• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > La sécurité routière et la poule aux oeufs d’or

La sécurité routière et la poule aux oeufs d’or

Un fait divers a attiré mon attention dans mon département là où il a sa place dans la rubrique locale, c’est un gendarme qui se fait en permanence réprimander par sa hiérarchie pour procès verbal de délits routiers insuffisants. De quoi faire taire ce qui démentait cela.

Et le journaliste de commenter tous les griefs et les points précis qu’il lui était reproché. Tout cela naturellement dévoilé à la presse par son épouse, devant le devoir de réserve de son mari.

C’est la dégradation de l’état de santé de se dernier qui l’a poussé à la délation publique. Mais je ne vais pas m’appesantir sur ce fait divers qui ne relate ni plus ni moins ce que subissent des milliers de salariés dans leurs entreprises sous la pression de la culture du résultat, qui produit ses effets néfastes où qu’elle soit mise en place.

Mais cela me sert d’entré en matière pour dénoncer ce qui s’est installé depuis un certain nombre d’années, et qui fait la quasi unanimité des citoyens, la lutte pour la sécurité routière.

Il ne s’agit pas pour moi de dire que je suis contre, mais de dire que dans la vie l’on meurt, et que la liberté à un prix humain.

Au titre de la sécurité routière le gouvernement se fixe comme objectif un chiffre toujours plus bas, et pour l’atteindre, accroit la réglementation, le nombre de personnels et le nombre de radars pour la surveillance des délits.

Des actions lourdes de sécurité routière sont menées depuis de longues années, ce sont les évitements, les rocades, les ronds points, l’effort des constructeurs etc. Il suffit d’aller dans une DDE pour connaître leurs préoccupations en la matière qui parfois nous indispose, pour ne penser qu’aux ralentisseurs, quant aux constructeurs nous le mesurons avec les équipements des véhicules.

Mais ils ont l’avantage de ne pas être vicieux, ce qui n’est pas le cas de notre gendarmerie qui sillonne et surveille la circulation routière. Ne me faite pas dire que je suis favorable aux infractions, je sais que je traite un sujet sensible par les dégâts humains qu’il cause et le malheur qu’il entraine, mais à ce titre personne n’a à me donner de leçon, car dans un cas comme dans l’autre la vie m’a servi, c’est peut-être pour cela que je peux aller sur cette route glissante.

Ce n’est pas pour autant que je vais nier la dictature du « sécuritarisme » qui s’installe, il va falloir que je commente ce terme. Car il ne signifie pas, que je nie la réalité, ni les besoins d’ordres, de sécurité et de règles, ni la pression de la force du droit sur lequel il faut qu’elles s’appuient.

Mais la généralisation de la tromperie comme moyen de duper le client dans le quotidien, a justifié toute sorte de mesures de contrôles de notre activité. Cela fait que chacun se sent en permanence soumis à une situation dont il ne peut maîtriser les tenants et les aboutissants, dont la conséquence de cette méfiance justifiée est une traçabilité des productions pour ne pas être victime de tricheries.

Je ne vais pas dire que c’est une nouveauté, mais elles se sont accrus d’une manière exponentielle avec en plus les produits venants de l’extérieur dont la finalité est moins la fiabilité que le profit. Ces tricherie se sont montrées si pernicieuses que nous en avons perdu la confiance envers les producteurs pour renforcer notre méfiance par une surveillance au point qu’il nous est difficile de discuter d’une activité économique sans toujours faire une référence sournoise signifiant toujours qu’elles ne s’enrichissent pas proprement. Ce climat dans lequel nous nous sommes encastré depuis si longtemps, ne peut pas ne pas affecter notre manière de penser, ni de regarder notre liberté d’agir. Et c’est pour cela que je le mentionne.

Si bien que lorsque les responsables de la sécurité routière, nous fixent des objectifs de baisse de mortalité et d’accidents de la route, qui donc peut s’y opposer, personne, mais cette acceptation entraîne avec elle une séries de mesures de rétorsions qui s’enchaînent dans une escalade permanente. Et c’est seulement ce processus là qui est pernicieux.

Au fur et à mesure que se mettent en place des réglementations, les chances d’y faire des entorses, qui exigeront un accroissement de mesures de rétorsions, croissent.

C’est donc un cycle de surenchère permanant dont l’aboutissement se traduira par la criminalisation d’infractions routières, dans le confusionnisme le plus total de la gravité d’une telle finalité qui se banalise.

Mais le plus choquant, est le marché du procès verbal porté par la sécurité routière, donc ce gendarme est devenue une victime collatérale pour absence de résultats.

 

Connaissez vous un marché où vous vous rendez en n’importe quel lieu, n’importe quelle heure et dont vous êtes certain qu’en vous dissimulant vous récolterez votre produit. C’est le marché de la sécurité routière, et vous pouvez demander tout ce que vous voulez comme résultat en tant que PV, ils seront atteints.

Aussi je comprend que ce gendarme se soit fait réprimander, car son supérieur pense qu’il met de la mauvaise volonté à dresser des PV , ou le trouve trop complaisant.

Comment cela se fait-il ?

Je ne vous apprendrais rien, nous avons un réseau routier qui n’est pas adapté à la puissance des véhicules, tandis que leur fiabilité modifie la perception de la vitesse, et sans regarder le compteur, le conducteur à 100 km /h à l’impression de rouler à beaucoup moins, et il doit en permanence adapter cette perception, source d’entorse à la règlementation. 

Mais mieux, et c’est pour cela que ce marché est porteur, aucun conducteur ne peut circuler sans contrevenir à la règlementation. Ainsi tous les jours nous commettons des manquements, même ceux des associations qui exercent leurs lobbies. Il y a donc des milliards d’infractions, il suffit de se mettre au bord de la route un peut discrètement et de faire son marché, et c’est cela qui constitue une dictature. 

Parce que l’interdépendance du véhicule, du réseau et de la densité du trafic, rend impossible le respect pointilleux de la règlementation. Il y a là un paradoxe qui est au bord du délire avec la répression policière qui s’accroit pour obtenir des résultats de taux de mortalité toujours plus bas.

Et le fait de baigner, de vivre dans ce sécuritarisme nous empêche de le percevoir.

Nous sommes en permanence dans l’impossibilité de respecter la totalité de la règlementation, que le matériel, la vie trépidante et professionnelle, et le réseau nous conduisent à transgresser, il devient donc délirant de punir quelqu’un que l’on met dans la situation de commettre inévitablement une faute.

La nouvelle génération de radar peut prendre le respect des distances entre les véhicules, ce ne seront plus des procès verbaux, mais une levée d’impôts sur les automobilistes.

Naturellement beaucoup d’infractions sont vénielles comme nous le disons, mais lorsque nous aurons atteint le taux en dessous du quel nous ne pourrons raisonnablement pas descendre, que nous aurons criminalisé certains délits, alors, l’on s’attachera à eux, en pensant que pour sauver une vie de plus, dont nous convenons qu’elle n’a pas de prix, nous aurons réduit la capacité de maitriser sa conduite comme moyen de compétence de la perception d’une autre mesure de déplacement, en un parcours du combattant, ou chaque fois que l’on prendra son véhicule, nous ferons comme ce gendarme, nous en deviendrons malade à la pensée de devoir en permanence comme c’est le cas, surveiller avec méfiance chaque coin de rue, chaque barrière de sécurité, chaque poubelle en bordure de route, chaque bosquet, chaque panneau publicitaire, chaque voiture banalisée, et j’en passe des planques utilisées, pour au bout dire que nous sommes libre de circuler.

