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Accueil du site > Tribune Libre > Les victimes des vaccins hépatite B font appel

Les victimes des vaccins hépatite B font appel

Les victimes du vaccin hépatite B et leur famille ne se faisaient guère d’illusions sur une justice qui, depuis l’affaire du sang contaminé, règle régulièrement toutes les plaintes par un non-lieu ou une relaxe.

Les conséquences en sont graves car l’impunité récurrente des responsables les encourage à recommencer.

Les victimes et leur famille espéraient cependant, à la faveur d’une instruction qui a duré plus de 17 ans, que la justice française, à l’instar de la justice italienne, ferait la lumière sur un scandale qui a fait plusieurs milliers de victimes. Elles sont donc déçues et se sentent trahies. Celles qui le peuvent font appel. Le REVAHB le fera aussi.

Une ordonnance de non-lieu ne signifie pas qu’il s’agit d’une relaxe ou d’un acquittement. Il s’agit d’une décision qui considère, qu’au regard du magistrat consulté (juge d’instruction), il n’existe pas suffisamment d’éléments probants pour poursuivre l’action en justice, suivant en cela les recommandations du procureur.

Quels étaient les motifs de la mise en examen à la suite de la plainte initiale déposée par plusieurs personnes au pénal ? Il s’agissait d’une accusation de « tromperie aggravée » de responsables des deux laboratoires producteurs du vaccin, et de placer les mêmes laboratoires sous le statut de témoins assistés pour « homicides et blessures involontaires ». Le juge d’instruction considère, qu’à sa connaissance, il n’y a pas de preuves suffisantes pour démontrer une « tromperie aggravée » des industriels dans la promotion de leur produit et que les connaissances scientifiques actuelles ne permettent pas de prouver que cette vaccination peut entraîner des pathologies, ni des décès. Le vaccin hépatite B n’est donc pas blanchi, relaxé, ni acquitté des soupçons qui pèsent sur lui.

Gardons en mémoire d’autres problèmes graves de santé publique ayant abouti aux mêmes types de conclusions sur le plan juridique ou officiel : Malgré la reconnaissance de l’effet cancérigène certain de l’amiante en 1976, banalisation de ses effets cancérigènes par les différentes instances de santé, avec une interdiction presque 30 ans plus tard, en 2005. Aucune condamnation des responsables des entreprises concernées alors que des maladies professionnelles ont été reconnues. Acquittement des accusés de diffusion d’hormones de croissance extractives porteuses de prions à l’origine de 120 décès d’adolescents dans le cadre d’une encéphalite de Creutzfeldt-Jacob. Condamnation de seulement deux lampistes dans la diffusion de flacons de sang contaminés par le virus du SIDA. Après la description en 1971 de l’action néfaste du Distilbène donné durant la grossesse aux USA, déni massif des pathologies et des plaintes des « filles du Distilbène » avec seulement une première condamnation du laboratoire producteur en 2006, soit 35 ans plus tard.

Quels reproches peut-on faire à cette justice ? En premier lieu, de n’avoir mis en examen que les laboratoires et pas les donneurs d’ordre (autorités de santé et politiques), ensuite d’exiger beaucoup des victimes et pratiquement rien des laboratoires mis en cause.

Ils sont les seuls à disposer des documents permettant d’établir causalité du dommage et défectuosité de leurs produits. Mais secret industriel oblige. La justice se retourne alors vers ceux qui n’ont aucun moyen de le faire : les victimes.

Les juges auraient au moins pu essayer de connaître les études scientifiques qui établissent les faits. Ils auraient ainsi appris que cette vaccination de masse, injustifiée dans un pays de faible endémie, a provoqué des maladies très graves et très variées : en majorité des sclérose en plaques, mais aussi des scléroses latérales amyotrophiques, des myofasciites, et diverses pathologies que l’ANSM a officiellement enregistrées, en France certes plus qu’ailleurs car aucun autre pays n’a autant vacciné en 4 ans, mais aussi en Europe et dans le monde. Mais refus a été opposé à toute demande d’enquête complémentaire sollicitée par les parties civiles. Et qu’en est-il de l’accusation pour “publicité mensongère” qui était pourtant évidente ?

