Le co-pilote. Une seule explication possible
LE CO-PILOTE DE L'A320 BARCELONE-HANOVRE
UNE HYPOTHESE SUFFISAMMENT ETAYEE POUR EXPLIQUER L'INEXPLICABLE.
Les témoignages dont j'ai eu connaissance concernant le co-pilote (et sans doute aussi ceux qui m'ont échappé) portent tous sur son comportement dans sa vie courante.
L'incompréhension est totale, rien, nous dit-on, ne pouvait laisser prévoir que cet homme « bien sous tous rapports » causerait volontairement sa mort mais surtout celle de 149 autres personnes innocentes.
Malheureusement, en le jugeant sur son apparence et son comportement actuels d'adulte on n'a aucune chance de voir apparaître la cause de son acte. Parce que cette cause (dont je reconnais n'avoir aucune preuve) est enfouie dans son inconscient.
Je suis mu par mes observations directes et ne suis pas « autorisé » dans ma démarche. Cependant, les scientifiques disposent aujourd'hui de résultats d'études, notamment en neurosciences, qui confirment très largement ce que les pionniers ont observé empiriquement. Ces pionniers se nommaient PIAGET, SPITZ, BOLXBY, AYNSWORTH, DOLTO, d'autres encore.
L'une de ces études, notamment, éclaire particulièrement l'acte a priori inimaginable, sidérant, inexplicable etc., qui nous occupe aujourd'hui.
Cette étude, déjà connue, est rappelée par le magazine « science et vie » du mois d'avril 2015 qui vient de paraître. Elle a été faite en 2009 à l'université Mac-Guil de MONTREAL. Les résultats montrent que les cerveaux des suicidés comportent très souvent des modifications épigénétiques et que ces modifications sont courantes chez les sujets qui ont été maltraités dans leur enfance (dès la conception précise un chercheur de Mac-Guil). Il faut entendre par « maltraitance » toutes les conditions inadaptées aux besoins et aux possibilités d'un enfant et susceptibles de provoquer un stress intense et répété.
Il est très difficile, et c'est le cas général en l'espèce, de reconstituer les conditions de la vie d'un enfant, et surtout d'un très jeune enfant, pour faire apparaître ces éventuelles situations de maltraitance, car les indications fournies par les enfants devenus adultes comme par les parents sont toujours très réduites et peu fiables, Il est donc pour le moins probable que les enquêteurs ne remonteront pas aux causes des dérèglements mentaux et affectifs dont souffrait très vraisemblablement le co-pilote.
Ce qui veut dire que les conséquences des conditions inadéquates infligées aux enfants (maintenant par la modernité) continueront à se produire puisqu'elles ne sont pas dénoncées. Elles ne se produiront pas dans des conditions aussi dramatiques bien sûr. Quoique… Dans l'Histoire en effet, nombre de catastrophes de grande ampleur ont eu aussi pour origine la maltraitance subie par ceux qui en sont responsables Ce fut le cas pour Hitler et Staline.
Dans la vie courante les modifications épigénétiques négatives conduisent aux mal-être, aux difficultés à vivre, au manque d'empathie et d'estime de soi, à la dépression etc.
La présence dans un avion d'un co-pilote dans ce cas n'est pas une grande surprise. Il existe de très nombreux cas de personnes à l'inconscient miné qui occupent des postes où ils ont des responsablités parfois importantes. Il y en a parmi les personnels des professions médicales, chez les enseignants, dans les administrations, dans l'armée, etc.
Une étude Européenne (représentée en France par le docteur ROBILE à l'INSERM) chiffre l'ensemble des personnes peu ou prou atteintes psychiquement à 75 % de la population. 30 % auraient des difficultés pour faire face aux nécessités courante de la vie. Je suis moi-même arrivé à ce pourcentage de 30 % minimum dans l'estimation que j'ai faite sur un petit périmètre géographique du nombre de personnes qui laissent apparaître des difficultés à avoir une vie satisfaisante pour eux et pour leurs proches. Une « consultation » de l'UNICEF France estime que 36,3 % des enfants et adolescents sont en difficultés psycho-affectives, que 28,1 % pensent parfois au suicide et rappelle que 10,8 % passent à l'acte.
Malheureusement il est déjà bien tard pour corriger les causes de ces dérives mortifères, c'est à dire, pour l'essentiel, pour corriger suffisamment les conditions dans lesquelles vivent les très jeunes enfants. C'est bien là qu'il faut porter le fer puisqu'il est avéré que les mal-être adultes sont contractés pour l'essentiel pendant la petite enfance.
Il est bien tard car la maltraitance socioculturelle des enfants est incluse dans l'organisation sociale après plusieurs décennies de promotion d'une idéologie dominante qui a sacrifié l'enfant. Ainsi l'auteure de l'article de science et vie que j'ai cité a donné une toute petite place à l'information Mac Guil sur la maltraitance des enfants comme cause des malformations psychoaffectives. Elle a aussi incité à accuser surtout la génétique (accuser les gènes c'est innocenter la société des adultes). Elle titre son article : « Suicide, il cache une vraie maladie » et sous-titre : « Adversité, problèmes psychologiques. Pas seulement ! Derrière le passage à l'acte se cachent aussi des prédispositions biologiques. Une découverte qui change la vision de ce fléau. » (Vraie maladie, prédisposition biologique et même la façon dont on doit voir ce fléau).
En y regardant d'un peu près on voit bien que la découverte qu'il fallait mettre en exergue c'était la maltraitance des enfants véritable cause première, bien pointée par Mac Guil. Par ailleurs, le fait que l'auteure n'ait pas signalé que les « prédispositions biologiques » de l'espèce sont issues des modifications épigénétiques, elles-mêmes provoquées par la maltraitance, est aussi à remarquer.
Nous retrouvons ici comme partout le lobby du déni de la maltraitance des enfants. Attendons-nous à ce que ce lobby presque toujours protégé nous emmène vers une insécurité de plus en plus grande.
73 réactions à cet article
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Vraiment beaucoup d’effort à faire pour sauver cet article, à la direction faussée
Le caractère absurde est patent ;La maltraitance des enfants est sans doute un vrai problème, tout comme le sida, la misère sociale, l’endoctrinement religieux, mais rien ne dit qu’une de ces causes est à la source de l’explication de cette monstruosité.L’auteur impose aux forceps une explication qui n’a rien à voir sur les causes de cette tragédie, se perdant dans une affirmation gratuite, bancale, déshonorante pour la famille qui n’a sans doute pas besoin de ça.Et en plus très dangereuse : Puisqu’elle déresponsabilise ce criminel, en expliquant l’origine du mal par un autre tiers, ce crime n’étant qu’un retour de refoulé.Quand aux causes et aux explications d’un suicide, cela n’appartient pas aux sciences exactes. C’est la rencontre d’une personnalité, plus ou moins structurée, qui dans une phase de décompensation, ou de crise, exogène, endogène, peut être tentée de passer à l’acte.Ici, il ne s’agit pas d’un raptus, mais d’un acte prémédité, accompagné d’un meurtre, cette caractéristique bien signifiante d’une personnalité paranoïaque, imbue d’elle même, voulant donner une grande ampleur médiatique à son geste !Ce criminel à une cause, tout comme un dhihadiste peut en avoir une : Mais ici, il s’agit de son petit ego, son moi, qui’il veut galvaniser et transformer en maître du monde, enfermé dans sa cage, par le biais du sacrifice de 150 victimes, condition pour le médiatiser, et le rendre ainsi immortel.Ainsi pourrait on dire, cela est exactement le contraire d’un suicide, qui consiste à fermer le couvercle sur soi.Les criminels nazis devaient ressentir à peu près les mêmes frissons.-
@bakerstreet
Je sais que je suis toujours de l’autre côté du miroir, mais j’ai tendance à me méfier des explications avancées toutes affaires cessantes.D’autant que celle-ci arrange beaucoup de monde : les constructeurs, les pilotes et les gouvernements.Aussi je vais glisser un doute dans les esprits formatés, même si j’ai aussi un doute sur mon doute.Mais si on ne fait pas le tour de toutes les possibilités, on passe souvent à côté de la plaque.Donc il y a d’autres hypothèses, dont celle-ci :http://www.brujitafr.fr/2015/03/vol-de-l-a320-le-gros-mensonge.htmlOn peut en discuter, pour être certain d’avoir bien fait le tour.Ceci étant posé, la version officielle parait plausible, d’autant que les anti-dépresseurs modernes sont connus pour favoriser le passage à l’acte en levant les inhibitions. Mais ma règle, depuis le 11 Septembre, est de ne jamais accepter une version officielle sans la mettre au moins en doute. -
@doctorix
Il semble tout de m^me qu’il y est un ensemble de preuves concomitantes.Avec préméditation, le fait de transporter 150 passagers n’étant pas un frein mais au contraire un élément indispensable du passage à l’acte.
