Les Primaires socialistes sont anti-démocratiques
Vous allez pouvoir, pour une bonne part d'entre vous, me tirer de dessus avec un fût de 45 j'ai mis mon gilet pare-balle et je crois bien que je resterai convaincu que les Primaires socialistes sont anti-démocratiques. Il ne s'agit là ni de la légitimité du PS, de ses idées, de son droit à avoir un(e) candidat(e), ni de la légalité de ces primaires ni même du procès d'intention d'un possible fichage des électeurs. Il s'agit de fond autrement plus grave.

Le terme de démocratie et le fait même de démocratie sont tous deux pervertis par ces Primaires et on veut nous faire croire que ce serait le summum de la démocratie alors que, selon moi, c'est au contraire son tombeau. Bon, là, j'exagère.
On peut entendre le sens de la démocratie à deux niveaux.
Au niveau national, le pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple. Son expression est le vote et dans notre France c'est un scrutin unipersonnel à deux tours. Un Français, une voix, un vote et la majorité décide. Les candidats se doivent être à égalité de traitement.
Au niveau d'un parti, le système reste identique, les militants votent pour élire soit une motion, soit un président, enfin il s'agit d'un système clos : le parti. Les votants appartiennent à ce système, ce sont les militants à jour de cotisation. C'est le pendant des électeurs inscrits.
Dans le premier cas, l'élu dirige au non du peuple français au niveau de son élection, donc la France quand il s'agit de l'élection présidentielle. Dans le second, l'élu dirige le parti. Il y a parfaite adéquation antre l'électorat et le système, système au sens physique du terme.
Dans le système politique français, les partis sont légitimes et leur fonction, outre proposer des programmes est de présenter un(e) candidat(e) issu(e) de leurs rangs. C'est leur fonction. Ce candidat doit être adhérent selon, généralement, les statuts. La fonction de ce parti est donc, soit par effet naturel présenter le président ou le secrétaire général ou tout autre titre, soit il entreprend une élection interne pour désigner ce(tte) candidat(e).
Là où la première perversion intervient, c'est que l'on demande aux Français de s'immiscer dans le choix du parti. Ceci a plusieurs significations et certainement pas celle de la démocratie que l'on nous présente comme telle par une sorte de glissement de la notion de vote vers la notion de démocratie. Le vote doit concerner un corps électoral qui doit lui être adapté. Le corps électoral français n'est absolument pas adapté au vote de la candidature du PS. Comme on le dirait en droit, cet électorat n'est pas fondé à voter pour cette candidature. On peut, en toute légitimité, trouver que les Primaires socialistes sont une démission du rôle de parti du PS. On voit l'avantage politique ou psychologique ou même moral que veulent en tirer les dirigeants du PS : nous sommes le parti le plus démocratique car nous faisons voter les Français. En fait c'est faux car les hypothèses sont fausses. La démocratie pour le PS et sa candidature c'est le vote des militants. Le vote des Français n'est que bâtard et mélange deux corps électoraux qui n'ont rien à faire ensemble.
En ce qui concerne le PS, c'est en plus contradictoire car c'est un parti qui affirme que c'est le programme qui compte et que de présenter plusieurs candidats aux votes des Français a pour conséquence que le programme ne sera plus celui du PS mais celui du candidat, car pour s'affirmer il devra prendre sa liberté avec ce programme. On voit déjà les différences abyssales entre ceux-ci. Cela devrait avoir pour conséquence si les Français étaient conséquents, et si le PS l'était aussi, à dire que le candidat n'est plus celui du PS mais celui de son propre programme. Et le PS ne sera plus l'initiateur mais au contraire le suiveur. La conséquence de cette conséquence est que les militants du PS, et les savants qui ont preparé ce programme sont bafoués et considérés comme négligeable.
Une autre conséquence de ces Primaires, conséquence politique, est le pendant de la perte des idées, c'est la personnalisation de la candidature et cela va à l'opposé de la doctrine du OS comme quoi il n'y a ni femme ni homme providentiel(le).
Indirectement ces Primaires ouvertes aux Français a une conséquence immédiate, qui est possible devant les militants mais avec un autre biais, c'est la démagogie. On l'a vu aussi avec Hollande et ses dizaines de milliers d'emplois. Devant les militants du PS, la démagogie aurait été autre : être le plus proche de la doxa dominante du parti.
Il y a d'autres aspects qui fleurent bon l'anti-démocratie. Tout d'abord, l'ouverture de la chaîne publique, France 2 avec son présentateur vedette (et le coût que cela représente, une chaîne publique !) pour 3 fois deux heures plus une fois deux heures est un déni absolu d'égalité avec les autres candidats futurs. Depuis que l'on parle de ces Primaires cela ouvre un boulevard d'information tant aux candidats à la candidature qu'au PS. Ce déluge d'information qui a duré, dure et durera est évidemment au détriment de l'objectivité, de l'impartialité et de l'égalité de droit à la parole.
