Le socialisme et les mentalités de Gauche ont provoqué l’effondrement de notre école
Le socialisme est-il le fossoyeur de l’éducation en France ?
La question peut sembler provocatrice mais dans notre pays, qui dépense plus que ses partenaires européens (pas moins en tout cas), comment expliquer nos désastreux résultats éducatifs sans tenir compte de l’ambiance socialiste qui prédomine dans les écoles depuis plus d’un demi-siècle ?
Le socialisme (qui est de fait majoritaire dans les esprits et au ministère de l’EN depuis 1968) n’est-il pas le premier responsable de la situation déplorable des apprentissages en France ? :
- Renoncement généralisé au travail, au dépassement de soi,
- Culture du moindre effort, du minimum syndical,
- Egalitarisme et psychologisation à tout va,
- Culture de l'excuse permanente.
Des sociologues viennent nous expliquer à longueur d’articles et de revues que les cartes seraient biaisées dans les familles et dans les écoles ou que les "héritiers" empêcheraient les pauvres d’apprendre (ou parfois qu’apprendre ce serait se soumettre à l’ordre établi des maîtres de l'école mais aussi de la société).
Si les pauvres n’apprennent pas en classe ce serait donc d'abord la faute à la société, à la fatalité, aux déterminismes sociaux ou (encore) au "manque de moyens".
Bref au lieu de tirer les enfants (et les familles) vers le haut pour qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes le socialisme ambiant leur trouve de bonnes excuses pour ne pas fournir d'efforts, ne rien faire en classe (de toute façon tout le monde passe et tout le monde aura son bac).
La volonté de tuer la sélection, de mélanger toute une génération dans le collège unique, de supprimer les redoublements et d'offrir à chacun un diplôme (le "droit de l'homme du diplôme"), tout cela pourrait avoir abouti à rendre notre école à la fois totalement inégalitaire (seuls ceux qui sont poussés et stimulés par leur famille s'en sortent) et parfaitement inefficace.
Les apprentis sorciers socialistes de l'école avaient promu les maths modernes, la lecture globale, la déconstruction ou la destruction de l'histoire chronologique, l'éleve au centre du système, 80 % de bacheliers, le traitement social du chômage (on garde tout le monde jusqu'à 25 ou 30 ans dans le système éducatif)...
Aujourd'hui l'école est à terre mais cela n'empêche pas la Gauche de crier à la destruction de l'école publique (ou des services publics) alors que c'est elle qui est sans doute la première responsable de notre situation sociale, financière et éducative.
Il aura fallu 1/2 siècle à nos expérimentateurs sociaux pour détruire l'école publique, combien de temps faudra-t-il pour la reconstruire (sans que la Gauche s'en mêle à nouveau) ?
76 réactions à cet article
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Curieux ça, je croyais que les « maths modernes » avaient été promues bien avant les socialisses, 1968 ou 69, si je ne m’abuse.
Et je ne vois pas trop le rapport avec les difficultés de l’EN, bien plus complexes que votre discours à charge.
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@pasglop
La théorie des ensembles a été enseignée au lycée bien avant mai 68.
Parlez-nous plutôt de cette arnaque au profit de l’enseignement privé :
’’Lycées privés : révélations sur une rallonge de 1,2 milliard d’euros d’argent publicÉducation et enseignement supérieur — Enquête
Mediapart a enquêté sur les « bonus » que les régions accordent, bien au-delà de leurs obligations légales, à certains lycées catholiques. Inconnue jusqu’ici, l’ampleur de ce financement public est jugée « stupéfiante » par certains élus de gauche.’’
source : mediapart.fr
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@Garibaldi2
Je me souviens surtout des rudiments de l’algèbre de Boole au début du collège, la théorie des ensembles ayant été abordée rapidement à la fin du primaire.
Pour le reste, clientélisme habituel, les relations et les carnets d’adresses, ça s’entretient, surtout avec l’argent des autres.
Pour autant, ma petite fille entre Lundi en sixième dans le privé.
La nuée de tourmenteurs hystériques qu’elle a connue ces trois dernières années et la réputation du collège public (je ne parle pas des enseignants) ont emporté la décision.
Mieux ou pas, je n’en sais rien, mais j’ai bien conscience que c’est un processus sur lequel les autorités ferment les yeux, à minima. -
@pasglop Théorie de ensembles, en 6ème, année scolaire 1964/1965 pour moi, continuité en 5ème. après, il me semble qu’on est revenu à du classique, équations, Thales, Pythagore
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On peut regretter aussi la disparition du rituel de la Distribution des prix en fin d’année, rituel mis au rancart après mai-68, premier fossoyeur de l’Enseignement. Plus d’émulation, plus de goût de se surpasser...
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« Notre prison est un royaume », roman de Gilbert Cesbron à propos d’un lycée parisien. Le lycée (public) n’est plus ni une prison ni un royame. C’est une pétaudière.
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La question peut sembler provocatrice
J’adore cette propension des droitardés à se croire des rebels, des dissidents, alors qu’ils mangent dans la main du pouvoir.
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@Opposition contrôlée
C’est qui la main du pouvoir, vous pouvez balancer des noms ?
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@Opposition contrôlée
Vous pouvez développer ? Vous allez bientôt nous présenter les gauchiasses comme des résistants au système que l’on rigole vraiment fort ? -
@Maître Yoda
@Julien30
Qui lave le cerveau des gamins, et dans quel intérêt ? Répondez à cette question, et trouverez le « coupable ».Cette idée de l’école, flottant dans le néant est totalement absurde, et typique des faux débats — récurrents — de prétendus provocateurs. Ce n’est pas l’école qui « transmet des valeurs » etc, etc, les gamins sont formatés par la publicité, les séries télé, et tout le reste de la merde Internet, propriété de multinationales, de gros capitalistes, évadés fiscaux, qui ne rêvent que de contrôler une foule d’esclaves abrutis.
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’’Le socialisme et les mentalités de Gauche ont provoqué l’effondrement de notre école’’
— >
Notre école ? Vous connaissant, je dirai que l’effondrement de l’école républicaine devrait vous réjouir, vu qu’elle n’est probablement pas votre école.
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La droite et l’extrême-droite les plus bêtes du monde.
La ressemblance n’étant pas une coïncidence puisqu’elles s’échangent des voix depuis un moment déjà afin de donner le change en offrant deux cartes à jouer à notre chère (= qui ne paie pas sa part en impôts entre autres) oligarchie
Encore un fin limier de la famille qui aurait du se renseigner sur les gens à qui il s’adresse.