 Il y a d’autres possibilité que la répression, mais le lobby automobile est aussi fort que celui des associations de victimes de la route, si bien que celui qui n’a pas la possibilité de se révolté subit, il serait donc bien temps que les automobilistes se mobilisent aussi, non pour réclamer le droit de tuer sur les routes, mais pour ne pas être la poule aux œufs d’or.

Quand je travaillais dans l’aéronautique à la production de pièces d’avions, le taux de sécurité de leurs productions était très élevé, et pour cause, tout le monde comprend. Dans le meilleur des cas il atteignait 99,6 % parfois 99.8%, cela permis par un contrôle draconien, une traçabilité exemplaire et une surveillance constante des produits dans chaque main où ils passaient. C’est le succès du peu de catastrophe.

Pour en arriver à cela dans la sécurité routière il faudrait confier la conduite à un gendarme, qui deviendrait le chauffeur des automobilistes, avec je le pense des taux moins bons qu’en aéronautique car ils sont, comme le montre le cas de ce gendarme, encore humain. Ainsi la liberté humaine à un prix humain, que même reliée à un gendarme l’on ne saurait éviter, de la même manière que les dictatures policières n’ont pas résorbé les crimes et délits.

 Ne pas saisir ces seuils et les nuances, devient l’exercice d’une dictature, ou au minimum de l’intégrisme.  

Evolution du nombre de PV issus des radars automatiques sur les 4 derniers quadrimestres :

  • Q2 2007 : 2.495.940 PV avec 1.539 radars automatiques
  • Q3 2007 : 2.399.180 PV avec 1.780 radars automatiques
  • Q1 2008 : 2.490.982 PV avec 2.031 radars automatiques
  • Q2 2008 : 2.850.247 PV avec 2.056 radars automatiques

 

 

 


Moyenne des avis sur cet article :  4.56/5   (27 votes)




Réagissez à l'article

43 réactions à cet article    


  • LE CHAT LE CHAT 6 février 2009 11:19

    @ddacoudre je te confirme qu’on va encore presser plus le citron cette année . ici , les consignes ont été données , et les motards de Martigues doivent faire du chiffre et traquent aussi les camions en surchage ( le semaine passée un ensemble à 64 t700 , hier ils sont venus peser un pick up à 5t300 au lieu de 3t500 patc maxi ) .


    • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 21:14

      bonjour le chat

      au rythme de cette manière de penser un jour il faudra partir en guerre pour rentabiliser l’armée.

      cordialement.


    • foufouille foufouille 6 février 2009 12:08

      ca fait au moins 5a que ca a commence
      c’est pareil pour les sans papiers ou la "baisse" de la deliquance


      • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 21:19

        bonjour foufuoille

        je pense que porter des solutions au problème que développe nos société est un moyen de les réguler mais cela se fait quand l’on touche à l’homme avec humanité, or les mathémathiques ne sont pas humaine, elle sont des seuils destimations et non une finalité. c’est la différence entre l’homme et la machine.

        cordialement.


      • saint_sebastien saint_sebastien 6 février 2009 13:23

        c’est normal, c’est la culture du résultat...


        • Yena-Marre Yena-Marre 6 février 2009 15:11

          Bonjour,
          Culture du résultat ? pas pour tout le monde , parce que si on applique la culture du résultat à sarko ,..... on le vire !


        • appoline appoline 6 février 2009 17:03

          @ Yena,
          Culture du résultat, d’accord avec vous, car nous avons un beau panel de branquignoles au gouvernement qui n’y sont pas assujettis, sinon ils auraient valsé depuis et bien, à vrai dire, depuis qu’ils y sont arrivés.

          Je souhaite qu’un jour il y ait un couac sur la pseudo sécurité routière. Il y a quelques années, la maréchaussée dressait procès-verbal quand l’infraction relevait d’une conduite dangereuse. Maintenant, on verbalise pour excès de vitesse à 51 km/h au lieu de 50, là, si ce n’est pas de la connerie et faire du fric, je n’y comprends rien.

          Ils se plaignent que de plus en plus de personnes conduisent sans permis et bien, qu’ils continuent ainsi. Par contre, comme charité bien ordonnée commence par soi-même, j’aimerais qu’on cravate les membres du gouvernement (enfin quand ils n’ont pas leur larbin pour conduire à leur place) quand ils commettent des infractions au code. Bizarrement là, les PV peuvent sauter.


        • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 21:20

          bonjour sébastien.

          oui, le coté réprésif.

          cordialement.


        • maxim maxim 6 février 2009 14:14

          c’est vrai que c’est chiant d’être toujours sur le qui vive au volant !....

          vous avez des gens qui se traînent à 70 sur les routes ,si vous doublez ,vous êtes en infraction ,parce que vous aurez rétrogradé et acceléré franchement pour dépasser ,ce qui vous fait momentanément un 130 ,si vous n’y allez pas à fond ,la bagnole qui arrive en sens inverse peut venir vous taper de plein fouet !

          vous vous faites piquer à ce moment ,et vous êtes fait comme un rat ....

          ça m’est arrivé il y a deux ans ,en doublant un camion chargé de cailloux,et qui en perdait en route ,( et le bahut tartinait à plus de 80 )j’ai mis un coup de bourre pour dépasser ,et manque de bol ,il y avait un radar mobile sur un pont ,avec comité de reception plus loin.....

          j’ai pu grâce à une relation ,faire sauter le pv ,mais c’est exceptionnel ! je ne vais pas me pointer tous les quatre matins en disant " tiens tu pourrais pas faire quelque chose pour moi ? "

          mais dans le cas que j’ai évoqué ,je pense qu’il était normal que je double !


          • Redj Redj 6 février 2009 15:46

            Bonjour maxim,
            Et oui, bien souvent, il est salvateur de ne pas respecter le code de la route, mais il faut dire aussi que celui-ci est bizarrement fait parfois. Par chez moi, il y a un rond-point super mal foutu. Lorsqu’on regarde de plus près les indications qui y sont posés, si on les respecte, on est automatiquement hors la loi niveau code de la route. Super ! Heureusement il n’y a pas souvent de carton sur ce rond point, les gens du coin le connaissent tellement bien que tout le monde redoublent d’attention en y arrivant, du fait ralentissent, et cela se passe sans emcombre.

            Je me demande parfois si les gens qui font les routes le connaissent, leur code de la route. smiley


          • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 21:44

            bonjour maxim.

            ce problème du dépassement que tu soulèves se rencontre toujours quand l’on est sur des écarts insuffisants, pour pouvoir doubler en toute sécurité. sauf que dans le cadre d’une limitation de vitesse et qu’il reste de la marge sous la pédale pour doubler, comme si ce n’était pas le cas, est source de risques. Ceux sont les paradoxes des seuils, fait pour régler des problèmes, ils en provoque dans certaines circonstances.

            je crois qu’il en est de même pour les panneaux de limitation de vitesse. Si l’un indique 70 km /h, jusqu’à la hauteur du panneau, le conducteur est autorisé de rouler au dessus,. à partir du panneau il faut être à la vitesse indiquée.

            tous comprenons qu’il est impossible de passer en une micro seconde de 90km/ à 70. SI l’on ralenti avant le panneau, on limite de fait son droit de rouler à sa vitesse jusqu’au panneau.

            si l’on ralenti après le panneau pour le respecter, l’on est du fait de la décélération en infraction.

            c’est ce problème qui exige de la mesure.

            si l’on tombe sur un agent intégriste du droit il se met à hauteur du panneau et verbalise tous ceux qui passent.