Nous trouvons face à un système qui devient encore plus bipolarisé avec d'un côté le pouvoir et l'UMP et leurs innombrables voix (ministres, porte-paroles, élus de l'UMP et Sarkozy lui-même) qui démultiplient la parole presqu'à l'infini et de l'autre le matraquage quasi publicitaire de ces Primaires à la télévision, la radio, dans la presse et sur Internet.
Ces Primaires ne sont pas sans conséquences. La personne qui portera les couleurs du PS aura, ainsi pour elle en définitive, eu quatre tours, si elle est présente au second tour des Présidentielles, quand tous les autres n'en auront qu'un et une autre deux. Ceci n'est pas anodin car ces heures offertes, ces débats publics permettent d'augmenter la notoriété de cette candidature, de donner une publicité sans commune mesure au programme du PS et ou aux candidats.
Ceci est donc non démocratique au titre de la diffusion de l'information, des idées et de la notoriété. Cela ne sera pas sans conséquences pour le vote car l'élu(e) pourra se targuer d'une légitimité supérieure bien que fausse et faussée. De plus cela aura un impact, forcément, sur le vote en lui-même. L'impact que je vois le plus fort c'est de déplacer certains abstentionnistes vers cet(te) élu(e), au mépris de l'égalité des autres candidats. Une autre cible ce sont les jeunes.
Cette anti-démocratie ne s'arrête pas là.
Cette campagne est estimée à 3 millions d'euros qui ne seront pas comptabilisés dans les comptes de campagne. Or ces frais ne sont pas anodins en plus du fait que seul un parti riche peut s'offrir une primaire ce qui est une nouvelle contradiction avec le fondement de la démocratie et légalité devant les électeurs. Tous les Français vont être contactés et cette autre voie d'information et de promotion sera du seul fait du PS, en plus avec deux tours. Selon Le Monde : la CNCCFP a précisé que les dépenses du candidat victorieux à la primaire ne seraient pas imputés à ses comptes de campagne en tant que représentant du PS, sauf pour des dépenses "dont la finalité était l'obtention du suffrage des électeurs lors de l'élection présidentielle à venir". Restera donc à identifier celles-ci... Ce qui signifie que en plus des 3 millions d'euros, toutes les sommes des candidats qui auront perdu et qui auront été dépensés en fait pour la promotion générale du PS, indirectement, seront exclues. Et pour l'élu(e), seules les dépenses qui ont pour finalité est l'obtention du vote des Français pour les Présidentielles. Ce qui veut dire ou tout ou rien, sans doute rien. Or obtenir la candidature du PS c'est bien évidemment dans l'objectif d'avoir le vote des Français. C'est hypocrite et c'est évidement injuste en regard des autres candidats.
A ces 3 millions d'euros, la collectivité va mettre gracieusement des locaux à la disposition du PS, et cela a aussi un coût. La Répblique dans son ensemble se met au service du PS.
Par ailleurs il est assez étonnant que tous ces candidats créent des structures qui vont permettre le financement de leur campagne interne. Mais ceci est à mon sens un grand dévoiement de la loi du financement des partis. Car ce financement est objectivement légal quand il concerne une élection devant les Français pour avoir un mandat politique et en aucun cas pour avoir l'investiture du PS. Il doit y avoir là une véritable corruption de la loi : L'équipe de Martine Aubry a ainsi créé l'association pour la promotion de la candidature de Martine Aubry aux primaires ouvertes par le PS (APCMA) et son pendant financier, l'AFPCMA , que préside son bras droit, François Lamy. "Une association à durée limitée", précise celui-ci au Monde.fr. Manière de préciser qu'il ne s'agit pas de l'un des fameux "micro-partis" qui défrayaient la chronique en 2010. de financement, confirme au Monde.fr la Commission nationale des comptes de campagne et du financement de la vie politique (CNCCFP) : outre Martine Aubry, l'association Répondre à gauche avec François Hollande a obtenu en juillet l'agrément de la commission. Stéphane Le Foll, l'un des lieutenants de M. Hollande, est son mandataire financier. D'autres ont choisi de procéder différemment, et ont préféré opter pour la désignation d'une personne physique en tant que mandataire financier unique.
[…]
Même approche pour Manuel Valls, qui dispose d'un parti, A gauche, besoin d'optimisme, présidé par Olivier Galiana, conseiller régional d'Ile-de-France, et qui existe depuis 2009. Enfin, Arnaud Montebourg a aussi choisi de créer un parti, Des idées et des rêves, dont le président est Thierry Mandon, vice-président du consiel général de l'Essonne.
"On a choisi de se placer sous la loi de financement la plus transparente en adoptant le régime du parti. Cela nous permet de déposer des comptes auprès de la CNCCFP", explique John Palacin, mandataire financier de M. Montebourg. "Les dons reçus sont déclarés en préfecture", précise-t-il.
Je me demande même dans quelle mesure ce financement n'est pas parfaitement illégal puisqu'il n'y a aucune élection à un madnt politique national ou local ou européen.