Sinon, vous avez raison de pointer les responsabilités des antidépresseurs, mais ils agissent souvent en raptus. Ce n’est pas le cas ici.Autre illusion : Le crible d’un suivi médical incomplet,, ne reposant que sur quelques postulats un peu borgne : Intellect puissant, corps sain, donc pensée ad hoc....Ce truc n’arrange vraiment personne. La psychose n’est jamais une bonne affaire. Les constructeurs vont être obligé de revoir leurs protocoles. Une porte blindée c’est bien joli, mais c’est vrai qu’il y a toujours deux cotés....On s’enferme pour faire disparaitre la menace, en oubliant qu’elle est dedans.Cela me rappelle la nouvelle d’edgar Poe : La mort rouge -
@bakerstreet
Je ne croyais pas trop à mon hypothèse, formulée pour la forme et par principe, mais il semble que tout ne soit pas limpide :Pour un spécialiste français, les explications données par le procureur de Marseille ne tiennent pas.Et si le procureur de Marseille était allé trop vite en besogne ?Près de 48 heures après le crash de la Germanwings, Brice Robin avait donné des explications détaillées au sujet des circonstances de la tragédie lors d’une conférence de presse en direct, uniquement en se basant sur les enregistrements de la boîte noire.« C’est un peu précipité », déclarent certains spécialistes, dont Gérard Arnoux, invité jeudi soir dans Le Grand Journal sur Canal Plus.Président du comité de veille de la sécurité aérienne et ancien commandant de bord, Gérard Arnoux s’est dit très étonné par les révélations faites par le procureur de Marseille, « qui a peut-être été mal informé ».Selon lui, plusieurs choses ne collent pas dans la version qu’il a donnée au cours de la conférence.1. La respiration du copilote. « Le procureur nous dit que, pendant toute la descente, on entend le souffle du copilote.Moi qui ai dix-huit ans d’expérience, je peux vous certifier qu’on ne peut pas entendre le souffle de qui que ce soit, à moins que ce ne soit un asthmatique. Et encore, je n’en suis pas sûr…Chez moi, on a par exemple demandé à la compagnie de nous donner des casques antibruit tellement on n’arrive pas à se parler… »2. Il actionne le système pour amorcer la descente. Le procureur de Marseille avait également signifié qu’on entendait, dans les enregistrements, le copilote actionner le système qui permet à l’avion d’entamer sa descente. «Cela ne fait strictement aucun bruit », indique Gérard Arnoux. « Il n’y a que l’enregistreur des paramètres de vol qui nous le dira (NdlR : soit la deuxième boîte noire).Par contre, la descente est cohérente avec une telle action. »3. « Où était le bruit strident de la porte ? »« C’est peut-être une omission mais normalement, quand le commandant de bord réclame l’ouverture de la porte avec un code standard au début, et si ça ne répond pas, il le fait avec un code d’urgence qui est spécifique à cette machine.Et à ce moment-là, au bout de 30 secondes, la porte doit s’ouvrir. Sauf si effectivement le pilote empêche la porte de s’ouvrir. Mais on ne nous a jamais parlé du bruit strident que ça fait pendant trente secondes. C’est une alarme extrêmement forte. » -
À bakerstreet,
Je pense aussi que cet article est mauvais et que tout ça est fumeux(Ce n’est pas vraiment rigolo... mais bon !)
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Finir par s’auto-détruire ça peut arriver à tout le monde.
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Je recommande le film « 7 morts sur ordonnance » à ceux qui ne l’ont pas vu. -
Encore faut-il croire les yeux fermés l’explication officielle.
Que tous les média mainstream nous servent.
Certains pensent différemment et se posent des questions.
Moi aussi.http://reseauinternational.net/assez-de-mensonges-sur-le-crash-de-lairbus-a320/
La « vérité » qu’on nous sert et a laquelle l’auteur croit est-elle si limpide ?
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@pens4sy
Vous avez raison : le monde est un vaste complot !Au secours, au secours ...
PS
J’espère que vous n’avez pas de licence de pilote. -
@amiaplacidus
Il n’est pas interdit, et c’est même un devoir, de formuler des hypothèses alternatives, quand nos gouvernement nous ont habitués à tant de mensonges.Par exemple, si un organisme étranger que je ne citerai pas, capable de maîtriser de l’extérieur les commandes d’un appareil, ou d’en désactiver les sécurités, voulait faire pression sur un gouvernement (allemand par exemple) soupçonné de faire ami-ami avec un République de l’Est que je ne nommerai pas non plus, ce serait un bon moyen.Et dans ce cas, les gouvernements victimes n’aimeraient pas en faire état, et se précipiteraient sur toute hypothèse alternative avec bonheur. -
@pens4sy
Cet accident est horrible !!
Le responsable, si c’est bien lui n’est ni barbu, ni arabe, ni musulman.
Dernier détail insupportable. Il est allemand et blond.
L’horreur, quoi.Nan ! Je déconne...
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@amiaplacidus
Plusieurs faits sont incompatibles avec la version du gouvernement :
On peut refuser de regarder ces faits en face et préférer accepter ce que raconte la télé, même si c’est complètement idiot (respiration régulière du co-pilote enregistrée dans le cockpit, .pulvérisation totale de l’appareil contre une paroi rocheuse sans laisser de trace d’impact, absence de corps).
Les sauveteurs sur place, et les experts en crash aériens, eux, se posent de nombreuses questions .C’est la liberté d’esprit.
Si vous voulez croire a ce que vous raconte toutes les chaines de télé, tous les journaux dont le New York Post a l’origine des « révélations » du contenu de la boite noire, libre a vous et au troupeau de moutons auquel vous appartenez..
Bonne continuation sur TF1 et consorts.
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À pens4sy,
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Pour ma part je n’ai pas attendu les américains ! Le suicide ce n’est pas l’explication « officielle » donc, ce qui n’empêche nullement les communicants de nous balancer des mensonges dans les détails par exemple. -
@Croa
J’ai pourtant bien regardé la couleur des rétros... Ben, c’était pas la même sur la photo de l’avion au décollage et celle sur les archives...
Et si ça se trouve, c’était un test pour un nouveau psychotrope fabriqué par Mollah Omar.
Mais ça, personne ne nous l’avouera !! -
L’auteur veut surement dire qu’il faut laisser *TOUT* faire aux enfants pour ne pas les traumatiser : exit la fessée !
Pourtant, quand celle-ci etait d’usage « courant », c’est a dire pas réprouvée par on ne sait quel sociopathe a l’esprit enfumé par la combustion de sa moquette, la dépression n’etait pas un sujet si important... tiens, peut-etre que le commandant du Titanic avait été maltraité dans sa prime jeunesse....-
Une nouvelle forme( d’éco )terrorisme !,inutile de se bourrer le fion de TNT.
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@rajex
D’après ce qu’on dit, ça fait très mal avant que ça explose...
Moi, déja, un simple « supo », je pleure demi-heure, j’imagine pas le reste !!
Un coup à se déshydrater complètement !! -
La grille de lecture préférentielle de l’auteur (son explication des dysfonctionnements du monde) c’est les maltraitances de l’enfance. Soit. C’est un problème réel, avec des répercutions à l’âge adulte, dont certains n’arriveront jamais à se défaire complètement, on en connait tous.
Là où ça dérape, c’est quand on applique « en force » sa grille de lecture à un événement, quel qu’il soit, à l’exclusion de toute autre explication, fermant la porte à d’autres hypothèses jusqu’à refouler les éléments de réalité qui ne rentreraient pas dans la grille.