            Alors pour ne pas subir cette contrainte du seuil, il faut ralentir avant le panneau, afin d’arriver à 70km/h à celui-ci, donc de fait pour respecter la réglementation nous restreignons notre liberté de rouler à la vitesse que l’on veut jusqu’à l’obligation du panneau.

            Un agent intelligent se tiendra à un ou deux km, plus loin pour s’assurer que le contrevenant le fait en toute conscience et non parce qu’il a pris du temps pour décélérer.

            cordialement.


          • Nic0s 6 février 2009 15:48

            Et que dire de la difficulté à prouver votre inncence en cas de litige ...

            moi par exemple je suis obligé de payer un recommandé de 6€ pour une amende que je n’ai pas a payer de 60€ !!! En effet pour que la dénonciation soit valide il faut l’envoyé en recommandé avec accusé de reception !!!

            et il n’y a selon la personne qui m’a repondu au telephone aucune autre methode .



            • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 21:52

              bonjour nico

              il est impossible de pouvoir faire la démostration de quelque chose qui n’existe pas, nous le voyons bien avec dieu. l’on croit ou l’on ne croit pas. souvent pour les juges le dieu sont les gendarmes ou tous ceux qui ont prété serment d’intégrité. si parfois les événements laissent apparaitre un fait mal interprété l’on se trouve dans la situation que tu dis, en principe les forces de l’ordre sont former pour tenir compte des erreurs de perception.

              mais comme le démontre l’histoire de ce gendarme la hiérarchie peut ne rien en avoir à foutre. àlors il refile le bébé au juge et c’est la prise de tête pour faire la démonstration de ce que l’on à pas fait.

              cordialement.



            • plancherDesVaches 6 février 2009 16:05

              J’hésite...
              Retenez-moi...
              J’ai du mal....
              Je craque.. !!!

              Je vais me faire tuer, mais tant pis. Fallait que ça sorte, je viens de me prendre 2 PV pour excés de vitesse en 5 mois...
              Je n’ai pas demandé à mes relations de les faire sauter. Je n’allais pas les embêter pour juste 2x1 point en moins sur le permis...

              Mais... J’ai remarqué un truc bizarre sur les routes.
              Je roule aussi vite que les parisiens.
              Qui pourtant, lorsque j’étais à 160 sur autoroute, me doublaient allégrement....

              Rappelez-moi le nombre de morts et des blessés en moins sur les routes ?
              Haaa, ce porte-monnaie... smiley


              • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 22:01

                bonjour planché des vaches

                la conduite est l’art de rester maitre de son véhicule, et de pouvoir apprecier la situation générale qui prend en compte tous les élément route, environement, état du véhicule, état du chauffeur, dansité de la circulation et capacité de conduite ou expériance du chauffeur. alors même à 160 l’on peut rouler en sécurité.

                enfin, se couler dans la fluidité de la circulation qui s’installe toute seule permet d’éviter des bouchons ou des accidents car il est parfois utile de savoir dégager. je me souviens des pointes de circulation autour de l’arc de triomphe celui qui respecte à la lettre la priorité à droite ne passe jamais. s’il indique qu’il s’engage alors il y a un véhicule qui lui fait la place car un jour il sait que c’est lui qui en aura besoin.

                cordialement.


              • fredleborgne fredleborgne 6 février 2009 16:13

                Se plaindre, encore et toujours, alors que nous avons une vraie possibilité de les "niquer".

                Rouler vous fait chier ? Ne roulez plus.

                Si pas de bus, pas de travail . D’ailleurs, entre un smicard qui paye ses PV et sa p... de bagnole, et un rmiste qui s’éclate sur sa PS3 avec Driver 4, c’est le RMIste qui a le meilleur pouvoir d’achat.

                SI pas de toto, pas de vacances.

                Vous avez vu ce que ça coute d’aller à la plage ou à la montagne. Vous z’inquiétez pas. Au lieu de vous endetter pour vous entasser sur le sable, payez vous une piscine gonflable en bas du HLM, sur la pelouse, après avoir caillaissé les chiens et les maitres qui les font ch...dessus.

                Vous verrez, on y est même mieux, et encore des économies

                Si pas de toto, pas de belle mère : Finies les visites chiantes les week-end, y compris pour visiter les cimetières au premier novembre. Vive la web cam.

                Si pas de toto, pas de grandes surfaces

                C’est pas grave, le discount avec des petites surfaces envahit les centres villes désertés par les commerçants. Et encore des gros qui vont couler.

                Leur productivisme, leur surconsommation, elle passe par la bagnole. Reprenons le vélo ou restons chez nous.

                Merci messieurs les gendarmes, policiers et politocards. D’ailleurs, si on ne paye pas non plus notre loyer, il suffit d’aller vous voir et de vous dire tout le bien qu’on pense de vous pour pas dormir à la rue...

                Une prison à ciel ouvert. C’est toujours mieux que le bagne d’aujourd’hui.

                Bon allez, moi, j’embauche à 17 h. Va prendre ma bagnole de 20 ans. Et si elle passe pas le CT l’année prochaine, je vous jure que j’en rachèterai pas une.


                • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 22:04

                  bonjou fed le borgne

                  bonne réflexion. nous sommes dans la "civilisation" automobile symbole de liberté, et effectivement si souvent nous faisions les calculs que tu suggères, l’automobile se porterai en core plus mal, et ce ne serait peut être pas un mal.
                  cordialement.


                • Emile Red Emile Red 6 février 2009 16:13

                  Vu la semaine passé, un automobiliste sanctionné parcequ’il s’était avancé à un feu rouge voyant un camion lui arrivé dans le dos et ne freinant pas, le flic a verbalisé l’automobiliste et ensuite le camion pour défaut de maitrise.

                  Il faut préciser que le camion s’est arrété passage piéton dépassé, si l’auto était resté sur place elle aurait été pulvérisée, le flic comme au tiercé a fait un bon coup, deux pour le prix d’une.

                  Scandaleux...


                  • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 22:14

                    bonjour emile red

                    j’imagine que des absurdités de ce genre, doivent être légions. je crois que le problème est double. à part l’erreur d’apréciation du au regard, il y a le problème de la marge d’interpétation de l’agent, généralement il n’en n’ont pas, car l’application du droit ne peut être laisé à l’appréciation de chaque agent. cela n’en fait pas des gens bornés pour ceux qui ne veulent pas être. il peuvent fort bien dresser procés verbale et relater les circonstances de l’infraction pour permettre à un juge de la lever en l’attestant s’il en est le témoin.

                    les juges savent que la rigueur de la loi s’applique dans l’esprit pour lequel elle a été conçus et non pour le résultat inverse. c’est pour cela que je dis souvent que le pouvoir depuis que Mr Sarkozy est ministre de l’interieur il se sert de la loi pour exercer une pression psychologique sur les citoyens comme le fait la hiérarchi de et agent.

                    cordialement.


