Pierres et légendes à Stonehenge
Existe-t-il sur cette Terre un monument au mystère plus insondable que Stonehenge ? Y a-t-il un autre vestige historique qui ait à ce point laissé les scientifiques et les historiens dans l’interrogation ? On sait peu de choses de Stonehenge, et à l’énigme que constitue le monument lui-même vient s’ajouter la méconnaissance du site sur lequel il a été bâti, dont on sait maintenant qu’il recèle encore bien des trésors enfouis. On vient en effet de localiser à moins d’un kilomètre du monument les fondations d’un autre cercle, un cercle de bois, celui là. Ainsi, les générations de chercheurs se succèdent et peu à peu, années après années, pierre après pierre, l’édifice de la connaissance de Stonehenge se monte. Le site se révèle, il se réveille et livre un a un ses multiples secrets.

On sait que Stonehenge ne fut pas bâti en une seule fois, mais en plusieurs fois, à différentes époques, la nouvelle construction venant compléter ou remplacer la précédente. On pensait autrefois que le monument avait été érigé en trois phases, mais une autre théorie, basée sur la datation au Carbone 14, affirme qu’il l’a été en quatre. La quatrième phase nous mènerait très proche de notre ère actuelle.
Les dates de construction diffèrent d’un article à l’autre. On parle dans Wikipedia.fr d’une période allant de moins 2800 à moins 1100, dans cet autre article, par exemple, on trouve de moins 3100 à moins 1600. Le site britannique English Heritage, l’organisme qui gère le site, donne les dates suivantes (détaillées en trois phases) : de moins 3000 à moins 1600, date à laquelle le site fut abandonné. La quatrième phase n’est jamais présentée comme une période de changements majeurs sur le site, mais de réarrangements et modifications mineures.
On ne peut clairement déterminer non plus à qui revient la paternité du monument. On nomme les bâtisseurs de l’époque de Stonehenge les « populations autochtones », en précisant qu’il ne s’agissait pas alors des Celtes. On sait bien sûr à qui le site a appartenu par la suite : du Roi Henry VIII, il est passé en 1540 aux mains du Comte de Hertford, puis à celles de Lord Carleton, du Marquis de Queensbury… Il a été acheté par une famille du Cheshire en 1824, puis a été vendu aux enchères en 1915 après la mort de son dernier héritier, qui s’était engagé sur les champs de bataille français. L’acquéreur l’acquit sur un coup de tête, s’offrant pour
Chaque phase de la construction de Stonehenge comporte ses mystères, et fait surgir nombre de questions restées pour le moment sans réponse, ou dont les réponses trouvées sont encore incomplètes. On ne sait pas vraiment, par exemple, à quelle époque fut érigée la fameuse « heelstone », une pierre totalement brute à l’inclinaison marquée. Sa fonction reste mystérieuse, de même que les raisons pour lesquelles elle a été nommée ainsi au Moyen Age. Selon une vieille légende relatée dans la version anglaise de Wikipedia, son nom aurait un rapport avec le fait que le Diable aurait lancé cette pierre dans le talon (« heel ») d’un moine. Le deuxième sens du terme « heel » en anglais, autre explication communément retenue pour le nom de cette pierre, tel que le donne le Robert et Collins, est : « s’incliner, pencher dangereusement. » (1)
Les premières pierres, les « pierres bleues », qui ont servi pour la construction du premier cercle de menhirs, puis ont été déposées et, pour certaines, retaillées puis replacées à l’intérieur du monument final, datent de la deuxième phase et proviennent de carrières situées à près de deux cent cinquante kilomètres de là ! On ne sait pas exactement par quel moyen elles ont été acheminées jusqu’au site, mais on pense qu’elles ont été transportées sur la rivière Avon. Leur réinstallation au centre du monument final date de la phase trois.