Cet article en est une parfaite illustration.
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Ranger Piaget à côté de Dolto, c’est un crime pire encore que de tuer 150 personnes en crashant un avion.
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Publié le 27/03/2015 à 07:33
Roland Coutanceau a publié Violences aux personnes aux éditions Dunod.Qu’est ce qui peut conduire quelqu’un, soi-disant sain d’esprit, à entraîner d’autres personnes dans la mort ?
Je ne crois pas que nous ayons affaire à un homme atteint d’ une maladie mentale qui aurait échappé à tout le monde. C’est peu probable compte tenu de son cursus.
Ce copilote suicidaire était donc une personne normale ?
Il y a plusieurs hypothèses. Soit il s’agit d’un acte terroriste secret sans qu’aucun élément sur l’idéologie de cet homme n’ait suinté. C’est-à-dire que, comme un espion dormant qui se réveille, il a préparé seul son acte animé par une conviction absolue. Cet acte est d’ailleurs bien organisé, réfléchi. Il a fait preuve de lucidité et de sang-froid. Il peut aussi s’agir d’un suicide agressif du type de ceux perpétrés par les meurtriers de masse. Il se dit : « Je signe ma sortie par un coup d’éclat et je reste dans les annales ». Son geste peut également avoir été décidé pour se venger de quelqu’un, d’un collègue, de sa compagnie, en réponse à des humiliations… Il est alors dans une souffrance dévorante et obsédé par sa passion de vengeance. Les gens ne sont plus que des pions. Son geste prouve qu’il avait malgré tout une composante dépressive, qu’il était égocentrique et mégalomane ».
Recueilli par Guillaume Atchouel-
@Raymond SAMUEL
Donc, il n’est pas atteint d’une maladie mentale, mais il est bien atteint quand même !!!
mais si c’est un expert qui le dit... -
Je peux bien vous jurer, cher auteur, qu’il y a des suicidés qui n’ont pas été des enfants maltraités !
Que la psychose paranoïaque peut aussi passer par d’autres canaux ! Les manquements, qui ne sont pas répertoriés comme maltraitance, sont bien aussi nocifs que celle-ci, et surtout, peuvent être commis sans « mauvaise intention » !!
La saga de l’histoire familiale, des secrets de tous ordres ne sont pas, non plus, inopérants dans la construction des névroses... bref...-
Les dernières infos semblent confirmer l’hypothèse 2. Quant à la maladie mentale, la dépression grave en fait cliniquement partie. Il ne s’agit pas là d’un coup de blues qui va passer.
Pour l’éventuelle composante mégalomaniaque du co-pilote, c’est un trait de caractère (psychologie) pas une pathologie (psychiatrie). Dans le cas présent, les deux s’ajoutent, se renforcent et s’aggravent, hélas.
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Ce qui est consternant est qu’ aucun des commentaires se rapportant à la tragédie de German Wings il n’ est fait état que la compagnie German Wings, filiale du fleuron allemand de l’ aéronautique Lufhansa, a connu par DEUX FOIS un incident gravissime qui a empêché d’ un fil une tragédie.
Ces « incidents » ont TOUS LES DEUX eu pour cause l’ émission d’ air vicié (phénomène du bleed air) provenant des réacteurs de l’ avion dans la cabine et dans le cockpit.
Le premier cas date de décembre 2010(vol 753).
http://www.welt.de/politik/deutschland/article109512118/Germanwings-vertuschte-Beinahe-Absturz-ueber-Koeln.htmlLe dernier de janvier 2015.
http://www.austrianwings.info/2015/02/offenbar-oeldaempfe-in-cockpit-von-germanwings-a320/Dans un des cas (connu !), le pilote a eu un arrêt de travail de six mois et a subi un suivi psychologique, puisque es gaz sont des neuro-toxiques.
Or, qu’ entend-on proclamer jusqu’ à la nausée sur toutes les ondes ?
Qu’ Andreas Lubitz a été en arrêt maladie et a subi un suivi psychologique, fait employé maintenant A CHARGE CONTRE LUI, un personnel de German Wings.Fait marquant aussi, les pilotes de Lufthansa (dont German Wings est la compagnie low costs) avaient entamé un mouvement de grève, qu’ ils ont interrompu après la chute de l’ avion de leur employeur...
Quant aux grèves chez German Wings, il suffit de lire le lien pour connaître à quels problèmes son personnel est exposé.
http://www.air-journal.fr/2014-10-16-greve-chez-germanwings-80-des-vols-assures-5117813.html
Chacun sait que les pilotes de Lufthansa n’ en étaient pas à leur premier mouvement de grève et qu’ en règle générale, les pilotes sont des salariés comme tous les autres, soumis à des dérèglementations comme tous les autres aussi.
Il s’ agit donc dans cette tragédie, de reconnaître -sauf à faire partie de la caste des dirigeants de cartels-, qu’ au lieu de tomber à bras raccourcis sur un co-pilote, dont à priori on ne connaît que ce que ses employeurs (d’ une honnêteté extrême...) ont crié sur tous les toits, avant tout qu’ il s’ agit d’ une tragédie impliquant AUSSI des salariés d’ une entreprise dirigée à la façon des requins des autres branches d’ activité, dont tout un chacun peut SUBIR un jour les conséquences, s’ il ne les subit pas déjà dans son propre environnement du travail.Je terminerai cet article à décharge pour Andreas Lubitz, que je ne connais pas, mais à qui j’ accorde par esprit de JUSTICE, d’ abord la présomption d’ innocence, d ’ autant plus qu’ il m’ apparaît que la responsabilité de German Wings, filiale de la compagnie Lufthansa, le fleuron de l’ aéronautique allemande et la protégée du gouvernement Merkel est très exactement engagée.
Je rapporte ici en guise de conclusion, les propos d’ une personne qualifiée.Selon Pekka Henttu, responsable de l’aviation civile finlandaise, les pilotes de Germanwings étaient inconscients pendant la descente de l’avion avant le crash. Sa déclaration est basée sur les enregistrements sonores du vol 4U9525.
« Les enregistrements indiquent que les pilotes étaient apparemment inconscients », a dit Henttu à Yle, ajoutant que la chute s’est interrompue plusieurs fois.
Vu les enjeux financiers et politiques en jeu, je crains fort que justice ne soit jamais rendue à Andreas Lubitz, comme à des millions d’ autres avant lui.
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@lloreen
Je vous cite en autre :
"Vu les enjeux financiers et politiques en jeu, je crains fort que justice ne soit jamais rendue à Andreas Lubitz, comme à des millions d’ autres avant lui".
Bien oui, voilà un bouc émissaire tout désigné.
Paix en son âme comme à tous ceux partis dans cette tragédie.
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@lloreen
Alors, d’après vous, l’Allemagne ne serait pas ce pays magique où tout le monde est heureux de vivre et de faire fortune ??
Ah mince !!
Ca casse toutes mes idées reçus, ça !!
Merde alors.
Je suis déçu... -
Je me disais il manque un article sur le crash de l’A320
Je pense que le copilote comme Sarko et Valls, avait été bercé trop près du mur étant bébé.
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Vous vous présentez comme un chercheur . Soit je m’étonne que çà ne vous est pas parvenu qu’il existe , encore une autre approche , que la sempiternelle opposition inné/acquis , génétique/relationnel , etc ...
Et surtout que çà laisse les gens démunis quant à savoir ce qu’est un enfant bien traité d’un maltraité , donc crée une culpabilisation outranciére et méne à l’enfant gaté , qui est une autre forme de maltraitance .
Peut étre faudrait il aborder quand méme ces phénoménes affectifs qui s’opérent à l’insu des uns et des autres dans la trés jeune enfance et méme avant pendant la grossesse , ou du biologique s’engramme sans pour autant étre génétique et que le relationnel c’est aussi et surtout corporel .-
Et bien sûr,dans cet article,pas un mot sur les nombreux médocs contre les troubles psychiques retrouvés par les enquêteurs au domicile du copilote !
