pas pour les mineurs de moins de 15 ans) ou forcée.donc afin de protéger l’enfant, on l’interdit.
moi ce qui m’intéresse est ce qui se prépare, quand nous aurons fabriqué des poupées-robots-sexuelles-juvéniles ... dans un premier temps on les interdira, parce que pour la forme la peur de l’inconnu... mais ensuite ?
foutre une poupée ca fait de mal a personne et c’est pas un pousse au crime, possible même que ce soit une catharsis effective et non simulée... moi ça ça m’intéresse !! (le débat, les arguments je parle)
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Il faut ajouter à ça une chose plus grave : cette femme, avant son procès, a elle été mise en prison préventive, comme ça arrive quasi systématiquement pour les hommes victimes de telles accusation, même ceux qui sont innocents ?
Car c’est là la pire des horreurs qui soit dans notre système judiciaire : pour faire la guerre aux pédophiles, on traite de manière ignoble toute mâle accusé de la chose, quel que soit les preuves ou les indices. On les enferme dans un enfer qu’ils n’ont parfois jamais mérité. On les détruit pendant une garde à vue traumatisante, des psychologue spécialisé en « idée reçu » justifie leur culpabilité en utilisant tout et n’importe quoi, l’important n’étant pas d’essayer de trouver la vérité (ils n’en sont pas capable, la psychologie n’est pas une science).
Les hommes vivent avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête, tout les jours, car nul n’est à l’abri de ces accusations. Si nous seuls sommes victimes de cette horreur, qui peut détruire définitivement nos vie, alors cette société est gravement misandre. Je la croyais simplement de plus en plus du coté de l’accusateur que de celui de l’accusé (même si j’ai l’espoir que la gauche corrige ce tir comme elle l’a déjà fait), mais apparemment, il s’agit d’une discrimination grave. Bien plus que cette « inégalité des salaires » dont on nous parle et qui est assez difficile à prouver pour cause de situation variées (notamment parce que des personnes à un même poste ne sont pas forcément de compétence ou d’implication égales)
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Cela rappelle étrangement le tourisme sexuel qui ne concerne que les hommes ....Les femmes sont en recherche affective et ne pratiquent en aucun cas le tourisme sexuel...Douce hypocrisie féministe de croire que les femmes ne sont que des victimes.
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Romain Desbois 11 septembre 2012 17:29Le phénomène des femmes cougouars se développe. Les femmes s’émancipent.
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Votre nouvel avatar, Romain, c’est une main qui fait un doigt ?
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Romain Desbois 11 septembre 2012 17:59non non c’est le vrai visage du champignon nucléaire
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Mon pauvre Romain, les femmes cougars n’ont rien à voir là-dedans, se taper un petit jeune de 30 ans quand on en a 50, ne fait de mal à personne. Après tout quand un mari ne peut honorer sa femme, ça n’a rien de criminel d’aller du plaisir ailleurs mais une prof qui lève un gamin de 12 ou 16 ans, c’est grave. Elle renie ses valeurs professionnelles, la confiance des parents et son devoir absolu de veiller aux intérêts de l’enfant.
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Romain Desbois 11 septembre 2012 18:27Faut arrêter de parler sans savoir.
Les allemandes de 50 balais qui vont se taper des mecs gitons en Afrique ou aux Caraïbes c’est quoi ? Certains sont mineurs mais je ne parlais pas du cas lié à l’article.
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Il est toujours rassurant de savoir que l’on peut confier son enfant à une détraquée. Quoiqu’en disent certains avec le recul qu’un gosse apprécie se faire dépuceler par sa prof, quand on sait les ravages que créeent les suites judiciaires entre autres, cela laisse rêveur.
Ces femmes sont des névrosées insatisfaites et méritent d’être punies au même titre que leurs homologues masculins, on ne touche pas à un enfant.-
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Bon, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer,je suis vraiment désolée.Je quitte ce fil qui me tourneboule.-
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dernière intervention : Romain, désolée d’avoir vu autre chose que le champignon nucléaire ..
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Romain Desbois 11 septembre 2012 19:32non non C’est un avatar à multiple messages subliminaux.
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Effectivement, et pourquoi pas ?