Qui c’est-y qui a quasiment pendant cinq ans supprimer la formation des enseignants et inventer les heures sup défiscalisées qui ont profité à 80% à l’Education nationale parce qu’il fallait compenser aussi les suppressions de postes par ailleurs ? Qui c’est-y qui a diminué les moyens de l’enseignement supérieur comme ministre du champion évoqué en affaiblissant par ailleurs la recherche fondamentale au profit de la recherche en entreprise et qui est actuellement présidente de la plus grande région de France et ancienne ministre de l’enseignement supérieur du champion évoqué ? Qui c’est-y qui a lancé une réforme du lycée qu’il a fallu amender en urgence, aidé l’enseignement primaire en prenant des moyens au collège et lycée et oublier de paramétrer les moyens du supérieur en fonction de la poussée démographique. Entre autres. Numéro deux du ministère de notre champion évoqué puis ministre à part entière de son homologue actuel.
Vous pouvez vous amuser à mettre au bon endroit les noms suivants : Pégresse, Macron, Sarkozy, Jean-Michel Blanquer, tous de bons socialistes exemplaires.
Qui c’est-y qui ne sachant pas quoi dire a eu l’idée lumineuse de proposer un uniforme pour tous faute d’y connaître un peu quelques chose et de cacher qu’elle en a rien à foutre ?
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@Octave Lebel
Les noms et faits que vous citez relèvent de la droite et du centre, et le collège unique était également une idée de ce bord. Par contre l’objectif de 80% de bacheliers vient du camp d’en face, il a suffit d’ajuster le gabarit.
Le bloc national étant soigneusement écarté des gouvernements, on ne voit pas quelle serait sa responsabilité sur cette question. -
@Eric F
80% c’est avec la création du baccalauréat professionnel en 85 ( Chevènement) donc par une volonté de revalorisation de l’enseignement professionnel au constat de notre retard parmi les pays de l’OCDE. Abandonnée depuis puisque que l’on a enlevé des horaires d’enseignement général pour des élèves sortant de collège,en ayant déjà moins, et devant accéder plus tôt au marché du travail.On sacrifie la part de formation générale qui est déterminante pour l’évolution d’un être humain y compris professionelle mais pas seulement, son adaptabilité et sa capacité à exercer sa citoyenneté. Signé Blanquer.C’est intéressant de voir le parcours scolaire de nos ministres et voir ce qu’ils trouvent bon pour les enfants des autres.
Maintenant pour les ambitions du RN, ne vous gênez pas, expliquez-nous -
@Octave Lebel
C’est chez vous obsessif de tout ramener au RN, alors que le présent sujet traite du niveau actuel de l’éducation avec les réformes successives de gauche ou droite au pouvoir.Mon avis qui n’engage aucun parti, il me parait préférable que les classes soient de niveau relativement homogène, de manière que le rythme et la méthode soient appropriés au niveau des élèves.
J’ai effectué ma scolarité dans le public, en primaire les élèves étaient de niveau équivalent (population relativement homogènes à l’époque) à partir du secondaire les classes se différenciaient, parfois de manière indirecte avec le choix des filières et options.
Alors oui, il faut un enseignement général pour tous, sur la base des acquis du primaire, et le dédoublement des CP pour l’acquisition de la lecture en milieu difficile a été une bonne mesure. -
J’adore les articles à base de « des sociologues viennent de dire à longueur de temps » ... heu.. des liens ? des thèses sur le sujet ? Je veux bien vous croire mais il faut un peu illustré ses propos. On nous enseigne ça en 5eme, peut être un niveau que vous n’avez pas atteint ?
Bref, vous avez bien fait de quitter l’enseignement, déjà parce que visiblement, vous n’aimiez pas votre job visiblement, et surtout, vous êtes un très mauvais enseignant, vos articles non sourcés, au doigt mouillé, sont juste de ... la merde.J’imagine que vos cours étaient du même niveau.
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@Buzzcocks
Illustrer avec ER, c’est mieux, ça aussi on me l’a enseigné en 5eme voire avant ! -
Article très pertinent du désastre que la France connait depuis 1968 et l’avénement gauchiste avec la bénédiction de nos « amis » d’outre Atlantique instigateurs cachés de tous nos maux.
Et encore si la dégradation ne concernait que l’éducation, mais l’ensemble des services sont infectés par une motivation défaillante et contreproductive, mais au coût magistral de l’exception.
D’ailleurs les résultats sont loin d’êtres invisibles.
Parfois je me demande si la masse des électeurs va comprendre la cause de notre situation sociale et économique déplorable.
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«
- Renoncement généralisé au travail, au dépassement de soi,
- Culture du moindre effort, du minimum syndical,
- Egalitarisme et psychologisation à tout va,
- Culture de l’excuse permanente. »
C’est tout bénéf’ pour le complotisme à l’école. Il y a eu des reportages montrant que beaucoup d’élèves croyaient aux illuminatis.
Et après, l’Etat finance des groupes pour critiquer ces croyances, de vrais pompiers pyromanes.
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@Maître Yoda
’’beaucoup d’élèves croyaient aux illuminatis’’
L’enseignement n’est pas en cause, c’est une imprégnation sociétale et générationnelle, notamment jeux vidéo et films pour jeunes. Il y a un problème de confusion entre réalité et fiction, les yeux rivés sur le smatphone à toute heures ...hors salle de classe. -
@Eric F
Si l’enseignement était d’excellente qualité, je ne crois pas que les gens perdraient du temps à considérer des choses abstraites sans preuve directe. C’est une passivité intellectuelle profonde apprise par le système. -
@Maître Yoda
Il y a des gens très érudits qui croient que le fils de Dieu pouvait marcher sur l’eau et qu’il a ressuscité. A ce propos, il faut remarquer que pour que la nouvelle se sache plus vite il est apparu d’abord à des femmes !
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@Garibaldi2
Il y a érudtion et compétences intellectuelles. L’enseignement devrait donner des compétences intellectuelles.
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Des statistiques de l OCDE de l annee 2020
OECD : expenditure per student on education 2020 | Statista
En primaire la France c est 9 363 € par enfant
Les USA c est 14 273 €
et la Suisse 13 997 €
les pédiatres l affirment les premières années sont importantes .
et les pays en tête ne sont pas des pays socialistes .
Cet auteur est nul, la problématique est un peu plus complexe bien que je ne vais dresser le panégyrique de Pap ndiaye
PS j ai la fille d un collègue qui travaille en creche en Suisse ; ce que confirme cette statistique , un excellent suivi des élèves en bas age mais avec une implication du corps encadrant .
La Suisse a un meilleur IDH ceci explique cela .
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@mmbbb
il faut comparer à parité monétaire équivalente, tout est plus cher en Suisse.
Mais avec un budget comparativement moindre, certains pays asiatiques font mieux en matière de résultat, et, en Europe, la petite Estonie... -
@mmbbb
En Suisse, les enseignants n’ont pas de statut de fonctionnaire.
Les arrêts maladie à rallonge, sont donc à leurs risques et périls.