Pas un mot sur les effets secondaires de ces drogues qui entraînent le passage à l’acte !Comme d’habitude,nous allons assister au défilé des psychiatres sur les plateaux de télé et comme d’habitude personne ne leur posera de questions sur les effets secondaires des traitements qu’ils prescrivent !L’industrie pharmaceutique peut tranquillement continuer à faire d’énormes profits, peu importe les nombreuses victimes de ces drames dont les auteurs sont sous l’emprise de drogues psychiatriques !-
@Claire29
Les médicaments de l’humeur peuvent il est vrai générer des troubles secondaires, et s’avérer incompatibles sur certains individus, c’est pourquoi il est toujours préférable d’être hospitalisé, et d’avoir un suivi lors d’une prescription.Ce n’est pas la panacée, mais a donné un coup de main à certains. Il faut trouver l’équilibre. Comme pour tout, c’est une question de mesure.Ca ne sert à rien de tirer sur la pharmacopée, si ce n’est dans l’extravagance des prescriptions. La France est la dedans championne du monde. La faute à qui ? Au médecin qui prescrit, au malade qui exige, aux labos qui poussent..... ?Qui a le courage et la patiente d’attendre des traitements ou des solutions alternatives ?Un problème, un medoc....Surtout ne pas absoudre le responsable de ce crime monstrueux, prémédité, planifié.Ca serait ajouter encore un peu plus à la l’abomination -
@bakerstreet
Quelle patience vous avez. Félicitations. Vos arguments sont d’une clarté assez évidente et empreint d’un bon sens qui ne peut que déplaire à tous les zozos experts auto proclamés qui savent.Des experts en suicide à ceux qui dénoncent les effets secondaires des médicaments, on trouve aussi les spécialistes de l’aéronautique et du pilotage. Tous avancent LEUR vérité. Quels éléments ont-ils pour arriver à de telles conclusions ? Rien que leur immense prétention à savoir. Comme preuve de leur gratuites allégations chacun y va de son lien vers un site assez fumeux ou le rédacteur étale sa prétendue science.Je vous réitère donc toutes mes félicitations à tenter de mettre un peu de bon sens sur ce sujet sans grand espoir de réussite, je crains. -
@Aristide
L’auteur du drame de Newton, qui coûta la vie à 26 personnes (une majorité d’enfants),était sous Fanapt, un antipsychotique dont les effets secondaires catastrophiques sont pourtant bien connus,l’auteur d’une fusillade en Californie qui a aussi poignardé à mort trois autres personnes, prenait des médicaments psychiatriques (Xanax) etc.,tous les auteurs de ces tueries ont un passé psychiatrique ou sont sous antidépresseurs,psychotropes ou autre drogue psychiatrique,pour quels résultats ?134 agences de réglementation des médicaments de onze pays (États-Unis, Royaume-Uni, Canada, Japon, Australie, Nouvelle Zélande, Irlande, Russie, Italie, Danemark et Allemagne) et l’Union européenne avertissent que les antidépresseurs provoquent des effets secondaires qui peuvent entraîner le passage à l’acte.Le bon sens serait d’en tenir compte ! -
@Claire29
Attendez, tout de même, vous annoncez que tous les « auteurs » qui ont un passé psychiatrique prennent tel ou tel médicament, c’est un fait. La démonstration n’est en rien faite que ce sont les médicaments seuls et exclusivement qui sont les seules causes du « passage à l’acte ».Tous ces processus sont extrêmement complexes, des personnalités complexes aussi, des passés assez lourds, ... enfin il me semble assez simpliste d’analyser ce « passage à l’acte » seulement sur les effets d’un médicament.Il serait complètement imbécile d’exclure de l’analyse la prise de médicaments, il le serait autant de ne le faire que sous l’aspect du traitement médicamenteux.C’est la tentation assez facile d’essayer de trouver une explication simple à ces actes hyper complexes à comprendre que sont les suicides. Il y a toujours, oui toujours de multiple causes. L’auteur de l’article voudrait que le passé explique exclusivement l’acte. Tout le monde comprends que c’est une multitudes de raisons. Souvent il s’agit d’un concours de causes qui expliquent ce passage à l’acte,S’il s’agit de tenir compte que l’auteur été sous traitement, il ne m’a pas semblé que cela a été ignoré, au contraire cela participe de l’explication et heureusement sans vouloir apporter une explication globalisante unique, première ou je ne sais quel qualificatif qui voudrait rendre l’explication évidente. -
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CLAIRE 29,
Vous avez raison, les drogues médicamenteuses sont redoutables. Mon billet n’a pas la prétention d’être exhaustif, il est destiné à alerter sur la cause première et principale.
Merci de votre participation.-
@Raymond SAMUEL
cause première et principale ?Vous avez fait un diagnostic à partir de quoi ? De vos préjugés ?Si vous avez prétention à tenir une démarche scientifique, il vous faudrait utiliser un des principes les plus important, le doute. Pas celui qui concerne les propos officiels sur le drame, celui que tout scientifique pose en permanence sur sa démarche, sa méthodes, les faits exposés, les biais d’analyse, ...Enfin le doute sur ce que vous annoncez comme étant un fait démontré alors qu’au mieux c’est une hypothèse parmi les milliers d’autres étalées ici comme des VERITES indiscutables. -
@Aristide
Le nombre, non officiellement chiffré, c’est vrai, d’adultes en difficulté psychique, 36 % d’enfants (43 % d’adolescents) qui se déclarent en difficultés psychoaffective, 10 % de passages à l’acte/suicide par les enfants/ados, 75 % d’Européens reconnus par des scientifiques comme psychiquement atteins 30 % souffrant de handicaps graves, la littérature, les conditions très visibles de la façon dont sont traités les enfants par la modernité et l’école en regard de leurs besoins naturels, font que NON, je ne chercherai pas parmi les MILLIERS d’hypothèses que vous me proposez. Je ne me ferai pas complice du lobby qui sacrifie délibérément les enfants au confort des adultes et je ne collaborerai pas avec ceux qui pratiquent le déni. -
@Raymond SAMUEL
Votre problème est justement votre incapacité à voir plus loin que l’hypothèse unique et globalisante que vous formulez.Vous croyez que vous avez démontré quoique ce soit seulement en alignant des chiffres indiscutables sur le « mal vivre », les « maladies psychiatriques », ... Votre conclusion n’a rien à voir avec un raisonnement scientifique, elle se rapproche de certaines croyances qui font appel à la seule foi.Sur les enfants, sachez que la frustration est une réponse à l’opposition. Cette frustration est indispensable à la réalisation d’un adulte qui conservera des désirs et donc sa volonté de les réaliser sans tomber dans la dépression ou la violence. C’est un apprentissage. Si vous avez des enfants vous savez que l’apprentissage le plus difficile dans ce monde actuel est celui de l’acceptation de l’interdit, l’opposition, la résistance à l’échec même. L’enfant apprend de ses échecs et des limites que l’on lui impose, il se forme le « caractère » pour affronter les incontournables aléas que la vie ne manquera pas de lui réserver.Dans notre cas, sans vouloir faire de diagnostic définitif, humblement on peut supposer que le pilote était incapable de supporter la frustration de ne plus pouvoir être pilote ou de parvenir à son objectif professionnel, ajoutez à cela quelques autres échecs et vous avez une personne qui rentre en dépression et ne raisonne plus.Surement que d’autres sentiments, faits seront révélés et éclairciront ce drame. -
Le fait même de naître, c’est à dire d’être extraire sauvagement d’un environnement aquatique, protecteur, calme, familier à un tout autre environnement plus agressif à tous points de vue, doit-être l’expérience la plus traumatisante de notre vie.
Nous saurions alors tous des psychopathes en puissance !-
ALINEA,,
Bien sûr qu’il doit y avoir des suicidés qui n’ont pas été maltraités dans leur enfance !
Mais personne ne peut nier qu’un cerveau est plus fragile depuis la conception jusqu’à six/sept ans au moins, qu’un cerveau adulte..
C’est une évidence, mais il faudrait que les conséquences de ce fait soient mieux connues (enseignées au lycée par exemple).-
@Raymond SAMUEL
Enseignées par qui ?
Il faut juste enseigner l’humilité, et quelques savoirs d’un autre ordre que l’occidental contemporain semble peu apte à admettre !