Ce jugement global, alors que chaque plainte aurait dû être examinée dans sa spécificité, est dans la droite ligne de la presque totalité des jugements prononcés depuis 15 ans par les tribunaux en France. Sauf 2 procédures civiles gagnées,et quelques jugements favorables aux victimes de vaccination obligatoire, les autres victimes, les plus nombreuses, sont toujours déboutées. L’ONIAM elle-même les a exclues du champ de ses compétences. Discrimination insupportable dans un Etat de droit.

“Suivant que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous feront blanc ou noir…”, Jean de la Fontaine.

REVAHB 6 rue du Général de Gaulle Courriel : [email protected] 93360 NEUILLY PLAISANCE Site internet : www.revahb.fr Tél : 01.43.08.86.40


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16 réactions à cet article    


  • gaijin gaijin 18 mars 2016 14:17

    il faut d’urgence comprendre que la loi et la justice ce n’est pas la même chose

    quoi de neuf depuis le 16 ème siècle ?

    « Eh, Monsieur, de quoi parlez-vous là, et à quoi vous résolvez-vous ?
    Jetez les yeux sur les détours de la justice. Voyez combien d’appels et de degrés de juridiction ; combien de procédures embarrassantes ; combien d’animaux ravissants par les griffes desquels il vous faudra passer, sergents, procureurs, avocats, greffiers, substituts, rapporteurs, juges, et leurs clercs. Il n’y a pas un de tous ces gens-là, qui pour la moindre chose, ne soit capable de donner un soufflet au meilleur droit du monde. Un sergent baillera de faux exploits, sur quoi vous serez condamné sans que vous le sachiez. Votre procureur s’entendra avec votre partie, et vous vendra à beaux deniers comptants. Votre avocat gagné de même, ne se trouvera point lorsqu’on plaidera votre cause, ou dira des raisons qui ne feront que battre la campagne, et n’iront point au fait. Le greffier délivrera par contumace des sentences et arrêts contre vous. Le clerc du rapporteur soustraira des pièces, ou le rapporteur même ne dira pas ce qu’il a vu. Et quand par les plus grandes précautions du monde vous aurez paré tout cela, vous serez ébahi que vos juges auront été sollicités contre vous, ou par des gens dévots, ou par des femmes qu’ils aimeront. Eh, Monsieur, si vous le pouvez, sauvez-vous de cet enfer-là.
    c’est être damné dès ce monde, que d’avoir à plaider ; et la seule pensée d’un procès serait capable de me faire fuir jusqu’aux Indes. »
    ( molière les fourberies de scapin )

    au regard de ce que représenterai une condamnation pour comme trou dans le bouclier des illusions vaccinales nos modernes diafoirus ne seront jamais condamnés


    • joletaxi 18 mars 2016 15:05

      avox, le site où on explique que Pasteur était un escroc et que la polio est en fait une petite fièvre bénigne

      le gosse qui est mort l’autre jour, lui, il portera pas plainte, vous pouvez à l’aise continuer votre « combat citoyen »

      http://www.lalibre.be/actu/belgique/anvers-une-petite-fille-de-3-ans-decede-des-suites-d-une-diphterie-56eac3d435708ea2d3a4107e


      • gaijin gaijin 18 mars 2016 15:24

        @joletaxi
        salut jo l’ardent défenseur du nucléaire , des pesticides , des ogm et de big pharma
        toujours prêt a voler au secours des riches et des puissants ?


      • njama njama 18 mars 2016 15:41

        @joletaxi

        « Cependant, l’enfant décédé n’était pas vacciné, contrairement à plus de 99% des bébés belges. » (lalibre.be)

        Franchement, statistiquement c’est vraiment pas de chance, cette maladie étant censée être complétement éradiquée en Europe, et quasiment dans le monde. (A se demander si ce n’est pas un « false flag » d’un fabricant de vaccins ?).

        Il n’avait pas de sérum à l’hôpital ? La petite fille avait-elle été admise directement aux urgences ? ou avait-elle été auscultée auparavant en médecine de ville ? erreur de diagnostic ?
        Le diagnostic de diphtérie avait-il été fait avant décès ou après par analyses biologiques ? je dis ça parce que faute de vaccin, la diphtérie, ça se soigne.

        Le traitement curatif doit comporter avant tout la sérothérapie antitoxique3. Celle-ci sera d’autant plus efficace que son administration aura été précoce [réf. souhaitée]. La mortalité de la diphtérie est de :

         0 % si le sérum est injecté le 1er jour ;
         4 % si le sérum est injecté le 2e jour ;
         11 % si le sérum est injecté le 3e jour ;
         17 % si le sérum est injecté le 4e jour ;
         20 % si le sérum est injecté le 5e jour ou au-delà.

        L’antitoxine diphtérique étant d’origine équine, un test cutané (ou conjonctival) pour exclure une hypersensibilité doit toujours en précéder l’administration.
        Les antibiotiques ne jouent dans le traitement qu’un rôle accessoire. Leur utilité principale est d’accélérer la disparition du germe chez les individus qui en restent porteurs après guérison.

        https://fr.wikipedia.org/wiki/Dipht%C3%A9rie

        6) Conduite à tenir lors de l’identification d’un cas
        http://www.invs.sante.fr/publications/guides/diphterie/

        Son entourage a- t-il été mis en quarantaine ?


      • njama njama 18 mars 2016 16:02

        @joletaxi

        Cas de diphtérie en Espagne : ce qu’il faut savoir et que la presse ne vous dira jamais
        11 juin 2015
        le vaccin est-ce vraiment le remède miracle ?
        -----------

        pour ce qui est d’aider une victime dans son « combat citoyen » que croyez-vous que cette jeune Floriane devrait faire ?
        http://www.charentelibre.fr/2016/02/22/son-combat-contre-la-maladie-et-le-vaccin-anti-hepatite-b,3018682.php


      • gaijin gaijin 18 mars 2016 17:03

        @jo

        oups les vaccins seraient plus mortels que les centrales nucléaires ( qui comme on le sait n’ont jamais tué personne ) :
        http://initiativecitoyenne.be/2016/03/une-maman-de-louisiane-sait-que-8-doses-de-vaccin-ont-tue-son-bebe-de-2-mois.html


      • joletaxi 19 mars 2016 11:26

        @gaijin

        joli temps non ?

        une petite tasse d’argile peut-être, c’est bon pour la polio aussi

        je ne discuterai pas car, comme décrit dans votre lien, vous vous savez, il n’y a plus à polémiquer.
        D’ailleurs votre copain plus bas explique comment soigner la diphtérie , je me propose dès lundi de communiquer son « ordonnance » à l’hopital où la mlaheureuse gamine est décédée, faute de soins appropriés, d’une maladie qui n’existe que dans les rêves des complices de bigpharma

        fuku zéro mort, zéro la tête à toto,

        je sais que cela vous énerve, vous attendez comme des hyènes qu’un pauvre type décède, ce qui arrivera, d’une irradiation ou d’un mauvais rhume, soyez en certains


      • njama njama 19 mars 2016 12:13

        @joletaxi

        Je vous cite l’INVS mais cela ne vous convient pas !

        Personne ne vous empêche de pratiquer votre religion vaccinale ... laissez les hérétiques tranquille au lieu de nous imposer votre dictature sanitaire.

        De quoi vous inquiétez-vous au juste, le business des vaccins est en pleine expansion, il devrait même doubler d’ici 2025 si j’en crois ce journal spécialisé dans la finance http://www.latribune.fr/...
        Investissez tant qu’à faire, au moins si vous êtes victime d’une SEP vos dividendes ne seront pas de trop ...

        L’Etat a été condamné à verser près de 2,4 millions d’euros à une ancienne infirmière ayant déclaré une sclérose en plaques après avoir été vaccinée contre l’hépatite B.
        14-08-2014
        Ils ont alors condamné l’Etat sur ce point à 350.000 euros.
        Les magistrats, qui ont donné droit à quasiment l’ensemble des demandes de la victime, ont également reconnu un préjudice global personnel de 178.000 euros.
        Ils ont en outre condamné l’Etat à rembourser l’ensemble des frais de santé et de matériel spécialisé, celles liées à la perte d’autonomie, à l’assistance d’une tierce personne ou d’adaptation du logement.
        En tout, l’Etat a été condamné à verser 2.384.670,50 euros à la victime.


        http://www.sciencesetavenir.fr/sante...
         