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@titi lors d un périple sur le GR entre Ceillac et Menthon j avais rencontré un enseignant français mais professant en Suisse .
Ce n est pas le même système , et ils sont évalués et ils ont une obligation de résultat .
Quant à l IDH , la Suisse est en tête et ceci indépendamment du niveau de vie .
la France , un système hypocrite , un double système , le privé ou les bourgeois notamment de gauche foutent leurs mioches et une sélection par la carte scolaire .
Brighelli agrégé de français qui a dresse un réquisitoire sur notre système, l a affirmé . Il y a eu une volonté de casser l EN et comme nous sommes en France il s agit moins de s intéresser au devenir des élèves que d imposer ses choix politiques . L idéologie prime dans ce pays .
Quant à cet auteur , il raconte un peu n importe quoi , le college unique je l ai connu ’ c est une aberration , les maths moderne ( algèbre de Boole en l occurrence ) des profs moyens ou médiocres , des profs absents , tout ceci bien avant l avènement du socialisme .
Ce type auteur auteur fut prof , je ne veux pas défendre cette institution , mais cet auteur est un abruti et pue la mauvaise foi , la sélection en France a toujours existé de facto reflet aussi la " lutte des classes " . -
@titi
Arrêtez avec le démagogisme anti-prof, des abus existent mais ne constituent pas le cas général.Un des aspects des déboires de l’enseignement est que l’on bute sur des problèmes de mentalité collective, le ’’refus’’ de tout ce qui est institutionnel devient endémique dans certains secteurs de population et se répercute dès l’enfance. Voir pour cela la typologie des ’’éléments perturbateurs’’.
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@Eric F redite je passe souvent devant le lycée du parc à Lyon .
Ecole préparatoire .
Un lycée dont l acces s effectue par la sélection .
Les profs sont aussi sélectionnés et les élèves ne sont pas l ambiance « entre les murs » de" Bégaudeau .
Ce Bégaudeau François , un des démolisseurs de cet enseignement ou le rôle central du prof a été quelque peu mis de côte sinon honni .
A Lyon , une ville constellée d ecoles privées ( certains fonctionnaires syndicalistes foutent leurs mioches et non pas à Vaulx en Velin, Rillieux la Pape ect ect
Selon que vous ayez accès ou non a ces établissements , vous n aurez pas le même cursus .
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@mmbbb
La question des établissements privés et des lycées publics d’excellence à forte sélectivité existe, cela présente un aspect d’injustice mais ce n’est pas ça qui tire vers le bas l’enseignement standard, par lequel la plupart d’entre nous sommes passés.
Les méthodes, programmes, formation des enseignants peuvent être mis en cause, mais les aptitudes et mentalités des ’’apprenants’’ et entourage sont un aspect majeur.Lorsque la sélection est basée sur le mérite cela se justifie, mais pas si elle n’est basée que sur l’argent.
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@Eric F certes , mais nous avons désormais un double « standard » de l enseignement en France .
Pourquoi feindre de l ignorer .
« Lorsque la sélection est basée sur le mérite cela se justifie, mais pas si elle n’est basée que sur l’argent. »
c est une aporie , le mérite comme tente de le nier ce prof incompétent est d autant plus difficlle dans certaines classes dont les élèves sont issus des catégories populaires .
Laurent Alexandre ce medecin urologue dont je ne partage pas toutes les idées a eu au moins cette analyse pertinente .
Il faudrait mettre d excellents profs dans ces classes , ce que l on ne fait pas .
Exemple , à Caluire ecole bilingues , Ambrosa
C est privé et les élèves peuvent déjà étudier dans de tres bonnes conditions .
Un exemple de cette ville à côte de Lyon .
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@mmbbb
Il y a le problème de l’affectation des profs, et effectivement si la ’’note pédagogique’’ est bonne, l’affectation se fera sur un ’’bon’’ poste. Erreurs de casting, il faut accentuer les ’’primes et avancement’’ pour l’enseignement en secteur difficile, et le gap franchi par rapport au niveau de départ.Les enseignants du privé sont un autre ’’corps’’ que ceux du public, mais la différence, encore une fois, porte davantage sur les enseignés que sur les enseignants. Un prof moyen sur une classe correcte a moins d’effort qu’un prof excellent sur classe difficile pour obtenir le même taux de succès.
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@Eric F
"Arrêtez avec le démagogisme anti-prof, des abus
"
J’ai été contractuel.
8 ans dans le public.
8 ans dans le privé.Je pourrais écrire un livre.
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L’auteur me semble bien confus...
Il n’a pas encore pris conscience (ou il nous prend peut-être pour des lapins de six semaines) qu’il n’y a pas eu de socialisme appliqué depuis bien longtemps en France...voire jamais...
Il ne suffit pas de prendre l’étiquette afin de leurrer l’électeur naïf pour mener réellement une politique socialiste...
La destruction de la foi religieuse, de la moralité, de l’école publique, de l’économie du pays, entre autres, ça vient bien d’ailleurs, et c’est une entourloupe bien pratique de proposer un bouc émissaire pour dissimuler ceux qui étaient aux manettes d’agitateurs sur commande en mai 1968, point de départ de tout ce foutoir...et qui a pris le pouvoir dans la foulée, un ancien de chez Roths... si je me souviens bien...
Et par la suite...Mitterrand, socialiste ? Risible...
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@Lynwec
L’auteur évoque en fait l’utopie égalitariste et le nivellement par le bas dans le cadre d’une filière unique. Cela n’a pas grand chose à voir avec les standards yankees, Rothschild ou la CIA. -
@Eric F
Bien au contraire, ça a tout à voir, malgré votre déni, puisque l’auteur titre « l’effondrement de notre école »...entre autres...
Je ne vous apprendrai surement pas qu’il a été expliqué par certains que pour détruire une nation, il faut avant tout s’attaquer à la moralité et à l’éducation de sa population... Une fois la déchéance morale accomplie, tout le reste part en sucette...
Et qui dispose des moyens pour le faire ? Qui cherche à ruiner l’Europe pour se refaire une santé économique à bon compte, comme lors des deux guerres mondiales précédentes ? Les USA... Et qui cornaque les USA ?
Cherchez l’argent, dit-on...
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@Lynwec
’’il a été expliqué par certains..’’
belle démonstration ! -
@Eric F
A ceux qui ont un minimum de culture, il n’est généralement pas nécessaire de mettre les points sur les I...
Sauf que... Ben voilà, quoi...
En conséquence :
https://citations.ouest-france.fr/citation-alexandre-soljenitsyne/afin-detruire-peuple-faut-abord-105496.htmlPlus facile d’accès :
Un sage chinois, il y a de cela plusieurs siècles, conseiller de son empereur, confia à ce dernier ceci : « Si vous voulez détruire un pays, inutile de lui faire une guerre sanglante qui pourrait durer des décennies et coûter cher en vies humaines. Il suffit de détruire son système d’éducation et d’y généraliser la corruption. Ensuite, il faut attendre vingt ans et vous aurez un pays constitué d’ignorants et dirigé par des voleurs. Il vous sera très facile de les vaincre. »
D’où mai 68 et la suite...