                  • maharadh maharadh 6 février 2009 17:32

                    @ Ne concerne pas cet article qui prend en compte tous les facteurs de l’accidentologie , j’abonde dans le sens de l’auteur, nous n’assistons plus à de la prévention mais bel et bien à du rackett.
                    Peut-ëtre faudrait-il s’interroger aussi pourquoi nous sommes passés de 15000 morts à 3000 celà fait combien de vie d’épargnées , quel coût épargné à la société ? Comment changer le comportement de l’usager moyen français qui a toujours plus peur de payer une amende que de tuer un gosse parcequ’il ne respecte pas certaines règles , pourrions nous rouler sans code de la route ? Pourquoi édicter des règles si ce n’est pour ne pas les respecter ensuite ?



                    Concerne une minorité de conducteurs dont beaucoup de jeunes qui sont les premières victimes de la routes mais aussi les premiers chauffards.

                    Ah, le beauf et sa bagnole, quelle belle histoire d’amour... Il faut dire qu’elle est belle la salope, bien qu’elle suce autant d’essence que de points sur le permis de conduire. Grâce à elle, il peut montrer son côté mâle dominant, ce qui lui donne une chance de trouver sa femelle et d’écarter les mâles concurrents. Imbibé de ce sentiment de puissance, et souvent d’alcool également, le beauf peut alors venir s’encastrer dans le premier platane venu...

                    La couleur :

                    Le Beauf a des critères bien précis concernant sa bagnole ; dans ce sens, c’est un homme de goût, même si ce sont la plupart du temps des goûts de chiotte.
                    La couleur doit être vive. Pourquoi ?

                    - Pour montrer à tout le monde qu’il a des goûts de chiotte

                    - Pour trouver plus facilement sa bagnole dans les parkings de supermarché

                    - Parce que c’est beau
                    A noter : le vieux beauf a des bagnoles couleur pastel parce qu’elles se sont délavés avec le temps.


                    La conduite :

                    Tout d’abord, il faut enlever le stéréotype selon lequel le Beauf conduit vite. Il sait aussi rouler au pas...avec la sono à fond, comme les véhicules qui annoncent la représentation du cirque du soir. De plus, il n’est pas rare de doubler une belle 205 GTI ou une BMW 318i sur l’autoroute : non, le Beauf n’est pas malade, il n’a simplement plus beaucoup d’essence après avoir arsouiller à mort, ou alors, il n’a plus d’argent pour faire le plein parce qu’il a claqué son SMIC dans des nouveaux pneus taille hyper-ultra-méga basse.
                    Trés important, la position du beauf dans sa voiture. Bras gauche tendu sur le volant, épaule gauche levée et épaule droite baissée, la tête penchée vers la gauche, le regard par en dessous. Idée d’ornement : une pouf assise sur le siège passager.


                    La sono :

                    Mélomane, le beauf l’est. Il aime la grande musique, comme Dance Machine n°392 ou Technopourrave 2. Mais il n’a rien contre la musique classique telle que Dance Machine 390 ou Technopourrave 1. Le problème, c’est qu’il serait dommage de massacrer le travail réalisé par une équipe d’ingénieurs du son et autres techniciens en studio d’enregistrement. C’est pour ça que, pas bête, il a trouvé la parade en mettant directement un studio dans sa voiture. Ce mec vit désormais dans une enceinte géante, histoire de se griller les quelques neurones intactes qui lui restent, mais c’est clair qu’il a le son. Et puis sympa quand même, parce qu’il fait profiter tout le monde de sa sono...Qui a dit que le beauf n’avait pas de coeur ?

                    life-in-the-dead.over-blog.com/0-categorie-10663970.html


                    • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 22:48

                      bonjour mahradah

                      tu racontes l’opologie de la voiture qui avant de faire la desmontration de sa dangeurosité, est celle de l’évolution d’une civilisation qui en roulant sur des routes obligatoires se pense plus libre qu’aller à travers le monde à pied en passant par les chemins de sont choix. c’est la victoire de la rapidité, de la vitesse, comme celle qui nous à mis dans la merde avec la crise pour faire un parrallèle.

                      l’humaim dispose d’un outil d’appréciation de son environement fait pour quelqu’un qui se déplace à pied ou en courant.
                      la marche à pied dans une foule ne pose pas de problémes, chacun à la mesure de son espace.
                      les problèmes se posent si cette foule se met à courrir sans ordre. c’est l’état de panique, dans l’ordre çà donne le marathon de new york.
                      avec la voiture cette perception est complétement transformée parce qu’elle se fait en passant par un intermédiaire qu’est ,la voiture, et cela demande une accoutumence. et en plus la manière dont nous vivons se répercutera autravers d’elle.
                      nous savons tous que quand nous sommes pressés nous appuyons sur le champignons, et que nous transférons les représentations dont elles sont l’objets.

                      enfin il faut savoir qu’une partie des accidents sont dus à un accroissement important de la mise en circulation de vehéicule sur un raiseau dont beaucoup de routes dâtent de l’époque des carrosses. plus la vitesse augment plus l’attention est requise et il est impossible biologiquement à un individu de rester attentif san effort quelques seconde sur un même point,.
                      notre regard se ballade en permanance et la rapidité de la survenance d’un événement peut être catstrophique. défendre les victimes c’esr leur apporter un secours, ce n’est pas les venger.
                      améliorer la circulation parce que nous n’avons plus des carrosses n’est pas un luxe.

                      mais ce n’est pas parce que, comme dans les entreprise, c’est l’homme qui est le plus maléable qu’il faut le culpabiliser à outrance dans la mesure ou un accident n’est jamais de la seule responsabilité du coupable, parce que lui est sa victime ne se sont pas croisé par le fait du hasard, même si le responsable en en est l’acteur. principal, (ce serait long à expliquer.

                      c’est pour cela que je tenait à dire que dans la lutte pour la vie il faut garder la mesure humaine en toutes choses, et elle est risqué, de la même manière que la mesure comptable, qui ne pourra pas se substituer à la vie sans tuer ceux qu’elle veut protéger. (je crois que nous en vivons en direct l’exemple avec la nocivité de tous les produits que nous avons crées qui sont à la mesure comptable pour servir les humains et dont nous nous rendons compte qu’elle nous tue.

                      cordialement.








                    • jacques jacques 9 février 2009 09:39

                      Je voudrais te reprendre sur un point la couleur de la voiture.Aujourd’hui le beauf il aime le gris et le noir .Il te suffit de regarder un jour un train transportant des voitures pour le constaster .J’ai découvert le jour ou j’ai voulu changer de voiture et chez le concessionaire quand il a fallu choisir la couleur de la voiture ,j’ai senti son incompréhension quand je lui ai dit que je voulait une couleur claire et visible de façon a être vu sur la route.Pour le parking de supermaché je suis très heureux de me sentir beauf le jour ou je retrouve ma voiture d’un simple coup d’oeil au milieu de la grisaille.


                    • adeline 6 février 2009 17:46

                      Bien votre article , en tant que grande "rouleuse" j’ai remarqué un changement de comportement pour les "petits culs" (comprenez voitures) et les "gros culs" ( les 38t)
                      sur l’A1 les GC tournent à 95 km/h
                      les particuliers ont (depuis le prix de GO à 1,2Eros) baissé leur vitesse moyenne.
                      Perso je fais le voyage Paris Namur à 120 sur le régulateur et j’y arrive à peu près à la même heure.
                      Appparement les grandes vitesses baissent, donc j’en conclu que d’après vos chiffres la recette "Radar fixes" baisse , donc on se venge sur la bagatelle : ceinture , feux, téléphone, gilet etc
                      Demain je teste le voyage à 110.


                      • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 23:06

                        bonjour adeline

                        tu as compris que je n’ai rien contre la prévention routière qui font des analyse des raison d’u accident pour en retirer des enseignement pour protéger des vies.