      • njama njama 20 mars 2016 10:58

        @joletaxi
        Au sujet du cas de l’enfant de 6 ans mort de diphtérie en Espagne, comment se fait-il à votre avis que ce pays ne disposait même pas d’anatoxine, et que cet hôpital à dû se fournir auprès de la Russie ? D’autre part l’enfant a été hospitalisé un mois avant de décéder ! La mortalité due à cette pathologie toxi-infectieuse et se situe autour de 5 à 10 %.

        (29.06.2015 « Pour la première fois depuis 1987, une personne est décédée de la diphtérie en Espagne. L’enfant de 6 ans est resté hospitalisé un mois avant que la maladie ne l’emporte. Il n’était pas vacciné.
        L’hôpital de Vall d’Hebron, à Barcelone, a confirmé ce 27 juin le décès du patient sur Twitter. Hospitalisé depuis la mi-mai, le garçon de 6 ans souffrait de la diphtérie. Son traitement par antitoxine a pris du retard. En effet, l’Espagne ne disposait plus du médicament. C’est finalement la Russie, où la maladie sévit toujours, qui a fourni en urgence le traitement. »
        http://www.pourquoidocteur.fr/ ...
        Michel Georget : « Ce n’est pas la vaccination qui a fait disparaître la diphtérie »
        (3’59) https://www.youtube.com/watch?v=qB7m9ESueLk


      • njama njama 18 mars 2016 15:15

        ci-dessous article assez complet et rétrospectif de « initiative citoyenne be » sur le sujet. Ne manquez pas dans la courte vidéo de 2’49 la « tromperie aggravée » à 2 20 dans la plaquette de Pasteur-Mérieux qui déclare que « la salive est un important vecteur de contamination » ... , affirmation alarmiste car aucun cas de contamination par la salive n’avait jamais été observée. Pour quoi ce mensonge ?, le but était écrit clairement noir sur blanc dans un document interne de chez Pasteur-Mérieux, « sur le marché de la vaccination les adolescents sont un segment très porteur... il faut dramatiser, ... il faut faire peur avec la maladie » .

        Vaccin hépatite B : quand un non-lieu dévoile le vrai lieu du tabou
        « ... qui est finalement le dogme vaccinal lui-même »
        [......]
        Visionnez la vidéo suivante qui démontre de façon limpide la tromperie aggravée en matière de vaccination anti-hépatite B. Il n’y avait finalement même pas besoin d’une instruction judiciaire pour l’établir tant les preuves étaient déjà flagrantes d’emblée :

        https://www.youtube.com/watch?v=Vzt2G7fJH70


        • njama njama 18 mars 2016 18:14

          Il peut se produire que les informations données par certaines agences ou promoteurs dans le domaine de la Santé soient biaisées, trompeuses ou erronées volontairement ou non.
          Exemple, le site www.vacc.info, site d’information en matière de vaccination, est la propriété de l’asbl Question Santé, sise rue du Viaduc 72 à 1050 Bruxelles, qui se présente comme un acteur reconnu dans le domaine de la santé en matière d’information. Dans un de leurs articles "Le vaccin contre l’hépatite B peut-il causer ou aggraver la sclérose en plaques" on peut lire : 

          "L’incidence de la sclérose en plaques en France (0,6 cas pour 100.000) et dans d’autres pays industrialisés où existe un programme de vaccination universelle comme les États-Unis et l’Allemagne (0,1 à 0,8 cas pour 100.000) est inférieure à celle décrite dans la population générale avant l’instauration des programmes de vaccination contre l’hépatite B (1 à 3 cas pour 100.000). Ce qui tendrait à prouver que la vaccination contre l’hépatite B ne favorise ni ne protège contre les poussées de sclérose en plaque".

          Les sources ne sont pas citées aux lecteurs mais les chiffres avancés sont très erronés, et devraient être multipliés environ par douze ou quinze et pour la France être de 8 ou 9/100.000 environ au lieu de 0,6/100.000 énoncé.
          Erreur de décimale ? Volonté de minimiser ?

