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Les scandales alimentaires

scandales alimentaires {JPEG}

1°/ Le scandale de la viande de cheval

Selon les informations les plus fiables, la société Spanghero savait qu'elle revendait de la viande chevaline à la place de la viande de boeuf et elle paraît donc s'être rendue coupable d'une importante "tromperie". Le gouvernement français a été très clair pour pointer les manquements de Spanghero dont l'agrément sanitaire a été suspendu.

S'il s'avère maintenant que cette entreprise est bien responsable de ce mensonge alimentaire, leurs dirigeants doivent être condamnés comme tous ceux ou celles qui de près ou de loin, ont favorisé cette escroquerie.

Mais à côté de ce scandale pour lequel de lourdes sanctions doivent être prises évidemment contre le ou les fraudeurs, que risquent de devenir les 300 salariés de l'entreprise de Castelnaudary aujourd'hui en arrêt total de production ?

Faut-il sacrifier donc 300 emplois au nom de la transparence ?

Il est clair que le gouvernement français doit prendre ses responsabilités : s'il doit engager des poursuites, il faut qu'il protége aussi l'avenir des 300 personnes qui travaillent chez Spanghero.

A l'heure actuelle, quel que le soit le résultat des enquêtes en cours, l'entreprise aura du mal à se remettre de ce dossier qui entraîne inévitablement un désordre économique et social.

Ainsi, pour sauver la société Spanghero aujourd'hui et redonner confiance à sa clientèle, l'État devrait la « nationaliser » momentanément, avant de la « remettre sur les rails » dans les mois qui arrivent. Ce serait un véritable acte citoyen pour préserver ses activités, son personnel et les intérêts de la ville de Castelnaudary qui vit depuis longtemps au rythme de l'entreprise chaurienne.

Ainsi, Messieurs Hollande, Ayrault et le Foll auraient un comportement républicain et quasiment historique à une époque où le plus grand fléau de la France s'inscrit dans la fermeture en cascade des entreprises et dans la marée noire du chômage.

2°/ Le scandale des farines animales

Incroyable, mais vrai !

La Commission européenne vient de décider l'autorisation des farines animales pour nourrir une partie des animaux d'élevage : cette autorisation porte sur les farines dans le secteur de l'aquaculture dès le 1er juin 2013, puis à partir de 2014, pour l'élevage des porcs et des volailles.

En fait, cette décision revient à à reprendre une pratique d'élevage lamentable dont nous connaissons les catastrophes sanitaires avec le scandale sans précédent de la « vache folle ».

Devant ce tollé qui indigne l'espace européen dont spécialement la France, la Commission nous explique que les « nouvelles » farines sont sans danger, puisque issues uniquement de pièces propres à la consommation humaine. Si le principe paraît sain, il est clair toutefois que la réalité est tout à fait différente et que les fraudes du type de « lasagnes au cheval roumain » se renouvelleront incontestablement.

Ici encore, le gouvernement français doit refuser catégoriquement les propositions de Bruxelles.

Il est d'ailleurs lamentable que les États soient soumis aux décisions de quelques fonctionnaires irresponsables de l'Union européenne qui font ou qui défont des lois sans se soucier des populations et de leur avenir et de leur santé.

Voici quelque temps, on parlait assez souvent de la clarification de la vie politique et des problèmes que l'on pouvait rencontrer avec certains élus.

Aujourd'hui, il est indispensable de clarifier les aliments qui arrivent dans notre assiette : la provenance réelle et exacte, les lieux de fabrication et d'emballage, le descriptif exact du produit fabriqué ou de l'animal élevé. C'est notre santé qui est totalement en jeu, comme celle de nos enfants et de toutes les générations futures.

Le citoyen peut agir, et il doit agir dans son propre intérêt. Si les pouvoirs publics ne sont à la hauteur de prendre les dispositions qui s'imposent, nous devons tous boycotter le système quand il est devient nocif et particulièrement dangereux.

C'est notre de devoir de français responsable face à une sorte de criminalité souterraine qu'il faut combattre à tout prix.

Pierre-Alain Reynaud

site internet : pierre-alain-reynaud.com

Adresse mail : [email protected]

 


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18 réactions à cet article    


  • alain_àààé 18 février 2013 15:20

    excellent article mais j aurais aimé qu il sont fourni comme par exemple les les camions qui travers les frontieres rein que pour faire augmenter les prix ex... des transporteurs font passer les marchandises d pays en pays que nous nous retrouvo ns a payé plus cher les aliments je prendrais le cas des oeufs qui transit par la belgique et le luxembourg et qu on estompie avec une provenance douteuse


    • Inquiet 18 février 2013 15:29
      Le scorpion et la grenouille
        Un scorpion et une grenouille se rencontre sur la rive d’une rivière. Le scorpion se tient à distance respectable et s’adresse à la grenouille. 