                        mais parfois ils sont pas juste dans leurs analyses. jeune j’ai fait la fête et souvent même trés souvent mon taux d’alcoolémie aurait fait trembler le juge. pourtant l’on rentrait avec le véhicule parfois fenètre ouverte pour se rafréchir les idées et regarder la bordure du fossé pour ne pas laisser la route. et tous les automobilistes buvaient. alors pourquoi à un moment ceux qui ne causait pas plus d’accident, soudain c’est mis a en être la source.constaté.
                        quand l’on se pose cette question, le problème se pose différenment. l’on n’en vient pas à culpabiliser les chauffeurs mais l’on en arrive à dire que l’état d’ébriété qui dans les année 60 ans ne causait pas plus d’accident, aujourd’hui compte tenu de l’acroissement du park automobile, compte tenu du confort et de la vitesse des véhicules et compte tenu d’un raiseau routier insufissant et d’un mode de stressant n’est plus possible et demande de se comporter différenment, et cela s’apprend parce que la société égoïste du tout pour moi n’y pousse pas.

                        cela s’apprend par la règle quand elle n’est pas une souce de profit qui conduisent à ne plus être humain.


                      • TSS 6 février 2009 20:28

                        3000/3500 morts par an sur les routes ,belle performance !!

                        mais que fait le pouvoir pour les 9500 morts/an tués par les particules des fumées d’echappement ? rien... !!


                        • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 23:12

                          bonjour TSS

                          l’etat sélection les tèmes politiques qui touche l’émoi des gens. faire du sécuritarisme est devenu une action politique.

                          en voiture il y a des morts et des invalides

                          avec les gaz d’échpement il y a des morts, et tu a oublié toutes les maladies des bronches et ORL.

                          demain il sufirait de ce pencher sur ce problème pôur qu’il tombe dans les même excés


                        • loco 6 février 2009 22:57

                           Dilemme entre liberté et prévention : La liberté veut que soit puni le citoyen qui a nui ; la prévention veut que soit puni le citoyen qui aurait pu nuire. C’est l’ introduction simple du délit d’intention. En effet, il suffit de rédiger la loi de telle façon qu’au lieu de punir le responsable d’accident, on punisse le responsable d’une infraction "qui aurait pu être source d’accident".
                           Ainsi, le conducteur d’un engin sûr est mis au rang de celui qui trimballe une poubelle, le pilote qui sait (au prix, parfois d’un apprentissage fort onéreux) au rang de celui qui"se déplace", le nocturne qui roule dans l’avenue déserte au rang de celui qui passe devant la sortie d’école à l’heure de pointe. 
                           Cette idiotie érigée en dogme s’appuie sur le mépris du justiciable (chacun sait qu’aller se défendre au tribunal pour infractions au code de la route reste le meilleur moyen d’aggraver son cas), et le deni de justice associé au culte médiatique du"chiffre" pousse les archers du roi aux plus navrants abus.
                           Au début est le refus, non du risque (qui perdure autant que le bridage des véhicules n’a pas lieu), mais de la confiance en autrui (autre CITOYEN, tout de même). Ensuite vient le règne de l’arbitraire obtus. Enfin, demain, (aujourd’hui déjà ?), la mort de l’outil (l’automobile et son industrie), et, plus grave, de la fraternité la plus simple que l’on appelle joliment "partage de la route" dans l’hypocrisie officielle.


                          • ddacoudre ddacoudre 6 février 2009 23:21

                            bonjour loco

                            tu analyses trés bien la globalisation des mesures qui ont un impact volontairelment psychologique en signifiant que personne n’échappe à la régle. c’est passer de la force du droit qui est faite pour appliquer des règle avec le concours de la force publique si necessaire, au droit de la force, je suis le plus fort alors j’exerce mon droit.

                            les récglements doivent être fait pour solutionner le problème qui a surgit, si le problème ne se pose pas il n’y a pas lieu d’y avoir recours. c’est le propre du raisonnement d’une scociété adulte et responsable. d’autres appelle cela le bon sens sauf qu’il ne vient qu’avec le vécu

                            pas d’autres commentaires

                            cordialement.


                          • loco 6 février 2009 22:59

                             Dilemme entre liberté et prévention : La liberté veut que soit puni le citoyen qui a nui ; la prévention veut que soit puni le citoyen qui aurait pu nuire. C’est l’ introduction simple du délit d’intention. En effet, il suffit de rédiger la loi de telle façon qu’au lieu de punir le responsable d’accident, on punisse le responsable d’une infraction "qui aurait pu être source d’accident".
                             Ainsi, le conducteur d’un engin sûr est mis au rang de celui qui trimballe une poubelle, le pilote qui sait (au prix, parfois d’un apprentissage fort onéreux) au rang de celui qui"se déplace", le nocturne qui roule dans l’avenue déserte au rang de celui qui passe devant la sortie d’école à l’heure de pointe. 
                             Cette idiotie érigée en dogme s’appuie sur le mépris du justiciable (chacun sait qu’aller se défendre au tribunal pour infractions au code de la route reste le meilleur moyen d’aggraver son cas), et le deni de justice associé au culte médiatique du"chiffre" pousse les archers du roi aux plus navrants abus.
                             Au début est le refus, non du risque (qui perdure autant que le bridage des véhicules n’a pas lieu), mais de la confiance en autrui (autre CITOYEN, tout de même). Ensuite vient le règne de l’arbitraire obtus. Enfin, demain, (aujourd’hui déjà ?), la mort de l’outil (l’automobile et son industrie), et, plus grave, de la fraternité la plus simple que l’on appelle joliment "partage de la route" dans l’hypocrisie officielle.


                            • HELIOS HELIOS 7 février 2009 02:44

                              ... Euh... pour que le citoyen comme vous dites, respecte la règlementation comme l’ecrivain respecte la grammaire, il faudrait d’abord qu’on la lui ai apprise.
                              Or, a l’autoecole on ne vous apprends pas vraiment, si ce n’est a reconnaitre les panneaux sans vous les situer dans un vrai contexte, malgrés les magnifiques diapositives pleines de jeu de mots style "je dois" ou "je peux" !

                              Ensuite, le citoyen se déplace, comme l’ecrivain ecrit son livre... il y a de bons livres qui ont un fond et de mauvais livres qui ne veulent rien dire malgrés le respect de la syntaxe. Le citoyen qui circule, c’est pareil, il peut faire n’importe quoi en accord avec le code de la route alors qu’un vrai conducteur aura une conduite impeccable.

                              Et le gendarme dans tout ça ? ben lui, il est la comme vous dites pour faire du fric, c’est un peu la censure de l’ecrivain... votre texte est bon, mais il NE me plait pas, hop censuré.... vous payez pour avoir le droit de continuer a ecrire. j’ai mis le "NE" en majuscule, parce que je ne l’aurait pas dit en parlant, faisant ainsi une faute de grammaire qui peut me couter 2 points sur mon permis....

                              Le citoyen a besoin d’etre gouverné, sinon, il se sent trop libre, peut devenir contestataire et a tendence a se laisser aller dans d’autres domaines.... Souvenez vous en 2002.... Les français ont voulu plus de sécurité en pensant aux banlieues... sarko leur a donné plus de sécurité avec les radars sur la route. et si demain, parce que nous sommes tous devenus respectueux scrupuleusement des panneaux et que plus aucne infraction ne sera relevée par nos radars devenus inutiles, les vitesses seront abaissées pour pouvoir de nouveau fabriquer des contrevenants, cochons de payants !