Déjà qu’on ne peut pas tout empêcher, qu’on ne peut se protéger de tout, que des milliers d’aléas nous dépassent,etc.
Accepter l’inconnu, et, autant le dire, l’inévitable !
Il y a les calculs de probabilités, mais là aussi, il faut une science empirique qui puisse les imaginer toutes !
Parler de ce drame, c’est normal, mais... aucune leçon à en tirer, je veux dire, directement ; or cela ne manquera pas de se faire ! -
@alinea
Mais voyons, les bras m’en tombent !
On peut chercher pourquoi les trains déraillent mais pas pourquoi les avions percutent le sol ? A moins, si j’ai bien compris qu’il ne faille pas chercher non plus pourquoi les trains déraillent ?
Et aussi ce serait malvenu de travailler à réduire (ou arrêter l’augmentation) le nombre de malades psychiques (ou physiques d’ailleurs) ! -
@Raymond SAMUEL
Ce n’est pas ce que j’ai dit ! Il faut quand même admettre que cette histoire n’est pas à mettre sur le dos de « l’erreur » humaine, comme c’est souvent le cas !
L’erreur humaine, on peut faire des tas de choses - et surtout donner des conditions de travail au top - quand il s’agit de telles responsabilités- ; mais ici ?
Si vous avez une idée de comment arrêter les maladies psychiques en restant dans notre bordel ambiant, n’hésitez pas ! -
@Raymond SAMUEL
Vous avez sans doute une hypersensibilité au sujet des traumatismes de l’enfance, cela pour des raisons qui vous appartiennent.Néanmoins, cela dégénère en parfait sophisme, surtout quand vous sortez le terme « d’évidence », bien peu adapté déjà pour parler de conjonctures humaines, et encore moins dans ce cas particulier.Si personne ne peut nier qu’un cerveau d’enfant est fragile, il reste à déterminer le rapport que cela peut avoir avec cette affaire.Vous ne faites que des spéculations gratuites alimentant le sens de la roue de votre moulin, dont vous avez déjà décidé du sens.Cela frise l’absurde et la farce, tout autant que l’aveuglement ; car ce concept appliqué pour comprendre tous les aléas de la vie vous rend aveugle à des raisons plus rationnelles.Quand à cette idée fumeuse d’enseigner les conséquences de ces faits à des adolescents, elle me parait très fumeuse et inepte, conséquemment au fait que les cerveaux des ados sont malléables et influençables : Leur enseigner plutôt la philosophie et les systèmes de pensée, afin qu’ils se structurent eux même me parait plus judicieux que de les placer sous la dépendance de gourous se gargarisant de concepts qu’ils ne maîtrisent pas -
@Raymond SAMUEL
Je pense aussi que rajouter un « tantinet » de frustration permet à l’enfant et adolescent d’accepter l’inconfort de ces situations ou l’on n’a pas ce que l’on désire. L’apprentissage de la résistance à la frustration fait partie du rôle des parents, et par expérience il est très difficile de le faire dans un monde ou la réalisation de tous les désirs est vue comme la seule voie pour atteindre le bonheur. -
A force de chercher une raison à toute chose, ce qui est tout à fait respectable, on serait tenté de trouver une excuse à tout désastre...
Un jour peut-être, quand les humains auront grandi, ils réaliseront vraiment qu’ils sont tous imparfai0st. Ce qui fait le charme de notre humanité et notre richesse. Cette différence que les imbéciles renient. Suivez mon regard.-
SAMAGOA95,
Certains ont dit que le jour le plus important de la vie c’était le jour de la naissance. Je n’en suis pas sûr, bien que le fait d’atterrir très rapidement sur le plateau d’une balance ne soit sûrement pas favorable.
Les traumas les plus dangereux sont ceux reçus pendant la période pré-verbale. Reçus hors la parole ils resteront étrangers au sujet, bien cachés dans son inconscient. Certains chercheurs ont estimé que 40 % des décisions prises par les adultes le sont sous l’emprise de l’inconscient.-
Je pense qu’il vaut mieux consulter « vétérans today », Porte verouillé, suicide
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Il a vraiment bon dos le co-pilote., paix a son âme, il est plus que probablement innocent.
Il se prend tout sur la gueule, mais personne dans les médias ne le traite de terroriste, pourquoi ?
Si c’est lui, dépressif ou pas, il a commis un attentat suicide. Comme les islamistes.
Mais lui, c’est juste un malade mental, normal il est allemand.
C’est une histoire qui pue
.http://www.veteranstoday.com/2015/03/28/who-was-on-the-plane/
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@Extra Omnes
Ce sont aussi des éléments dont il faut tenir compte.Même si dans un proche avenir cela va être de plus en plus impossible à cause de la proposition de loi « anti-conspirationniste » de Monsieur Le Président de la République Hollande .
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Vous auriez dû ecrire votre article sur la maltraitance sans le lie au crash, cela aurait été moins farfelu.
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@Rmanal
La soif de vengeance est un sentiment universel mais tout le monde ne passe pas à l’acte.
- Qui sont ceux qui passent à l’acte ?
- Qui sont ceux qui ne passent pas à l’acte ?
Un billet sur la maltraitance sans faire apparaître les conséquences (réelles ou possibles) n’est pas très utile, étant donné l’habitude du déni.
N.B. pour vous aussi défendre les enfants c’est être farfelu ? -
@Raymond SAMUEL
Cette tentative avortée elle aussi de mise en cause personnelle est affligeante. Seriez vous le seul à savoir et à défendre les enfants ? Serait ce donc que tous ceux qui ne partagent pas votre jugement ne savent défendre la cause des enfants ?N’ajoutez pas la malveillance à votre impossibilité à comprendre un raisonnement scientifique. -
Vachement capillotracté votre analyse....
Je n’ai jamais connu la maltraitance dans mon enfance ; ce qui ne m’a pas empêché de connaitre durant ma vie d’adulte de graves périodes de dépressions avec tentations suicidaires....Alors franchement, je rejoins Bakerstreet sur la totalité de son commentaire, sympa pour la famille du gars....-
Pour éviter toutes surprises ou problèmes, pour les postes à responsabilités il faudrait prendre des personnes n’ayant pas eu d’enfance. Sacré casse-tête.
La définition de meilleur n’est acte parfait dans monde parfait mais acte le plus juste possible dans un monde imparfait.
Avoir conscience que l’on est faillible est déjà un grand pas vers la sûreté. Il faut pas demander l’impossible, il ne faut pas demander aux autres ce que l’on ne sait pas faire sois-même.
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Cette façon de se jeter sur le fait que le co-pilote soit « sous traitement », ce qui ne veut strictement rien dire, pue à plein nez. Rien que cela permettrait déjà à la famille un recours contre son employeur pour divulgation du secret médical. Si tant est que son employeur ait été au courant, puisque, justement, le secret médical sert justement à EVITER toute divulgation à un tiers, quel qu’ il soit.
Ce fait me semble donc tout à fait révélateur d’ une manipulation.Il paraît que les « enquêteurs », un mot qui recouvre tout et rien...Tout le monde sait que les enquêteurs ont des supérieurs hiérarchiques et tout le monde sait aussi quelle est leur raison d’ être : un étouffoir.
Des « enquêteurs » qui retrouvent des médicaments...Ils peuvent avoir été placés là par des personnes qui ont eu accès au domicile du pilote.
Et si traitement il y a eu, j’ ai relevé dans mon commentaire ci-dessus l’ origine qu’ il a pu avoir.
Que German Wings prouve par A+B que l’ air de ses avions n’ a jamais été vicié, ce qu’ il sera dans l’ IMPOSSIBILITE de prouver puisque la compagnie a été par DEUX FOIS confrontée à un problème gravissime d’ air vicié (bleed air) dans deux de ses avions (consulter les liens).
Ceci dit, le problème touche aussi d’ autres compagnies...Le personnel navigant exposé à cet air vicié est donc GAZE puisque ces vapeurs sont NEURO-TOXIQUES et j’ ai bien relevé dans les cas sur lesquels je me suis penchée, le fait que d’ AUTRES personnels navigants ont eu des arrêts de 6 mois avec suivi psychologique, justement SUITE à ces expositions qui entraînent des conséquences gravissimes pouvant entraîner l’ invalidité définitive (cas connu).