        Scorpion : J’aurais un service à vous demander madame la grenouille. 

        Grenouille : Allez y ça pourrait peut être m’intéresser. 

        Scorpion : Voilà, je dois absolument traverser la rivière car j’ai un rendez-vous important de l’autre coté de la rive et je suis déjà en retard. Donc je me demandais si vous pourriez me prendre sur votre dos pour me faire traverser la rivière, car vous savez que nous les scorpions nous ne savons pas nager. 

        Grenouille : Mais voyons monsieur le scorpion - tout le monde sait bien que la piqûre de votre dard est mortelle et que si je vous prends sur mon dos je risque la mort. 

        Scorpion : Mais voyons madame la grenouille un tel raisonnement n’est pas digne de votre intelligence - si je vous pique je vais moi aussi couler avec vous au fond de la rivière et au risque de me répéter nous les scorpions nous ne savons pas nager. 

        La grenouille se laisse convaincre et prend le scorpion sur son dos et nage vers l’autre rive de la rivière. 

        Rendu au milieu entre les deux rives la grenouille sent le dard du scorpion s’enfoncer dans son dos. 

        Avant de couler elle s’adresse au scorpion 

        Grenouille : Mais pourquoi scorpion m’as tu piqué - ton incapacité à nager vas te condamner à une mort certaine. 

        Scorpion : Tu m’excuseras grenouille mais c’est dans ma nature ! 


      -------------------------------------------

      Ce que nous apprend cette fable, c’est qu’il est hors de question que l’industrie agro-alimentaire aux ordres de la finance internationale s’auto-régule.

      La SEULE et UNIQUE décision à prendre et de faire crever le secteur en cessant dans un premier temps de consommer les produits « élaborés » / « transformés ».

      Et par la suite, privilégier les circuits les plus courts possibles, et à défaut d’acheter vers les petits commerçants.

      En ce qui concerne le prix (la m.erde coûte moins chère c’est sur), 2 choses :
      1°) Le quasi monopole de la grande distribution à fini par réduire l’écart entre les prix pratiqués sur la viande en grande surface et en boucherie.
      L’écart de prix restant est comblé par la moindre « réduction » à la cuisson des viandes cuisinées.
      2°) Sanitairement parlant il n’est pas très bon de manger autant de viande qu’on le fait. Diminuer notre consommation, diminuerait de la même manière les dépenses, puisqu’il s’agit du poste de dépense alimentaire le plus important.

      Et j’oserai ajouter pour l’argument de l’emploi, que de toute façon l’automatisation et la mondialisation aurait tôt fait de voir disparaître les emplois d’Europe de l’ouest, 
      et que paradoxalement un boycott de cette filière ferait revenir des emplois grâce aux circuits plus courts et les normes de qualités qui devraient être imposées nécessitant du contrôle humain par exemple.


      • Martha 18 février 2013 15:39

        Vous pouvez rajouter un troisième scandale : l’utilisation des tourteaux de soja ou bien du maïs, tous les deux OGM, pour l’alimentation du bétail. Les travaux de Séralini ont démontré leur dangerosité et « l’Europe » fait comme si de rien n’était. L’attitude des commissions dites scientifiques sur ce sujet est surréaliste comme bien d’autres choses dès que l’on creuse un peu. Multinationales & Paradis fiscaux...


        • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 février 2013 16:33

          L’EFSA, organe régulateur européen, est l’exemple même, la quntessence du lobbyisme qui s’autorégule en interne, c’est-à-dire que tout est permis.

          OGM, produits cancérigènes, canibalisme animal, dérégulation de la chaîne alimentaire, rien n’est dangereux à leurs yeux.

          Pourvu que l’on passe par le marché.

          Par contre, les produits du jardin, l’agriculteur qui sème ses propres graines, l’utilisation de produits entièrement naturels, cela, oui, cela, est prohibé.

          Car cela échappe aux agro-pharmoco-industriels.

          Le profit à tout prix est le moteur sans frein de l’anéantissement général.


        • Le421... Refuznik !! Le421 18 février 2013 20:18

          Je me rends compte, petit à petit, qu’en faisant mon jardin, je me heurte à des problèmes nouveaux. Près de la moitié des semences et plants commercialisés, souvent sous des marques « pignon sur rue », sont de piètre qualité, voire quasiment nulles. Je tente cette année des plants de légumes anciens trouvés sur internet en système « coopératif », le prix est tout à fait raisonnable, ce ne sont pas des hybrides F1 et tout le toutim, je vais bien voir le résultat.
          Je suis persuadé que les grandes surfaces ont mis leur grain de sel avec les semanciers OGM pour produire des plants et graines mauvaises pour dégoûter les jardiniers amateurs et les ramener dans leurs rayons de magasins.
          Les tomates « hybrides F1 » attrapent quasiment plus de maladies que les autres, ce qui ne devrait pas être le cas... La vente de produits phyto-sanitaires bat son plein. Tout le monde veut faire du « bizness » sur le dos du « pinpin » comme moi. Sauf que je « zieute » comme un fou tous les produits que j’achète, même si je dois faire mes courses avec une loupe et un analyseur au carbone 14 !!!
          Bon courage aux jardiniers. Soyez courageux, méfiants, curieux et astucieux. La récompense est si bonne...