Plus incroyable encore, comment les hommes de l’époque ont-ils pu transporter puis ériger les pierres géantes de grès ? Certes, les carrières d’où ces blocs ont été extraits ne sont situés qu’à quarante kilomètres de Stonehenge, mais certains pèsent jusqu’à cinquante tonnes ! De plus, une colline se dresse en travers du chemin, ce qui a dû rendre l’entreprise d’autant plus pénible pour les hommes, qui ont mis plusieurs décennies à toutes les acheminer sur le site, comme on estime être le cas. Comment ont-ils réussi à hisser puis déposer les énormes linteaux horizontaux aux sommets des mégalithes ?
Comment se fait-il qu’avec la technologie dont nous disposons de nos jours, qui a permis à l’homme des exploits aussi fantastiques qu’aller poser le pied sur
A chaque époque ses méthodes, à chaque époque ses exploits qui renferment de ce fait leur part de mystère, et parfois même semblent relever du surnaturel. Les nouvelles techniques remplacent les précédentes, qui finissent alors de façon irrévocable dans les abîmes de l’oubli.
Avec quels outils ont-ils pu extraire de tels pans rocheux ? Sûrement pas avec les pioches de bois de cervidés ou les pelles en omoplates de bovins qui ont servi à creuser les fossés, et dont les restes ont été retrouvés sur le site lors de l’une des nombreuses fouilles.
Les explications apportées à la construction de Stonehenge sont donc en réalité des hypothèses, comme celle décrivant le transport des pierres sur des traîneaux tirés par des centaines d’hommes, qui les montèrent ensuite au moyen de cordes, de leviers, d’échafaudages… Si seulement on pouvait voyager dans le temps !
On admet actuellement trois théories concernant la fonction du monument.
La première, qui attribue au site le rôle de lieu de sépulture semble être une quasi certitude, du fait des nombreux ossements humains que l’on y a retrouvés. Ils ont été datés au Carbone 14, ce qui a permis de déterminer que Stonehenge a servi de sépulture dès la première phase de son élaboration, et non simplement à partir de la période monolithique du lieu (c’est-à-dire avant l’installation des trilithes), comme on le pensait auparavant.
Toujours selon les archéologues, Stonehenge aurait été un lieu de culte, une sorte de temple en quelque sorte, mais également un lieu thérapeutique en raison des vertus curatives que l’on attribuait alors aux pierres bleues, du fait même de leur couleur. Cela pourrait expliquer pourquoi les habitants de la région sont allés chercher ces pierres bleues aussi loin. Pour étayer leur supposition, les scientifiques se basent sur la découverte de dépouilles de personnes dont on a pu déterminer qu’elles étaient mortes de maladies, et qui ont été enterrées avec des morceaux de ces pierres. Les malades et blessés, apprend-on, venaient à Stonehenge pour bénéficier du pouvoir de guérison des pierres bleues. On peut se demander alors si ces personnes vivaient non loin du site car, dans le cas inverse, les gens auraient-ils pu avoir connaissance de l’existence du monument ?
Les astronomes, en particulier, ont toujours préféré attribuer à Stonehenge une fonction d’observatoire et de calendrier astronomique, ce qui fait alors du monument un symbole du savoir des hommes à cette époque. William Stukeley a observé pour la première fois en 1740 que le jour du solstice d’été, le premier rayon du soleil matinal vient frapper la pierre centrale. Ses rayons atteignent un autre emplacement lors du solstice d’hiver. Certains chercheurs pensent que ce n’était pas le lever du soleil lors du solstice d’été qui importait, mais son coucher au moment du solstice d’hiver.
En 1965, dans son livre intitulé Stonehenge Decoded, l’astronome britannique Gerald Hawkins présente au grand public les conclusions de ses études, réalisées à l’aide d’un ordinateur IBM et qu’il avait publiées deux ans plus tôt dans le magazine Nature : la correspondance entre l’alignement des pierres de Stonehenge et des phénomènes astronomiques majeurs ne peut être une coïncidence, et les 56 trous entourant le monument auraient été une sorte de calculateur astronomique permettant de prédire les éclipses de lune (2). Son travail, notamment la théorie sur le calculateur, a été assez critiqué.
D’autres ont vu dans les cinq trilithes une représentation des cinq planètes du système solaire visibles à l’œil nu.
En règle générale, de nombreux archéologues ne sont pas du tout convaincus par les théories mettant en avant le rapport entre le monument et l’astronomie. Ils leur opposent le fait que Stonehenge a été érigé en plusieurs étapes, les doutes concernant les connaissances astronomiques des peuples de cette époque, indispensables pour construire un tel dispositif, et des illogismes dans certains points des théories avancées. On se demande même si le climat de l’époque permettait les observations astronomiques.
Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, quelque soit la fonction, ou les multiples fonctions, de Stonehenge, les pierres qui ont servi à sa construction n’ont pas été disposées au hasard, mais selon un plan géométrique extrêmement précis.
Fouilles et restaurations
Le Moyen Age, toujours prompt à faire progresser la science comme on le sait, a notamment vu en Stonehenge une œuvre du Diable. Fort heureusement, les choses ont évolué par la suite. Cependant, les interprétations erronées sur la construction et la fonction de Stonehenge ne se sont pas arrêtées pour autant. Ainsi, William Stukeley commit l’erreur, toujours en 1740, d’attribuer la construction du monument aux Druides.
Entre les 18ème et 19ème siècles, les équipes successives de fouille ont parfois été témoins de l’effondrement de certaines pièces, comme ce fut le cas en 1797 pour un trilithe restauré ensuite en 1958, lors de la deuxième grande campagne de restauration. Les premières grandes restaurations du monument eurent lieu en 1901. D’autres fouilles (ainsi que des campagnes de restauration) non seulement du monument lui-même mais du site environnant se succédèrent ensuite durant le 20ème siècle et au début du 21ème, et furent à l’origine de nombreuses découvertes, telle l’exhumation des restes de l’archer en 1978.
Récemment, une nouvelle campagne d’étude du site de Stonehenge, qui doit durer trois ans, vient d’être ouverte. A peine quelques semaines après son début, les scientifiques ont déjà fait dans la troisième semaine de juillet 2010 une incroyable découverte : grâce aux nouvelles techniques d’imagerie aux rayons X (on n’a donc même plus besoin de creuser !) ils ont scanné le sol et ont localisé à environ
Légendes et cérémonies
Chaque fois qu’un mystère quelconque entoure un fait ou un monument, il engendre un certain nombre de théories fantaisistes. C’est donc le cas pour Stonehenge, dont on dit par exemple qu’il aurait été construit par des êtres venus d’ailleurs, ou que seuls des procédés surnaturels étaient en mesure de réaliser un tel monument. Dans une légende médiévale datant du 12ème siècle, c’est Merlin qui a bâti Stonehenge, avec l’aide d’un géant.
A partir de 1972, le site de Stonehenge fut le théâtre d’un festival de musique gratuit de plusieurs jours en juin, à l’atmosphère essentiellement hippie, auquel Margaret Thatcher mit brutalement un terme en 1985.
Chaque année, lors du solstice d’été, une foule de visiteurs se rassemble sur le site de Stonehenge et campe sur place pour assister au lever du soleil et, pour certains d’entre eux, comme les néo-druides, néo-païens ou adeptes du New Age, pratiquer des cérémonies. Les premières cérémonies de néo-druides le jour du solstice d’été remontent à 1905. Ces cérémonies furent interdites en 1985 après les violences causées par l’interdiction du festival, puis l’autorisation a de nouveau été accordée en 2000, mais sous des conditions très strictes. Ces cérémonies sont désormais entrées dans la légende et la tradition de Stonehenge, et les média se rendent régulièrement sur place afin de réaliser des reportages à ce sujet.
Quel avenir pour Stonehenge ?
Les premiers visiteurs de Stonehenge avaient la possibilité de se promener au beau milieu du monument, toucher les pierres et même les escalader. Des problèmes liés au vandalisme ont momentanément entraîné la fermeture du site en 1978. En conséquence, les visiteurs ne sont plus autorisés de nos jours à toucher les pierres (sauf dispositions spéciales pour les non voyants), et doivent même se contenter de faire le tour du monument sans entrer à l’intérieur du cercle de pierres. Cette disposition est exceptionnellement levée lors des solstices et des équinoxes, et les visiteurs peuvent également faire une demande spéciale pour obtenir le droit d’entrer à l’intérieur du monument en dehors de ces quatre jours de l’année.
Stonehenge (et le site environnant) est classé depuis 1986 au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, comme le sont presque mille autres sites (pour être précis, 878 en 2009), pas tous de nature archéologique, parmi lesquels on peut citer Angkor au Cambodge,
Vingt huit sites au Royaume Uni ont eu la chance de se voir attribuer ce titre.
Un nouveau plan d’aide sur les court, moyen et long termes, datant de janvier
Stonehenge, le plus mystérieux de tous les monuments ?
Stonehenge est l’un des plus mystérieux vestiges que nous ont légués nos ancêtres, mais aussi l’un des plus empreints de spiritualité. Peut-on trouver des ressemblances à ce niveau avec d’autres sites archéologiques comme Lascaux, par exemple, ou Angkor ? La démarche de comparer ces sites n’a évidemment rien de scientifique, elle n’est même pas logique, il s’agit juste au départ d’essayer de comprendre en quoi ils sont mystérieux et, de ce fait, pourquoi ils exercent une telle fascination dans le monde entier.
Ces sites sont classés au Patrimoine Mondial de l’Humanité, et ils sont tous plus ou moins en danger. Stonehenge, comme tout vestige archéologique, est menacé par le temps. La grotte de Lascaux, classée depuis 1979, est rongée par les champignons et les parasites au point qu’elle a dû être fermée au public, et qu’en 2008 l’UNESCO a mis
Lascaux et Stonehenge datent tous les deux de la préhistoire, même si évidemment la grotte de Lascaux est bien plus ancienne (entre 18 000 et 15 000 environ avant notre ère). Ils sont des témoignages inestimables des réalisations et du degré de savoir et de technique de nos lointains ancêtres et, à ce titre, méritent vraiment d’être considérés comme patrimoine de l’humanité.
On peut faire remarquer que Lascaux et Angkor (en tout cas une partie du site) ont été découverts de façon similaire, par le plus grand des hasards, dans la forêt. Quatre enfants et un chien ont découvert Lascaux sous la végétation et, pour simplifier, un explorateur du 19ème siècle à la recherche de papillons exotiques a redécouvert certaines ruines à Angkor, envahies par la végétation.
Comparer Stonehenge et Angkor semble évidemment difficile, ne serait-ce qu’en raison de l’écart considérable entre les périodes de construction. En effet, le site d’Angkor est récent, comparativement à Stonehenge, puisque ses nombreux édifices ont été construits, en gros, entre le neuvième et le treizième siècle de notre ère. Et pourtant, s’il est facile de trouver des divergences, quelques petites similitudes peuvent être relevées (en cherchant bien). Tout d’abord, les deux sites ont toujours conservé leur part respective de mystère quant à leur construction, les temples répartis sur le site d’Angkor ayant, à l’origine, la réputation d’avoir été bâtis par les Dieux eux-mêmes.
Les articles concernant Stonehenge ne mentionnent pas la raison pour laquelle le site a cessé d’être fréquenté en 1600 avant JC (date avancée par The English Heritage). De même, les théories divergent quant aux raisons exactes de la désertion totale d’Angkor au 16ème siècle.
On continue également d’étudier Angkor, et ces études servent aux travaux, souvent titanesques, de restauration des temples dont les pierres se sont forcément effondrées avec le temps.
Une autre analogie entre les deux sites réside dans le fait qu’on n’y a pas encore découvert tous les vestiges qu’ils recèlent. Enfouis sous terre à Stonehenge, encore cachés dans la forêt à Angkor. Comme récemment à Stonehenge, ce sont là aussi les nouvelles techniques d’imagerie qui ont permis de déterminer qu’Angkor recèle encore bien des trésors ! Mais là où la surface qui sera étudiée durant les trois prochaines années autour du monument de Stonehenge ne fait que 14 km² (le site complet fait 26 km²), le site d’Angkor, lui, en fait au minimum quatre cents !
Grâce aux progrès de la technologie, on peut donc parier que les prochaines années seront riches de nouvelles découvertes archéologiques, que ce soit à Stonehenge, à Angkor, pourquoi pas sur les sites archéologiques d’Egypte, ou en bien d’autres endroits du globe. Les prochaines années nous réservent encore, sans le moindre doute, de magnifiques surprises !
Quelle conclusion apporter à cette tentative de rapprochement un peu forcé entre ces sites et monuments ? Trouver des liens, même ténus, entre des monuments bâtis en divers lieux de la planète, à des époques différentes et pour des fonctions parfois très distinctes peut aussi faire prendre conscience que les buts recherchés par nos ancêtres, époque après époque, étaient fondamentalement les mêmes, que l’histoire est donc commune à toute l’humanité, et que la responsabilité incombe par conséquent à toute l’humanité de sauver son fragile patrimoine et de continuer à le transmettre, coute que coute, aux générations futures. La mémoire de l’humanité se perd quand aucune écriture n’a pu la fixer ou quand, lors d’une période troublée, une période d’obscurité, on a délibérément essayé de l’effacer. Le meilleur lien entre tous ces sites et monuments extraordinaires étant leur classement au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, ces monuments et ces sites naturels contribuent, par leur existence même et du fait de la protection dont ils font l’objet, à faire de la planète toute entière le plus grand, et le plus beau de tous les musées du monde.
Notes.
(1) D’autres théories semblent proposer que ce terme soit dérivé de « hélios », appellation grecque du soleil, ou encore de l’ancien anglais « heol », qui signifie « voie », en raison du fait que cette pierre se situe dans la perspective du monument. Et si Stonehenge avait une fonction curative, se pourrait-il que « heel » soit la déformation graphique (la prononciation étant la même) de « heal » qui signifie « guérir, cicatriser » ?
(2) On pense que ces 56 trous, les « Aubrey Holes » du nom de l’antiquaire qui les a étudiés au 17ème siècle, et qui font un mètre de diamètre environ, ont peut être contenu des poteaux de bois, mais aucun reste ne peut confirmer cette hypothèse. Ce serait le cas également pour le monument qui vient d’être repéré sous terre, dont les trous ont les mêmes dimensions, et dont on pense, comme on l’a vu, qu’ils ont été les fondations de poteaux en bois.
(3) Une trentaine pour le monument principal.
Pour en savoir plus… plutôt en anglais…
En raison du peu d’informations détaillées en Français, certains liens présentés dans l’article et ci-dessous renvoient vers des sources en anglais.
Pour avoir une description détaillée des différentes phases de la construction du monument, des détails plus techniques et plus scientifiques sur le rapport entre Stonehenge et l’astronomie, en savoir plus sur les campagnes de fouille ou encore se tenir au courant des théories les plus récentes et des toutes dernières découvertes, on peut consulter le site English Heritage, cet article très détaillé mais en anglais sur l’astro-archéologie à Stonehenge, le long article sur Wikipedia en anglais, ou celui de Wikipedia en français qui est toutefois un peu moins détaillé.
Un article de BBC News sur la célébration du solstice d’été, avec une animation en quatre photos montrant comment le soleil entre dans le monument.
Article de l’UNESCO en Français sur Stonehenge et les sites associés.
Article en anglais sur la toute récente découverte sur le site de Stonehenge.
Vidéo.
Une très bonne animation (1 mn 19) de
Ces trois photos sont dans le domaine public.
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