Pour que des Primaires fussent démocratiques il aurait fallu qu'elles soient généralisées. Et même cela n'est pas dans l'esprit de la démocratie car soit un individu y va seul, soit il est présenté par un parti. Ce n'est pas aux français de déterminer le candidat du parti.
Il y a deux autres aspects tout autant anti-démocratique. Comme il ne s'agit pas d'une élection avec un choix politique dans son sens général, il ne s'agit que de départager des candidats du PS (et un du MRG), les votes peuvent être pervertis en partie par un parti concurrent qui peut demander à ses militants de tenter de faire pencher la balance vers la candidature qui les arrange. On l'a vu faire dans d'autres élections, notamment à Pau où l'Elysée, par sa cellule politique, a organisé le vote des militants UMP en faveur d'Uriétas, le candidat PS. Le second point est que pour que le vote soit démocratique, ce que réserve le secret du vote avec un choix entre divers candidats de diverses tendances, il faut qu'il n'y ait aucune pression. Ce vote là sera soumis à pression. Du fait même que tous les candidats devront représenter le courant socialiste cela impose que celui qui vote ne vote que pour ce courant-là (la gauche certaine). Cela détruit le secret du vote de l'électeur. Selon son courage son sens de la provocation, il ira ou non voter. Personne ne peut dire quel(le) candidat(e) profitera de ce biais certain. A cela s'ajoute son corollaire qui est qu'effectivement on ne vote que pour le courant socialiste, en allant voter on dévoile son opinion, ou plutôt on dévoile d'être allé voter, ce qui est différent dans le fond, mais non dans la forme car tout observateur retiendra que cette personne est allée voter pour une candidature de gauche. On imagine bien que les employés municipaux se retrouveront devant certains dilemme : une mairie PS par exemple, même s'ils n'ont pas envie d'aller voter, par lâcheté, par complaisance pour toutes raisons, ils pourront aller voter contre leur envie, à l'inverse dans une mairie UMP pour les mêmes raisons ils pourront ne pas voter.
Les trois aspects qui rendent ces Primaires antidémocratiques sont simples :
1- l'électorat n'est pas adapté, il y a une interférence entre le national et le parti
2- il y a une évidente inégalité de traitement de l'information, une inégalité financière
3- le secret du vote n'est plus préservé. Ce dernier point est extrêmement grave. Car c'est un des fondements de la liberté de vote protégée par ce secret. Je ne parle pas de fichier et je ne fais pas de procès d'intention. Tout votant sera vu au moins par les assesseurs et le président du bureau de vote. Son choix politique, enfin sa tendance politique ne sera plus privée, elle deviendra publique. Et cela c'est la négation de la démocratie.
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- les micros partis de Copé, Wauquiez, Woerth, Sarkozy etc.
- l'affaire du Fetia Api
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- les fils Pierre et Jean invités dans les voyages officiels à l'étranger (Mexique, Maroc) alors qu'ils ne représentent aucun intérêt pour le bien de la nation.
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- l’affaire de la Jatte, du Fouquet's payé par Desmarais, du Paloma payé par Bolloré, de la villa mexicaine, de Wolfeboro payé par les dirigeants de Prada et Tiffany, des repas au Bristol 2 fois par semaine, du voyage en Egypte …
- l’affaire Pérol
- l’affaire de l’Epad (et du scooter)
- Gandrange
- les vaccins du virus H1N1
- les accords entre l'UMP et le Parti Communiste Chinois, l'UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac, l'envoi par l'UMP des bulletins d'adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 %
- les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby …
- l'utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
- l'utilisation de l'Elysée pour recevoir les caciques de l'UMP et les satellites jusqu'à plusieurs fois par semaine, l'utilisation des moyens de l'Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy, la proposition de Sarkozy à Lauvergeon d'une prime de 2 ans de salaires comme si Aréva lui appartenait et qu'il sortait l'argent de sa poche
- les légions d'honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Peugeot etc.)
- l'Air Sarko One (250 millions d'euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l'étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l'UPM à 1 million d'euros
- la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société, le RSA
- l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l'intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l'augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l'inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
- la circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d'Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l'échec scolaire des enfants d'immigrés, l'autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)
- la nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir
- la réforme constitutionnelle
- les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l'exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir
- l'irresponsabilité pénale du Président de la république
- la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
- l’affaire des sondages
- les classements du parquet
- le site France.fr (des millions d'euros pour rien
- les évictions des préfets pour crimes de lèse-pelouse ou de sifflets
- la paralysie des villes et les moyens de quasi guerre (2 000 CRS pour 600 habitants par exemple) au coût pharaonique pour les déplacements du président
- l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
- l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
- la scientologie
- l'affaire Servier dont Nicolas Sarkozy a été l'avocat. Coût 1,2 milliards à la Sécurité Sociale en plus des morts.
- l'affaire Bongo
- la proposition de MAM d'aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l'an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l'utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale
- les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20
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