                              Ah, juste un detail, sut la baisse significative des morts sur la route... Pretendre que c’est la réduction de vitesse qui en est responsable c’est comme croire sarko quand il pretend faire du social en donnant de l’argent au banques (et que cela ne nous coute pas un centime d’Euro). Oui, la reduction y est pour quelque chose, mais l’aménagement de la route aussi, regardez par exemple, le nombre d’endroit ou il est impossible de doubler, même l’entrée des rond-points ont été retrecis a une seule file... et puis il faut regarder aussi le niveau de protection des vehicules qui ont maintenant un nombre impressionnat d’air bags (pour le passif) et des abs/esp (pour l’actif). D’ailleurs, on recense des diminuetions comparable dans des pays qui n’ont ni sarko ni autant de radars....

                              la popitique de securité routiere est une vaste mystification. Il y a des résultats, c’est sur... mais etes vous vraiment sur que c’est grace a la répression ?


                              • ddacoudre ddacoudre 7 février 2009 13:48

                                bonjour hélios

                                bon paralléle. non la répression seule ne suffit pas à faire un bon conducteur, cela fera plus de monde dans les prisons pour le pire.

                                cordialement.


                              • Marc Blanchard Marc Blanchard 7 février 2009 05:24

                                Un des éléments qui m’a motivé à quitter la France est justement cet excés de contrôles en permanence Travaillant comme directeur des ventes je parcourais 100 à 120 000 km par an. Et ce qui représentait un moment de détente où je pouvais réfléchir tranquillement, écouter de la musique, voir même prendre du plaisir est devenu petit à petit au fil des années un enfer.

                                Car comme le dit l’auteur, même en faisant trés attention, il est impossible de ne pas faire d’erreur à fortiori quand on roule beaucoup.

                                Le pire est d’être considéré, comme il me l’est arrivé plusieurs fois comme un grand criminel par un tribunal alors que pendant plus de 20 ans j’ai parcouru prés de 3 000 000 de km sans aucun accident.
                                A cet argument le tribunal m’a condamné encore plus lourdement en me disant "Justement, c’est à des gens comme vous qui roulent beaucoup de montrer l’exemple"

                                J’ai encore en mémoire ce moment ou cette pé... fraîchement sortie de son école de droit m’infligeait 14 mois de retrait de permis tout en me disant (cela vous permettra de réfléchir au danger publique dans la nature que vous êtes)
                                A l’époque j’ai pu avoir un permis blanc ce qui m’a permis de ne pas perdre mon travail, mais aujourd’hui ce n’est même plus possible.

                                La route est devenu infernale. Une épée de damocles en permanence au dessus de la tête dans un univers dans lequel je passais en moyenne 6 heures par jour (souvent trés tôt le matin et trés tard le soir)
                                L’oeil gauche rivé à gauche, l’oeil droit rivé à droite. Le plus dangereux était ce qui se passait sur les côtés pas devant. Si je faisais la moindre erreur, je perdais mon travail pour faute grâve car comdamné par la loi), ma maison, mes enfants ne pourraient plus manger, ma femme me quitterait, ...

                                J’ai tenu 6 ans tout en voyant le systéme s’automatiser et s’intensifier pour rendre ces moments de route encore plus désagréables jusqu’à angoisser. Les collégues et confrères ne parlaient plus que de ça. La peur était devenu le principal sujet de discussion.

                                Même si j’avais 12 points sur mon permis (qu’il a fallu que je défendent bec et ongles car on me trouvait quand même des infractions dont une fois ou on m’aurait pris au radar à 198 kmh sur autoroute et que j’ai pu réussir à prouver qu’à l’heure des faits j’étais à 800 km de là avec ma voiture, c’était trop, plus stressé par la flicaille (qui m’ a arrété jusque plus de 6 fois en une journée pour contrôle) que mes clients ou par ma direction.

                                Boulot de merde que d’avoir à rouler !

                                Je me casse au Vietnam !

                                Et ici je retrouve le plaisir de rouler (en moto). Circuler ressemble à un jeu vidéo avec des obstacle qui débouchent de toutes part. D’ailleurs les occidentaux dans la majorité des cas n’osent pas circuler ici tellement c’est impressionant. Le code de la route c’est "t’es responsable de ce qui se passe devant et tu dois éviter" regarder dans son rétro c’est une seconde d’inattention qui peut être fatale.
                                Ca m’éclate et je m’ammuse et repris plaisir à circuler. Je peux même boire l’appéro et 2 verres de vin au resto sans flipper au retour.
                                Certes il y a des accidents plus qu’en France, mais la densité de population et bien suppérieure 90 millions d’hab, 80% de motos, des routes merdiques, casque obligatoire depuis 1 an (fait chier) mais pas pour les enfants..
                                Ici la route fait 6000 morts par an, mais les gens se déplacent avec le sourire et n’ai jamais eu la moindre incartade avec un autre usager. Si une erreur ou un problème survient cela se règle avec un grand sourire.
                                En 3 ans je n’ai pas été arrété un seule fois, pas eu le moindre accrochage (je touche du bois !).

                                La dernière fois que je suis rentré en France, Arrété 12 fois en 6 semaines + 1 radar automatique.

                                Bon courage automobilistes français !


                                • ddacoudre ddacoudre 7 février 2009 13:57

                                  bonjour marc

                                  je connais cela par une amie qui sillone la france avec son détecte radar et utilise tout un tas d’autre ficelle, car elle ne peut pas éviter de se faire prendre à un moment ou un autre, çà en devient une percsécution comme tu l’explique, moi je n’avait plus cet inconveignant du fait que depuis ma retraite j’ai laissé la voiture pour le vélo, et voilà qu’il veule me déguiser en cataphoque. aussi je ne le met que lorques ma sécurité l’exige.

                                  cordialement.


                                • poetiste poetiste 8 février 2009 13:55

                                  Mauvaise route

                                  Le Français moyen peut être pris pour une pomme ; il est par excellence le « cochon de payant ». Il râle mais il finit toujours par payer. Ah ! Très bien ! Il vient de s’apercevoir que la gestion de la sécurité de la route était devenue le prétexte à une parafiscalité. Réveil tardif avec encore beaucoup de somnolence. On a l’obsession de la vitesse que l’on accuse de tous les maux : de cette idée simpliste il y a quelque chose de juteux à entreprendre : construire des radars. Ainsi on fabrique ces machines strictement improductives pour la question de ramener des devises mais intéressantes pour quelques privés qui fabriqueront et entretiendront ces matériels, très intéressantes également pour créer un impôt déguisé : parafiscalité. Il ne reste plus qu’à demander à la police de faire du chiffre et le tour est joué. La vitesse n’est qu’une réalité physique qui mesure le temps par rapport à l’espace parcouru mis par un véhicule pour se rendre d’un point A à un point B. Quand j’entends vitupérer la vitesse pour lui faire jouer le rôle de bouc-émissaire, je me dis que les cochons de payants en redemandent, qu’il y a du masochisme dans l’air. Une mienne amie approuvait ces dispositions ambigües de la sécurité routières, me sermonnant de les contrer. Puis elle passe quelques jours plus tard devant la machine à effet Doppler-Fizeau et crac ! 90 euros d’amende ! Je me suis bien foutu d’elle. Un autre ami, de Bourgogne, réputé pour être escargot sur la route, s’est payé le luxe de deux PV. Jamais il n’avait connu ça dans sa vie. Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de la sécurité parce qu’il y a quelque chose de pourri dans le raisonnement et que c’est bien entretenu pour faire cracher au bassinet fiscal. Une éventuelle diminution des accidents ne peut être reliée à de tels dispositifs mais à une prise de conscience de l’automobiliste. On nous donne mille raisons d’accidents autres que la vitesse : l’endormissement au volant, le téléphone portable, l’alcool, le cannabis et j’en passe ; j’ai fait le compte des pourcentages ; ça dépasse les deux cents pour cent ; la raison n’est plus ce qu’elle était. Et les médias marchent à fond dans cette histoire de dupes collective. Comme si le malaise social n’était pas responsable de tous les accidents, de tous les dysfonctionnements et de tous ceux qui en profitent pour s’enrichir. On ne remonte jamais à la source véritable des maux et on fonce, tête baissée vers la répression, la solution facile qui n’est pas la solution mais nous le fait croire. Le destin d’une démocratie est-il de se laisser enfermer dans des lois coercitives et restrictives de liberté ? Là est le vrai problème. La culture de la peur et de la répression infantilise ; la culture de la responsabilité, c’est le contraire. Suivant le cas, nous sommes pris pour des pommes ou respectés. Pour l’instant, on est des pommes, c’est évident.
                                  A.C