        • pierrot pierrot 19 février 2013 08:28

          Les études du professeur Séralini n’ont rien démontré car elles étaient basées sur un très faible nombre de rats, les résultats n’ont jamais été présentés, il est financé par un lobby anti OGM, bref tout ce que ne doit pas être une vrai étude scientifique.


        • Martha 19 février 2013 10:24

          @ Pierrot,
           Ce que vous dites est faux.
           Son étude est la plus complète de toutes celles (très peu nombreuses) réalisées sur les effets du rondup ou d’un OGM tolérant à ce poison, et cela sur le long terme. Elle s’est faite sur « la vie complète » des rats, ce qui n’avait jamais été fait. Il s’agit d’une expérience indépendante, ce qui en fait son intérêt. les expériences de Montsanto (qui souffrent de facto du « conflit d’intérêt »), n’avaient pas plus de rats, n’ont jamais été rendues publiques et ne portaient que sur des essais limités à trois mois. Le scandale est justement là : les commissions décisionnaires dites scientifiques n’ont jamais refait ces expériences et n’en ont jamais fait une critique objective, bien souvent elles souffraient elles aussi de conflits d’intérêt.
           La moindre des choses serait de mettre en avant le « principe de précaution » : il a été fait pour cela. Et bien non : ces mêmes « décideurs » ont discrédité les travaux de Séralini en disant haut et fort qu’ils étaient nuls. Y a rien à voir circulez.... Surtout ne pas freiner la sacro-sainte machine agro-alimentaire frelatée par Monsanto. 
           Suivez l’actualité sur ce sujet, vous verrez, c’est du plus haut intérêt : la finance et les affairistes d’une multinationale tricheuse, contre la recherche de la vérité. La majorité des scientifiques dignes de ce nom soutiennent Séralini et eux ne font aucune critique à ces travaux.
           Cliquez sur : criigen actualité.
           Ne trouvez-vous pas suspect le silence actuel sur ce scandale ? Des contre expertises crédibles sont elles prévues ? Ca freine à bloc et surtout : silence dans les rangs !


        • Martha 20 février 2013 12:10

          Qui peut m’éclairer sur la question suivante : pourquoi l’étiquetage - « élevé sans OGM » - a disparu des présentoirs des super-marchés ?
           C’était très prometteur. On attendait, là, le vrai référendum, enfin et tout à fait original : celui du choix en réel des consommateurs. On a vu apparaître cette nouvelle mention bien en évidence, écrite en jaune en octobre-novembre et maintenant elle a complètement disparue... !... Mystère.
           Pistes possible : 1°) Cela n’existe plus : tout est envahi et contaminé. C’est bien dommage.
           2°) Cet étiquetage est interdit sous la pression de Monsanto et de ses sbires de Bruxelles.
           3°) les règles administratives sont tellement compliquées (cela à dessin) : qu’il faudra beaucoup de détermination et de temps pour le faire. Par ex : Ne peuvent porter cette mention que les produits pour lesquels on aura fait la preuve qu’ils ne sont issus que d’animaux qui n’ont pas consommé d’OGM depuis au moins six mois.

           C’était si bien. Nous voilà frustrés. Nos DSV pourraient-elles nous en donner l’explication ?

           *DSV = Direction des Services Vétérinaires.
           Il faut noter que l’Académie Vétérinaire de France s’est prononcée CONTRE la validité des travaux de Gilles Eric Séralini. C’est un comble : il eu fallu qu’ils ne se prononcent qu’ APRES avoir refait eux-même ces expériences, avec un nombre de rats supérieur, puisque c’est cela qu’ils dénoncent.
           Le principe de précaution est inscrit dans notre constitution. N’est-ce pas marcher dessus ?

           *Comment se fait-il que ces travaux n’aient pas encore été fait, après plus de dix ans de l’existance de ces produits ? Et cela, surtout, AVANT que l’autorisation d’utiliser les OGM dans l’alimentation animale ne soit décidée.


        • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 février 2013 16:23

          Viande hachée, saucisses, plats cuisinés.
          Le mafieux poura continuer à exercer ses activités néfastes.

          Produits à éviter donc.

          Le chantage au chômage a bien fonctionné.

