TAXES, MENSONGES et IDÉAUX : réchauffement climatique, une arnaque bien orchestrée
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
La révélation
Lorsqu’on a conclu péremptoirement à la responsabilité de l’homme dans le domaine du réchauffement climatique, on a également implicitement annoncé une avancée scientifique de taille, qui n’a pas reçu l’attention qu’elle aurait méritée : l’homme était déclaré capable de maîtriser les éléments de la nature. Rien de moins.
Cette certitude soutenue par un milieu scientifique (reconnu ?) est une avancée formidable dans l’histoire de l’humanité.
On n’était plus dans les conséquences ordinaires d’une action banalement irresponsable (pollution de rivière, océan, air, déforestations sauvages) ou d’aménagement (percement d’un tunnel ou d’un canal, aplanissement d’une colline, construction d’un pont, autoroute, chemin de fer ou autre) mais bel et bien dans le domaine du contrôle climatique de la planète.
Et on s’est mis du coup à rêver que, en y mettant les moyens et le temps pour développer les méthodes adéquates, on était littéralement capable de faire la pluie et le beau temps.
Et d’échafauder les scenarii les plus osés sur les possibilités futures d’une telle découverte.
Hélas, le rationnel reprenant le dessus sur l’émotionnel, à ce rêve les yeux ouverts il a suivi le désenchantement d’une réalité on ne peut plus banale.
Et de s’en vouloir d’avoir aussi vite donné foi à une idée uniquement parce qu’elle nous séduisait autant.
Mais il n’y a pas eu que nous.
Que dire de tous ces politiciens, de n’importe quel tendance, gauche, droite, blanc, rouge, noir, vert, tous réunis dans un bel ensemble, qui pour une fois dans leur vie ont osé lever leur regard un peu plus haut de l’horizon de la prochaine échéance électorale, et se sont mobilisés avec désintéressement (quel retour immédiat peuvent-ils espérer si tous ont le même programme ?) pour une cause dont les effets ne se feront sentir, au mieux, alors que leurs noms auront bien plus de chance de figurer sur un stèle au cimetière plutôt que dans un livre d’histoire ?
Quel gâchis ! Quelle désolation !! Quelle tristesse !!!
Et quod de ce pauvre Laurent Fabius, la Fée Clochette de la Cop21, qui grâce à son rôle dans ce raout aurait aimé recevoir le Prix Nobel de la Paix, comme jadis en 2007 son homologue Al Gore, cet autre faux expert climatologique (autoproclamé) et vrai diffuseurs de thèses alarmistes tellement abracadabrantes qu’il a été contredit (conjointement à ses acolytes du GIEC) même par son propre camp, Green Peace en tête ?
Le genre humain et la Terre
L’homme n’est pas indispensable à la planète bleue. Il peut disparaître, comme autrefois les dinosaures, sans créer des dommages collatéraux. L’écosystème n’en serait nullement perturbé. Le contraire n’est pas vrai.
On a beau se proclamer les fils de Dieu, nous ne sommes rien de plus qu’une colonie d’insectes, une petite entité négligeable et pour tout dire insignifiante. Et moins nécessaire à la planète que les lombrics.
Bien sûr, nous sommes actuellement 7 milliards d’individus. Mais nous comptons pour beurre.
Vous en voulez la preuve ?
Repérez sur une mappemonde ce petit point bleu si minuscule qui indique le lac Léman, le plus grand lac d’Europe que la France partage avec la Suisse.
Et bien, si on y submergeait d’un seul coup l’humanité entière, donc 7 milliards de personnes, sa masse s'accroîtrait de 0,2%. Et personne ne s’en apercevrait.
Et ce lac a une superficie de moins de 6% de celle de la plus grande ferme australienne.
Alors, importants quantitativement les 7 milliards d’individus ou entité ridicule ?
Cela redimensionne grandement notre ego.
Le prétexte
Le réchauffement climatique que nous vivons actuellement est une vérité incontestable.
Nul de sensé pourrait le remettre en doute.
