FN : Quand Nicolas Bay dézinguait Marine Le Pen

@Garance

Elliot n’en peu plus de degueuler sur tous ceux qui ne pensent pas comme lui, faisant par la même la démonstration de son immense tolérance humaniste... 

Elliot, si ça ne va pas dans les semaines et les mois qui viennent, il vous reste la boisson éventuellement pour faire passer la pilule... ? Je crois savoir que votre mentor Mélenchon en était grand amateur après la déculotté en 2002 du social-démocrate et plus grand privatiseur de la Veme République, Jospin ! 

@Onecinikiou

J’aimerais bien partager des valeurs humanistes mais quand elles sont introuvables comme au FN accordez-moi que c’est tâche impossible.

 « discours « antifasciste » suranné »

Vous avez bien fait de mettre " antifasciste " entre guillemets car je n’ai effectivement jamais fait l’honneur au FN de le placer en cohérence avec une doctrine que je réprouve, certes, mais qui est une construction intellectuelle.
Le fait même de parler de construction intellectuelle pour le FN est un contresens absolu. 

Le catalogue qui sert de programme au FN est une innommable bouillie et c’est d’ailleurs ce qui fait son succès ; on y trouve tout et son contraire, ce qui importe d’ailleurs peu au frontiste de base du moment qu’on lui donne et redonne le sucre d’orge qui nourrit sa soif de haine.

@Elliot

@Fifi Brind_acier

Hola ! Ce n’est pas parce que l’on va piquer quelques idées à gauche et à droite, qu’on s’inspire de Sapir en travestissant sa pensée et que l’on donne un os à ronger à tous les laissés pour compte qu’on obtient un programme élaboré.

Dans votre exemple, tout se tient mais rien ne colle à la réalité.

En supposant que les Français dans un moment d’égarement comme ils en eurent quelques uns dans l’histoire lui permissent d’accéder au pouvoir, comment donc la France pourrait-elle s’abstraire de sa réalité intérieure et de son environnement  : la guerre civile larvée dans ses frontières et la guerre commerciale au-dehors ?

Un vrai programme consisterait à explorer les voies et moyens de ses ambitions et là on reste dans le domaine du non-dit : ce qui permet toutes les interprétations y compris les plus nauséeuses.

Je vous concède que du côté des autres partis la situation n’est guère plus brillante et qu’on voit mal Nicolas Sarkozy ou un autre bouffon pourtant fort tentés de reprendre certains thèmes du FN les mettre en oeuvre.

On en est toujours à attendre la définition frontiste de l’islamisme radical ( disons que selon les auditoires elle couvre un spectre suffisamment large pour même nourrir les rancoeurs de voisinage ).
Quant à la laïcité à la sauce frontiste, elle n’a plus rien à voir avec les lois de 1905 : il est vrai qu’elles furent promulguées par la « gueuse » avec laquelle Marion Maréchal ne se sent guère d’affinités : ce qui est au demeurant son droit et témoigne d’une belle franchise dans le discours.

Le programme du FN n’est rien moins qu’une ébauche de purification ethnique sur le plan national et un catalogue de « y a ka » sur le plan économique qui oublie l’impossibilité pour la France - sans matières premières - de vivre en autarcie ; elle devrait donc ressusciter pour survivre une aventure coloniale dont elle n’a plus les moyens et qui au demeurant réenclencherait le cycle de cette immigration que le FN combat pathétiquement et qui est depuis quarante ans son pain quotidien.
 

@Onecinikiou

Prenons donc un exemple qui vous est cher - j’allais écrire qui vous obsède mais je me suis retenu - l’immigration.
Chacun sait que le BTP fonctionne avec de très importants contingents d’immigrés ( légaux ou sans papiers ) et celui qui ne le sait pas n’a qu’à lever les yeux dans les chantiers.

On imagine bien que ce n’est pas par grandeur d’âme mais dans le cadre de ce qui est le premier commandement du catéchisme patronal : la compétitivité.

Ces travailleurs ont peu d’exigences, acceptent des conditions de travail souvent indignes  et permettent donc au entreprises qui les occupent de s’adapter aux exigences financières toujours moins généreuses des particuliers et des collectivités.

Je serai donc d’accord avec vous pour déplorer que l’immigration tire les salaires vers le bas.

Le problème est que, dans le cadre européen auquel nous adhérons, les entreprises ou les particuliers des pays de l’UE ont le droit de proposer leurs services dans tout l’espace européen.

En Alsace que je connais bien on voit souvent des des camionnettes immatriculées en Roumanie ou en Pologne sur les chantiers de particuliers.

Les entreprises sont donc soumises de facto à la concurrence déloyale et le seul moyen de faire face et d’obtenir des contrats que le patriotisme n’assure malheureusement pas ( même au FN qui importe ses T-shirts de Chine ) consiste à comprimer les coûts du travail par des artifices comme l’occupation de main d’oeuvre non déclarée.

Au vu et au su de tout le monde y compris des collectivités territoriales qui sont soumises à un contexte de diète budgétaire et qui ferment les yeux pour assurer au coût le plus serré leurs missions d’équipements ou même la maintenance d’iceux.

Alors on peut en théorie payer le prix de la préférence nationale ( et même celui qui exclurait de chantier les Français de papier, délicieux concept frontiste qui annonce les déchéances de nationalité ) et répercuter cet accès de nationalisme sur le dos de la population consentante ? mais il faut aussi s’abstraire du contexte européen.

C’est une option mais si le cadre européen est lourd d’inconvénients, il faut aussi mesurer les avantages d’un grand marché et surtout l’impact de leur perte.

Admettons que la somme des inconvénients ( y compris l’Euro qui passe à la trappe ) excède celle des avantages et nous nous libérons de nos accords qui sont donc en fait des chaînes nous empêchant d’exprimer toute l’étendue de notre génie.

Il est aussi une réalité dont on peut difficilement s’affranchir, c’est notre position géographique - enclavée dans l’UE mais isolée économiquement, sans matières premières et devant s’adapter sans compensations ni point d’appui aux règles féroces de la concurrence mondiale, bref contrainte à l’autarcie ou à recréer un espace à sa dévotion avec l’autre rive de la Méditerranée dont on pourchasse les ressortissants sur le sol intérieur.

Compliqué !

@Elliot
Si je comprends bien, et a contrario de çe que vous souteniez auparavant, vous venez d’expliquer que le programme du Front était cohérent mais difficile à mettre en œuvre !

Désolé pour les nombreuses fautes, j’écris vite et je ne me relis pas...

@Onecinikiou

@Elliot

Pour ce qui serait d’un FN reagano-thatchérien, je connais parfaitement cette antienne généralement ressassée par ceux qui ne comprennent pas ou mésestiment les rapports de force idéologique d’alors, en pleine guerre froide, qui font fie de manière commode à leur démonstration de l’anti-communisme viscéral qui animait alors un Jean-Marie Le Pen, à juste titre selon moi.

Nous allons donc nous attacher à déconstruire cette vulgate, selon laquelle le Front eût jamais été un parti ultra-libéral, et qui est en réalité une mystification. Une anecdote d’abord : j’ai encore souvenir d’un Jean-Marie Le Pen ridiculisant un J.F. Kahn à L’heure de vérité - dévoilant surtout les contradictions fondamentales de la bien pensance de gauche pseudo-humaniste, elle authentiquement néolibérale - sur la question des emplois les moins qualifiés qui seraient fatalement destinés, selon JFK, aux immigrés importés de fraîche date. Un couplet auquel vous semblez vous être converti vous aussi...

Cette idée selon laquelle les Français ne voudraient pas remplir des postes sous prétexte de leur dureté est en fait un argument fallacieux et servant comme à l’accoutumée, chez nos idiots utiles, extraordinairement les vues du grand patronat. Alors que justement, selon la loi bien comprise de l’offre et de la demande, une hausse des salaires aurait provoqué mécaniquement à l’époque (mais également aujourd’hui, si cette politique était mise en œuvre) une augmentation de la demande interne, sans nécessité de recourir à une immigration importée. Inversement, une augmentation d’une demande importée de l’extérieur (nombre de travailleurs), à offre constante (offre d’emploi) voire diminuante en période de chômage endémique, augmente nécessairement le chômage... et comprime par conséquent les salaires. CQFD.

Sauf à faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, vous m’accorderez donc que, même dès 1984, JMLP qui était (conformément à son corps de doctrine, voyez le renversement de perspective) vent debout contre la doxa dominante sans-frontièriste, et non moins paradoxalement contre le « There Is No Alternative » d’accent très reagano-Thatchérien que lui opposait alors le journaliste de « gauche » JFK (quelques années auparavant, Marchais, sincère défenseurs des travailleurs français lui, appelait ni plus ni moins qu’à fermer les frontières et stopper l’immigration légale et illégale), JMLP donc ne se caractérisait pas par un ultra-libéralisme révolutionnaire !

En tout état de cause, il est indubitable que macro-économiquement, les éléments programmatiques qui émaillent le projet du Front national sont bien MOINS teintés de libéralisme que ceux qui parsèment celui du Front de gauche.

Le corpus idéologique libéral est pourtant très clair : libre-circulation des capitaux, des marchandises et... des travailleurs, au vue de servir de variable d’ajustement pour le Capital (armée de réserve d’un point de vue marxiste, mais il est vrai qu’il n’y a plus beaucoup de marxistes à gauche, c’est pour cela qu’il est fort aisé de les doubler sur la leur) par un processus de délocalisation importée. Or le FdG de Mélenchon est idéologiquement contre le fait d’envisager mettre des barrières, quelles qu’elles soient, à l’immigration de travail/peuplement/substitution.

Et vous aurez un mal infini pour contrer cet argument, vous m’en voyez désolé.

Je m’inscris ainsi totalement en faux sur la question du libéralisme prétendument « génétique » du Front national puisque un certain nombres des mesures que le FN préconise depuis toujours, foulent au pied les préceptes libéraux les plus dogmatiques et les plus inscrits dans l’idéologie dominante actuellement à l’oeuvre, notamment au sein des institutions européennes qui, pour le coup, sont indiscutablement et majoritairement soumises à cette doctrine.

Je donnerai quelques exemples pour motiver cette assertion :

1/ Le fait de vouloir réinstaurer des taxes douanières aux frontières et entraver ainsi le libre-échange mondial entre sphères économiques absolument hétérogènes (production, social, environnement, redistribution etc...), rentre dans le cadre d’une remise en cause radicale de cette idéologie. C’est sans doute, avec la question de l’Euro, le point plus important de son programme, le point cardinal de par sa cohérence interne, et celui qui le légitime le plus aux yeux de nombre de nos concitoyens qui ont à souffrir des ravages de cette mondialisation sauvage.

2/ La réappropriation de l’outil régalien de création monétaire (en revenant sur la loi scélérate Pompidou-Giscard de 1973), ce qui suppose de remettre en cause le principe d’indépendance de la Banque de France - et non de la BCE, j’aurais l’occasion de m’expliquer sur l’importance de cette nuance si vous le souhaitez - est là encore le signe indéniable d’une volonté de sortir de l’idéologie libérale tel que promue par l’école monétariste.

3/ La sortie de l’Euro qui est envisagée participe également de cette remise en cause dans la mesure où la monnaie unique est l’un des instruments de domination de l’idéologie libérale qui infuse toute les strates de l’Union Européenne et de ses institutions (Commission, parlement, CEDH, etc...). C’est bien la raison pour laquelle les oligarchies bancaires et financières au sein des différents Etats-membres de l’eurozone feront tout ce qui est en leur pouvoir pour sauver leur merveille, puisqu’elle leur assure de confortables revenus et subsides (notamment à travers le financement odieux des dettes publiques), tout comme elle garantit que l’outil monétaire ne soit jamais plus sous contrôle souverain du peuple.

4/ La sortie de l’espace Schengen quant à elle symbolise la réappropriation non pas seulement des frontières, mais comme je le disais précédemment de l’idée même de frontière, abandonnée par tous les gouvernements successifs de la France depuis l’éviction du Général. Il est incontestable que la volonté marquée de Marine le Pen de limiter drastiquement les flux migratoires va de pair avec cette réappropriation, et transgresse là encore de manière irréfutable l’idéologie néolibérale qui, partagée il est vrai à gauche par l’ « internationalisme des imbéciles » (Sapir), théorise une totale liberté d’établissement des individus.

Mais pour cela encore faut-il comprendre, cher Elliot, que l’immigration n’est pas un stigmate qui nous tombe du ciel mais fut bel et bien - et est plus que jamais - l’allié objectif de la mondialisation économique et du discours néolibéral, o combien légitimateur, qui l’accompagna. Par exemple, posez-vous la question : pourquoi diable les caciques du Medef (mais il en est de même en Allemagne ou en Suisse) sont vent debout dès que l’on aborde la question d’une éventuelle régulation des flux migratoires ? Poser la question c’est y répondre.

C’est une stratégie savamment mise en oeuvre afin d’en faire le parfait complément, à l’intérieur des « frontières » des nations occidentales (qui de fait n’existent plus, merci qui ?) du dumping économique, fiscal et social opéré à l’exterieur de celles-ci par les pays émergents à bas coûts. Le salariat occidental se retrouvant ainsi pris entre deux feux simultanés, entre le marteau et l’enclume. Avec pour fameux résultats une dépression incontestable de la masse salariale, un chômage structurel, une dépolitisation de la classe ouvrière (laquelle je ne crois pas qu’elle sert les intérêts du prolétariat), et une baisse de la pression aux revendications sociales qui leurs est concomitant. Et qui là encore, est incontestable. En somme, du pain béni pour le grand actionnariat et ses affidés.

Sur les incohérences criantes du programme du FdG, il y a pléthore. Car après avoir brillamment déconstruit l’escroquerie intellectuelle qui consiste à faire du Front National allié du libéralisme (alors qu’il en fut un adversaire objectif depuis l’origine), nous allons nous attacher maintenant à pointer libéralisme-libertaire consubstantiel à la pensée trotsko-melanchonnesque !

En effet, l’internationalisme que cette pensée sous-tend est incompatible de facto avec la défense des intérêts les plus immédiats du prolétariat français. D’où précisémment l’incapacité insurmontable de Mélenchon et de ses alter ego à introduire (réintroduire plus exactement) l’idée de protectionnisme aux frontières. Double incompatibilité d’ailleurs car :

1/ La simple notion de frontières géographiques est insupportable aux oreilles de nos trotskistes d’opérette, faire valoir de l’oligarchie apatride et prédatrice, puisqu’elle discrimine de facto entre les autochtones et les allochtones, entre les nationaux et les étrangers, entre les usufruitiers et les invités de bonne grâce. Alors que selon nos éminents théoriciens, dans cette perspective désincarnée discriminer est interdit, nous sommes bien évidemment tous frères, et en nécessaire communion..., réductibles à ce seul critère unidimensionnel qu’est la condition sociale, et absolument pas influencés par les idéologies diverses, non plus d’ailleurs que par nos sentiments d’appartenance religieux, nationaux, ethniques, tribaux, géopolitiques etc...

2/ Pourquoi en effet vouloir réguler les effets de la mondialisation des échanges, fussent-ils objectivement désastreux pour les salariats occidentaux, alors qu’elle profite tant aux prolétariats des pays émergents ?! C’est auto-contradictoire dans les termes, et à tout le moins avec le corpus idéologique de nos trotsko-franc-maçons.

Sur le fédéralisme européen et la question induite de l’Euro, Mélenchon et ses sbires, jamais en retard pour traiter les rares lucides et courageux de « marechalistes », se ridiculisent puisqu’ils croient toujours, malgré les déculottés de ces deux dernières décennies, à l’avènement de l’Europe sociale, progressiste et solidaire ! Nous sommes au-delà du grotesque : nous sommes ans la profession de foi. Ce qui n’est pas le moindre des paradoxes de nos laicards...