Le sage chinois n’a pas parlé d’immigration sauvage, c’est un bonus que nous ont concocté nos meilleurs amis...au cas où nous aurions été un peu trop résistants...
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@Lynwec
Soljenitsyne ne parlait pas de nos pays, ni tel sage chinois de l’époque impériale, vous amalgamez et confusionnez tous azimuts.Par ailleurs, l’immigration chez nous n’est pas du fait des Yankees, mais de notre propre parcours, avec la convergence des affairistes et des alter-mondialistes, sur un fond de dénatalité dans la population native.
Les yankees n’ont qu’un seul intérêt, que nous soyons solvables et dépendants économiquement -et géopolitiquement via la défense- ; Si nous coulons, ce sont des clients qui font défaut, aucun boulanger n’a intéret à ce que ses clients coulent. -
@Eric F
« Soljenitsyne ne parlait pas de nos pays, ni tel sage chinois de l’époque impériale, vous amalgamez et confusionnez tous azimuts. »
A l’évidence, Soljenistyne ne parlait pas précisément de notre époque, n’étant pas devin, tout comme le sage chinois...
Pourtant, ce qui est vrai reste généralement vrai au delà des époques, sauf cas particulier (ce qui se produit pour les changements dus aux progrès technologiques mais ne concerne pas la nature humaine, qui elle varie peu, vu que nous ne vivons pas assez longtemps pour nous améliorer réellement)...Vous prenez pour acquis que l’invasion migratoire n’est pas le fait des Yankees, ce n’est pas tout à fait faux, même si ces gens migrent souvent suites aux guerres impérialistes, mais rappelons que les Yankees connaissent le même problème que d’autres nations « démocratiques » avec l’énorme pouvoir des financiers apatrides qui sponsorisent les candidats et créent les vainqueurs et les perdants aux élections...(marionnettistes de pères en fils), et que vu que nous sommes bien dans une guerre de religion où l’objectif depuis la création du protestantisme est de détruire le christianisme réel pour faire la place à l’Ennemi, l’invasion migratoire est une arme de choix en ce domaine...
Pour preuve de leur influence et du rôle qu’ils jouent dans la régression du pays, l’émotion (de commande) tous azimuts quand la porte d’une synagogue est légèrement brûlée par les effets secondaires d’un incendie s’étant déclaré de l’autre côté de la rue
« Une explosion a été entendue à proximité de la synagogue de La Grande-Motte ce samedi matin. (...) Deux véhicules en feu ont été découverts sur le parking du bâtiment de l’autre côté de la rue. Une bouteille de gaz a été trouvée dans l’une des voitures et un potentiel suspect a été filmé par des caméras de vidéosurveillance »
Visiblement, l’établissement religieux n’était pas la cible, mais l’incident a comme souvent été récupéré...et dramatisé...
https://www.sudouest.fr/faits-divers/explosion-a-proximite-de-la-synagogue-de-la-grande-motte-deux-voitures-incendiees-darmanin-et-attal-attendus-sur-place-21120168.php?csnt=1919157c7ec
Avec force trémolos obligatoires de tout le petit monde politique, quelle différence avec les sourires goguenards des deux compères lors de l’incendie de Notre-Dame...
Un avis différent ici, prenez vos anti-histaminiques, c’est un site (presque) interdit...
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Incendie-de-la-synagogue-encore-des-complotistes-pour-insinuer-que-ce-serait-faux-76457.html -
Ah l’école des coups de trique de la mentalité droitiste... On y apprenait tellement mieux... à être docile à son patron, au curé, à l’armée, aux flics, aux juges. Même quand c’était injuste.
On fermait sa gueule.
Vive l’école de la mentalité droitiste.
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@GoldoBlack
’’On y apprenait tellement mieux... à être docile à son patron, au curé, à l’armée, aux flics, aux juges...’’
L’école publique de naguère était plutôt anticléricale. Mais pour le reste, le respect de la loi était effectivement préconisée.
Cependant les mentalités relèvent davantage de l’esprit du temps que de l’enseignement, ainsi l’enseignement conformiste n’a pas empêché mai 68, qui planait déjà dans la société. -
@Eric F
L’école publique n’était la seule « école »... -
@GoldoBlack
Vous évoquez quelle époque ?Actuellement ça se passe comme ça en Algérie par exemple.
Demandez-donc à des gosses qui en viennent.Je n’ai jamais eu de coups de trique et jamais vu quiconque en recevoir.
Le « pire » que j’ai vu, durant toute ma scolarité primaire, s’est produit une seule fois durant une récréation : un connard déjà avéré, en classe de fin d’études, courait et utilisait sa ceinture comme un fouet. Son maître, directeur de l’école, l’a attrapé par les cheveux ( même pas par une oreille ), lui a fait la morale et mis au piquet.
Je suis sûr que je pourrais faire la même chose, sans le moindre regret.Votre com. est une minable excrétion verbale ( sous forme écrite ) mêlant de la boue produite par votre esprit frelaté à des purulences intestinales dues à votre mécontentement d’avoir lu un article qui torture fort justement la délétère mentalité socialo-gauchiste.
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@jakem
Socialo gauchiste «
J’adore !
C’est nouveau le terme ?
Quant à l’article j’ai pas lu !
Faire encore remonter les problèmes de l’école à 68, cad à plus de 50 ans ,pour la cinq centième fois sur ce site ,et lire toujours les mêmes conneries , m’apparaît un challenge .On peut prendre les gens et les enseignants pour (tous) des crétins et des brutes , mais on ne me la fera pas .... !
Il y en a sans doute, des cons mais tous non !
Faut monter dans la hiérarchie et savoir sucer .D’ailleurs on n’en trouve plus !
De plus ceux qui en parlent ainsi sont peu convaincants .
Ils sont pour le moins laborieux dans leur façon à s’exprimer ;
Sauf en SMS peut être . Un jour on créera le bac spécial téléphonie ! Avec licence smartphone ....Apprendre à des morveux le français , la géo ou les maths et les retrouver sur ce site à dégoiser et cracher partout ,et en permanence , non merci !
Sont pas à l’aise pour se critiquer et reconnaître leurs propres conneries !
Par contre pour leurs ainés ça part tout seul !D’accord ! rien ne vaut les séminaires ,puis les écoles à curés , les jésuites et l’armée pour dresser la marmaille !
Et en faire de bons soldats, cadres et militants ad hoc !