Par conséquent, cette rumeur ou pire, cette accusation est purement mensongère et c ’est même une honte car au moment où j’ écris ces lignes, d’ AUTRES avions sont en l’ air avec le même problème !
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AGAFIA,
Oui, je vous entends bien :
- 1°) Tous les maltraités ne deviennent pas maltraitants ou/et assassins. Beaucoup deviennent l’inverse. Et pour ceux qui passent à l’acte le seuil est différent pour chacun en fonction de sa nature, de son histoire, de la profondeur des atteintes subies, de l’évolution de sa vie etc., mais il est évident (oui, évident) que la souffrance psychoaffective dans l’enfance (surtout dans la petite enfance) abîme le psychisme et il est encore plus évident qu’un psychisme abîmé est plus fragile que celui qui est en bonne santé. Plus le nombre de ces personnes psychologiquement abîmés est grand, plus il y a de souffrance humaine et plus il y a de suicides, assortis ou non à des tueries.
- 2°) Tous ceux qui n’ont pas été maltraités ne sont pas en bonne santé psychique. Certains naissent avec des maladies congénitales, l’hérédité, et l’épigénétique ne sont pas des mythes.
Ce que beaucoup de commentateurs, dont M. Bakerstreet, font, c’est d’utiliser ces cas marginaux pour combattre, non pas les dérives sociétales majeure, mais ceux qui les combattent ! Curieusement, certains s’accrochent systématiquement à des principes « scientifiques » (le doute) qui leur permettent de ne rien faire contre beaucoup de malheur « évidemment » (je persiste) évitables.
N.B. Vous dites que vous n’avez pas été maltraitée. Mais vous n’en savez rien !
a) Les enfants croient que leurs parents avaient raison. Devenus adultes ils endossent le rôle de parent. Il est rare qu’ils rapportent des faits de maltraitance. De plus les traumas éprouvés pendant la période pré-verbale sont enfouis définitivement dans l’inconscient, on ne peut plus en avoir connaissance avec le mode langagier lequel est acquis postérieurement.
Les parents, de leur côté, croient avoir bien agit, fait « de la bonne éducation » (voyez la plupart des commentaires ici-même),
b) il faudrait s’entendre sur le mot « maltraitance ». Ce qui n’est pas maltraitance pour des adultes lambda l’est souvent pour des enfants fragiles par nature et très peu compris par des adultes qui deviennent parents dans une société entièrement tournée vers la vie professionnelle.-
Une autre cause : affaiblissement du champ magnétique et glissement de celui-ci. Donc excès de rayonnements. Il se trouve que comme par hasard les pilotes de ligne sont très exposés ; en second lieu, il y une hypersensibilité individuelle. Notez bien que des aurores boréales sont descendues jusqu’en France récemment.
Bon, de tout ceci on ne va guère parler. Il ne manquerait plus que la populace percute ce qui se passe, on s’est assez démené pour qu’elle croit dur à des sornettes comme science, médecine, réchauffage climatoc et surtout culpabilisation. ’Tout est de ta faute, chéri’, as usual.
Le premier principe à comprendre : les changements survenant dans la sphère intermédiaire (atmosphère et surface) sont conditionnés par des changements dans la sphère inférieure (souterrain, entrailles du globe), lesquels sont conditionnés par des mouvements dans la sphère supérieure (le cosmique).
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Sauf que avec cette nouvelle information comme quoi des témoins et des personnes sur place au lieu de l’accident constatent avec étonnement qu’il n’ ya pas trace d’impact du crash de l’avion sur le flanc de la montagne ,étonnant non !, vu la force de l’impacte d’un airbus lancé 700 km/h qui a pulvérisé l’avion en miette ,et on a trouvé une partie de l’avion en amont loin du lieu de l’impact
et d’autre part des témoins ont signalé qu’il ya eu une explosion et des fumées sur l’avion avant qu’il n’arrive sur le flanc de la montagne , mais aussi que trois mirages ont été aperçus dans les parages
tout le scénario du copilote dépressif envoyant l’avion crasher sur le flanc s’écroule avec ces informations suggérant plutôt une explosion de l’avion en l’air avant le contact avec la montagne
autre information , des spécialistes disent qu’il est impossible de reconnaître et distinguer les voix à cause de l’énorme bruit de fond dans la boite noire ,et donc impossible d’entendre le son d e la respiration humaine et de la manipulation de bouton comme cela a été affirmé par les officiels
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- Saura -ton un jour la vérité ,j’en doute
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Si on récapitule les médias, le crash serait le produit sorti ex-nihilo d’un esprit suicidaire ?
un peu trop facile comme résuméJe suis Airbus*
Par IL SIMPLICIMUS – Le 29 mars 2015 – Source, Venerdì 27 Marzo 2015 sinistrainrete
Dommage que ce ne soit pas un attentat de l’Isis : la déception pour ce motif manqué de peur et d’alarme, qui pleuvrait comme une manne sur les nombreux comptes à rendre annoncés en Europe, se perçoit à l’œil nu, elle entre dans les humeurs et vous frappe à l’estomac. Au point que les médias et en particulier la RAI marginalisent dans une certaine mesure l’évidence d’un incident dans la chute de l’Airbus de German Wings, et basent leurs commentaires sur l’arrière-pensée de l’attentat, mettant fortement l’accent sur le filon de la sécurité.
S’il n’y a pas de motif concret d’alarme, si les événements de Tunis n’ont pas rapporté assez en termes de distraction, si les cellules djihadistes composées d’Albanais peuvent susciter quelque doute et créer une certaine confusion géographique, on peut exploiter tout triste événement en le lisant à la lumière du comme si c’était un attentat potentiel.
Du reste, c’est ce qui se passe en Europe : le fait que Hollande, Merkel et Rajoy (pourquoi pas aussi Renzi, puisque l’impact s’est produit à quelques kilomètres de la frontière italienne ?) se rendent sur le lieu de la tragédie, comme si ce n’était pas un accident, en dit long sur le désir d’évoquer un ennemi extérieur, seul outil exploitable pour simuler un sentiment de solidarité désormais introuvable sur le continent – et comme démonstration d’une sensibilité autrement inexistante, mais simulable au moyen d’un tant soit peu de démagogie voyageuse. C’est une vraie malchance de ne pas pouvoir s’offrir une promenade avec la pancarte Je suis Airbus.
Avec des retournements paradoxaux, car le crash, comme en témoigne parfaitement la protestation des pilotes de German Wings, provient justement des dérégulations à l’américaine adoptées par Bruxelles et de la surexploitation subséquente de machines et pilotes : si l’Airbus est arrivé à la cote des 13 000 mètres, altitude non prévue pour ce type d’appareil dont le plafond est d’à peine 12 000 mètres, et donc potentiellement et sérieusement critique pour un appareil qui a 23 ans sur les épaules, et qui venait d’être réparé quelques heures auparavant, c’est dû selon toute probabilité à des systèmes qui ont subi des dysfonctionnements (à cause du gel, suppose-t-on) ou au manque de lucidité de pilotes poussés à bout. On voit donc venir en triste pèlerinage ceux qui devraient se demander s’il est juste de tout sacrifier au profit et au marché, comme ils l’ont fait et continuent à le faire.
Ce serait se conduire en chacals – et, de plus, banalement rituel – de dire qu’il s’agit d’une tragédie annoncée. Toutefois, il est impossible de ne pas voir que la hâte d’avoir des avions prêts pour le vol parce que le temps c’est de l’argent, le renoncement à investir dans la sécurité parce que contraire au profit – même quand de nombreuses situations critiques dénoncent la nécessité de modifications dans les projets ou les protocoles, l’exploitation du personnel navigant et des pilotes qui sont incités par le chantage à l’emploi à éviter de nuire au business même en présence de doutes, sont des facteurs qui augmentent incontestablement les risques. Et ce n’est peut-être pas un hasard si, dernièrement, le nombre des incidents a augmenté, surtout de ceux qui ne s’abattent pas avec fracas sur la chronique des faits divers, mais sont des tragédies évitées d’un poil.