                                  • maharadh maharadh 8 février 2009 17:04

                                    A lire le commentaire ci-dessus........... c’est bien ce que je disait nombreuses sont les personnes qui ont plus peur de payer une amende que de tuer sur la route ! life-in-the-dead.over-blog.com/15-categorie-10663970.html15-categorie-10663970.html

                                    Allez sur ce lien dans le billet concernant l’alcool au volant. ! puis allez raconter votre point de vue obscène aux familles endeuillées !


                                    Une faute est bien souvent à l’origine de l’accident, le conducteur méprisant la règle de droit pour imposer un rapport de forces et essayer d’instaurer la loi du plus fort. Un accident de la circulation impliquant souvent plusieurs usagers, le non respect du droit de l’autre usager à faire un acte est souvent cause d’accident (exemple un piéton traverse au passage pour piéton, il est prioritaire mais l’automobiliste force le passage). Les plus faibles (piétons et deux roues) subissent souvent les conflits pour le partage de la route.


                                    Les paliers de vitesse
                                    Il existe en France six paliers courants de limitation de vitesse, pour les véhicules de moins de 3,5 tonnes en conditions normales de circulation, variant par tranches impaires de dizaines. Pour certains cas, il existe également d’autres limitations (80 km/h, 100 km/h). Le détail des exceptions figure dans le chapitre suivant.

                                    30 km/h
                                    En agglomération, elle est présente dans les endroits appelés « zone 30 », et est également utilisée quand le 50 km/h s’avère dangereux, en raison notamment de l’étroitesse des rues, de leur caractère accidentogène ou de la présence particulièrement élevée de piétons.


                                    50 km/h
                                    C’est le 1er décembre 1990 que la limitation de vitesse en agglomération a été abaissée de 60 à 50 km/h. Entre les deux périodes décembre 1990-novembre 1991 et décembre 1991-novembre 1992, on a constaté une baisse du nombre des accidents corporels (-14,2 % en agglomération), des personnes tuées (-15,4 % en agglomération) et du nombre des blessés (-14,3 % en agglomération)..

                                    Cette limite a été établie en fonction des limites physiologiques humaines (perception visuelle, temps de réaction incompressible d’au moins une seconde, résistance aux chocs, etc.) et de lois physiques fondées sur le rapport distance / vitesse / temps. 50 km/h est une limitation qui a pour objectif de réduire les risques encourus par les piétons notamment.

                                    À 50 km/h sur chaussée sèche, la distance d’arrêt, c’est-à-dire la distance parcourue pendant le temps de réaction et la distance de freinage, est de 28 mètres ; elle atteint 36 mètres pour une vitesse de 60 km/h, soit 8 mètres de plus pour s’arrêter. Autrement dit, un automobiliste qui roule à la vitesse autorisée de 50 km/h parcourt 28 mètres avant de s’arrêter ; celui qui dépasse les limitations de vitesse en roulant à 60 km/h percute un obstacle à une vitesse de près de 40 km/h (la distance d’arrêt est double lorsque la chaussée est humide).

                                    Cette distance supérieure de 8 mètres peut tuer en agglomération. 50 km/h est donc la vitesse maximum adaptée pour garantir la sécurité des usagers et faire face aux dangers de la circulation en agglomération.).

                                    C’est aussi la vitesse maximale autorisée sur tout type de routes (y compris les autoroutes) en cas de visibilité inférieure à 50 mètres.


                                    70 km/h
                                    Cette limite se rencontre en général sur route nationale ou départementale, à certains carrefours dangereux, accidentogènes, ou à visibilité très réduite. Des zones à 70 km/h sont également instaurées parfois à l’approche de l’entrée d’une agglomération pour faire une transition entre le 90 km/h et le 50 km/h.

                                    Il s’agit également d’un palier systématique dans les signalisation d’approche d’un chantier où la limitation de vitesse passe de 90 km/h à 50 km/h.


                                    90 km/h
                                    Cette limite est la vitesse maximale sur le réseau secondaire français. Avant d’être instituée, les chercheurs ont testé différents paliers de vitesses possibles pour ce type de routes, avant d’opter pour le 90 km/h. Si, en théorie, beaucoup de routes à double sens peuvent largement supporter des vitesses de l’ordre de 110 km/h, l’intérêt principal du 90 km/h réside dans la réduction du risque de chocs frontaux, qui constituent le principal ennemi sur ce type de route.
                                    Il faut toutefois noter qu’à 90 km/h, en cas de choc frontal contre un obstacle fixe important (tel que : mur, muraille, gros véhicule arrêté, etc), et bien entendu contre un véhicule roulant en sens inverse, il n’y a pratiquement aucune chance de survie pour les passagers avant d’un véhicule.

                                    110 km/h
                                    110 est la vitesse limite sur voies rapides, c’est-à-dire à chaussée indépendantes, séparées par un terre-plein central et d’au moins 4 voies. C’est aussi la limitation sur autoroute en cas de pluie ou de chaussée humide.

                                    130 km/h [modifier]
                                    130 km/h est la vitesse maximale sur autoroute, en France et dans de nombreux pays d’Europe.

                                    De nombreuses expérimentations ont été menées depuis 1973, avant d’introduire une limitation adaptée à ce réseau. Jusqu’en 1973, il n’y avait pas de limitation de vitesse et le taux de personnes tuées (nombre de personnes tuées pour 100 millions de kilomètres parcourus) était de 3,6. Ce taux est descendu à 1,5 lorsque la limitation à 120 km/h a été introduite entre 1973 et 1974. Il est remonté à 2,1 pour une limitation de 140 km/h en 1974, pour retomber à 1,5 pour une limitation fixée à 130 km/h à partir de novembre 1974.

                                    Toutefois, elle est automatiquement réduite à 110 par temps de pluie, et moins, par temps de brouillard.

                                    En France, on a constaté une baisse du nombre d’accidents dans les mois qui ont suivi la catastrophe autoroutière de Beaune (31 juillet 1982), alors qu’aucun changement réglementaire ou technique n’est intervenu, preuve du rôle du comportement.