Sinon il y a encore »les écoles alsaciennes" qui fabriquent paraît il les élites de notre pays, celles qui ont les talents que nous pouvons apprécier aujourd’hui, de parasiter , issus elles mêmes des grandes familles friquées et soumises au moins à un dieu , celui du pognon , qui préparent notre avenir !
Allez vous faire enc,... voir !
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@chantecler
Je vous remercie de l’aimable attention que vous portez à mes Écritures et à mes néologismes.Vaguez en paix !
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Le catastrophique déclassement de notre École est dû à des raisons plus complexes, plus nombreuses, que celle affirmée par l’auteur.
Mais il a raison sur le fond.
De très nombreuses simplifications devant favoriser l’égalitarisme ont eu lieu dans les années 80 puis elles ont été amplifiés par la suppression des classes spécialisées.
Le mot d’ordre a été donné : le professeur doit faire de la pédagogie différenciée.
C’est ce que faisaient un bon nombre d’instits, surtout ceux en charge d’une classe unique, mais ils avaient le temps pour eux et suivaient leurs élèves d’une année à l’autre.
Le gros problème qui a surgi fut l’institutionnalisation, tue, hypocritement mis en place, du communautarisme islamique.
Ajouté aux revendications de toutes sortes de parents de plus en plus idiots ( car eux-mêmes mal élevés ), ça n’a pas provoqué un effet bénéfique.
Les politicards maniaient la langue de bois et niaient les problèmes.
Et la plupart des enseignants mentaient aussi, à eux-mêmes et à autrui.Dans le genre « das schaffen wir ! » de la Merkel.
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@jakem
Correction ! .... l’institutionnalisation, tue, hypocritement misE en place ... -
Info récente : en Suède on abandonne les trukàpuces dans les écoles ; on reprend des livres !
Je ne serais pas étonné d’apprendre qu’on cesse aussi de laisser gribouiller l’écriture script et même en lettres-bâtons, pour enseigner l’écriture cursive.
De façon générale, la mentalité des Pourris Socialeux, fortement soutenue et propagée par les anars-gauchistes et communautaristes très largement inspirés par les E-U, a imprégnée profondément notre société, jusqu’à mettre en place dans les universités des monuments de crétinisme comme la Sardine du Ruisseau.
Cette toxicité est devenue aussi solide que le trotskocoïsme et impose la stupidité la plus absolue : rien ne marche, donc on continue !
C’est du fanatisme. Comme en eurokratur.
On trouve dans des Classes préparatoires des étudiants qui sont incapables de faire une règle de trois, de calculer des fractions, de faire sans aucune faute les exercices du manuel « Cours supérieur d’orthographe » d’Édouard Bled.
Mes sincères excuses par-delà l’espace-temps à son épouse dont le nom ne me revient pas. Elle avait activement collaboré à ce travail et mérite d’être citée.-
@Perceval
Je souscrit pleinement à votre article.
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Ça pourrait être pire !
Imaginez la Rina Hamass à l’Éduc. Nat. !
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Quel nullité que cet article n’ayant pour but que d’affirmer pour l’auteur, sa haine des socialistes. Il est vrai que la droite, au pouvoir les 3/4 du temps de la Vème République, n’a aucune responsabilité dans notre situation nationale. Trop comique le Perceval. Vous, c’est l’école du rire que vous avez dû faire.
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@Com une outre
Pourquoi « haine » ? Si ce mot n’existait pas beaucoup de gens auraient du mal à dire qqchose.Détestation suffit. La haine est indiquée pour les salopards qui violent, tuent, massacrent ....
Ceci dit, je ne sais pas si l’auteur déteste ou hait les Pourris Socialeux.
Exemple de « progrès » pédagogique imaginé par les Socialeux ( je ne sais plus quand exactement ; je ne suis pas et n’étais pas enseignant mais avais une liaison longue avec une instit et fréquentais ce milieu ) :
pour donner le goût de la lecture, les grands pédagogols avaient décidé que l’instit devrait lire, chaque jour, un passage d’un livre .....Au lieu de faire lire les élèves à tour de rôle. Ma compagne donnaient des conseils à tous et à quelques uns en particulier : s’entraîner à lire à haute voix, devant un miroir et devant les autres membres de la familles, tenir le livre loin des yeux, bien articuler, marquer la ponctuation, laisser planer parfois un bref silence, etc...
Ça, c’était de la pédagogie !La mentalité socialeuse et trotskoco c’est la médiocrité pour tous, pas de jaloux ! Et les bons, on les décourage.
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@jakem
Complément : ma compagne incitait à expliquer les raisons du choix d’un livre ; toujours à haute et intelligible voix devant la classe.
Et exigeait, EXIGEAIT, que chaque gamin recopie quelques phrases dans son cahier du jour sous le titre « Travail personnel : je recopie des phrases de << Titre du livre et nom de l’auteur >> qui me plaisent » .Elle aidait les plus démunis après 16h ou 16h30 pendant 10 ou 15 minutes, avec l’accord des parents, puisque ce n’était pas une punition mais une aide particulière.
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@Com une outre
L’esprit « socialiste » et à différencier du parti politique du même nom.
L’esprit socialiste est de défendre le faible face au fort et d’aider les plus défavorisés.
Mais comme toutes bonne chose ça a dérapé et crée des abus et inégalités inadmissibles dans l’administration, le pouvoir et la société.
Et surtout une dispersion dans la vue des intérêts à long terme.
Et c’est cette ligne qui a été suivi depuis 1968 par l’ensemble des gouvernements.
Du coup le terme socialiste et associé à cette dérive du déclin actuel. -
@saint louis cela s appelle de l émulation !
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@saint louis
Le problème n’est pas socialiste ou pas, c’est que l’enseignement est devenu aussi un outil au service des entreprises, grâce à la collusion entre politiques et grands industriels. Comme pour le reste, les programmes ont été « privatisés » pour répondre à d’obscures critères sortis d’on ne sait quels esprits malades. Moins de culture générale, plus de niches éducatives ciblées. C’est lamentable, une fabrique de consommateurs lobotomisés. -
Bonjour à tous,
Très intéressants, l’article et les commentaires.
Mais ne vous leurrez pas, restez calmes. Le bac sera bientôt en vente sur la toile, comme l’est le permis de conduire !
Et peut-être aussi, dans un temps plus lointain, les licences et autres diplômes universitaires.
J’ai quitté l’enseignement en 1973, fuyant ce que je pressentais déjà !
J’ajoute qu’à mon avis, ce ne sont ni la gauche, ni la droite, les responsables de ce désert intellectuel. C’est l’amour du moindre effort qui nous est arrivé par l’internet et la complicité de nos édiles. N’a-t-on pas fourni des tablettes à beaucoup d’élèves ?
Ce qui est pour moi une abominable perversion...
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@cevennevive vous aviez des tablettes en 1 973 ?