Cela dépend uniquement de l’activité solaire, cet astre dont la Terre tire toutes ses sources d’énergie et de vie, qui a une taille de 1300'000 fois plus grand qu’elle.
L’activité solaire détermine, depuis toujours, des cycles de réchauffement ou de refroidissement de la planète à un rythme imprévisible (début, fin, ampleur). Ces cycles sont historiquement recensés Tout le monde peut le contrôler.
Alors pourquoi en accuser l’humanité ?
Pour toujours la même raison : l’Argent. Notre Argent.
Pour nous ponctionner d’une nouvelle taxe tout en nous culpabilisant pour nous la faire accepter sans trop rechigner.
Puis, puisque si on était les seuls à la payer il y aurait une distorsion de la concurrence, on essaie d’obliger les autres Pays, un peu ou beaucoup réticents, à l’adopter également. D’où les COP. L’important pour notre économie est que cette taxe soit universelle, les engagements à réduire les émissions de gaz à effets de serre et leur respect étant accessoires.
Beaucoup de Pays du Tiers Monde ont signé uniquement parce qu’on leur a promis de l’argent, qu’ils ne verront jamais.
A quelques exceptions près. Car on a également instauré un système qui permet aux pays les plus développés d’acheter le droit de polluer (le droit carbone) aux pays sous-développés.
Sans, étonnamment, susciter les foudres d’aucun des mouvements altermondialistes toujours prêts à dénoncer ces-salauds-de-capitalistes-qui-avec-leurs-dollars-acquis-par-l’exploitation-de-la-classe-ouvrière-entretiennent-dans-le-sous-développement-les-pays-du-tiers-monde.
Mais passons.
Résultat de ce marché de dupes : l’Etat français a dû rembourser à des escrocs (procès en cours, condamnations probables, recouvrements illusoires) la bagatelle d’un milliard d’euros à titre de remboursement d’une TVA jamais versée sur des transactions imaginaires de « droits carbone ». Bercy, ne sachant plus comment s’en sortir, a fini par exonérer ces droits d’une quelconque taxe.
La méthode
Nos gouvernements (G7) ont été vraiment capables ne concevoir et mettre sur pied et de réussir du premier coup un tel scénario si machiavélique ?
Et bien, en réalité non. C’est un remake.
On a rejoué un scénario que des laboratoires chimiques avaient utilisé avec succès fin 70 début 80.
Petit rappel :
Fin des années 70 une information avait commencé timidement à circuler, d’abord dans des journaux scientifiques, puis de plus en plus fort dans tous les medias, jusqu’au paroxysme, dans un crescendo rappelant la tirade rossinienne sur la calomnie du Barbier de Séville. Objet : un soi-disant trou d’ozone, aux conséquences évidemment catastrophiques, provoqué par le CFC, ce gaz utilisé dans nos sprays de l’époque.
Dans une atmosphère obsessionnelle, digne des meilleurs Hitchcock , tous les médias relayent la nouvelle en boucle, soutenue par des interviews de spécialistes.
Le résultat de cette peur panique inculquée dans l’opinion mondiale a débouché immédiatement par l’interdiction dudit gaz.
Pour s’apercevoir après coup que toute cette campagne avait été orchestrée de main de maitre par des agences de com’ mandatées par les laboratoires propriétaires du brevet du CFC, qui venait à échéance justement cette année là (la protection d’un brevet dure 20 ans), et qui redoutaient la concurrence orientale si le CFC tombait dans le domaine public.
Bien entendu aucun media n’a fait son mea culpa pour s’être fait manipuler, le trou d’ozone scruté tous les jours à la loupe a disparu immédiatement de tous les radars, les experts partis en vacances avec leurs confortables honoraires, les agences de com’ dûment rétribuées.
Il faut reconnaître le grand professionnalisme de ces agences ; et regretter en passant que dans d’autres domaines on ne fasse pas preuve d’une si grande compétence.
On a donc remplacé le trou d’ozone par les émissions de CO2 et on nous a rejoué la même partition. Succès escompté.
Les moyens
L’idée de réutiliser le même scénario est surgie immédiatement après le cas « trou d’ozone » mais, comme toute initiative politique, il a fallu quelque temps pour la mettre en place.
Le G7 (groupe des 7 pays les plus riches, soit USA, Japon, Allemagne, France, Grand Bretagne, Canada, Italie) a décidé en 1988 de mettre en place par l’Onu le GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat).
Alors que jusque là, cette évolution n’intéressait que les météorologues.
Comme toute institution onusienne le Giec n’est pas une association de personnes physiques mais de Pays. Et comme toute institution onusienne fortement politisée.
Il ne s’agit donc pas d’un laboratoire de recherche, mais d’un organisme qui effectue une évaluation et une synthèse de ces travaux menés dans les laboratoires du monde entier, genre revue de presse.
Aucun individu – et en particulier aucun chercheur – ne peut être directement membre du GIEC : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter les pays membres.
Et surtout leurs intérêts. Et c’est ici que le bât blesse.
Car à lire les rapports du GIEC on dirait que tous les experts du monde entier sont unanimes. Ce qui est loin d’être le cas.
Donc on nous soumet des conclusions hautement tendancieuses – donc mensongères.
Par ailleurs admettre que le réchauffement climatique est la responsabilité de l’homme uniquement parce que des experts ou le Giec l’affirment se serait comme admettre l’existence de Dieu par le seul fait que tous les théologiens (qui prêchent, c’est le cas de dire, pour leur paroisse) le soutiennent.
Les experts étant donc désignés (le Giec), on passe aux agences de Com’.
Qui ont concocté une campagne avec des images et de mots forts aptes à conditionner la cible (nous).
Détricotement des termes
Gaz à effet de serre : (au fait composés à 90% par la vapeur d’eau, voir détail complet plus loin) : l’appellation est bien choisie car parlante.
A ses simples mots on s’imagine à l’intérieur d’une serre en plein soleil où l’atmosphère est moite et étouffante.
A regarder de plus près, la définition officielle des gaz à effet de serre est bien plus soft : les GES empêchent par leur couverture la terre de se refroidir.
Première contre-vérité : les gaz à effet de serre (couverture nuageuse) empêchent en effet la terre de se refroidir LA NUIT.
Tout le monde sait qu’une nuit étoilée est bien plus froide qu’une nuit nuageuse. Même les déserts ont réputation d’être glaciaux la nuit.
Mais cette même couverture nuageuse, qui n’a pas les prérogatives d’une glace sans tain, et qui donc fait pareillement écran dans les deux sens, empêche tout aussi efficacement le terre de se réchauffer la journée. Et puisque la source solaire émet plus de chaleur que la terre, les GES empêchent surtout la terre de se réchauffer.
Pour s’en convaincre il suffit de grimper sur le sommet d’une colline juste au dessus des nuages et comparer la différence de température par rapport au juste dessous.
En réalité donc une hypothétique augmentation des GES serait plutôt positive pour lutter contre le réchauffement climatique.
Climato sceptiques : de nouveau un terme très bien choisi car on traite de ce nom les opposants à la thèse officielle en faisant croire qu’ils nient le réchauffement en cours, alors qu’ils ne sont contraires qu’à l’idée de la responsabilité humaine.
Les thèses opposées
On a donc d’un coté le Giec qui soutient la théorie officielle et en face des cabinets mandatés par des climato-sceptiques pour prouver le contraire.
Et là il y encore une magnifique arnaque dans l’arnaque.
Car ces cabinets, aux honoraires milliardaires (que nous payons aussi d’une manière ou d’une autre), ne veulent surtout pas prouver la thèse pour laquelle ils sont mandatés, car ils perdraient du coup leurs clients et leurs revenus. Conflit d’intérêts. Alors ils se limitent à publier des graphiques, des avis d’experts truffés d’inexactitudes et ils font tout pour entretenir le doute.
La vérité alors ?
En réalité très simple et facile à prouver.