                                    Plusieurs facteurs interviennent dans un accident :

                                     * le comportement du conducteur : l’accident fait presque toujours intervenir une négligence ou une fatigue humaine, un comportement à risque, une mauvaise perception de la situation.

                                     * les infrastructures dont la chaussée (route) et son état, la signalisation ;
                                     * le véhicule, son état, ses dispositifs de sécurité ;
                                     * la gestion de l’accident, les secours publics, l’action des témoins.
                                     * l’interaction entre différentes catégories d’usagers de la route (automobilistes, chauffeurs de poids lourds, 2 roues motorisés, cyclistes et piétons) créant des tensions pour le partage de la voie, notamment en ville. Les plus fragiles (piétons et usagers de 2 roues) subissent souvent physiquement "la "loi du plus fort".


                                    L’objectif de réduire le nombre de morts sur la route est louable, mais il ne peut être crédible tant que le gouvernement ne s’attaque pas à la première cause des accidents graves, à savoir les poids lourds, toujours plus nombreux sur les routes en raison des méthodes de gestion des entreprises (flux tendus, sous-traitance et fabrication délocalisée), et aussi à cause des conditions de travail dans les sociétés de transport routier (temps de conduite au-delà des limites légales,vitesse excessive et conduite dangereuse au mépris de la sécurité, chauffeurs étrangers sous-payés et recrutés dans les pays d’Europe de l’Est où le permis de conduire peut être "acheté" grâce à la corruption).

                                    Le gouvernement reste également silencieux sur une autre cause majeure d’accident : la consommation massive de tranquillisants et de somnifères (la France est au premier rang mondial pour la consommation par habitant de ces produits).

                                    Lorsque Nicolas Sarkozy déplore les morts sur la route, on ne pourra s’empêcher d’y voir des "larmes de crocodile" tant qu’il ne s’attaquera pas avec équité aux causes du problème, et tant que le gouvernement ne montrera pas une compassion équivalente pour les morts beaucoup plus nombreux dus aux maladies ou aux suicides causés par la misère et le chômage, ainsi que pour les morts causés par la pollution (9500 morts par an en France à cause des particules cancérigènes émises par les moteurs diesels, ou encore 16.000 morts en France pendant l’été 2003 à cause de la canicule causée par le CO2 lâché dans l’atmosphère), sans parler des morts causés par les poisons chimiques et les pesticides contenus dans l’alimentation et dans l’eau

                                    Le gouvernement ne se préoccupe pas non plus des centaines de milliers de victimes de l’industrie médicale et pharmaceutique (à cause des effets secondaires des médicaments, de la sur-médication, ou des maladies nosocomiales attrapées par 7% à 12% des personnes soignées à l’hôpital, et 22% des personnes soignées dans les services de réanimation selon les chiffres officiels. Les infections nosocomiales causent 35.000 décès en France chaque année en France ; elles sont la quatrième cause de mortalité en France, loin devant les accidents de la route).

                                    Ces comportements sur nos routes ne sont-ils pas dûs également parceque chaque usager est persuadé que les accidents c’est pour les autres ?



                                    • ddacoudre ddacoudre 9 février 2009 13:22

                                      bonjour maharadh

                                      merci pour ce long commentaire.

                                      ce que je fustige dans mon article n’est pas la sécurité routière, ni toutes les mesure qui peuvent être prise pour prévenir les risques. c’est quel que chose de plus délicat à cerner , le seuil ou cette prévention qui prend en "ôtage" la souffrance ou le deuil des familles, aussi fondé soit t-il devient liberticide et répresif en créant les situation accidentogé innévitable, ainsi que les infractions aux réglement tation pour les éviter. l’humain est fait pour aller à pied, tous autres moyen de déplacement est source de danger pour lui et les autres, il y a innévitablement un seuil de tolérance qui ne peut pas être zéro.


                                      cordialement.



                                      • poetiste poetiste 8 février 2009 18:39

                                        @Maharadh

                                        Ah les tartuffes qui avancent l’argument de la souffrance des victimes et voudraient faire porter la responsabilité des accidents sur les autres. Ah les belles âmes sans reproche ! Il est évident qu’il faille diminuer les risques sur la route mais je mets l’accent sur l’exploitation de la peur, de la culpabilisation et maharadh plonge dedans. Quand on ne comprend pas un commentaire Monsieur maharadh, on ne le commente pas et ainsi, on ne répond pas à côté de la question. Vous m’accusez de "tuer sur la route" alors que je parle du profit des radars. Zéro en rhétorique Monsieur maharadh, mettez de l’ordre dans vos pensées.
                                        Quelle heure est-il Monsieur maharadadh ? Réponse de maharadh : "Mercredi" et son interlocuteur lui déclare : "très bien , c’est là que je descends". Le "n’importe quoi", c’est fascinant !


                                      • maharadh maharadh 8 février 2009 18:57

                                        @poetiste,
                                        Vous êtes aussi nul que votre commentaire life-in-the-dead.over-blog.com/


                                        • poetiste poetiste 8 février 2009 20:39

                                          @maharadah

                                          Vous avez raison, je suis bien nul d’oublier qu’il est possible de rencontrer des ............ comme vous sur ce site. Mais d’où sortez-vous ? De quelle caverne d’obscurantistes où l’on s’injurie faute de comprendre ? Oui, je suis bien nul de ne pas savoir que ça pouvait à ce point exister.


                                        • Malossi 8 février 2009 19:07

                                          c’est du terorisme d’état rien de plus et rien de moins !
                                          normal quand on a mis un flic a la tete de l’état et qui aime le blé par dessus tout, ça donne60 millions de rackettés qui ferment leur gueule et crachent au bassinet..
                                          Tiens, ils ont qu’a interdire la mort par un décret ces braves gens !
                                          Il reste encore de la liberté dans les pays emergeant, c’est là bien sur que les amoureux de la vraie liberté se cassent dès que possible en nous disant, pauvres français, démerdez vous !
                                          combien je les comprends, vivement que j’ai un peu de blé pour me casser aussi, on va vous laisser entre vous, vous aimez trop vous soumettre dans ce pays, c’est navrant !
                                          A chacun son destin, et si quelqu’un doit mourrir et bien il mourra, sur la route ou ailleurs, faut s’en prendre à Dieu, bande de voleurs !
                                          Ces maffieux empechent purement les gens d’aller nourrir leurs familles en prétextant la diminution des morts sur la route, foutaise et foutage de gueule, seul notre blé et nous humilier les intérressent, ils ont instauré une dictature en douceur et le peuple ne dira ni ne fera jamais rien !
                                          C’est quand ces connards ont instauré leur merde de permis a point qu il aurait fallut mettre le pays a feu et à sang, pas lacher, tout bloquer, tout casser, conduire une auto est un droit, mais sous cette dictature c’est devenu un privilège pour ceux qui pourront se payer des chauffeurs !
                                          les français ont encore ce qu ils méritent, si ils avaient eut des couilles a l époque de l instauration du permis à mpoint, on en serait pas là ou ont en est...
                                          Tiens le vietnam ça a l air cool, on va sérieusement envisager la question, c’est plus possible le sarkosysme, ça commence à puer le nazisme !!!



                                            • chmoll chmoll 10 février 2009 07:17

                                              gendarmerie, commissariat

                                              ces casinos tournent a plein régime ,faut voir leur machines à sous sur pieds,ils s’en donnent à coeurs joie

                                              les braqueurs de banques ect ect ont de beaux jours devant eux

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès