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Plusieurs milliards d’économie en réduisant d’au moins des deux tiers les communes

 

Alors que la dette de la France frôle les 3200 milliards d’euros et que sa charge atteint 48 milliards d’euros en 2024. Le temps des économies budgétaires s’impose donc, mais ce n’est pas les restrictions imposés aux chômeurs, retraités ou à la santé qui résoudront le problème, mais plutôt en cherchant d’autres pistes, notamment du côté de certaines dépenses institutionnelles de fonctionnement.

Une exception Française en Europe en nombre de communes, dont les indemnités des élu(e)s, des membres des cabinets des Maires, s’ajoutant à celles des présidents et vices présidents des intercommunalités ont un coût budgétaires

Au 1er Janvier 2024 la France compte 34 945 communes, une exception en Europe, ainsi que 1254 établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, parmi lesquels on dénombre 21 métropoles, 14 communautés urbaines, 229 communautés d'agglomération et 990 communautés de communes. Réduire le nombre de communes de plus des deux tiers, pour se mettre au niveau des autres pays Européens, permettrait d’importantes économies de gestion.

Certes, ce nombre important de communes en France peut s’expliquer par l’héritage de l’histoire et de la géographie. Il tient d’abord à la superficie du territoire français qui est la plus importante des 27 pays de l’Union européenne, supérieure, par exemple de 57 % à celle de l’Allemagne, de 88 % à celle de l’Italie et même de 128 % à celle du Royaume-Uni qui a quitté l’UE.

S’il est vrai que pendant des siècles, la France fut le pays le plus peuplé d’Europe, même en incluant la Russie, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Par exemple, en 1800, la France comptait 29 millions d’habitants, 31 % de plus que les territoires actuels de l’Allemagne, près de deux fois plus que l’Italie, et près de trois fois plus que le Royaume-Uni. l’Allemagne compte actuellement 83 915 058 personnes. L’Italie 60 720 820 personnes et le Royaume uni 69 861 990 personnes, soit plus d’un million que la France. Si on tient compte de la superficie des territoires actuels de ces pays en rapport avec ceux de la France de 1800, il est évident que ces pays devraient surtout s’inquiéter de leur évolution démographique et la politique nataliste envisagée par Emmanuel Macron n’a vraiment pas de sens et il serait mieux inspiré de se soucier des déséquilibres démographiques existants par rapport aux territoires...

Une relance trop timide des communes par regroupement

Bien que régulièrement on assiste à une timide relance des communes nouvelles par regroupement, on ne peut que acter une diminution très modeste, du nombre de communes, mais aussi de syndicats intercommunaux et une stabilité des effectifs des intercommunalités, même si plusieurs communes ont changé d’EPCI. C’est ce qu’il faut retenir des chiffres clés des cartes communales et intercommunale dévoilés par la Direction générale des collectivités locales dans son dernier bulletin d’information statistique.

Concernant le nombre de communes, il faut rappeler qu’avec plus de 40 % des communes en Europe la France est le pays qui en compte le plus. Si elle comptait 36 658 communes au 1er janvier 2015, depuis on a enregistré une tendance à la fusion, soit donc 1713 au 1er janvier 2023.

A titre de comparaison, En 2023 l’Allemagne (partie fédérale) qui avait 24272 communes en 1952 est passée depuis la réunification à 11 275 (près de 84 millions d’habitants en 2024). A la même date l’Italie avait 8092 communes (plus de 60 millions d’habitants). L’Espagne avec plus de 48 millions d’habitants a 8117 communes. La Pologne plus de 38 millions d’habitants comptait 2478 communes. Il en va ainsi pour tous les autres pays de l’Union Européenne.

En France, en 2024 plus d’une commune métropolitaine sur deux comptait moins de 500 habitants. Environ 2800 communes ont moins de 100 habitants. Environ 3500 ont entre 100 et 200 habitants. Environ 10 000 entre 200 et 500 habitants. La population médiane d’une commune française est de 423 habitants contre, par exemple, 2300 habitants en Italie et 11 000 habitants en Belgique.

Si le nombre de certaines de ces petites communes a toutefois diminué depuis quelques années, c’est dû essentiellement au fait qu’elles ont fusionné avec d’autres où, par leur urbanisation, elles ont franchi le seuil des 500 habitants, mais cela ne modifie en rien la configuration générale.

Moins de communes en généralisant leurs fusions et supprimer des intercommunalités, des économies budgétaires de gestion très importantes

En réduisant le nombre actuel des communes afin de le ramener, par exemple, aux environs de 9 à 10 000 comme en Allemagne et Sachant que seule la commune percevra l’impôt, car, l’intercommunalité à fiscalité, propre n’aura plus lieu d’être. L’intercommunalité résulte de lois françaises récentes qui les ont rendu obligatoire, alors qu’auparavant elle était facultative. D’où l’existence d’établissements publics de coopération intercommunale associant des communes, selon des formules juridiques variées pour l’exercice de certaines compétences. 

En 2014, François Fillon, ex premier ministre, avait proposé de « réduire le nombre de communes de 6000 à 8000, ainsi que supprimer les départements ». Au fond, il ne faisait que traduire ce que bon nombre de responsables politiques pensaient également et le pensent toujours...

Avec la suppression de la taxe d’habitation pour tous sur la résidence principale, cela a soulevé parfois un vrai « tollé » de la part des Maires qui, redoutant de perdre l’une de leur principale prérogative et des ressources financières, n’hésitent pas pas à se rattraper sur les propriétaires de leur habitation, par la taxe foncière, même si c’est injustifié. Mais qu’en est-il exactement ? Pour les ressources financières, ce n’est pas un argument, dès lors que l’Etat compense cette ressource financière perdue. On peut toutefois émettre aussi des réserves par rapport à certaines gestions locale.

Bien que cela ne fut pas évident, avec la mise en place des intercommunalités, les Maires ont perdu une part de leur autonomie

Avec la mise en place des intercommunalités, les Maires ont depuis cet instant perdu de leur autonomie d’antan au bénéfice des présidences des intercommunalité, en particulier pour les communes de moins de 2000 habitants qui sont la majorité dans le pays. Mais au fond, sans un regroupement n’est-ce pas une question de bon sens ? Comment, par exemple, une petite commune de moins de 500 habitants pourrait-elle seule faire face à certaines dépenses d’investissement et de fonctionnement qui sont inhérents à nos sociétés modernes, sans avoir recours à l’intercommunalité ou à un échelon territorial supérieur ? Ne fallait-il pas profiter de la suppression de la taxe d’habitation pour faire également une réforme territoriale des communes par leur fusion partiellement ou totalement sur la base des actuelles intercommunalités, afin d’en réduire le nombre ? Dès lors, les intercommunalités n’auraient plus lieu d’être, avec les dépenses de fonctionnement en moins que cela suppose…

Les nouveaux Maires retrouveraient toutefois des compétences dont ils ont été dépossédés par les intercommunalités de coopération intercommunales (EPCI). le Maire, les adjoints, conseillers délégués et les conseillers communaux seraient issus des élections par listes sur la base d’un projet électoral comme actuellement.

Deux exemples qui démontrent que le bloc communal actuel (communes et intercommunalités) génère des dépenses beaucoup plus importantes pour les seules indemnités des élus qu’une ou plusieurs entités issus de fusion de communes

Les indemnités de fonctions des élus sont calculées en faisant application d’un barème par strate de population de la commune. Le maire a, par principe, droit à l’indemnité de fonction maximum de sa strate. En revanche, à sa demande, le maire peut prétendre à ce que son indemnité de fonction soit minorée. Dans ce cas l’indemnité du maire doit être précisée dans la délibération d’attribution des indemnités de fonctions aux membres du conseil.

Un maire peut donc toutefois décider de ne pas se verser l'intégralité de son indemnité, ou en reverser une partie aux membres de son équipe. De même, la législation prévoit une série de majorations. C'est par exemple le cas dans les communes qui sont des chefs-lieux de départements, avec une majoration allant jusqu'à 25%. Un pourcentage identique à celui appliqué dans des communes au profil particulier, « classées stations de tourisme » et qui comptent plus de 5000 habitants. En dessous de cette limite, pour Saint-Tropez par exemple (4700 habitants), l'indemnité de l'édile peut être augmentée jusqu'à 50%.

Les deux exemples ci-après démontrent qu’on peut arriver à des sommes annuelles près ou supérieures à cent mille euros, voire plus si on compare la situation actuelle à celle d’une fusion de communes qui se substituerait partiellement ou en totalité aux intercommunalités actuelles, lesquelles seraient supprimées.

Les communes et l’intercommunalité prises pour cet exemple se situent en région Auvergne-Rhône Alpes. Il s’agit de deux niveaux différents, l’un concerne trois communes qui ne sont pas dans la même intercommunalité, elles constituent un ensemble majoritairement urbain en territorialité continue. Si les deux principales communes sont rattachées à une métropole, la plus petite fait partie d’une communauté de communes essentiellement rurales, toutefois si on compare les seules dépenses actuelles dues aux des indemnités des Maires et adjoints de ces trois communes par rapport à une fusion des trois, ce serait une économie très substantielle.

Pour l’autre exemple, ce sont vingt petites communes rurales de moyenne montagne dispersées dans un espace territorial cohérent au relief parfois accidenté pour certaines.

Des économies budgétaires substantielles seraient incontestables par la fusion de ces communes sur la base de l ‘actuelle intercommunalité, y compris, même si l’on ramenait leur nombre à deux pour des raisons territoriales, ce qui est possible et rationnel dans cet exemple retenu…

Suivant les exemples évoqués, pour celui des trois communes qui sont très proches (quasiment « soudées ») elles cumulent 33 815 habitants. Autrefois séparés par des champs, des vergers et des zones boisés, avec la croissance démographique, même si celle-ci fut contenue, et l’urbanisation nécessaire ont fini par les « souder » dans un espace territorial continu et cohérent. L’une à 21 235 habitants avec un Maire et a droit à 9 adjoints, les deux autres ont respectivement 9 856  habitants avec un Maire et a droit à 7 adjoints et la troisième 2724 habitants avec un Maire et a droit à 5 adjoints.

Si l’on considère les indemnités au maximum que peuvent percevoir tous ces élu(e)s, nous obtenons un total annuel de 291 695,12 euros qui se décomposent ainsi : indemnité des Maires et adjoints : commune de 21 235 habitants, le Maire 3622,97 euros mensuel x 12 = 43 477,64 euros, 9 adjoints (40% maximum de l’indemnité du Maire) soit 1328,42 mensuel x 9 = 11 955,78 mensuel x 12 = 143 469,36 euros. Celle de 9529 habitants, le Maire = 2616 ,59 euros mensuel x 12 = 31 399,08 euros, 7 adjoints 885,62 euros mensuel x 7 = 6199,34 x 12 = 74 392,08 euros. Celle de 2538 habitants, le Maire = 2077,17 mensuel x 12 = 24 926,04 euros, 5 adjoints 797,05 euros mensuel x 5 = 3985,25 euros mensuel x 12 = 47 823 euros

En fusionnant ces trois communes pour une seule commune de 33 815 habitants, avec la législation actuelle concernant le nombre de Conseillers Municipaux qui serait de 39, dont le Maire et 11 adjoints, les indemnités annuelles seraient les suivantes : Maire = 3622,97 euros mensuel x 12 = 43 475,64 euros, 11 adjoints 1328,42 euros mensuel x 11 = 14 612,62 euros x 12 = 175 351,44 euros total : 218 827,08 euros, soit une économie annuelle de 72 868,041 euros et sur la durée de la mandature de 6 ans = 437 214,24 euros

Comme on peut l’observer dans l’exemple suivant, plus il y a de petites communes à fusionner et qui se feraient sur la base partielle ou totale de l’intercommunalité existant, l’économie budgétaire en serait d’autant plus importante.

Plus il y a de petites communes au sein d’une intercommunalité, plus le budget global pour les indemnités des élu(e)s sera élevé

Dans ce second exemple, la démonstration est faite que plus il y a de petites communes au sein d’une communauté de communes, malgré la modestie des indemnités pour chacun, plus le budget global sera élevé.

Dans cet exemple, il s’agit de 20 petites communes rurales de moyenne montagne, pour un total de 5175 habitants en 2023, dont 6 communes de moins de 100 habitants, 6 communes entre 100 et 200 habitants, 4 communes entre 200 et 500 habitants et 4 communes entre 500 et 999 habitants. Actuellement pour chacune, il y a un Maire et des adjoints. Sachant que les indemnités pour un maire d’une commune inférieure à 500 habitant pouvait percevoir en 2023, au maximum 1026,51 euros mensuel et qu’ils sont 16 cela représente 1026,51 x 16 = 16 424,16 euros mensuel x 12 = 197 089,92 euros annuel. Pour les quatre communes de plus de 500 habitants et moins de 1000, les 4 Maires perçoivent chacun 1628,29 euros par mois x par 4 = 6513,16 euros x 12 = 78 157,92 euros annuel.

Pour les adjoints au maire de ces communes, il y a 2 adjoints pour les communes de moins de 100 habitants, soit 12 adjoints pour 6 communes. Pour les communes entre 100 et 499 habitants c’est 3 adjoints par commune, soit 30 adjoints pour 10 communes. 4 adjoints pour les communes entre 500 et 1499 habitants, soit 16 adjoints pour 4 communes.

Pour les indemnités (40% de l’indemnité du Maire), moins de 500 habitants les adjoints perçoivent au maximum 398,53 euros. Sachant qu’il peut y avoir en tout 42 adjoints concernés, cela fait 398,53 euros x 42 = 16 738.26 x 12 = 200 859.20 annuel. Pour les 4 adjoints des 4 communes entre 500 et 999 habitants, soit 16 adjoints, dont l’indemnité maximale par adjoint est de 430,73 euros cela fait 430,76 x 16 = 6891,68 X 12 = 82 700, 10 euros annuel.

Entre indemnité des Maires et des adjoints, s’ils prenaient la totalité des indemnité auxquelles ils peuvent prétendre cela ferait donc un total de 558 807,14 euros annuel (197 089,92 + 78 157,92 (indemnités des maires) + 200 859.20 + 82 700,10 pour celles des adjoints).

Pour les indemnités des élu(e)s à cette intercommunalité

Selon la législation actuelle, si on ajoute annuellement les indemnités maximum à laquelle peuvent prétendre le Président d’une intercommunalité de 5175 habitants et de ses huit vice-présidents, auxquels il peut prétendre, cela fait annuellement : Pour le Président 1660,53 euros x 12 = 19 926,36 euros. Les 8 vice-présidents 664,21 x 12 = 7970,52 x 8 = 63 764,16 euros, soit un total de 83 690,52 euros qui s’ajoute au budget des indemnité des maires et adjoints.

Si on considère que s’il n’y avait qu’une seule commune résultant d’une fusion sur la base de cette intercommunalité, pour une population de 5175 habitants avec le maire et 11 adjoints autorisés, aux tarifs actuels, leurs indemnités serait : pour le Maire 3214,04 x 12 = 38 569,44 euros et pour les 11 adjoints 885,02 euros x 11 = 9735,22 x 12 = 116 822,64 euros. Soit une économie annuelle de 558 807,14 moins 155 392 ?08 euros = 403 415,06 euros et 2 420 490, euros pour la mandature de 6 ans. Par délégation, un adjoint ou un conseiller délégué assurerait la fonction qui était dévolue aux anciens maires des communes.

Le groupement des communes en intercommunalités avait pour objet de réduire les dépenses de fonctionnement des communes en mutualisant certains services et investissements, mais est-ce vraiment le cas ?

On peut en douter, car d’une part, si les maires et adjoints des communes, de même que les conseillers municipaux des villes de plus de 100 000 habitants ou les conseillers communautaires des métropoles telle celle de Lyon, qui en plus se substitue au département sur sa zone géographique, les élu(e)s des exécutifs intercommunaux (Présidents et vice- Présidents) perçoivent également des indemnités, qui vont s’ajouter à celles qu’ils perçoivent s’ils sont Maires et adjoints des communes, voire conseillers municipaux dans une ville de plus de 100 000 habitants, ce qui représente encore davantage des dépenses de fonctionnement.

Avec la dotation globale de fonctionnement (DGF) versée par l’État aux communes, aux intercommunalités et aux départements pour 2024 s’élève à environ 27 milliards d’euros, la DGF constitue la principale dotation de l’État au profit des collectivités territoriales et de leurs groupements qui sont ainsi répartis :

- 12 milliards d’euros pour la DGF des communes,

- 6 milliards d’euros pour la DGF des intercommunalités,

- 8 milliards d’euros pour la DGF des départements.

D’autre part, si on se réfère au titre du bulletin « Mairie info de Novembre 2021 », les effectifs des intercommunalités ont bondi depuis les fusions de 2017 et en introduction : « La recomposition du paysage intercommunal issu de la loi Notre (Nouvelle organisation territoriale de la République) s'est traduite par de nombreuses créations de postes pour permettre aux EPCI d'assurer leurs compétences nouvelles. Une étude AdCF-FNCDG, présentée au Salon des maires, analyse l'impact des fusions sur les politiques RH communautaires. https://www.maire-info.com/les-effectifs-des-intercommunalites-ont-bondi-depuis-les-fusions-de-2017-article2-25857

Le même bulletin précise par ailleurs que 76 % des intercommunalités ont dû créer de nouveaux postes à l’issue de la fusion. Les recrutements les plus importants ont été réalisés dans les domaines de la communication (44 %), de l’urbanisme, (44 %), de la Gemapi (32 %), des services techniques (30,67 %), de l’assainissement (29,33 %), de l’aménagement et du développement (28 %), des déchets (28 %) et de l’informatique (28 %). A contrario, pour une majorité de répondants (62,77 %), la fusion n’a entraîné aucune suppression de poste, même si 15 collectivités interrogées déclarent avoir supprimé des postes en raison de la perte de certaines compétences. Reste que l’augmentation globale des effectifs pèse fortement sur le budget de fonctionnement des intercommunalités concernées. En effet, des collectivités indiquent avoir augmenté leurs dépenses de fonctionnement après la fusion. Un choix visant d’abord à financer l’harmonisation des régimes indemnitaires (82,76 %) ou à embaucher de nouveaux agents (70,11 %). L’achat de matériels (49,43 %), l’harmonisation des logiciels informatiques (47,13%) ou encore la réalisation d’études et d’analyses (43,68 %) ont également pesé sur les dépenses.

A l’évidence, malgré des transferts de personnels des communes aux intercommunalités, globalement il y a eu de nombreuses créations d’emplois supplémentaires au sein des différentes intercommunalités, car dans certaines communes plus importantes, parfois par « clientélisme » déguisé, des Maires n’hésitent pas à créer des emplois, pas forcément indispensables et embaucher du personnel, ce qui a un coût... 

Les intercommunalités, dont le total des indemnités de leur (élu(e)s ont un coût, par une fusion des communes avec leur suppression, on peut estimer une économie de plus de 36 milliards d’euros sur une mandature ?

Bien que cela n’apparaisse pas évident à priori, une fusion totale ou partielle de commune sur la base des actuelles intercommunalités ou par cohérence territoriale, à l’instar de nos voisins Européens, permettrait d’en ramener leur nombre aux environs de 9 à 10 000, avec la fin des intercommunalité. On peut estimer que les économies pour les seules indemnités des élu(e)s et celles concernant également la réduction du nombre de collaborateurs des cabinets des maires, présidents et vice président des intercommunalités, ainsi que les économies diverses de gestion se situeraient aux environs de six milliards d’euros par an, ce qui correspond à la DGF allouée aux intercommunalités. soit une économie de de 36 milliards d’euros sur une mandature de 6 ans.

Si au moins 350 000 élu(e)s exercent leur mandat de manière bénévole, en revanche, d’autres cumulent les indemnités. Avec une très grande majorité des élu(e)s qui perçoivent des indemnités pour la gestion des communes, notamment les grandes et très grandes villes qui constituent également des métropoles, sans oublier les intercommunalités de moindre niveau (communautés de communes et d’agglomération) présentent un coût de dépenses élevées, si on y ajoute en plus Paris, Lyon et Marseille qui ont un maire et des élu(e)s par arrondissement cela justifie bien cette évaluation de 36 milliards d’euros d’économie qui serait faite sur une mandature par la fusion des communes et la suppression des intercommunalités, excepté la métropoles de Lyon qui a récupéré les compétence du département du Rhône sur son territoire. Il y a aussi, depuis le 1er janvier 2019, Paris qui est une collectivité territoriale à statut unique. Elle exerce les compétences de la commune de Paris et celle du département de Paris.

Les nouvelles communes pourraient toujours se regrouper, mais en communauté de projets sans possibilité de prélever un impôt. A charge de chaque commune de répartir les dépenses en cas d’investissement pour une réalisation mutualisée. Les fusions de communes devraient se faire rapidement dans le cadre d’un calendrier précis fixé par la loi.

Pourquoi ne faudrait-il pas plutôt supprimer ou réduire le nombre de départements que de supprimer les intercommunalité et fusionner les communes ?

J’ai souvent exprimé le souhait de supprimer les départements, c’était dans le cadre du projet de réduction du nombre de régions formulé par François Hollande.

Les Régions Françaises avaient besoin, du moins pour certaines d’entre elles, d'être redécoupées. Produit technocratique de l’État jacobin des années 1950, elles correspondaient trop peu aux réalités historiques, culturelles, et sociales du pays. C'est pourquoi il était impératif que la cohérence territoriale soit en adéquation avec celui des aspirations des populations, mais aussi avec les nouvelles contraintes écologiques. Le résultat aurait du être des régions de tailles très hétérogènes, comme chez certains de nos voisins Européens. Ainsi, on pouvait imaginer une région avec quatre, cinq départements actuels coexistant avec des régions à deux départements (Alsace, Savoie), voire, des collectivités territoriales plus petites encore (Catalogne et Pays Basque français). À ce titre, La carte des nouvelles Régions, préparée par une poignée de hauts fonctionnaires n’était pas acceptable et relevait d’un déni de démocratie. 

En fixant arbitrairement le nombre de Régions à 13, sans réelle concertation préalable des élus locaux, ni débat préalable de la population, outre un déni de démocratie, on a reproduit, en les aggravant, les travers technocratiques du découpage existant ... Mais aujourd’hui la réforme des régions étant ce qu’elle est et vu leur taille, un échelon intermédiaire entre les nouvelles communes et les régions, ainsi définies, ne peut que passer par le maintien des départements. En supprimant les intercommunalités c’est d’autant plus nécessaire. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il faut cesser d’agir pour une réforme territoriale des régions qui fut compatible avec les défis démocratiques, sociaux, économiques, écologiques qui sont à relever pour que nos petits enfants puissent nous dire merci, ce qui pour l’instant est sérieusement compromis…

Ne pas perdre de vue que les réalisations à caractère sociétal, environnemental et économique qui affectent notre vécu quotidien sont l’oeuvre des collectivités locales dans la grande majorité des cas, au premier rang desquelles les communes, soit à l’initiative des Maires ou avec leur accord.

Pour Conclure

Alors que l’on s’apprête à élire le prochain parlement Européen et que la majorité des responsables politiques Français se disent tous plus Européens les uns que les autres, il serait temps de se mettre en cohérence avec nos voisins Européens par rapport aux institutions locales et à leurs nombres. Au moment où notre pays est contraint à des efforts d’économies budgétaires et d’imaginer de nouvelles recette, outre une contribution solidarité pour les très riches, comme certains d’entre eux le proposent ou d’une taxation temporaire des superprofits, les économies estimées à plus de six milliards d’euros ne seraient d’ailleurs pas négligeable, grâce à la fusion par regroupement de communes, dont en France leur nombre est excessif, ainsi que la suppression des intercommunalités qui en découleraient.

 


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64 réactions à cet article    


  • njama njama 8 avril 11:05

    En 2007 la dette publique de la France représentait les 66,6 % du PIB, fin 2023 110,6 % du PIB, bilan Sarkozy_Hollande_Macron


    • njama njama 8 avril 11:13

      @ Daniel MARTIN

      Les communes ne sont en rien responsables de la dette qui ne peut être imputée qu’aux gouvernements successifs... et à un modèle d’économie keynésienne qui prospère depuis 1973

      Déjà que Macron a supprimé la taxe d’habitation qui était la principale source de financement des communes, vous auriez l’idée de les appauvrir encore davantage ?

      Vous roulez pour qui au juste ?...


      • Octave Lebel Octave Lebel 8 avril 11:49

        @njama

        Il faudra peut-être nous expliquer un jour de manière un peu consistante.

        "Les communes ne sont en rien responsables de la dette qui ne peut être imputée qu’aux gouvernements successifs... et à un modèle d’économie keynésienne qui prospère depuis 1973

        "


      • Octave Lebel Octave Lebel 8 avril 11:52

        Allons directement au tableau " Comparaison de la somme recherchée par Bruno Lemaire avec d’autres grandeurs " pour savoir ce que cela signifie et comment cela marche une oligarchie. Il y a de quoi avoir le vertige mais surtout réfléchir et ne pas se laisser piéger par ceux qui cherchent désespérément à nous diviser et à semer la confusion.Pour préserver les intérêts de ceux qui se sont emparés des médias en y déversant à flot leur propagande si bien ficelée tout en mettant en scène ou soutenant carrément ceux qui se proposent, sous un faux drapeau social et souverainiste, comme recours et gardiens de leur ordre dans des temps de révolte et de prises de conscience accélérées.

        Soyons donc résolument présents à toutes les élections si nous voulons un jour pouvoir participer à une démocratie fondée sur une économie pilotée par le politique au service de l’intérêt général, un citoyen correctement informé avec les moyens politiques de se faire respecter et des mandants responsables politiquement. Parce qu’en réalité nous sommes arrivés au point de bascule entre celle-ci, bancale et mensongère, et un autoritarisme renforcé en préparation.

         

        1. Le RN (lautre parti des oligarques) au pouvoir ? Un « risque nécessaire » pour le patron du MEDEF (23/03/23). La république des oligarques a besoin d’une droite qui a besoin d’une extrême-droite qui a besoin des oligarques J

         

        https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/8h30-fauvelle-dely/reforme-des-retraites-loi-immigration-salaire-de-patrick-pouyanne-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-interview-de-geoffroy-roux-de-bezieux_5708426.html

         

        Il faut dire que, pour contrer l’intelligence collective, ceux du balcon des médias privés ont un grand avantage sur nous, l’argent de la pub à gros bouillons et celui des subventions. Avec celui aussi de pouvoir dégager de leurs activités économiques celui qui manque cruellement à l’Etat en charge en principe de rééquilibrer l’ensemble et de préparer l’avenir. Ce qui leur permet de se payer des danseuses comme les chaînes d’info. Elle est pas belle la vie ?

         

        Comparaison de la somme recherchée par Bruno Lemaire, 10 milliards avec d’autres grandeurs. La quadrature du cercle. Où allons-nous et comment ? Ne demandons pas l’avis aux enfants, ils nous demanderaient pourquoi nous en sommes arrivés là sans comprendre ni réagir.

         

        2. La quadrature du cercle. Nos fins de mois. Ne demandons pas l’avis aux enfants, ils nous demanderaient pourquoi nous en sommes arrivés là sans comprendre ni réagir.

        ●10 milliards : Somme recherchée par Bruno Lemaire

        ● 9 milliards : Baisse d’impôts par décidée par an pour les entreprises en 2021.

        ● 11 milliards : Baisse d’impôts par an décidée pour les entreprises au 1er quinquennat.

        ● 20 milliards : Coûts du CICE en baisse de cotisations par an.

        ● 38 milliards : Augmentation de la fortune des milliardaires français en moyenne sur 10 ans .

        ● 97milliards : Sommes versées aux actionnaires du CAC 40 par an (2023).

        ●256 milliards : Aides publiques versées aux entreprises par an (2021).

        ● 265 milliards : Sommes versées par aux actionnaires (2022).

        ●549 milliards : Fortune des 43 milliardaires français (2023).

        ●1 170 milliards : Fortunes des 500 plus grandes fortunes françaises (2023)

         

         https://linsoumission.fr/2024/02/22/macron-bruxelles-milliards-10


      • Octave Lebel Octave Lebel 8 avril 12:09

        @Octave Lebel

        Le rapport sur l’état des services publics. (Synthèse 2023).

        (Les développements portent sur la santé, l’éducation, les transports, la justice et la sécurité le fonctionnement et le financement des services publics)

        https://nosservicespublics.fr/rapport-etat-services-publics-2023

        1. Les besoins sociaux ont augmenté et évolué, souvent d’ailleurs du fait de la réussite, de l’échec ou des effets imprévus des politiques publiques passées.

        2. Les services publics ont été amenés à s’adapter pour répondre à l’évolution de ces besoins, les efforts engagés ont été insuffisants pour les prendre en charge de manière satisfaisante. Bien qu’ils aient été sporadiquement renforcés, les moyens des services publics augmentent depuis vingt ans moins rapidement que les besoins sociaux, et l’écart entre les premiers et les seconds tend à s’aggraver.

        3. Cet écart croissant entre les besoins de la population et les services publics conduit à l’existence, dans tous les secteurs, d’un espace grandissant pour une offre privée, désocialisée, de prise en charge des besoins. Fortement subventionnés, voire totalement solvabilisés par la puissance publique, ces services privés se développent sur des segments précis : les enfants de familles à fort capital culturel dans les écoles privées sous contrat, ou encore les actes médicaux les plus facilement programmables dans les cliniques privées.

        4. Les services publics sont également de moins en moins à même de remplir leur mission de réduction des inégalités dans la société. Le rapport des citoyens aux services publics se dégrade. Si l’attachement de la population aux grands services publics est réel, la confiance pratique qu’elle accorde à ces services est amoindrie. Les agents publics assistent, au premier rang, à cette détérioration du lien entre services publics et population, autant qu’ils en subissent directement les conséquences dans leur travail.

         

        Comment l’industrie pharmaceutique abandonne les médicaments essentiels ( 23/09/23, 36 mn)

         

        Une belle illustration un peu involontaire de comment la logique du libéralisme nous a menés dans cette régression. Le rôle de l’idéologie politique que portent et suivent les élus qui président à cela, comme très souvent n’est pas pointée ni explicitée même si on le comprend facilement. Encore un effort a-t-on envie de dire même si le travail est de qualité et méritoire. Respects aux journalistes qui font de leur mieux dans le cadre rédactionnel auquel ils sont tenus.

         

        https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/secrets-d-info/secrets-d-info-du-samedi-23-septembre-2023-5350647


      • Buzzcocks 8 avril 12:21

        @njama
        Mon ancienne commune, se fait construire un gymnase d’une capacité de 5000 places sachant qu’il n’y aucun sport pro dans cette ville, et que les tribunes seront toujours vides... Bon, peut être une fois par an, un artiste viendra remplir.

        Réponse du maire : j’ai touché des subventions de partout donc autant en profiter.... dans l’état est responsable, comme ls régions, les départements.

        Chaque commune veut son palais des sports, sa médiathèque, sa salle de théatre, et pourquoi se priver, il suffit de monter un dossier et recevoir le fric du ciel.


      • njama njama 8 avril 13:45

        @Buzzcocks
        Une commune impécunieuse...
        de là à généraliser...


      • Buzzcocks 8 avril 13:53

        @njama
        C’est comme ça que ça marche... combien de ronds points inutiles, financés par la région, le département, avec l’aide de l’état, de l’europe  ?


      • Seth 8 avril 18:57

        @Buzzcocks

        Ah si, les ronds points sont utiles : une fois « aménagés » il permettent de couper la vue des conducteurs qui ne voient pas les autres arriver et déboulent à l’aveuglette.

        Chez nous il y a des mauvais esprits qui les ont rebaptisés « pots de vin ». smiley


      • L'apostilleur L’apostilleur 9 avril 23:13

        @njama
        « ..Déjà que Macron a supprimé la taxe d’habitation .. »
        Édouard Philippe l’a remplacée « à l’euro près » avec une demande d’économie de la part des communes de 10% pour l’année suivante. 
        Un moyen de reprendre en main les disparités entre communes.
        Ceux qui ont assisté aux réunions municipales pour le calcul des montants des nouvelles taxes pour les nouvelles constructions, vous raconteront l’anarchie des résultats. 


      • JulietFox 14 avril 11:44

        @njama

        Il y en a qui voient grand avec le fric des autres.
        Telle cette commune de Charente Limousine, de 175 habitants, qui ayant vendu l’ancienne école, salle des fêtes, veut en faire construire une nouvelle, . Montant estimé Un million d’euros.
        Je répète : Avec quel pognon. ? Qui au-dessus verse des subventions. ?


      • Com une outre 8 avril 11:27

        Bien au contraire, il faut maintenir les communes, premier échelon démocratique de nos institutions et supprimer ce qui ne sert à rien : les intercommunalités, les régions, les métropoles, et toutes leurs dépendances administratives (agences diverses, syndicats,...) inutiles et fort coûteuses qui ne servent à rien. De même, réduire le pouvoir des préfectures, grâce à la dématérialisation, et supprimer le personnel inutile. Ces personnes pourront enfin combler le déficit de personnel de certains emplois non pourvus dont on nous rabâche les oreilles en culpabilisant ces feignants de chômeurs. C’est dans la fonction territoriale hors communes qu’il y a le plus d’économie à faire.

        Les regroupements institutionnels n’ont qu’un but, éloigner les citoyens des centres de décisions, c’est donc une très mauvaise idée, et une dérive totalitaire. Nous le voyons bien au plus haut niveau avec l’Europe.

        Une autre piste et la division par deux du nombre de représentants des assemblées. J’ai lu je ne sais plus où, que les élus (tous les élus, du maire au président) à eux seuls coûtaient environ 150 milliards d’euros par an sur le budget. Voilà une bonne piste d’économie certaines à faire. Laissons les communes tranquilles, par nécessité démocratique, et attaquons nous plutôt aux milliers de parasites du mille-feuille administratif territorial.


        • Seth 8 avril 15:57

          @Com une outre

          Je ne vois pas bien l’utilité des com com. Les communes peuvent très bien s’entendre ponctuellement entre elles pour des projets communs, ça ne nécessite pas d’administration supplémentaire.

          Quand le cinéma avait commencé, On avait répété partout que « ça ne coutait rien ». Quand on passe maintenant devant les bâtiments, toussatoussa de la com com on comprend vite qu’il n’en est plus ainsi. Mais les maires ont toujours eu des bourriques à placer...

          Eh puis au moins maintenant les citoyens ne font plus iech les mairies, elles ne s’occupe plus de rien à part planter les pâquerettes et balayer les rues (quand elles le font...). smiley


        • Com une outre 9 avril 09:50

          @Seth
          Un exemple sur ma région : la com-com s’est montée il y a 10 ans avec 6 personnes dont une salariée, les autres bénévoles. Aujourd’hui, 98 salariés, et des coûts explosés, des impôts et taxes multipliés, etc... Quant aux services aux citoyens, ils n’ont que très peu évolués, certains ont même disparus, comme les cantonniers, pourtant utiles. C’est plutôt des contraintes normatives permanentes qui sont nées. Sans parler des lumineuses idées genre stationnement payant, tri des déchets ultra-sélectif, assainissement individualisé (ça fait de belles (fausses) économies pour l’administration, peu importe l’aspect sanitaire), absorption d’associations nébuleuses sans intérêt autre que « nourrir » certains, etc, etc, tout un tas de conneries qui nous grèvent notre budget individuel et n’apporte rien ou presque à la collectivité. En résumé, que des emmerdes pour les habitants, et un tas de bons à rien payés par les habitants pour les faire chier, du gaspillage à grande échelle, en millions d’euros. Une machine à consommer de l’argent public, comme tombant d’une corne d’abondance et non de nos impôts et taxes. C’est lamentable autant qu’énervant.


        • Seth 9 avril 13:10

          @Com une outre

          Pareil chez nous mais tu comprendras bien qu’il faut beaucoup de ronds de cuir pour « manager » comme on dit les innombrables sous-traitants qui se font grassement payer pour faire le boulot que faisaient autrefois les « employés de la ville » qui coûtaient sans doute moins cher.

          En communes comme ailleurs, on « tertiarise » à outrance, c’est de bon ton. Et il n’est pas de maire de ville sans « chef de cabinet » (défense de rire).

          Le pbm du traitement des ordures, c’est encore une autre question, ça doit être une « bonne idée » de l’écologie bobo. Maintenant on est prié de faire son compost en appart. smiley


        • véronique 9 avril 17:55

          @Com une outre

          Je ne sais pas si c’est le cas chez vous, mais pour couronner le tableau, chez moi la plupart des compétences ont été transférées à la com com, ce qui aurait dû logiquement se traduire par une réduction de la part communale des taxes foncières. Or ça n’a pas été le cas.


        • Com une outre 9 avril 19:20

          @véronique
          C’est également un problème, ces transferts de compétences se font sans l’avis des citoyens, sans réunions publiques. Et il va être dur de revenir en arrière.


        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 8 avril 11:30

          ’’Alors que la dette de la France frôle les 3200 milliards d’euros et que sa charge atteint 48 milliards d’euros en 2024.’’

            >

          Drôle de phrase.

           

          Ceci dit, la charge de la dette est un impôt que l’État càd la nation, verse aux prêteurs, càd aux plus riches en prélevant l’impôt sur les citoyens qui peuvent payer. La Dette est un crédit revolving, puisque jamais remboursée autrement que par un nouvel emprunt.

           

           « Trois ingrédients sont nécessaire pour que la société de consommation puisse poursuivre sa ronde diabolique : la publicité, qui crée le désir de consommer, le crédit, qui en donne les moyens, et l’obsolescence accélérée et programmée des produits qui en renouvelle la nécessité. Ces trois ressorts de la société de croissance sont de véritables pousse-au-crime » (Petit traité de la décroissance sereine : Serge Latouche).

           

           Si le crédit est un pousse-au-crime, que dire du crédit revolving  ? Un pousse-au-crime au carré ? Puissance dix ?


          • njama njama 8 avril 11:34

            « il serait temps de se mettre en cohérence avec nos voisins Européens par rapport aux institutions locales et à leurs nombres. »

            Le mimétisme n’a rien de logique, et n’est en rien une forme d’intelligence, c’est du moutonnisme... nos voisins feraient des conneries, il nous faudrait les imiter ?

            Vous oubliez le principe de subsidiarité...

            La division de la France en Régions a fait partie du programme de l’Union €uropéenne, de réformes structurelles, pour fédéraliser chaque État sur le modèle des Länder en Allemagne, ou de l’Italie

            L’État verse à l’U€ sa quote-part en fonction de son PIB, et que l’U€ redistribue aux Régions dans la mesure où elles appliquent les directives de la commission européenne...


            • njama njama 8 avril 11:40

              @ Daniel MARTIN

              Il faut supprimer Macron pour faire des économies, et son ministre de l’économie qui allait mettre à genoux l’économie russe en deux jours

              Macron, le Mozart de la finance, qui a fait une remontée de bretelles à Bruno Lemaire à cause des dépenses publiques qui dérapent grave, c’est comique aussi, enfin vaut mieux en rire je veux dire...

              Macron banquier chez Rothschild, puis ministre de l’économie sous Hollande, puis président « quoi qu’il en coute », qui fait des gros chèques sur notre dos à droite et à gauche, millions d’€ par-ci millions par-là, des très gros au pianiste de Kiev, qui vit comme un roi soleil (mais sans le soleil, il est d’un tempérament lunaire), ... débarque, il n’aurait rien vu venir, ah le con ! un p’tit coup de sang, et ...c’est la faute à Bruno !

              « Bruno, ça fait quand même sept ans que tu es là ! »

              Sarkozy avait aggravé la dette publique de 500 milliards pendant son mandat, petit joueur, il a trouvé son maître, Macron + 700 milliards pendant son premier mandat, + 100 milliards par an depuis...

              M’enfin « Bruno, ça fait quand même sept ans que tu es là ! » 


              • Robert GIL Robert GIL 8 avril 12:13

                On peut commencer par demander des comptes aux entreprises privées qui nous coutent trés cher a force de leur faire des cadeaux sans contrepartie, ensuite on peut aussi se demander pourquoi l’argent public sert a financer des ecoles privés. on peut aussi se demander pourquoi les impots des plus riches diminuent sans cesse, ainsi que les impots des société du CAC40 ... la socialisation pourrait etre une piste :

                http://2ccr.unblog.fr/2020/01/18/socialisons-les-biens-communs/#more-8539


                • jymb 8 avril 13:13

                  Première urgence, supprimer les revues municipales, ces luxueuses brochures sur papier glacé qui ne sont qu’une suite de pseudo articles à la gloire du maire, photos à l’appui, assortis de micro trottoirs bidons où des militants expliquent en se pâmant leur bonheur de vivre dans une ville désormais si agréable

                  Deuxième urgence, de moralisation celle là, supprimer les repas offerts à telle ou telle catégorie d’électeurs ( l’exemple le plus choquant étant le repas de Noël « pour les aînés ») qui ne sont que des campagnes électorales payées par le contribuable

                  Troisième urgence, mettre en place un cahier des charges inextensible où est exclu le subventionnement d’actions ou d’associations sans lien direct avec la ville 

                  Quatrième urgence , faciliter la mise en urgence sous tutelle d’une ville lorsqu’elle est l’objet de dérives militantes radicalisées ( Paris, Grenoble etc ) 


                  • Sirius Brutus 8 avril 13:40

                    Malheureux ! Vous n’y pensez pas !

                    Les petits maires et les élus et délégués des collectivités territoriales

                    sont les grands électeurs, ces notables qui élisent les sénateurs qui ne sont pas ingrats et renvoient l’ascenseur, pérénisant ainsi l’ologarchie d’élus professionnels (oxymore).

                    Grâce au mille-feuilles bien connu, les hobereaux se font du gras, et leur demander de décider la fusion de leur commune avec une autre, en plus de contrarier les sénateurs, c’est comme si vous leur demandiez de voter la diminution de leurs indemnités ou de se faire hara-kiri !


                    • La parité aux élections a alourdi la facture au niveau de toutes les structures .

                      Polichinelle


                      • véronique 8 avril 14:28

                        Mais pourquoi faudrait-il faire comme nos voisins européens ? Voilà bien un argument sans aucun intérêt. Sauf pour ceux qui sont favorables à une Europe fédérale dont tous les États obéiraient aux mêmes règles d’organisation.

                        Mais il est vrai qu’en France, il existe un grand nombre de communes un peu trop petites. J’avais lu une étude il y a quelques années, qui montrait que les communes de moins de 500 habitants étaient, proportionnellement à leur nombre d’habitants, plus coûteuses.

                        Pour cette raison on pourrait chercher à éliminer ces communes, qui représentent à peu près la moitié des communes. Donc au lieu d’inciter toutes les communes à fusionner, ce qui donne des résultats pas toujours souhaitables, obliger les communes de moins de 500 habitants à se regrouper pour atteindre au moins 500 habitants.

                        Mais il me semble aussi que sur ce critère du coût en fonction du nombre d’habitants, les très grandes communes n’étaient pas les mieux placées.

                        Quoi qu’il en soit, il faut donc ne pas se contenter de regarder le coût des élus, mais apprécier plus globalement la gestion des budgets communaux pour savoir quelle serait la taille optimale.

                        Ensuite ne pas perdre de vue que la commune est le premier échelon démocratique et le plus accessible, pour le citoyen administré comme pour le citoyen candidat aux élections.

                        S’il y a vraiment des économies à faire, il vaut mieux s’intéresser aux intercommunales. Et aux régions, ainsi qu’aux CESER.


                        • Com une outre 8 avril 16:35

                          @véronique
                          Les petites communes n’ont pas attendu l’Etat pour se regrouper ponctuellement en cas de besoin et cela marche très bien depuis longtemps. Pourquoi vouloir tout normaliser, pourquoi cette infantilisation permanente ? Il ne faut surtout pas accepter les regroupements forcés de communes, c’est une grave atteinte démocratique et d’autonomie.


                        • véronique 9 avril 08:46

                          @Com une outre

                          Mais personnellement je ne veux rien normaliser, d’où ma remarque sur cette idée absurde de vouloir imiter les voisins.
                          Je montre juste que s’il y a des communes à supprimer, il faut le faire en fonction de critères pertinents, et de ce point de vue les communes de moins de 500 habitants sont certainement celles qui devraient le plus se regrouper (surtout que lorsque le nombre d’électeurs est très faible, il peut devenir difficile de former un conseil municipal).
                          Or, et contrairement à ce que vous dites, ce sont toutes les communes qui sont concernées par les regroupements, et dans les faits on peut voir des communes de plus de 500 habitants se regrouper , ce qui peut avoir des effets négatifs, tandis que celles de moins de 500 habitants ne le font pas. Et donc il aurait été plus pertinent de réserver les regroupements aux plus petites communes, quitte à les y obliger (sur critères pertinents - car par exemple on ne demande pas aux communes qui veulent se regrouper de démontrer véritablement que ça permettrait une meilleure efficacité budgétaire ).
                          Moi non plus je ne suis pas favorable à ces fusions intempestives. J’ai même fait un recours au TA pour cette raison.


                        • véronique 9 avril 08:50

                          @véronique

                          Intercommunalités (au lieu de intercommunales)


                        • Com une outre 9 avril 19:27

                          @véronique
                          Ce n’est pas à vous que je reproche de « normer » mais à l’Etat. Mais je ne suis pas d’accord avec vous, les petites communes doivent conserver le choix de se regrouper ou non, selon leurs besoins, sans obligations. Dans les regroupements, c’est toujours les plus grosses communes qui tirent la couverture à elle, les plus petites étant de simples pourvoyeuses de revenus.


                        • Martin est l’un des pires nazis de l’écologie politique .

                          Détruire la France et les français est sa motivation première .


                          • Seth 8 avril 15:48

                            ... pour se mettre au niveau des autres pays Européens, permettrait d’importantes économies de gestion...


                            ... Il en va ainsi pour tous les autres pays de l’Union Européenne...


                            Si l’on a que cela comme critère de choix, vaut mieux arrêter tout de suite d’avoir l’air de réfléchir. smiley

                            En tout cas moi j’arrête de lire.

                            Quand on se copiait entre marmots on nous disait « tout ce que fais mon âne le refait ». smiley


                            • apar.tv
                              Toute la mafia culturelle réunie pour les funérailles de Jean Yves Le Fur à Paris
                              Rrose Sélavy
                              2-3 minutes

                              Toutes en costume noir, les personnalités ont défilé, ce samedi 6 avril, lors des obsèques de Jean-Yves Le Fur. L’homme d’affaires, patron du magazine DS et fondateur de Numéro, est décédé d’un cancer du pancréas le dimanche 31 mars, à 59 ans, comme l’a révélé son ancienne compagne Maïwenn dans un post sur Instagram. La réalisatrice avait été mariée à ce dernier au début des années 2000, donnant naissance à leur fils Diego, 20 ans, également présent aux funérailles de son père. Celles-ci avaient lieu à l’église Saint-Roch, à Paris.

                              Pour les soutenir, Shanna Besson, première fille de Maïwenn venue avec son père Luc Besson. Anthony Delon avait fait le déplacement. Ont également été aperçus Laetitia Casta, Marina Foïs, Gilles Lellouche ou encore Carla Bruni. En larmes, ils ont tenu à rendre un dernier hommage à celui qui a marqué d’une empreinte indélébile le monde de la mode et des médias.


                              • https://www.off-investigation.fr/quand-la-macronie-se-barricade-face-aux-journalistes/
                                Prisca Thevenot, porte parole du gouvernement, et Marc Fesneau, ministre de l’agriculture, lors d’un point presse suite au Conseil des ministres, Paris, le 3 avril 2024 (photo DR)

                                S’il aime faire valoir son attachement à une presse libre, l’exécutif français s’efforce de contrôler le cadre dans lequel les journalistes peuvent l’interpeller. Off Investigation a recueilli plusieurs témoignages montrant que le pouvoir macroniste entrave régulièrement des professionnels de l’information dans le libre exercice de leur métier.

                                La venue en France, le 2 avril, du chef de la diplomatie étatsunienne, Antony Blinken, ainsi que ses rencontres avec le président de la République Emmanuel Macron et le ministre des Affaires étrangères Stéphane Séjourné, avaient de quoi susciter l’enthousiasme des journalistes désireux d’interpeller ces hauts responsables sur des dossiers internationaux. En de telles circonstances, quoi de mieux qu’une conférence de presse afin de pouvoir questionner les uns et les autres ? Voilà qui intéressait particulièrement la journaliste indépendante Meriem Laribi, ainsi qu’un autre confrère qui nous a demandé de préserver son anonymat. Ayant eu écho d’une visite matinale d’Antony Blinken à Versailles, les deux journalistes ont rapidement tenté de se faire accréditer à l’événement. La première reçut une réponse positive, tandis que le second dû se contenter d’un refus d’accréditation en raison de « places limitées  ». Motif étrange puisqu’après avoir comparé plusieurs courriels, Off Investigation a constaté qu’il avait fait sa demande avant d’autres journalistes qui eux, ont bien obtenu l’accréditation.

                                Blinken/Macron : aucune question autorisée

                                Dans une boucle WhatsApp créée en amont de l’événement, le service presse concerné fait rapidement comprendre aux journalistes accrédités qu’ils ne seront autorisés à poser aucune question à Messieurs Macron et Blinken. L’idée de participer à une figuration journalistique pour l’occasion n’intéresse alors pas Meriem Laribi qui, depuis six mois, consacre son quotidien à informer sur la situation à Gaza : couverture des événements à toute heure sur les réseaux sociaux, déplacements multiples pour suivre l’évolution de la position française sur le dossier ou encore rédaction de plusieurs analyses et enquêtes à ce sujet.

                                Par ailleurs, bien qu’étant inscrite dans les boucles de communication du ministère des affaires étrangères et alors qu’elle avait l’habitude d’assister aux points de presse hebdomadaires du quai d’Orsay, Meriem Laribi ne fut cette fois pas conviée à la conférence de presse du jour entre Antony Blinken et Stéphane Séjourné : « Comme cela m’a été confirmé par une consœur, les journalistes présents ont été informés de la tenue de cet événement et invités à y participer par des voies non habituelles. J’ai demandé des explications au service presse du Quai d’Orsay, aucune ne m’en a été donnée », confie-t-elle à Off Investigation.


                                • njama njama 8 avril 16:58

                                  Et donc l’idée serait de supprimer les 2/3 des communes, sur 36 000 il en resterait 12 000 !

                                  C’est extrêmement violent !

                                  Qui nous a pondu ça ? le p’tit Attal ? « les Verts » ? Bruno Lumière mais pas à tous les étages ?...


                                  •  C BARRATIER C BARRATIER 8 avril 18:01

                                    Il n’y a pas de solution, les groupes de communes fusionnées coûtent aussi cher, voir plus que ce quelles coûtaient avant leur fusion. Les élus gardent bon appétit. Seuls les conseilles municipaux de base font du bénévolat.

                                    Les politiques ont les doigts crocheteurs


                                    • Eric F Eric F 8 avril 18:13

                                      ’’Moins de communes en généralisant leurs fusions et supprimer des intercommunalités, des économies budgétaires de gestion très importantes’’

                                      Oui, car si on se contente de fusionner les communes en maintenant tous les étages du mille feuille administratif, on n’économisera pas un centime, ce qu’on a pu constater avec la fusion des régions.

                                      Et il faut réduire la frénésie d’équipements municipaux de divertissement et associations, subventionnés par le département, la région et les ministères, ainsi que la prolifération d’obstacles routiers (j’ai vu un petit village ayant mis radar pédagogique et chicane sur une route où passent cinquante voitures par jour).


                                      • quijote 8 avril 21:09

                                        Economies ? Faut faire des économies ? J’ai une idée : arrêter de laisser venir le tiers-monde. Qui coûte très très cher. Horriblement cher. Et reste cher pour toujours. Puisque le tiers-monde qui arrive restera pauvre toute sa vie. Pour tout un tas de raisons. Qu’on a déjà expliquées à peu près 3000 fois ici. Sauf les dealers. Qui coûtent très cher à notre société aussi.

                                        Tiens, à propos de tiers-monde, voilà ce que dit le ministre allemand de l’éducation sur les migrants qui arrivent en Allemagne :

                                        https://twitter.com/DaveAtherton20/status/1777257457179349033

                                        68% d’entre eux sont fonctionnellement illettrés, même dans leur propre langue.


                                        • slave1802 slave1802 11 avril 14:34

                                          @quijote
                                          Ce n’est pas une idée, c’est du racisme pur et simple.


                                        • rogal 9 avril 03:29

                                          Économie maximale avec la suppression de toutes les communes (sauf une : celle de Paris !).


                                          • « Lorsque que vous commencez à vous attaquer à l’intégrité ou à la propriété, vous n’avez plus d’avenir dans une société. » Extrait de l’entretien du 5 avril avec Tom Benoit, directeur de la rédaction de Géostratégie Magazine.
                                            https://francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/dette-publique-et-crise-economique-une-analyse-incisive-de-tom-benoit


                                            • Étirév 9 avril 08:49

                                              Paradis fiscaux supprimés, problèmes à moitié réglés !
                                              Dans « Les raisons cachées du désordre mondial », Valérie Bugault nous rappelle que « Du point de vue géopolitique, le paradis fiscal est un instrument d’affaiblissement des États. »
                                              Élément essentiel qui solidifie l’édifice monétaro-économique global, le paradis fiscal permet d’abord l’opacité des propriétaires des capitaux et une sauvegarde de leurs avoirs financiers en échappant à toute imposition. Ce mécanisme de concentration du capital rend possible, à son tour, la subversion des organisations internationales et des États.
                                              Le paradis fiscal opère un abaissement structurel du rôle politique des États de deux façons. D’une part, il permet aux propriétaires majoritaires des banques anglo-saxonnes de subvertir les États en corrompant les hommes politiques. D’autre part, la notion même de paradis fiscal indépendant est un détournement juridique de la notion d’État. Aujourd’hui, les États sont, plus que jamais, les acteurs d’une pièce de théâtre dont le scénario et les bénéfices leur échappent. Les paradis fiscaux dissimulent, en réalité, l’objectif des « puissances d’argent » qui est d’assurer (avec la complicité de leurs « marionnettes » politiciennes) le financement de leur hégémonie en appauvrissant les États jusqu’à la complète disparition de ces derniers de la scène institutionnelle.
                                              Les paradis fiscaux sont devenus, à leur corps défendant, le talon d’Achille de la mondialisation. Ces paradis, nouvellement constitués en réseau, ont pour caractéristique d’agir au moyen de trusts anonymes. Il suffirait que des États dignes de ce nom suppriment la validité des transactions juridiques avec les trusts anonymes, et de manière générale, avec tout type de structures juridiques permettant l’opacité pour les propriétaires de capitaux, afin de tarir une grande partie du drainage des fonds vers les paradis fiscaux anglo-saxons. Ceci porterait un coup, peut-être décisif, à l’oligarchie à la manœuvre, en supprimant une partie de ses revenus disponibles.
                                              Dans le même temps, une telle action permettrait aux États de récupérer une partie substantielle des revenus qui leur échappent. Les États retrouvant ainsi des marges de manœuvre budgétaire de façon indolore pour leurs ressortissants, personnes physiques et morales.
                                              Blog


                                              • Multipolar révele ......

                                                Enorme scandale en Allemagne

                                                https://t.me/laveritevousrendralibres/180

                                                Les médias français se comportent comme une police de la propagande mondialiste ,

                                                Les juifs qui détiennent tous les médias français, ils veulent la mort du peuple français .
                                                Macron est leur menteur , leur cynique polichinelle de service .


                                                • https://multipolar-magazin.de/artikel/rki-protokolle-4

                                                  In eigener Sache : Warum Journalismus keine Verschwörungstheorie und Multipolar kein „rechtes“ Magazin ist

                                                  Die von Multipolar freigeklagten RKI-Protokolle haben eine breite politische Debatte zur Aufarbeitung der Corona-Zeit in Gang gesetzt. Einige Medien versuchen nun, unsere Glaubwürdigkeit anzugreifen. Multipolar sei „rechts“ oder „verschwörungstheoretisch“, so etwa der SPIEGEL und die Süddeutsche Zeitung. Eine Erwiderung.

                                                  PAUL SCHREYER, 4. April 2024, 19 Kommentare, PDF

                                                  Im Dezember 2023 erhielt unsere Redaktion eine überraschende Nachricht. Die international tätige Medienbewertungsplattform Newsguard, deren Interessenkonflikte von uns in der Vergangenheit scharf kritisiert worden waren und die nicht im Verdacht steht, besondere Sympathien für unser Magazin zu hegen, teilte uns das Ergebnis Ihres Ratings mit : 82 von 100 möglichen Punkten. Multipolar sei „größtenteils glaubwürdig“, das Magazin entspreche „weitgehend den grundlegenden Standards der Glaubwürdigkeit und Transparenz.“ Vorausgegangen war dieser Bewertung eine intensive Auseinandersetzung unserer Redaktion mit den Bewertern. Diese hatten zunächst mangelhaft recherchiert und korrigierten sich nach Hinweisen von uns. Interessant dabei : in der 16-seitigen Newsguard-Bewertung (PDF), der eine wochenlange Prüfung vorausging, taucht nirgends der Vorwurf auf, wir würden „rechte“ oder „verschwörungstheoretische“ Ansichten äußern. Auf welcher Faktengrundlage kommen Medien wie SPIEGEL und Süddeutsche nun plötzlich zu solchen Vorwürfen ?

                                                  Dass die Frage nach Belegen in diesem Fall keine Petitesse ist, ergibt sich daraus, dass unser Magazin für jeden unbefangenen Leser klar als linksliberal erkennbar sein dürfte. Das Attribut „rechts“ ist sachlich falsch an der Grenze zur Lächerlichkeit. Multipolar steht für klassisch liberale und sozialdemokratische Werte wie Solidarität mit Schwachen und Ausgegrenzten, Herrschaftskritik und Meinungsfreiheit. Unser Leitbild ist eine friedliche, freie und plurale Welt, in der Menschen sich mit Respekt und Aufgeschlossenheit begegnen. Wir veröffentlichten in jüngster Zeit zu Themen wie Matriarchat, ökologische Energiewende, Klimaschutz, interviewten linke Politiker zu Ihrer AfD-Kritik, beleuchteten wohlwollend den sozialdemokratischen Ideengehalt beim Bündnis Sahra Wagenknecht und empfahlen Bücher, die etwa auf Marx rekurrieren und eine „Demokratisierung des Produktionsprozesses“ fordern. Und nun : Multipolar ein rechtes Magazin ?

                                                  Noch auffälliger erscheint die falsche Einordnung vor dem Hintergrund, dass eine Bewertung unseres Magazins ja weitgehend irrrelevant für die Beurteilung der RKI-Protokolle ist. Diese Papiere, amtliche Dokumente zur Entscheidungsfindung in der Corona-Zeit, stehen für sich. Wir haben mit einer Klage vor Gericht lediglich dafür gesorgt, dass jeder sie lesen kann. Wo Multipolar politisch steht und ob wir ansonsten guten oder eher schlechten Journalismus betreiben, sollte bei Artikeln zum Inhalt der Protokolle daher eigentlich unerheblich sein. Doch es geht bei der Veröffentlichung dieser Papiere eben um weitaus mehr. Zur Debatte stehen nicht nur die Glaubwürdigkeit von RKI und Bundesregierung, sondern auch großer Teile einer Medienlandschaft, die den amtlichen Verlautbarungen jahrelang unkritisch folgte – und die eine gründliche Aufarbeitung nun wohl auch deshalb zu vermeiden versucht.


                                                • @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

                                                  Sinistre crétin les journalistes français


                                                • @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

                                                  ..................les tous , Dieu reconnaîtra les siens .


                                                • zygzornifle zygzornifle 9 avril 09:05

                                                  C’est nous qui allons le payer a grand coup de taxe foncière .....


                                                  • zygzornifle zygzornifle 9 avril 11:02

                                                    Ce gouvernement serre la ceinture des autres pour pouvoir continuer a vivre comme une pute de luxe ....


                                                    • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 9 avril 12:06

                                                      Encore un effort pour devenir Libertarien, abandonner le soin à l’état de tout gérer et laisser les commnunes libres..

                                                      Belle dissection des indemnités...Mais franchement un maire doit il être payé comme un fonctionaire au « statut » et le revenu doit il venir de la gamelle de l’état centralisateur ? 

                                                      Vous voulez modifer ?

                                                      Laissez les communes taxer eux même les habitants et payer eux même leurs salariés et maires avec que l’argent des impots locaux avec leur seul argent et rien d’autre.

                                                      C’est seulement avec la pression financière des habitants et de l’impossibilité de payer leurs salariés qu’ils se regrouperont.

                                                      Ils comprendrons qu’avec les seules impots locaux une commune de 500ha on ne peut entretenir une secrétaire un maire et un jardinier et tout les besoins qui vont avec. Sauf si les habitants le veulent, mais ça c’est une autre histoire.


                                                      • Com une outre 9 avril 19:30

                                                        @Spartacus Lequidam
                                                        Et vous interdisez aux habitants de travailler et de dépenser leur argent ailleurs que dans la commune ?


                                                      • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 10 avril 09:13

                                                        @Com une outre
                                                        Non, les impots locaux doivent financer les salaires et besoins de la commune qans aucune dottation de l’état.
                                                        Aucune.
                                                        Que l’impot local finance le local, que chacunvoit ce que ça coute.

                                                        La fin du financement indirect.


                                                      • Eric F Eric F 10 avril 10:14

                                                        @Spartacus Lequidam
                                                        Alors il faudrait rétablir un impôt local sur l’ensemble des habitants pour financer les services communaux.
                                                        Quelle est la position des libertariens concernant la progressivité de l’impot ?


                                                      • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 11 avril 09:37

                                                        @Eric F
                                                        Les libertariens sont absolument et fermement contre la « progressivité de l’impot » car c’est une injustice en droits. L’aquité des droits est l’important.
                                                        Pour un libertarien, la « Justice sociale » c’est de l’injustice des droits des uns sur les autres, du socialisme.

                                                        La Flat Tax.est la meilleur choix.
                                                        Par ailleurs, la progressivité del’impot est une pensée de « fonctionnaire ou de salarié », de gens qui ont des revenus cadrés ert similaires d’une année sur l’autre, une injustice encore pour les revenus alléatoires.. 
                                                        La Flat Tax à la source est « juste » et s’adapte au monde moderne de mobilité des revenus.


                                                      • slave1802 slave1802 11 avril 14:42

                                                        @Spartacus Lequidam
                                                        Dans ma commune de moins de 500 habitants on n’a pas de jardinier et notre secrétaire, on la partage déjà avec 10 autres communes. C’est d’ailleurs le seul salaire qu’on doit payer. Pour le reste, c’est le maire, les conseillers municipaux et les habitants les plus disponible qui se chargent du reste.
                                                        Ah oui, j’oublie la très grasse indemnité que touche le maire : 800€00 par mois ! Ce qui doit revenir à quelques €uros par habitant.
                                                        Le regroupement avec d’autre commune ? Uniquement sur certain sujet impactant plusieurs villages et trop cher pour un seul, sinon c’est NIET.
                                                        Déjà que depuis que la collecte des ordures est géré par l’aglo d’a côté, notre facture a été multiplié par 2, pour un service dégradé et des tonnes de déchets orphelins déposés dans la nature...


                                                      • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 12 avril 10:03

                                                        @slave1802

                                                        Vous vous trompez, les salaires du maire ne viennent pas des habitants mais de l’état.
                                                        C’est pas aux autres de payer pour lui, mais a vous !

                                                        La collecte des ordures, ça a doublé partout, elle double avec les normes, il faut envoyer les plastiques a recycler en Turquie.

                                                        Ce qui est niet, c’est qie les autres payent pour vous votre isolement, Les autres ne sont pas responsables de vos choix de vie.


                                                      • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 9 avril 12:52

                                                        Certes, ce nombre important de communes en France peut s’expliquer par l’héritage de l’histoire et de la géographie.

                                                        Et c’est avec « ce nombre important de communes » que La France a nourri aussi des européens, du temps où ’souveraineté alimentaire’ et ’reconnaissance du ventre’ était encore présent chez les diseux.
                                                        « Prenez du Politique et du Fric, vous avez Le fascisme » B.Mussolini
                                                        Toutes Représentations en-partis sont là pour prÔfit, en-hémicyclées depuis 200Ans, depuis +10Ans emballé en PPP, pour banK.

                                                        Ecolomania n’y échappe pas. Triste.
                                                        C’est toujours « ubuesque » d’entendre des gens qui se décrètent nous représenter être incapable de faire des spécificités françaises un moyen de se relever, faire plutôt ’oeuvre’ de démolition, plus facile, pour RE-faire, ET-démolir, ET-re-Faire ...


                                                        • L'apostilleur L’apostilleur 9 avril 23:06

                                                          @ l’auteur 

                                                          Sujet intéressant et compliqué pour qui voudra se mettre à dos les conséquences locales de cette économie de bon sens.

                                                          Notre maire s’est appuyé sur les économies imposées par l’Etat avec la suppression de la taxe d’habitation remplacée par une dotation légèrement inférieure, pour justifier et imposer une réorganisation municipale avec impact sur les effectifs.

                                                           

                                                          Pas d’accord concernant..« la politique nataliste envisagée par Emmanuel Macron n’a vraiment pas de sens .. »

                                                          https://onenpensequoi.over-blog.com/2024/03/contre-la-denatalite-il-faut-rearmer-demographiquement-la-france-une-immigration-ou-pas-besoin-d-enfants-certains-se-demandent.html


                                                          • zygzornifle zygzornifle 14 avril 11:00

                                                            Macronnie et blennorragie font du ravage en fRance, heureusement que la seconde se soigne facilement ..... 


                                                            • zygzornifle zygzornifle 14 avril 11:10

                                                              1000 députés et sénateurs payés une fortune et touchant des a cotés crapuleux , 50 suffiraient amplement, pleins de préfets et de diplomates sans postes sont payés des fortunes a glander, il y a trop de ministres du fait que Macron commande tout seul le naufrage, les embrassades regorgent de fêtards qui coutent un pognon de dingue, 5 700 000 fonctionnaires dont la moitié est certainement inutile du fait de la dématérialisation, il y en a des milliards a économiser. A l’Elysée aussi il y a du ménage a faire, le nombre d’agents de la présidence s’établit à 779, dont 454 civils et 325 militaires ....


                                                              • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 14 avril 14:45

                                                                @zygzornifle
                                                                C’est notre tombeau des danaïdes, comme çà-(pdf-1pg)- ? smiley



                                                                • En Israël, l’autel dédié au sacrifice des génisses rousses a été construit.
                                                                  Cela s’inscrit dans les préparatifs de la construction du Troisième Temple à Jérusalem. Mais pour pouvoir le construire il faudra détruire la mosquée Al-Aqsa….
                                                                  https://t.me/journaldeschouans/80623


                                                                • Adressé aux gogolitos ,,,A lire avec attention 

                                                                  https://www.radioj.fr/actualite-14271-du-texas-a-israel-des-genisses-rousses-necessaires-pour-le-temple-arrivent

                                                                  Du Texas à Israël : des génisses rousses nécessaires pour le Temple arrivent


                                                                  Publié le 21/09/2022 à 16h03 - Par Gabriel Attal
                                                                  Cinq génisses parfaitement rousses, nécessaires à la purification rituelle de ceux qui ont touché un cadavre, sont arrivées mardi en Israël en provenance d’un ranch du Texas, alors que l’Institut du Temple poursuit les préparatifs pour jeter les bases de la construction du Troisième Temple à Jérusalem. Les génisses ont toutes moins d’un an et si elles restent 100% rouges et évitent toute tache qui les disqualifierait, elles pourront chacune être utilisées pour créer les cendres requises par la loi juive pour purifier ceux qui ont été en contact avec un cadavre, a expliqué lundi l’Institut du Temple. Ce niveau de purification serait nécessaire pour permettre aux kohanim (prêtres) de mener à bien leur travail dans un futur Temple.

                                                                  Le bétail prisé a été immédiatement transporté à Haïfa où il sera mis en quarantaine pendant pas moins de sept jours, conformément aux réglementations de l’Autorité vétérinaire israélienne. Après la quarantaine, ils seront relâchés dans deux endroits distincts en Israël, dont l’un sera éventuellement ouvert au public. Les génisses seront nourries et soignées dans ces lieux jusqu’à ce qu’elles puissent être abattues et réduites en cendres à partir de leur troisième année.

                                                                  Les génisses ont été localisées et amenées en Israël avec l’aide de l’organisation Boneh Israel, qui implique à la fois des juifs et des chrétiens. Byron Stinson, un éleveur du Texas et un collecteur de fonds et conseiller pour l’organisation, a élevé le bétail.

                                                                  Les génisses ont été accueillies par une cérémonie à l’aéroport Ben Gourion. Les responsables de l’Institut du Temple, le rabbin Chanan Kupietzky, le rabbin Tzachi Mamo, le rabbin Yisrael Ariel et le rabbin Azaria Ariel, ont participé à la cérémonie, aux côtés de Stinson et de Jérusalem et du directeur général du ministère du Patrimoine, Netanel Isaac.

                                                                  "Je n’avais pas l’intention de faire ça, mais en ce moment, je suis probablement le meilleur chasseur de génisses rouges du Texas", a déclaré Stinson à Israel365 News. "La Bible dit d’amener une vache rousse pour purifier Israël, et je ne le comprends peut-être pas, mais je fais juste ce que dit la Bible." « Les prophéties se sont réalisées et les Juifs sont de retour en Israël », a ajouté Stinson. « Maintenant, ils doivent construire un temple. Mais c’est comme acheter une très belle voiture. Si vous n’avez pas la clé, vous n’irez nulle part. La génisse rousse est la clé pour que le Temple fonctionne comme il se doit. Le fermier qui a élevé le bétail est un fervent chrétien qui s’intéressait intensément à ce commandement et a commencé à élever du bétail pour ce trait, selon Stinson.

                                                                  Gabriel Attal


                                                                • https://www.bible-notes.org/article-90-la-genisse-rousse-nombres-19.html

                                                                   Peut-être pensons-nous que le passage concernant le sacrifice de la génisse rousse aurait dû se trouver avec le récit des autres sacrifices, dans le livre du Lévitique. Il est remarquable que l’Esprit de Dieu n’ait pas agi ainsi. Il l’a placé au milieu du livre des Nombres, un livre qui présente le peuple de Dieu en chemin dans le désert.
                                                                   Le livre de Lévitique traite de la manière dont nous nous approchons de Dieu, sur la base d’un sacrifice. Le livre des Nombres, le livre du désert, relate les actions des enfants d’Israël, pendant leur trajet vers Canaan, leurs murmures, leurs chutes, leurs convoitises. Or ce monde devrait être un désert pour le chrétien, en route vers la gloire de Dieu : ainsi, nous comprenons combien ce sacrifice de la génisse rousse est approprié.
                                                                   Le peuple est dans le désert, en route vers le repos. Nous aussi, qui croyons au Seigneur, sommes encore maintenant dans ce monde, exposés à la souillure, avec le péché en nous, le monde autour de nous (et le diable aussi !), en route vers la gloire de Dieu. Et pendant que nous séjournons ici-bas, nous avons besoin d’être purifiés de toute la souillure que nous contractons en chemin.
                                                                   Sans vouloir entrer dans tous les détails de ce chapitre, abordons seulement les points principaux.
                                                                   
                                                                   
                                                                  Une génisse rousse, sans aucun défaut (préfiguration de Christ)

                                                                   « C’est ici le statut de la loi que l’Eternel a commandé, en disant : Parle aux fils d’Israël, et qu’ils t’amènent une génisse rousse, sans tare, qui n’ait aucun défaut corporel, et qui n’ait point porté le joug »
                                                                  (Nom. 19 : 2).
                                                                   La première chose qui est mentionnée, c’est qu’il fallait un sacrifice sans tache. Le Seigneur Jésus s’est présenté lui-même pour faire la volonté de Dieu, selon les paroles de 1 Pierre 1 : 19 : « Un agneau sans défaut et sans tache ».
                                                                    Cette génisse ne devait avoir porté aucun joug. Quelle est la signification de ce fait ? Le Seigneur Jésus, en ce qui concerne sa propre personne, n’a jamais été sous le joug du péché. Nous, nous sommes par nature sous ce joug : « Quiconque pratique le péché est esclave du péché » (Jean 8 : 34). Nous étions sous le joug du péché. Le Seigneur Jésus, comme nous le savons, est venu dans ce monde. « La sainte chose qui naîtra, sera appelée Fils de Dieu », avait dit l’ange à Marie (Luc 1 : 35). Il n’y avait aucun joug de péché sur lui. Il n’a commis aucun péché (1 Pier. 2 : 22), il n’a pas connu le péché (2 Cor. 5 : 21).
                                                                   
                                                                   « Et vous la donnerez à Eléazar, le sacrificateur, et il la mènera hors du camp, et on l’égorgera devant lui »(Nom. 19 : 3).
                                                                   Ceci nous reporte maintenant au dernier chapitre des Hébreux : « Car les corps des animaux dont le sang est porté, pour le péché, dans les lieux saints, par le souverain sacrificateur, sont brûlés hors du camp. C’est pourquoi aussi Jésus, afin qu’il sanctifiât le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte » (Héb. 13 : 11-12). « Hors du camp », « hors de la porte ». Combien l’antitype répond clairement au type ! Comme Jésus a été conduit hors de la porte, la génisse était menée hors du camp. Et Celui qui était sans péché, le juste a été mis à mort (Jac. 5 : 6).
                                                                   
                                                                   Il y a trois aspects que nous allons découvrir maintenant, quant à la valeur de la mort de la génisse :
                                                                   - « Et Eléazar, le sacrificateur, prendra de son sang avec son doigt et fera aspersion de son sang, sept fois, droit devant la tente d’assignation » (Nom. 19 : 4).
                                                                   - « Et on brûlera la génisse devant ses yeux : on brûlera sa peau, et sa chair, et son sang, avec sa fiente » (Nom. 19 : 5).
                                                                   - « Et le sacrificateur prendra du bois de cèdre, et de l’hysope, et de l’écarlate, et les jettera au milieu du feu où brûle la génisse » (Nom. 19 : 6).
                                                                   Chacun de ces versets présente un aspect différent de l’oeuvre du Seigneur Jésus.
                                                                   - Le sang était versé, le sacrificateur en faisait aspersion devant la tente d’assignation (v. 4), devant Dieu en fait. Cet acte représente le sang précieux de Christ, qui a été versé une fois, et en vertu duquel nous avons la rédemption, le pardon des péchés.
                                                                   - L’animal entier était réduit en cendres hors du camp, ce qui montre en type que le feu du jugement de Dieu a consumé tous nos péchés sur la croix, de sorte qu’ils sont entièrement ôtés et ne pourront plus jamais nous être imputés. Pour ceux qui croient, tous leurs péchés ont été expiés, pour toujours.
                                                                   - Concernant le bois de cèdre et l’hysope, il est écrit, dans 1 Rois 4 : 33, que Salomon « parla sur les arbres, depuis le cèdre qui est sur le Liban, jusqu’à l’hysope qui sort du mur ». Il s’agit de tout ce qui, dans le royaume végétal, va de l’arbre le plus imposant jusqu’à la plus petite plante. Ainsi ce bois de cèdre et cette hysope seraient le type de tout ce que nous possédons en tant qu’enfants d’Adam, de tout ce dont nous nous glorifions et nous vantons comme des hommes naturels.
                                                                   L’écarlate est un type bien connu de la gloire de ce monde. La femme, dans Apocalypse 17 : 3, assise sur la Bête, est parée d’écarlate, et montée sur une bête écarlate. Toutes ces choses sont consumées au milieu du feu où brûle la génisse.
                                                                   

                                                                • https://blog.francetvinfo.fr/charles-enderlin/2015/07/12/la-vache-rousse-plus-dangereuse-que-le-nucleaire-iranien.html

                                                                  La vache rousse plus dangereuse que le nucléaire iranien ?
                                                                  Publié le 12 juillet 2015

                                                                  L’institut du temple vient d’annoncer qu’il est était en train de préparer l’élevage de génisses rousses.. La cendre d’un tel animal est indispensable à la purification de l’endroit où doit s’élever le troisième temple juif.. Sur le mont du Temple, à la place des saintes mosquées. Le mouvement messianique est donc passé à la dernière étape de son projet. Déjà tous les ustensiles nécessaires au culte dans le temple ont été reconstitués.

                                                                  L’annonce de l’Institut du temple : https://www.indiegogo.com/projects/raise-a-red-heifer-in-israel#/story

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