          Merci au poltronat gouvernememtal ! Et son Ayrault sans peur ni reproche !


          • raimane 18 février 2013 16:23

            https://www.un.org/fr/documents/udhr/#a19

            l’ équation fatale, la dérive des sens, l’ empire de quelques uns, le détriment des autres,

            alors que répondre pour résoudre cette équation, sont ils :

            -coupable non responsable ?

            ou bien

            -responsable non coupable ?

            ou alors

            -coupable vraiment coupable

            mais aussi

            responsable réellement responsable.

            c’ est du déjà vu, déjà dit, déjà commenté

            souviens toi !


            • interlibre 18 février 2013 16:39
              Déjà sensible à ces problèmes, depuis longtemps je limite ma consommation de produit industriels (pas assez)
              Cette affaire est celle de trop, je suis en train de diminuer ma consommation de viande et je vais faire plus d’efforts pour privilégier les produits locaux et les petits commerçants.
              Une seule solution dans ce monde de tarés obsédés par le fric, BOYCOTT.

              • Le421... Refuznik !! Le421 18 février 2013 20:27

                Je rajouterais même une constatation bizarre. Le nom de Spanghero n’est certainement pas utilisé innocemment, gratuitement et par hasard. Le même Spanghero pleurait sa mère suite au tollé général face aux pratiques de l’entreprise du même nom.
                Or, il y a quelques années, il y a eu un scandale autour d’un marché passé avec des roumains pour l’achat de chevaux malades, et ce, en toute connaissance de cause. Le nom apparaissant dans ce marché horrible ?? Harinordoquy. Vous me direz, c’est un nom courant au pays basque. N’empêche. C’est la même région et le même milieu sportif. Bizarre, vous avez dit bizarre !! Comme c’est bizarre...


              • Miona Miona 18 février 2013 21:58

                Quels sont les 3 principes du système capitaliste-financier imposé d’en haut ? 
                1) Faire le plus de profits possible (pour ceux d’en haut) dans un délai le plus court possible 
                2) Tout est marchandise 
                3) Vivre signifie consommer.
                 
                Si on applique ces 3 principes à notre premier besoin vital (boire et manger), la nourriture n’est plus qu’une vulgaire marchandise (2), servant à générer le plus de profits possible (pour ceux d’en haut) dans un délai le plus court possible (1) et, pour vivre, il faut consommer cette marchandise (3)... (on sait ce que donnent ces 3 principes appliqués à la santé : les malades-consommateurs doivent être toujours plus nombreux, surconsommation de médicaments, gros profits pour l’industrie pharmaceutique, etc )
                 
                Ce système complètement cynique et malsain (que l’on nous impose sans en avoir l’air) ne peut que créer des scandales alimentaires (sanitaires) à répétition, de la même façon qu’il crée des scandales financiers à répétition...
                 
                Ce système est malade...
                Il est fait par des malades pour des malades ? 
                 

                • Ruut Ruut 19 février 2013 08:52

                  C’est un peut pareil avec les médicaments.


                  • kéké02360 19 février 2013 10:40

                    la cerise sur le gateau c’est Belin de la FNSEA à la fin de cet article !!

                    c’est ici :

                    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-mafia-roumano-italienne-des-130888 


                    • brieli67 19 février 2013 13:16

                      Faut-il sacrifier donc 300 emplois au nom de la transparence ?

                      Du callllllllllllllllllllllllllllme !!

                      ces 300 collaborateurs savaientn ce qu’ils dépeçaient ce qu’il transformaient !

                      Mise à pied sans indemnités
                      à sortir de toute l’industrie alimentaire, boucheries et traiteurs compris !!

                      c’est franchement dégueulasse que les « petits » partagent la curée , bouche cousue
                      et relarguent ces insanités aux « autres pauvres »

                      quelle bande de pourris
                       !! aucune solidarité aucune fraternité !!


                      • rotule 19 février 2013 14:06

                        >Il est clair que le gouvernement français doit prendre ses responsabilités : s’il doit engager des poursuites, il faut qu’il protége aussi l’avenir des 300 personnes qui travaillent chez Spanghero.

                        300 aveugles, muets et, j’ose, un peu sots, de n’avoir rien vu, rien dit ?
                        Si les dirigeants de l’entreprise sont certainement impliqués, les secretaires, comptables, bouchers, ... qui ont tout vu pendant longtemps sont complices !


                        • Gérard Luçon Gérard Luçon 24 février 2013 09:37

                          il y a quelque chose qui me gene un peu, on parle de Spanghero, histoire de sensibiliser au nom des freres Spanghero, grans rugbymen a leur epoque

                          pourquoi ne dit-on pas que Spanghero c’est 1% de la societe, et le reste, soit 99% c’est Lur Berri ... une cooperative infeodee a la FNSEA ( et a Beulin ???) ....

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