De ce point de vue, il y a peu de différence entre les compagnies, disons normales, ou nationales et les compagnies low cost qui se distinguent surtout par une structure financière différente : elles sont en fait subventionnées, plus que par les billets, par des contrats avec des organismes publics et des sociétés locales, liés surtout au tourisme, qui veulent, à tort ou à raison, des aéroports et les liaisons qui vont avec.
Ainsi donc, paradoxalement, le fer de lance du capitalisme volant est en réalité soutenu, de façon substantielle, par l’argent public. On voit à présent se dessiner une crise due au fait que les investissements faits il y a 10, 15, 20 ans arrivent à leurs limites opérationnelles et demandent des dépenses notables, que ce soit pour l’acquisition de nouveaux appareils ou pour l’entretien en profondeur des anciens, tandis que l’exploitation intensive du personnel est déjà au maximum et son recrutement de moins en moins sélectif. La seule solution, c’est d’économiser sur l’entretien épisodique qui échappe aux contrôles.
Bien, mais de cette sécurité, on ne parle pas du tout. On essaie de la noyer dans autre chose, même quand cette autre chose n’a rien à voir avec le problème, pour ne pas devoir mettre le doigt sur le modèle qui s’est imposé et qui est celui de la gouvernance européenne. On meurt parfois du marché.
* en français dans le texte.
Traduit par Rosa Llorens, relu par Diane pour le Saker Francophone
Rosa Llorens est normalienne, agrégée de lettres classiques et professeur de lettres en classe préparatoire.
http://lesakerfrancophone.net/je-suis-airbus/-
Autre hypothèse intéressante à vérifier, d’importantes manœuvres aériennes militaires avaient lieu dans la zone au même moment !
piochés dans les commentaires qui font suite à l’article de Nice-Matin du mardi 24 mars 2015, « Crash d’un A320 : les dix dernières minutes du vol 4U9525 » ICI
bruzzisi 24/03/2015 à 19h14
Descente rapide, mais contrôlée par les pilotes (ou le pilote auto) ; faute de quoi l’inclinaison aurait été bien plus forte. Si panne ou incendie moteur, la vitesse aurait bien diminué également (surtout avec 1 réacteur sur 2 éteint). Donc, pas de panne moteur. Pas de détérioration majeure de la structure non plus, car l’avion serait parti dans une série de vrilles avec une descente proche de 3000 mètres par minutes (voire même plus) et avec un impact au sol en 2 à 3 minutes (et non, au bout de 10 mn). Perte de pressurisation ? C’est possible. Dans ce cas, les pilotes effectuent une descente de 3000 pieds par minute (environ 1000m/mn) pour rejoindre une altitude proche de 3000m. Par contre, l’élément qui me trouble un peu, c’est la présence d’un avion ravitailleur de l’Armée de l’Air, dans la zone où l’Airbus a commencé sa descente fatale. Ce ravitailleur faisait ses rotations (ce qui est normal pour une station service volante) à 40000 pieds (13000m) et se trouvait à moins de 10 km de l’Airbus. Des avions de chasse (dont on ignore la nationalité) se trouvaient également dans la zone du ravitailleur (pour faire le plein). Les témoins « sonores » du crash les ont entendu et vu quelques instants après la déflagration liée au crash...
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Bilice06 25/03/2015 à 02h18
A vrai dire, c’est vrai qu’un ami habitant le nord des Alpes-maritimes, m’a dit qu’il a remarqué une forte activité de forces aériennes dans le coin, dont le dernier qui est passé tellement bas que de son jardin’ il pouvait presque voir le pilote, et qui a fait peur à ses enfants et fait sortir sa femme en panique. L’armée serait-elle responsable en partie de cette tragédie ? Une nouvelle technologie qui a fait chuter l’avion, brouillant les communication ...
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bruzzisi 25/03/15 à 10h38
Le truc, c’est que l’avion a commencé à amorcer sa descente (qui s’est faite sur une distance de 150 km en environs 10 mn) peu après être passé au dessus de La Ciotat. Que s’est-il passé à ce moment là ? Dépressurisation de la cabine ? Si tel est le cas, tout ce qui n’était pas attaché dans l’avion a été aspiré vers l’extérieur (y compris d’éventuels passagers ou hôtesses de l’air, si le trou dans la carlingue est suffisamment gros). Ce ne serait pas la première fois qu’un passager essaye de sortir de l’avion en plein vol ! On devrait donc retrouver des objets de cet avion dans les environs du lieu où la descente s’est effectuée. Mais ça, je ne sais pas si les autorités vont faire effectuer des recherches dans ces secteurs.
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Andreas Lubitz aurait-il fait une crise de somnambulisme ?
(Source Ouest-France)
Cette théorie est très sérieusement défendue par le Quotidien du Médecin [1]Selon le professeur Patrick Clervoy, chef du service de psychiatrie de l’hôpital militaire du Val de Grâce, spécialiste du stress et psychiatre référent du centre d’expertise médical des personnels navigants (CEMPN) de Toulon, « l’enregistrement de sa respiration régulière jusqu’au crash ne prouve pas que le copilote est dans une démarche volontaire, et par conséquent qu’il est en état de conscience, mais atteste qu’il est en vie, simplement en fonction végétative et inconsciente. Il semble dans un état dit de coma vigile, communément appelé état de rêve éveillé, ou encore état crépusculaire ; (...) le sujet est en capacité d’effectuer des gestes automatiques. En revanche, il n’est pas en mesure de réagir aux signaux que constituent les alarmes et les cris. (...) Cela corrobore aussi l’hypothèse somnambulique ».
[1]Crash de l’A320 de Germanwings : l’hypothèse somnambulique est la seule médicalement envisageable à ce jour
Christian Delahaye, 27.03.2015 ICI-
La thèse la plus plausible est celle d’un accident pharmacologique. On ne connaît ni sa pathologie, ni sa médication, les deux sont cachées derrière le paravent du secret médical. Le Big Pharma est certainement à oeuvre pour occulter ces questions et tant pis pour les accusations du conspirationnisme. On produit un tas de molécules censées lutter contre le coup de blues, augmenter les performances en agissant sur les neurotransmetteurs, dans le domaine où la physiologie et la psychologie se croisent. A vrai dire on n’y comprends que dalle, la psychologie n’est pas une science exacte et ses prédictions ne fonctionnent jamais à 100%. Avec la recherche du profit on va parfois un peu vite en besogne, les nouvelles molécules ne sont pas téstées sous tous les aspects et les accidents comportementaux surviennent, surtout quand le patient interrompt brusquement le traitement. Tout ce qu’on peut dire c’est que le copilote de ce malheureux Airbus n’était pas dans son état normal. On a trouvé des médicaments chez lui, des arrêts maladie déchirés, son médecin a été interrogé, mais on ne nous dit pas d’avantage. C’est bien pratique, le secret médical, pour masquer les responsabilités des vrais coupables, ceux qui l’ont laissé piloter alors qu’il savaient qu’il n’avait pas le droit. Sa famille, son médecin, son pharmacien, ses collègues de travail... , il n’est pas possible que personne ne soit au courant, quand quelqu’un prend les médocs, les proches s’en aperçoivent. Le médecin devait connaître son métier, c’était donc son devoir d’informer les autorités compétentes que son état était incompatible avec l’exercice de ce métier. Et je suis persuadé qu’un des médicaments qu’il prenait avait comme effet indésirable connu le risque de suicide, surtout en cas d’arrêt brutal du traitement.
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@Deneb
effectivement très pertinent, merci -
@Jean eh bien, ce matin on a publié la liste de ses médocs, je ne l’ai pas vu en écrivant ma réaction :
médicaments :
L’olanzapine - traitement de la scizophrénie et
L’aglomélatine - un andidepressseur mélatoninergique.Le mec était carrément schizo. Quand un médecin préscrit ce genre de médicament, il doit connaître le travail du patient, c’est obligatoire. Il va sans dire que la prise de ces médicaments est incompatible avec le pilotage. Le responsable c’est le médecin qui n’a pas prévenu le médecin de travail de Germanwings. Et tous ceux qui savaient.