Indiquez les données à votre enfant de niveau de CM2 ou supérieur et il vous fournira la bonne réponse en utilisant simplement la règle de 3.
Calculs
Les données scientifiques admises par tout le monde (partisans et adversaires) indiquent que la concentration des GES dans l’atmosphère est représentée par 3000 parts de vapeur d’eau par million et de 396 parts de CO2, plus quelques autres gaz en proportion plus que négligeable.
Rappelons que le CO2 c’est de l’anhydride carbonique, soit le produit de nos expirations ; elle n’a rien de toxique. Et est soluble dans l’eau.
Cette concentration et répartition des GES sont considérées stables tous les jours de l’année.
Les parts de CO2 étaient de 280 au début de l’ère industrielle (1800) où les habitants de la terre étaient évalués au maximum à un milliard d’unités.
On est 7 milliards aujourd’hui soit une augmentation de 6 milliards pour 116 parts de CO2. Ce qui rapporté aux 7 milliards au total indiquent une valeur de 135 parts dont est responsables l’humanité pour ses 7 milliards d’habitants et ses 200 milliards d’animaux d’élevage - plus toutes ses activités (industries, voitures, avions, chauffage, bateaux etc.)
Les 261 parts restantes étant émises par la nature (arbres, montagnes, volcans, océans, rivières, glaciers, animaux sauvages etc.).
On est donc responsable de seulement 34% des émissions totales de CO2.
Une autre donnée incontestée est que la vapeur d’eau s’épuise et se reconstruit en 14 jours au maximum.
Pour faire compte rond prenons 15 jours, ce qui fait que chaque jours se détruisent et se recomposent 200 parts.
Le CO2, lui s’épuise et se recompose en un siècle.
Donc prenons les 135 parts émis par la présence et activités humaines et divisons la par 36524,25 jours (soit un siècle) : ce qui donne arrondi une émission de 0.0037 parts par jour soit, et au grand maximum, 18 millionièmes des émissions totales journalières de GES (0,0037/200,0037x100).
Quelle personne saine d’esprit pourrait concevoir que cette proportion ait une quelconque influence sur quoi que ce soit ?
Et là où ça devient franchement ridicule ce qu’on voudrait réduire cette émission journalière de 2% je ne sais plus à quel horizon.
Au fait ça fait combien 2% de 18 millionièmes ?
Question subsidiaire
Cette nouvelle taxe sert à nous faire payer l’air qu’on respire (on paye à la sortie) ou parce que on est des c..s ?
J’entends une voix qui susurre : « les 2 mon général !!! »
Données officielles des GES - facilement contrôlables
_________________________________________
Concentrations atmosphériques en volume par million, durée de séjour et potentiel de réchauffement des principaux gaz à effet de serre
Gaz Formule Concentration durée séjour PRG
préind act.
Vapeur eau H2O 3000 3000 2 semaines —
Dioxyde carbone CO2 280 396 100 ans 1
Méthane CH4 0.7 1.8 12 25
A noter que, régulièrement, on entend des voix qui voudraient qu’on élargisse le traitement qu’on impose au CO2 au gaz méthane (produit entre autres par les flatulences des vaches). Thèse contestée âprement par tous les milieux Giec y compris.
Si la thèse officielle du CO2 était vraie, considérant que, depuis l’époque préindustrielle, le gaz méthane à augmenté de 258%, compte tenu de son potentiel de réchauffement (25 x celui du CO2) et de son facteur de 8.33 de séjour par rapport au même CO2 , cela ne tarderait pas à être vrai également. CQFD.
Pour conclure
Si la lecture de ces propos vous laisse perplexe, dubitatif, incrédule, ironique ou carrément opposé, je vous propose d'aller consulter la définition scientifique des GES. Mais si vous pensez qu'une journée sous les nuages est plus chaude qu'une journée sous le soleil, je n'aurais plus qu'une ultime requête à vous adresser : le numéro de téléphone de votre fournisseur, car manifestement il vous refile du tout bon.
Dernier détail : les rayons infra-rouge n'influent nullement sur la température de l'air.
Merci à tous
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