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@mmbbb, bonjour,
Non, du papier, des crayons, des livres, des cartes et un tableau noir...
Mais la hiérarchie des collèges et lycées, doublée des inspecteurs d’académie, prétendaient déjà que l’enseignement public devait être « dirigé » selon leurs lubies, et rivaliser avec l’enseignement privé.
Preuve : dans une classe de transition, avec des élèves de 13 et 14 ans, j’avais un jour apporté ma facture d’électricité, mon avis d’impôts et ma quittance de loyer, pour apprendre à ces futurs adultes à lire et comprendre ce qu’ils auraient un jour à payer dans leur foyer.
Cela n’a vraiment pas plu au proviseur qui m’a fait de brûlants reproches. -
Le dessein secret du pouvoir UMPS c’est le nivellement par le bas.. carrément à plat :
Lorsqu’on dégrade un Progarmme d’enseignement ( IUT) qui donne satisfaction !
Exemple : une formation idéale est en place permettant aux futurs techniciens d’acquérérir les « outils » propices à s’adapter aux évolutions techniques, d’une année à l’autre les cranes d’oeuf de l’Education nationale décident de mettre un terme à cette « richesse » en créant de nouveaux programme « désarmant » les élèves.
A qui profite le crime monstrueux ?-
Le socialisme c’est la sélection sur la base de critères qui ne relèvent pas de la compétence. Il est donc parfaitement normal qu’avec le socialisme le niveau d’excellence baisse...
Quelqu’un qui est certain de passer dans la classe supérieure en raison de sa couleur de peau ou de son orientation sexuelle n’a aucune raison de travailler...
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rhétorique habituelle des idiots utiles
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Quand je suis entré à l’ecole peu après la guerre je savais deja lire et ecrire
la première chose on m’attacha la main derriere le dos pour m’obliger
à ecrire de la main droite (horreur j’etais gaucher).
100 cm*4cm*1cm sont les dimensions du metre qui me frappait la tete
3/4 fois par jour,a genoux 1h sur une regle en bois mains sur la tete au
moins 1 fois par semaine. Je suis parti après le certif je devais encore 5000
lignes à l’instit.
quand des années plus tard on s’aperçoit que les leçons de morale qu’on
ingurgitait tous les matins l’instit les transgressait en permanence c’est
risible... !!
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D’abord selon moi, il convient de définir « l’école » et le ou les cycles concernés de l’article, je l’ai interprété comme étant les premiers, les plus fondamentaux, vitaux même.
Force est de constater que la dérive « scolaire » est assez incroyable de nos jours, ce malgré un pourcentage de réussite au « Bac » digne d’un succès électoral « soviétique ».
L’enseignement prodigué est hélas par trop sujet à réforme ayant trait à la couleur politique du moment et des ministres un peu trop soucieux de laisser leur nom dans l’histoire. Sans compter aussi, les nouveaux rôles assignés à l’institution, devant presque se substituer à « l’autorité parentale ».
Bref « L’école » n’a jamais été parfaite loin de là, d’ailleurs existe-il quelque chose de « parfait », toutefois elle fut une source d’enseignement incomparable, les élèves avait à minima un acquis durable.
Il est évident que les programmes scolaires se doivent d’être adaptés pour prendre en compte les évolutions du Pays et l’histoire globale. Je ne porterai pas de jugement à ce sujet, toutefois savoir lire, écrire, compter, parler aussi, reste la base minimale du savoir, mais je peux me tromper.
Un jalon a été jeté à la poubelle lors des années roses, car discriminatoire et stressant, il permettait d’avoir un aperçu de la « qualité » de l’enseignement et du savoir de nos chères "têtes blondes" en sortie de l’école élémentaire.
C’est donc bien dans les années roses, que tout a changé, période truffée de promesses égalitaires, il s’est érigé en parallèle un justificatif hypocrite basé sur la fin des « élites ». Pourtant un mot dont « ils » se targuaient tous ! Mé bon.
L’école égalitaire pour tous ! Ainsi fin de l’adage :
Tu es né fils d’ouvriers, tu seras ouvrier ! La grandeur rose, en a modifié la conclusion, par "tu pourras être Président, sache-le !"
Ou bien encore, nantis de tes diplômes issus de l’école de la Nation, tu t’extrairas de ta condition misérable ou vivent tes géniteurs, tu accéderas aux plus hautes fonctions ! L’avenir radieux t’appartient !
En parallèle nous avons assistés à une dévalorisation massive du travail dit « manuel »
Bref des grands principes niant une évidence de différence de capacité individuelle, justifiant par l’exemple des « exceptions » qui se devaient être une généralité, Le "Voyez comme c’est possible " étant une utopie nous le constatons toujours.
Ainsi, et cela n’engage que moi bien sûr, mais des méthodes d’enseignement éprouvées se sont presque retrouvées du jour au lendemain en disgrâce, car discriminatoires ! C’est un fait reconnu que le minimum de savoir à la fin du cycle élémentaire n’est pas acquis, comportant des lacunes importantes, du moins plus qu’avant sur les fondamentaux.
Mais ce n’est pas grave, les carences seront comblées après !
Arrivait ensuite un autre jalon, sanctionnant la maîtrise du socle commun de connaissances, de compétences et de culture (Nota : Déjà l’emploi du mot sanctionnant n’est pas bon).
Lui aussi fut victime de la période rose refondatrice, il ne fut pas supprimé mais transformé. Se doutant fort bien des résultats de ce dernier suite aux changements profonds opérés avant, il a été aménagé au cours des années, introduisant des critères dans l’obtention de ce dernier des éléments pour le moins fantasques parfois (comme par exemple l’assiduité) et au fur et à mesure des modifications il permettait d’atteindre les résultats escomptés politiquement, l’élève dans tout ça passant au second plan !
Car n’oublions pas le politique justifie le bien-fondé de sa réforme par des chiffres, notamment des taux de « réussite »...Peu importe comment ils sont obtenus, il se doivent de croître.. Comme l’économie...
Tout n’est pas non plus à mettre sur le dos du parti évoqué dans l’article, car les « autres » ont été à l’oeuvre aussi, mais force est de constater que par leur idéologie faussement « humaniste et égalitaire », ces « élites » épris de non « discrimination » ont largement mis le boxon dans l’affaire, laissant aussi « l’école » se politiser, ce qui est dangereux, mais permet d’obtenir un socle de votant........
Ainsi il est de bon ton d’être de gauche dans le monde éducatif....
La droite, voir même l’extrême droite cléricale ayant disparue.
Il faut ajouter à tout cela aussi, les effets de la transformation sociétale rapide, dont nos « politiques » parfois arriérés n’ont pas pris la mesure ou à « l’emporte pièce ».