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@Deneb
Merci DENEB . Bien dit. Mais si le sujet prend des drogues c’est parce qu’il a une (des) déficience psychoaffective. La vraie question est : pourquoi est-t-il en mauvaise santé psychoaffective ?
Il faut examiner cette « cause des causes ».
Comme je l’ai dit plus haut, la cause de l’état psychique déficient du co-pilote peut être congénitale (dans ce cas ces personnes seront toujours un risque pour elles et pour les autres, quoi qu’on fasse et quoi qu’elles fassent).Mais il est au moins probable que les (la) pathologies du co-pilote aient été acquises postérieurement à sa naissance parce que c’est le cas de très loin le plus fréquent.
Le crash de l’avion et la mort de 150 personnes était donc, dans ce dernier cas, vraisemblablement EVITABLE (en éliminant la cause de la pathologie).Il ne faut donc pas se taire ou chercher des biais mais dire haut et fort que nos modes éducatifs (ajoutés aux cas congénitaux et liés notamment à la surconsommation) causent des dommages psychiques pour 75 % des personnes. Pour 30 % de la population les dommages seraient visibles et empêcheraient les sujets d’avoir une vie « normale » (selon une étude européenne reprèsentée en France par le Docteur ROBINE à l’INSERM).
Ce qu’il faut obtenir c’est l’examen approfondi , honnête, indépendant (notamment de la culture actuelle), de haut niveau de compétence, de nos modes éducatifs. Malheureusement, nous sommes loin, dans le domaine dit éducatif, de la rigueur scientifique comme de l’humilité nécessaire et de la volonté d’agir.
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@Deneb
Étonnant votre réaction, après avoir avancé le risque « médicamenteux » en le présentant comme une fatalité incontournable. Voila que le médecin serait LE responsable.Il est assez étonnant que vous ne compreniez pas que ce sont de multiples facteurs concordants qui entraînent tous ces drames. Expliquer un tel comportement d’une complexité assez considérable par UNE raison unique est une erreur de jugement, quoi qu’en pensent tous les experts autoproclamés de ce forum, les responsables de l’enquête possèdent plus d’éléments pour juger que vous n’en aurez jamais.Un minimum de modestie serait tout de même bienvenue pour qui apporte un « avis d’’amateur » sur ce sujet difficile. -
@Aristide
Il n’y avait pas de multiples facteurs concordants, il y avait un fou qu’on a laissé piloter un avion de ligne, la question est pourquoi et qui l’a laissé piloter alors qu’on savait qu’il était fou. Pas si compliqué, non ? Et on cherche à savoir ça, pour éviter désormais que les fous s’emparent des commandes, que ce soit en aviation ou en politique. -
@Deneb
Vous écrivez tout de même « un fou qu’on a laissé piloter un avion de ligne ». D’accord.Allez on analyse votre « proposition » c’est donc un fou OK on pourrait parler plus précisement du comportement d’un fou. Qui est ce « on » de « on a laissé piloter » ?. C’est à la fois le millieu médical extèrieur, celui de la compagnie, ...A partir de votre propre analyse qui est insuffisante, mais bon le sujet n’est pas là, il y a au moins trois faits, le comportement d’un fou, la non détection de la dangerosité par le milieu médical externe et le défaut de contrôle de la santé de la compagnie.Vous voyez que l’on peut facilement aussi décomposer ce que vous appeler un fou en « comportement d’un malade psychiatrique sous traitement médicamenteux qui est passé à l’acte ». On peut essayer de faire la part du chimique et du psychique.Vous ignorez aussi le contexte d’un avion ou le poste de pilotage est protégé avec des avantages et des inconvénients.Allons, pour être encore plus simple que ce que vous avez écrit, on pourrait dire que cet un accident exceptionnel, et s’en remettre à la destinée et éviter d’analyser en détails les circonstances qui ont abouti à ce drame.Toute analyse sérieuse des raisons d’un accident est multi-factorielle. Ce n’est pas mon invention, c’est la méthode utilisée par tous les spécialistes. Le rapport du BEA sera surement plus explicite que tout ce que l’on peut écrire et fera assurément nombre de préconisations pour palier les lacunes constatées dans les procédures mises en oeuvre. -
@Deneb
il n’est pas absolument certain que le copilote soit un fou ,il y’a d’autres possibilités qui explique le crash de l’avion que l’attentat sui-cide du copilote-Dire que le copilote est un fou est un préjugé découlant de la campagne médiatique pour le faire passer pour un fou -
Le sujet est intéressant, mais l’article manque cruellement de références. Dommage.
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L’ Airbus de German Wings a lancé un appel de détresse. Il faudrait quand même commencer à comprendre que le co-pilote n’ a A AUCUN MOMENT été suicidaire et arrêter de croire les histoires à dormir.
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=d8mgADCYpqQ
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La compagnie German Wings a par deux fois frôlé des catastrophes en raison du phénomène de l’ air vicié (bleed air) très bien connu par les compagnies, low costs ou non.
Premier cas.
Décembre 2010, un avion (vol 753) de German Wings a failli s’ écraser sur Cologne et on imagine ce que cela aurait pu entraîner comme situation catastrophique.Deuxième cas.
Un A320 de German Wings frôle de justesse la catastrophe suite à l’ air vicié de la cabine en janvier 2015http://www.austrianwings.info/2015/02/offenbar-oeldaempfe-in-cockpit-von-germanwings-a320/
http://www.avherald.com/h?article=4813d384&opt=0Le fait que le personnel navigant soit soumis à l’ air vicié entraîne de graves lésions neuro-toxiques.Dans de nombreux cas, ces personnels ont eu des arrêts maladie de SIX MOIS avec un suivi psychologique et certains ont été placés en invalidité et ne pourront plus jamais mettre les pieds dans un avion.
Ces personnels sont donc des VICTIMES d’ accidents du travail et il est scandaleux de vouloir retourner la situation au point de dédouaner l’ employeur de sa responsabilité en lançant une version d’ un pilote suicidaire ou fou.
Sans compter qu’ une action extérieure n’ est pas exclue non plus.
Il s ’ avère de plus que le vol de German Wings crashé dans les Alpes a LANCE UN APPEL DE DETRESSE avant de s ’écraser.https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=d8mgADCYpqQ
D ’autre part, l’ on peut se poser la question -ou plutôt la demander au ministre français de la défense !- pourquoi trois avions de chasse Mirage survolaient la zone au moment où l’ avion de German Wings s’ y trouvait aussi .
Sur l’ ordre de qui se trouvaient-ils là ? Et pour quelle mission ?Il faut définitivement cesser de croire à cette version totalement mensongère du co-pilote suicidaire.
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D’ autres faits devraient susciter la réflexion.
Comment se fait-il que les dires de Monsieur Kratky, un des membres de la direction de Lufthansa
contredisent Monsieur Hollande.Selon Monsieur Hollande, la deuxième boîte noire a été trouvée, mais la puce intégrée s’ était envolée... Monsieur Kratky, quant à lui, déclare que la deuxième boîte noire n’ a pas encore été trouvée...Il faudrait peut-être que ces « spécialistes » se mettent d’ accord.
Ces boîtes noires ont une fâcheuse tendance à disparaître quand ce qui s’ y trouve enregistré ne correspond pas à ce qui est raconté à la population.
On a une suggestion à faire à ces experts pour qu’ ils n’ aient plus aucun problème de boîtes noires à l’ avenir : les fabriquer avec le même matériel que le passeport retrouvé dans les décombres du WTC 1, qui a résisté à une température ayant fait fondre l’ acier et à la pulvérisation du WTC 2.Les boîtes noires sont équipées d’ un signal pour favoriser leur repérage. Par conséquent elles auraient dû être localisées depuis bien longtemps. Pourquoi le directeur de Lufthansa dit-il le contraire. Cette deuxième boîte noire aurait-elle été emportée pour ne fournir aucun renseignement contredisant la version officielle ?
Poser la question c ’est déjà y répondre.
On ne connaîtra sûrement jamais la vraie raison du crash de l’ avion de German Wings mais deux choses sont certainse : le co-pilote n’ était pas suicidaire et la version officielle est mensongère.
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