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@ Hommelibre
Je pense que le jugement que l’on pourrait qualifier de relativement clément dont a bénéficié cette enseignante tient à deux choses1°) Un contexte culturel typiquement français.Je me souviens d’avoir vu un film, dont je ne me rappelle plus le titre, qui semblait très bien documenté, et qui était consacré à l’enfance de Louis XIV. Dans un passage étonnant de ce film, un des responsables du futur roi découvrait qu’à l’âge de 9 ou 10 ans , il avait « fait une carte de France » dans les draps de son lit.Immédiatement était désignée une femme de la noblesse, d’une trentaine d’années ( borgne dans le film ) chargée de faire l’éducation sentimentale du roi ( i.e. de le dépuceler ) ce qui fut fait séance tenante ! La noble femme prenait sa mission très au sérieux et le jeune roi semblait ( dans le film ) n’y trouver que des avantages. Apparemment , ça ne l’avait pas traumatisé outre-mesure si l’on en juge par la grandeur de son règne !A supposer que la loi salique n’ait pas existé à l’époque, et donc que les femmes aient eu la possibilité de régner, je doute fort que l’on eut proposé un noble initiateur masculin à une future reine de 10 ans montrant une précocité de tempérament...2°) La loi française actuelle distingue les viols ( avec pénétration et violence ) des agressions sexuelles ( avec violence, mais sans pénétration ) et les atteintes sexuelles ( sans pénétration ni violence )Les viols ( qui sont classés en crimes )sont jugés en cours d’Assises, alors que les atteintes sexuelles ( qui ne sont que des délits ) sont jugées en correctionnelle,Pour des raisons aisément compréhensibles, une femme peut difficilement se rendre coupable de viol, en général il s’agit simplement d’agressions ou plus souvent d’atteintes sexuelles.D’où un verdict bien plus clément ...-
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Pour une fois, Homme Libre, nous sommes entièrement d’accords. Qui eut cru que cela soit possible ? Vous voyez, je ne suis pas qu’une chienne de féministe enragée.
Ces cas de viols sur mineurs (systématiquement requalifiés en agressions) sont particulièrement difficile pour les jeunes garçons qui les subissent car à l’amie-de-maman ou la prof séduisante s’ajoute le mythe de l’initiatrice : en résultent honte, culpabilité, incompréhension, sentiment de réification, etc. (sentiments partagés par toutes les victimes de viol). De manière générale, la violence sexuelle est plus résiliente si elle s’est produite avec violence, parce que les victimes s’identifient plus facilement comme telles. Dans le cas présent, quel ressenti pour le jeune garçon ?Pourtant la loi est claire : elle dispose qu’il n’y a pas de consentement sexuel avant l’âge de 15 ans. Cette enseignante aurait dû se prendre dix ans de taule car en plus de viol (pour moi il s’agit bien d’un viol), il y a des circonstances aggravantes, ici personne abusant de l’autorité que lui procure sa fonction.Il faut rappeler que la qualification viol n’est pas fonction du plaisir ou déplaisir ressenti mais du consentement, et qu’il n’y a aucun consentement valide avant l’âge de quinze ans (maturité sexuelle).Pour protéger les hommes et les garçons des violences sexuelles féminines, il faudrait élargir le concept de viol à celui d : « utilisation abusive du corps d’autrui, sans son consentement, dans le but d’en obtenir une satisfaction personnelle ».-
Et ça l’avance à quoi, ce petit con, d’avoir porté plainte ? Qui a fait cessé la relation, lui ou elle qui n’en voulait plus ?
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Constant danslayreur 11 septembre 2012 21:17Et d’après vous ?
Il découvre carrément la sexualité en même temps que son corps à lui avec cette femme, cette relation devient son quotidien pendant trois ans mais une fois les 15 ans atteints il finit par « comprendre l’enjeu et l’arnaque » et il est tellement sûr de lui qu’un beau matin il va porter plainte ? ça n’a strictement aucun sens.
Et c’est très probablement un adulte qui aura porté plainte ou à minima alerté les services censés protéger les mineurs.
Et du coup comme dirait tiloo, le petit con n’est pas forcément celui qu’on croit, il serait plutôt à chercher du côté de ceux qui se plaisent à insulter une victime immature devant la loi, d’un crime de pédophilie.
Et les femmes violées ? des salopes provocatrices qui ne demandaient que ça peut-être ou alors juste des connes aussi, précisément le jour où elles mêmes ou un de leurs proches va porter plainte.
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Double détail qui m’a échappé et que j’ai vu en cliquant sur les liens : la prof travaillait dans un institut catholique en Vendée...
Je veux pas dire, mais je crois qu’ils le font exprès quand même...Autre chose : la relation a commencé alors que le gamin était au CM2...Ce qui rend la chose encore plus nauséeuse je trouve.-
Romain Desbois 11 septembre 2012 23:45Donc l’auteur a vu juste, à voir le ton apaisé des débats.
Une pédophile , c’est moins grave qu’un pédophile.
Ca me laisse un certain malaise .
Et j’imagine pourtant le record de commentaires outrés et haineux s’il s’était agit de relations pédophiles homosexuelles.
Au fait personne ne s’est demandé si parmi ces prêtres accusés de pédophilie, il n’y avait pas une histoire d’amour ?
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Chris De Bône 11 septembre 2012 23:45-
Qu’un ministre de la culture (Mitterrand) parle et écrive dans son livre du plaisir qu’il a avec des enfants et de ses voyages en Asie pour satisfaire ses besoins alors il passe à la télé. Le bon peuple lit et écoute avec intérêt les « aventures » sexuelles d’un nanti et la justice fait la sourde d’oreille.
Deux questions simples, que dirait-on s’il était enseignant ? Que dirait-on si les enfants en question vivaient en France ?Pour le reste je reconnais qu’en matière de sexe les hommes s’infligent entre eux une justice souvent cruelle et qu’ils portent un regard ’compatissant’ quand il s’agit des femmes. Est-ce la preuve d’un machisme rétrograde ou plus simplement la preuve qu’ils nient la perversité féminine pour peut-être espérer en être ’victime’. Le fantasme d’être « violé » induirait alors des comportements différents selon les justiciables et une discrimination pour le moins malhonnête.-
Romain Desbois 12 septembre 2012 04:29Sauf qu’il a écrit « de jeunes hommes » .
Je l’ai lu son livre et je trouve dommage de perpétuer des rumeurs salaces.
Par contre Gérard Manset dans le « Royaume de Siam » parle lui et le revendique de gamine de 10 ans.
Serge Lama dans un de ses poèmes lu à la télé, est une ode à la pédophilie homosexuelle prépubère.. Signalé au CSA et aux assoc. de protection de l’enfance, silence radio.
non de toutes façons c’est toujours la même , mieux vaut être riche et connu, en justice comme ailleurs.
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oubliez pas de rajouter le Protagoras de Platon aussi...
[309b] : SOCRATE.Qu’est-ce que cela fait ? Tu n’approuves donc pas ce que dit Homère, que l’âge le plus agréable est celui où l’on commence à avoir de la barbe ; c’est justement l’âge d’Alcibiade.Si on commence à interdire tous les auteurs pédérastes et pédophiles, on n’a pas fini.Faudra commencer par interdire 90% des livres pour la jeunesse (Alice au pays des Merveilles et Peter Pan en tête)... -
Romain Desbois 12 septembre 2012 20:30isga
Vous posez une vraie question.
Est-ce que l’art permet tout ? est-ce que l’artiste peut tout se permettre ?
(Manset c’est une autobiographie)C’est vrai que l’on peut montrer des corps nus à des enfants tant que ce sont des œuvres d’art (peinture , sculpture, etc...) mais l’on est choqué si ces corps nus sont réels.
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Il y en a ici qui confondent la nudité avec la pédophilie et j’en suis navrée pour eux. Du coup ils ne voient même plus ceux (les auteurs) qui revendiquent les actes pédophiles à ceux qui revendiquent la ’beauté’ d’un corps nu. Il n’est pas question d’interdire les pensées artistiques et les phantasmes il est simplement question d’interdire les passages à l’acte et c’est bien différent. A croire que l’intelligence manque à quelques intervenants ici sauf si les amalgames sont volontaires et donc tout à fait insupportables. G Manset est un artiste Mitterrand n’en est pas un. Point à la ligne !
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Quelque chose doit m’échapper : je ne trouve rien de tel dans Royaume de Siam de Manset.. Peut-on m’éclairer ?
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Romain Desbois 13 septembre 2012 08:25Mortelune
Donc Manset (dont j’apprécie l’oeuvre) a le droit de se taper des gamines de10 ans sous prétexte que c’est un artiste ?
Et c’est nous qui sommes bizarre.
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Romain Desbois 13 septembre 2012 08:26Homme libre
Je parle du livre bien sur.
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Ah, je ne l’ai pas lu.
Ces histoires ne sont pas nouvelles. Chez les grecs c’était bien vu d’avoir une relation intime avec un jeune ado. Mais en général on ne parle que des comportements masculins. Pourtant les initiatrices existent. La mienne avait 34 ans. Mais j’en avais 17 ! Elle prenait les choses en main, si j’ose dire. C’était sympa - enfin c’était fait !!!
Mais pas mémorable. Et j’ai plus vu une femme qui remplissait son désir qu’une rencontre de deux êtres. Je ne lui jette pas la pierre. J’étais consentant. En plus elle jouait du piano et habitait un loft qui donnait sur une belle vue. Pas de regrets.
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Romain Desbois 13 septembre 2012 10:30Oui un bon souvenir et c’est tant mieux.
La première fois , c’est comme le premier amour, c’est important.
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Bien sur que si les genres sexuelles étaient inversés les réactions aussi bien médiatique que judiciaire seraient différentes.
Et biensur que le système judiciaire est aveugle et bête en mettant 6 mois de sursis soit rien du tout à une femme pédophiles.-
Paul Eluard, c’est pas une référence.
Cet abruti qui a écrit oser écrire « ode a Staline » en hommage à la négation de la liberté.
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