Juste pour l’amusement, pendant l’année « covidienne », le taux de réussite au bac à progressé de 13%, un record absolu de 91% titrait les médias, alors que les élèves n’avaient pas de cours en « présentiel » mais en « distanciel ».
J’en conclus, qu’il serait possible pour l’Etat, de réaliser quelques économies substantielles Non ?.......
A l’heure ou nous cherchons des sous de partout... Vous ne pensez pas ?
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- Renoncement généralisé au travail, au dépassement de soi,
- Culture du moindre effort, du minimum syndical,
- Egalitarisme et psychologisation à tout va,
- Culture de l’excuse permanente.
--------> rien que ces 4 lignes me semblent vraiment très éloignées de la réalité de l’école. Et de quelle gauche parlez-vous ? La vraie ou celle qui fait semblant, donc une bonne partie de la droite ? Parcours sup par exemple, ou bien encore les réformes successives de l’enseignement supérieur, c’est quoi pour vous ?
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@véronique
Bonjour,
"Et de quelle gauche parlez-vous ? La vraie ou celle qui fait semblant, donc une bonne partie de la droite ? Parcours sup par exemple, ou bien encore les réformes successives de l’enseignement supérieur, c’est quoi pour vous ?"
Je pense que l’auteur du texte à été clair sur le sujet, évoquant le « Socialisme » à la Française, ajout i indispensable, ensuite pour « mentalité de gauche » à mon sens évoquant le syndicalisme majoritaire de l’institution.
La « Gauche » il est vrai que ce terme aujourd’hui est devenu à mon sens désuet, s’éloignant de ses origines, mais c’est un débat tout autre, dont il conviendrait de définir le terme « Gauche » dans notre époque, malgré tout ce « courant » politique a néanmoins une influence sinon un impact dans la noble institution.
Comme je l’ai écrit ailleurs, l’éducation Nationale" est hélas soumise à de nombreux changements, beaucoup plus issus de la couleur politique du moment, ou l’on peut se demander rationnellement si les réformes successives sont faites pour le bien de l’institution et l’amélioration de ses « résultats », ou l’histoire, politique cela va de soi.
Ainsi nous lirons toujours, que la « Gauche » révolutionne le système éducatif le rendant plus égalitaire, etc, les effets n’étant mesurés que bien des années plus tard et quand la « Droite » se retrouve de nouveau aux « rennes », elle est qualifiée d’inactive ou alors favorisant une sorte de retour à l’élitisme en agissant sur une partie du système sans contrecarrer les effets « connus » des précédentes réformes.
C’est ce système sans vue à long terme qui est à la base du problème global. Que l’on soit de « Gauche » ou de « Droite » la finalité de l’enseignement devrait être commune, c’est une notion transpartisane pour reprendre un terme à la mode.
L’enseignement, n’est pas non plus, un champ d’expérimentation globale, comme les changements de méthodes entre-autre.
L’éducation Nationale est un Ministère certainement les plus politisé en son sein, alors qu’au vu de ses objectifs, il devrait se garder de l’être, il devrait être empreint d’une sorte de « laïcité politique », hors nous savons que c’est faux.
Selon moi, si l’on voulait redonner un sens aux choses, le terme « Education Nationale » ne devrait pas exister, l’école dans sa globalité n’éduque pas, elle enseigne et à tout niveau.
L’éducation ayant plus trait aux usages sociétaux qu’à l’enseignement d’un savoir indispensable permettant à la personne de se développer dans la même société. La seule « éducation » pouvant faire partie du « cursus » est ce qui autrefois fut appelé à juste titre « éducation civique », notons que cet enseignement à été supprimé, puis rétabli et à porter bon nombre de désignations. Ors ce dernier est quand même fondamental, le plus délicat étant pour le corps enseignant d’être impartial......De ne pas instiller d’idéologie.
Comme je l’ai écrit l’école égalitaire est un non-sens, c’est une utopie ne prenant pas en compte les différences capacitives de chacun. La révélation divine, l’extraction du « milieu social » par l’école est un leurre.
Et systématiquement nous arrivons à l’éternel débat sur la « qualité » de l’enseignement public et privé. Avec un dogme bien établi, que l’un est meilleur que l’autre, alors que dans la pratique le « programme » est identique. Sans compter non plus les « images » sacrées que l’enseignement public est de « Gauche » par ses pairs fondateurs alors que l’enseignement privé est de « Droite » pour les mêmes raisons.
Ayant fréquenté les deux assez longuement fut un temps, je n’ai pas perçu de différences fondamentales, sauf sur des points qui n’ont rien à voir avec le « programme » enseigné qui est quasi identique et c’est justement là qu’il y a un problème, il ne faut pas chercher plus loin.
Je vais être un peu plus corrosif, cela fait presque trente ans que j’assiste comme bon nombre de citoyens à des « traditions », chaque rentrée dans le monde "scolaire publique" est suivie de son cortège de revendications, de mouvements sociaux, que sais-je encore. Avec une conclusion globale exprimée par les initiateurs que l’école publique manque de « moyens » !
Dont acte, mais cela veut quoi le manque de « moyens », depuis le temps que nous entendons ces « psalmodiations », je pense qu’un cahier des charges précis, détaillé et impartial (c’est à dire non empreint d’idéologie politique) aurait pu être établi par les contestataires, de surcroît rendu public pour justifier du bien-fondé de leur revendications. Un document qui pourrait avoir pour effet de démontrer l’absurdité « politique » en matière d’enseignement.
Force est de constater que ce dernier n’existe pas, que les initiateurs représentatifs face aux questions médiatiques, n’y répondent jamais précisément, pire même car il est fréquent d’entendre, que ce n’est pas à eux d’apporter les solutions !
Etrange que devant les problèmes qu’ils vivent, qu’ils supportent depuis tant d’années, qu’ils n’aient toujours pas trouvé de résolutions à ces derniers.
Fort heureusement, passé ce moment revendicatif, dont sa périodicité n’est pas fixée dans le calendrier, la fièvre retombe, le Devoir l’emporte et l’enseignement reprend.
Ne rêvons pas aussi, bon nombre de "sans dents« , même ceux des »zones prioritaires" préfèreraient voir leur progéniture bénéficier de la « qualité » du privé, mais d’une part n’en ont pas les moyens et d’autre part le nombre de place est limité, alors ils se résignent.
La fière « école » de la République est quand même bien mise à mal depuis trop longtemps, tant par ses constitutifs que part les « politiques ». Malgré tout elle enseigne.
Toutefois, il serait nécessaire à mon sens de changer le « système », d’y mettre un peu d’ordre, un peu plus de rationalité dans tout, de réduire les niveaux hiérarchiques inutiles à mon sens devant l’intérêt National.
J’en conclus par le fait que « l’école » au sens large ne devrait être ni de « Droite », ni de « Gauche » mais complètement apolitique, après qu’un « syndicalisme » s’installe pour défendre les droits de ses travailleurs est une autre chose. Il faudrait aussi que nos « politiques » cessent de vouloir marquer de leur empreinte l’histoire éducative du Pays.