          Je les ai avertis par mail de ce qui me semble être une erreur dans leur rédaction, au regard de l’article du DR Dominique Le Houézec du 14 novembre Évolution de la sclérose en plaques en France depuis le début de la vaccination contre l’hépatite B qui cite des chiffres très officiels et vérifiables de la CNAM, et de l’ANSM (le système national de pharmacovigilance) :

          Page 3 du PDF

          Analyses des données de la CNAM : Le nombre de SEP était très stable, environ 2.500 nouveaux cas chaque année jusqu’en 1993. A compter des années suivantes, et surtout à partir de 1996, il est apparu une augmentation progressive du nombre de SEP enregistrées par l’assurance maladie. Ce chiffre a augmenté jusqu’à 4.500 cas en 2003 et reste stable depuis.

          L’incidence annuelle qui était de 5,3/105 assurés sociaux en 1993 passe à 8,7/105 dix années plus tard (Figure 1). Ces chiffres sont en accord avec les données épidémiologiques publiées dans ce pays. En effet, l’incidence de la SEP en France était estimée à environ 4,3/105 habitants dans les années 1993-1997, à partir d’un échantillon représentatif de la région de Bourgogne [17]. Elle a été réévaluée par la même équipe, mais cette fois à partir des données nationales de la CNAM, à un taux situé entre 7,6 et 8,8/105 habitants pour la période 2001-2017 [18].

          Les études épidémiologiques mesurant la prévalence de cette maladie fournissent une augmentation du même ordre de grandeur. Ce chiffre était de 40/105 personnes assurées en 1994, au début de la campagne de vaccination de masse [19]. Il s’est accru rapidement jusqu’à 95/105 douze ans plus tard [20].

          Cette étude originale "Evolution of multiple sclerosis in France since the beginning of hepatitis B vaccination" * reprend  avec un recul de 20 années, les données chiffrées officielles concernant l’évolution de la sclérose en plaque en France. Elle suggère fortement un lien entre l’augmentation de cette affection et la campagne intensive de vaccination contre l’hépatite B menée dans notre pays dans les années 90 (environ 20 millions de personnes vaccinées sur un court laps de 4 années). Cette «  expérimentation involontaire réalisée à grande échelle », portant sur le tiers de la population française, éclaire ce qui est parfois qualifié de problème franco-français.

          * PDF en français : http://myofasciite.fr/Contenu/Divers/20141114_%20LeHouezec_SEP_PostVaccHB.pdf

          ou en anglais : http://link.springer.com/article/10.1007/s12026-014-8574-4



          • njama njama 18 mars 2016 18:20

            correction Agoravox n’a pas pris les 10 puissance 5, et les a transformés en « 105 » !

            LIRE : L’incidence annuelle qui était de 5,3/100.000  assurés sociaux en 1993 passe à 8,7/100.000 dix années plus tard (Figure 1). Ces chiffres sont en accord avec les données épidémiologiques publiées dans ce pays. En effet, l’incidence de la SEP en France était estimée à environ 4,3/105 habitants dans les années 1993-1997, à partir d’un échantillon représentatif de la région de Bourgogne [17]. Elle a été réévaluée par la même équipe, mais cette fois à partir des données nationales de la CNAM, à un taux situé entre 7,6 et 8,8/100.000 habitants pour la période 2001-2017 [18].


          • njama njama 19 mars 2016 13:27


            En l’absence momentanée de preuves scientifiques établissant un lien de causalité entre vaccin HB et SEP, l’évolution des données statistiques demeurent suffisamment inquiétantes pour poser la question de santé publique, comme de l’efficacité supposée de ce vaccin ?

            L’incidence approche 1 cas sur 10.000, et « les études épidémiologiques mesurant la prévalence de cette maladie fournissent une augmentation du même ordre de grandeur. Ce chiffre était de 40/100.000 personnes assurées en 1994, au début de la campagne de vaccination de masse [19]. Il s’est accru rapidement jusqu’à 95/100.000 douze ans plus tard [20]. (source citée + haut)

            La »prévalence« qui peut varier très fortement d’un continent à l’autre semble correspondre aux pays qui vaccinent le plus.
             »A titre d’exemple, celle-ci est de 140 pour 100.000 en Amérique du Nord ou de 108 pour 100.000 en Europe, contre 2,1 et 2,2 pour 100.000 en Afrique subsaharienne et en Asie orientale. Les variations régionales sont elles aussi très importantes : en Suède, cette prévalence est de 189 pour 100.000 tandis qu’en Albanie, elle est de 22 pour 100.000.«  selon le site allodocteurs.fr du 02/10/2013 »