La position du FdG sur l’euro est aussi assez cocasse, dans la mesure où Mélenchon ne fait à cette occasion que démontrer :

1/ son incompréhension dramatique du rôle structurant de la monnaie, qui ne peut que correspondre aux aspirations et intérêts d’un peuple et d’un seul. Or n’y a pas de nation ni de peuple européen, il ne peut donc y avoir que des monnaies nationales. Cqfd. Sa perception de l’Allemagne dans ce rapport de force est d’ailleurs hautement grotesque, comme parfaitement mis en évidence là encore par Sapir en son temps.

2/ sa soumission intégrale au politiquement correcte et à l’idéologie dominante, malgré ses vitupérations surjouées sur des épiphénomènes sans importance. Sur les enjeux fondamentaux il prisonnier de ses utopies mortifères qui façonnent sa vision politique (si tant est que l’on puisse parler de vision) : internationalisme, fédéralisme, immigrationnisme, antiracisme, qui sont toutes compatibles - j’insiste - avec le mondialisme le plus prédateur et destructeur.

En réalité, et je comprend que cela vous gène aux entournures cher Elliot, nos gauchos endoctrinés ont été les cautions intellectuelles inespérées - et ce faisant les parfaits idiots utiles - du grand Capital apatride, et ont précisément permis le déploiement effectif de ladite mondialisation en le légitimant déjà idéologiquement dans le champ intellectuel, et qui est un préalable absolument indispensable avant son application politique concrète.

Leur problème est souvent très simple à comprendre : ils ne savent pas raisonner par les structures macro-économiques, ni comprendre la rationalité intrinsèque à la mondialisation, et croient ainsi naïvement qu’en augmentant les salaires de façon autoritaire et sans contre-partie protectionniste (qui pour le coup n’apparait pas dans le programme du FdG) ils amélioreront les conditions des travailleurs. Ils ne feront que ruiner le peu d’avantage comparatif et de compétitivité qu’ils nous restent, et ce à cause de l’euro-mark, et jetteront instantanément des millions de travailleurs au chômage. 

C’est bien pour cela que la hausse des petits salaires ne peut s’accompagner dans un premier temps que par une baisse des charges des entreprises, financée elle-même par une mesure protectionniste : une taxation aux frontières en rétablissant des droits de douane modulés en fonction du change monétaire. Cela afin de rétablir un équilibre macro-économique minimal permettant dans un premier temps de nous réarmer dans la mondialisation.

@Onecinikiou

Là, vous êtes occupé à me submerger du flot de vos certitudes comme si une coulée continue d’affirmations ( dont fatalement dans le lot certaines apparaissent comme des évidences même à gauche où je ne situe pas le PS ) pouvait faire oublier la nature profondément perverse du Front National.

Sans établir de parallèle nécessairement grotesque avec des systèmes totalitaires heureusement disparus qui affichaient tous d’indéniables réussites occultant de monstrueux échecs et avaient de zélés défenseurs aussi péremptoires que vous l’êtes, votre défense et illustration du FN commence a ressembler un peu trop à une hagiographie à la gloire des grandes figures passées ( il y en a un qui ne veut pas se résigner à y appartenir, au passé ), présentes et à venir du FN.

Par parenthèse, et je conclurai ce très intéressant échange par cette note positive ( mais n’y voyez pas malice ) votre prose tranche au niveau de l’expression écrite avec les insanités pas seulement de fond (ça, c’est un jugement de valeur que j’assume mais qui n’engage que moi ) mais aussi de forme ( trop souvent un massacre qui pour des défenseurs de l’identité française et de ses valeurs culturelles est assez cocasse ou consternant au choix) que des supporteurs de cette galaxie sont accoutumés à produire.

Au moins, vous, vous exprimez clairement des idées qui me déplaisent mais qui font partie, jusqu’à preuve du contraire, de l’arc républicain.

@Elliot
Me voilà donc adoubé par le camp du Bien, du Beau et du Progrès. Qui l’aurait cru ?! 

 

@Fifi Brind_acier
Et que dire de la Corée du Sud ou d’Israël, qui n’ont pas plus de ressources, moins de profondeur géographique et démographique et qui pourtant ont des économies florissantes.

@Onecinikiou