Elle doit être « mise à jour » pour prendre en compte l’évolution globale, mais c’est tout. Arrêtons les grandes idées, les idéaux aussi, regardons la vérité en face, n’ayons pas peur des mots non plus, un chat est un chat.
Cessons aussi de voir de la « discrimination » de partout, exacerbant tellement ce mot qu’il finit par en perdre sa signification réelle. La vie en « société » ayant toujours comporté des différences, de droit, de fait, de liberté, de convenance, d’usage, etc... et ce n’est pas prêt de changer.
En conclusion la « Gauche » est-elle un mal pour l’école ? Oui, tout comme la « Droite » pour les raisons évoquées plus haut.
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C’est où le four crématoire qui soigne la « mentalité de gauche » ?.....
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JE SUIS PAVEL DUROV
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Un ramassis de stupidités éculées les cause sont plurielles, la principale étant que le consumérisme a surtout besoin d’abrutis décérébrés pour prospérer, le reste…
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L’article se veut « provocateur » et il l’est assurément, au sens de susciter un débat assez acharné…
Mais il ne suffit pas d’adopter un style apparemment elliptique pour prétendre résumer la problématique :
« Le socialisme et les mentalités de Gauche ont provoqué l’effondrement de notre école »
Là dedans seul le concept d’ « effondrement de notre école » est un fait réellement concret.
Tandis que « socialisme et mentalités de gauche » n’y sont que ce que l’auteur veut bien y prêter.
Le « socialisme à la française » étant un vaste champ de foire où chacun y met ce qu’il veut et qui n’a jamais produit grand-chose de concret, il est donc difficile de lui imputer d’autre « responsabilité » que celle des « responsables socialistes » en postes au fil des décennies. Autrement dit, une suite de responsabilités personnelles largement partagées avec celles des droites successives.
Voir « Mai 68 » comme un tournant semble plus pertinent en ce qu’il a amorcé la chute du Gaullisme historique. Lequel, malgré ses grandes qualités, pêchait néanmoins parfois par excès d’autoritarisme.
La société française de l’époque pêchait encore, et de façon chronique, de quelques archaïsmes sociétaux, également du genre autoritaire, sinon inégalitaires, notamment concernant la place et le rôle des femmes.
La « révolte antiautoritaire » de Mai 68 n’était donc pas sans quelques justifications sociales. Le problème résiduel, encore aujourd’hui, étant qu’à trop vouloir tordre le bâton dans l’autre sens pour le « redresser » on l’a finalement durablement déformé, au point qu’aujourd’hui il faudrait à nouveau le « retordre » en sens inverse : le nouveau problème étant donc toujours de trouver la juste mesure… !
Luniterre
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De toutes façons, L’EN , phagocytée par la gauche imbécile, faignasse, gardant jalousement ses prérogatives dans des buts personnels, et par l’extrême gauche trotskiste, dans son rêve de recommencement de la terreur de Robespierre pour assouvir son projet dominateur, cette EN, telle qu’elle est, irréformable, doit disparaître.
La suppression du statut et la privatisation sous contrôle de programmes et de résultats doit se faire au plus vite. Le transfert des salariés, triés suivant compétences, se fera sous statut privé, total.
Les rois de l’absentéisme, des vacances illimitées, des horaires plus que complaisants, les rois du pas de vagues, les fanatiques du temps syndical doivent retourner vers un emploi privé... en traversant la rue !
Ce cloaque, ce chancre de la République doit s’effacer, à jamais.
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@Le Gueux Pourquoi avez-vous pris ce pseudonyme, alors que « Le Dégueux » vous aurait convenu à merveille ! ?
Pour vous qui considérez fermement que seule la source du financement fait la qualité des enseignants et des cours, cela aurait été parfaitement adapté.
Et, bien entendu, vous prêchez assurément par l’exemple, en ne prenant qu’une semaine de vacances par an, et aucun autre jour de repos...
De là à considérer que vous seul aurait les compétences pour sélectionner personnellement les enseignants est un pas que votre arrogance a permis de franchir sans le moindre doute personnel.
De fait, votre égotisme ne semble avoir rien à craindre du bon sens.
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@Kostic
Je voudrais que l’École de la République enseigne le SAVOIR et le SENS CRITIQUE, dans le seul intérêt d’ouvrir le futur citoyen à la connaissance.
Je voudrais qu’elle ne soit pas une tribune sociale, sociétale ou les responsables aux pouvoirs ne lui inculque une quelconque idéologie.
Je la connais très bien cette école, j’ai bientôt 80 et j’ai été parent d’élève et plus....
Je sais ce qu’elle était, cette merveille que le monde nous enviait, et ce cloaque qu’elle est devenue.
En 1995, DÉJÀ, j’ai corrigé des tests de niveau d’entrée maths et français en 6ième.....
Je souhaite que l’on mette un terme à cette gabegie, également financière ; corroborée par tous les classements de niveau internationaux.Il y a encore des gens de qualité, même dans l’EN actuelle, capables d’organiser, comme le firent Jules Ferry et bien d’autres, une VRAIE nouvelle « École de la République », dans l’intérêt essentiel de notre pays.
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@Le Gueux : En ces termes, je vous rejoins, encore qu’ils nécessiteraient de vastes développements. Mais, pourquoi alors avoir été si caricatural et réactionnaire, ci-dessus ? Parce que vous y desservez vos attentes.
Pour ma part, ma conjointe étant enseignante non formatée, nous avons été conduits à devoir replacer nos enfants dans une école privée de haut niveau ; hélas désormais disparue. C’est dire que nous savons comment et pourquoi l’E.N. part en vrille, malgré les années de formation des enseignants.
Je vous recommanderais alors de regarder le profil de nos décideurs politiques, qui eux font appliquer leur feuille de route, en y intégrant des partis pris scabreux et imposés. Vous en connaissez certainement les origines, conséquence de la vassalisation de la France par une puissance étrangère bien connue.
Si nos ministres successifs n’ont plus les mains libres, que peuvent alors faire les si désorganisés parents d’élèves ? A part commencer par cesser de se faire laver le cerveau par les médias du régime oligarchique ? Mais lesquels en ont conscience ?
C’est ainsi, même si des mobiles divergents nous animaient tous, sur ce plan.
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@Kostic
Justement, pour y arriver, il faut détacher l’école du système politique, enlever le statut, on peut enseigner sous statut privé, ça fonctionne bien mieux et on en a les résultats éclatants sous les yeux.
Ainsi, tous les cloportes crasseux seront obligés de la quitter..
Le gout de la réussite et l’excellence referont leur apparition.
La France retrouvera sa richesse intellectuelle.
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