            Qui est touché par la SEP ?
            22 Novembre 2011
            90 000 à 100 000 personnes sont atteintes de SEP en France et 350 000 aux États-Unis. On estime que 4 000 nouveaux cas sont déclarés chaque année en France.
            voir carte : http://www.nafsep.org/la-sclerose-en-plaques/qui-est-touche-par-sep


          • ddt99 ddt99 19 mars 2016 10:48

            Bienvenu au club des victimes de la Justice française !

             

            Je vous souhaite bonne chance pour obtenir réparation devant la Justice française, qui fonde ces décisions sur des considérations étatiques de non-culpabilité des élus, des puissants et des fonctionnaires de l’État, pas sur la vérité, la justice ou les droits de l’homme, des principes et des valeurs qui sont juste là pour la forme démocratique.

             

            Faire appel ne sert à rien d’autre qu’à financer un système judiciaire corrompu par le relationnel, la solidarité, le corporatisme, etc. laissant pour compte les victimes à leur sort, abandonné de tous.

             

            Voyez mon cas et vous comprendrez que vous n’obtiendrez rien de la justice de ce pays, surtout si elle est instruite par le Tribunal de Grande Instance de Créteil, ou il n’y a que des crapules qui œuvrent non pas pour la Justice, mais pour couvrir des crimes et délits commis par d’autres voyous de la République. C’est un ancien habitant du Val-de-Marne qui vous le dit.

             

            Quant à la Cour d’appel de Paris, elle ne fera que confirmer les décisions précédentes, car la Justice française ne se trompe jamais.

             

            Tous ces gens au-dessus de tout soupçon peuvent commettre les pires choses, écrire n’importe quoi sur des documents officiels, cela ne sera jamais reconnu comme un délit par aucun magistrat debout ou assis.

             

            En novembre 2006, j’ai été interné arbitrairement et illégalement, pour, je site la motivation du Préfet du Val-de-Marne :

             

            « manifesté par des idées différentes » avec la complicité des médecins de la fonction publique, qui ont fait de faux certificats d’hospitalisation d’office pour satisfaire les mensonges d’un élu de la République.

             

            Puis en juin 2007, j’ai été renvoyé devant le Tribunal de Grande Instance de Créteil sur le Décret-loi de 1939, abrogé par l’Ordonnance n° 2004-1374, article 5 § 34, et donc, c’est par l’application d’un texte caduc.

             

            Le non-lieu qui fut prononcé en ma faveur et l’article 226-10 du Code pénal caractérisent le délit de dénonciation calomnieuse commis par le maire de ma commune.

             

            L’arrêt de la Cour administrative d’appel de Paris et les arrêts de Cour d’appel de Paris déclarant l’internement abusif et illégal et l’article 224-1 du Code pénal et suivant caractérisent l’enlèvement et la séquestration avec usage de la fonction publique. 


            Et pourtant aucun délit n’a été retenu par les procureurs ni par les juges d’instruction contre tous ces salopards.

             

            La seule option que je n’ai pas exploitée est la citation directe, mais je pense que je n’utiliserais pas cette option, car je ne souhaite pas être davantage puni et condamné par la Justice criminelle française.

             

            Sachez toutefois que faire appel peut vous faire condamner à indemniser vos détracteurs, comme moi je le fus par la Cour d’appel de Paris, bien qu’elle reconnaissait ma qualité de victime, j’ai été condamné à indemniser mes bourreaux.

             

            Et aussi sachez que l’espoir est le pire des maux, car il vous maintient dans un carcan immobiliste qui vous empêche d’avancer.

             

            Bon courage pour la suite ! 


            • njama njama 19 mars 2016 12:54

              @ ddt99
              Je ne vois pas très bien la similitude entre le non-lieu et votre litige judiciaire ?

              Les victimes de SEP ne sont pas victimes de la justice, qui s’est simplement prononcée en « L’absence de « causalité certaine  » entre la vaccination contre l’hépatite B et l’apparition de ces pathologies, ne retenant pas de « faute d’imprudence ou de négligence » des mis en cause.

              En résumé, même en admettant une relative partialité des juges (à démontrer), cela veut dire que les éléments portés à leur connaissance n’étaient peut-être pas assez significatifs selon leurs critères d’appréciation et d’expertise en fonction des données connues d’eux dans le dossier.
              Faire appel permet d’apporter de nouveaux éléments ...

              Très globalement la Presse a été honnête je trouve en rendant compte de ce jugement qui ne disculpe en aucun cas le vaccin HB, pas plus qu’il ne le responsabilise, hormis le Journal »La Croix« qui titre  »La Justice exonère le vaccin contre l’hépatite B« , le site »Pourquoi Docteur ?« ,  »vaccin contre l’hépatite B : les plaignants perdent au tribunal« , le Parisien.fr  »Le vaccin contre l’hépatite B innocenté« les deux médecins Michel Cymes et Marina Carrere d’Encausse animateurs de l’émission »Le Magazine de la santé« sur France 5 qui déclarent dans une VIDÉO  »la justice confirme que ce vaccin n’est pas en cause".

              Non l’arrêt de non-lieu n’exonère pas le vaccin, pas plus qu’il n’est innocenté, ou hors de cause ; le non-lieu ne signifie pas perdre un procès, mais seulement qu’il n’aboutit pas, en l’état actuel du cours de la procédure judiciaire qui peut encore se poursuivre.


              • ddt99 ddt99 19 mars 2016 13:47

                @njama


                Votre affaire et la mienne mettent en cause l’administration médicale.

                 

                Or en France, il est quasiment impossible d’obtenir la condamnation d’une administration, même lorsque la faute est constatée et reconnue par voie de justice, si vous prenez le temps de lire l’arrêt de Cour d’appel de Paris, vous y verrez ce qui suit : « Considérant qu’il ressort des pièces du dossier, avec l’évidence requise en référé, que le préjudice subi par M. TAUT du fait de cette hospitalisation illégale, résulte d’un concours de fautes graves commises, tant par l’autorité administrative, que par les personnels des établissements hospitaliers… »

                 

                Fort de cet arrêt et d’autres documents, j’ai déposé des plaintes contre les médecins impliqués dans mon internement illégal, aucune condamnation administrative ou pénale n’a abouti. Des excuses comme la vôtre m’ont été sorties  ; «  il n’existe pas suffisamment d’éléments probants pour poursuivre l’action en justice, suivant en cela les recommandations du procureur. »

                 

                Pour savoir si j’ai raison, il suffit de comptabiliser les affaires mettant en cause l’administration, ou les grands comptent qui ont abouti par une condamnation et celles qui ont abouti par des non-lieux, des relaxes, etc., et sans avoir besoin de faire de fastidieuse recherche, je peux affirmer sans me tromper qu’il y a eu nettement plus de non-lieux et de relaxe que de condamnation.

                 

                La similitude, vous la découvrirez dans dix, après avoir arpenté comme moi de trop nombreuses fois les salles des pas perdus et les salles d’audience des tribunaux, et lorsque plus aucun appel ne sera possible, délesté de plusieurs milliers d’euros perdus en frais de procédure et d’honoraires d’avocat, vous constaterez enfin la fin de votre espoir en la justice.

                 

                Une phrase résume bien la finalité de toutes les affaires qui peuvent être engagées par des victimes de l’administration médicale et judiciaire.

                 

                « Responsable, mais pas coupable »

                (Georgina Dufoix, ministre des Affaires sociales et de la Solidarité nationale)

                 

                Et lorsque tout sera fini, en plus d’avoir été la victime de l’administration médicale vous serez aussi la victime de l’administration judiciaire.

                 

                Comme je vous l’ai dit moi aussi j’ai eu espoir de voir condamner les responsables de cette privation de liberté individuelle illégale (l’autorité administrative et les personnels des établissements hospitaliers).

                 

                Mais, il est vrai que chacun doit faire ses propres expériences pour arriver à sa conclusion.

                 

                Je vous ai fait part de ma conclusion décennale, peut-être me ferez-vous part de la vôtre dans 10 ans ?


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