@chantecler
Manque surtout un peu de relecture.
« Cet entretien a été avec une professeur de SciencesPo (ne souhaitant pas être citée). »
Je ne sais pas en tant qu’étudiant ce que vous étudiez mais vous devriez en revenir à un peu à la grammaire. Passe encore dans les commentaires mais en titre d’accroche : ça ne passe pas.
Et puis devoir lire un larbin du système. Pitié.
@chat maigre
Si tu as du temps à perdre je te conseille de lire aussi les bouquins de Carlos Castanada, Don Miguel Ruiz (Les Accords Toltèques), et pour continuer à rever : Le Matin des Magiciens et L’Homme éternel de Louis Pauwels.
C’est très amusant de constater qu’en des temps difficiles l’homme se tourne souvent vers lui-même. Cette introspection ne lui permettant pas de régler ces problèmes (principalement d’aliénation), il se raconte de belles histoires, se fait peur. Il aime ça, se faire peur, cela lui rappel qu’il est en vie.
Merci beaucoup à l’auteur.
Et pour aller un peu plus loin mon pauvre Jonas :
John Reed, « Dix jours qui ébranlèrent le monde » en audio sur France Culture : Ici
@mursili
Les « C’est des/les » à la place de « Ce sont des/les », impayable !
Doit-on parler des liaisons ?
@mursili
Cela n’est plus une priorité de s’exprimer correctement en français en public ou, passé 50 ans, je suis devenu un vieux con aigri. C’est possible ... ou les deux à la fois ...
J’espère qu’il les rappelle puisque c’est le nom du principal protagoniste de « Monde des Non-A » (désolé je ne sais pas placer la barre sur le A). Un rappel aussi à la Sémantique Générale d’Alfred Korbsyski et à ce grand Monsieur de la S.F. injustement oublié comme vous l’écrivez.
Merci Réflexions du Miroir.
Il existe un bon reportage sur l’art de rue (pour aller un peu plus loin...) : « Exit Through The Gift Shop » (Faites le Mur) de 2010.
Sinon la créativité est la part de dieu en nous. Malheureusement pour un Monet, Rembrandt, Mozart, Beethoven etc. combien de constructeurs de tour Eiffel en allumettes ?
Le travail, parfois jusqu’à l’acharnement, peut conduire l’art à un certain aboutissement mais conjugué au génie de quelques hommes, nous amène à la grâce, au dépassement. Mais créons-nous pour les autres ou pour nous-même ?
Karl Marx,
Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel (1843) :
« Pour l’Allemagne, la critique de la religion est finie en substance. Or, la critique de la religion est la condition première de toute critique.
L’existence profane de l’erreur est compromise, dès que sa céleste oratio pro aris et focis (1) a été réfutée. L’homme qui, dans la réalité fantastique du ciel où il cherchait un surhomme, n’a trouvé que son propre reflet, ne sera plus tenté de ne trouver que sa propre apparence, le non-homme, là où il cherche et est forcé de chercher sa réalité véritable.
Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l’homme qui, ou bien ne s’est pas encore trouvé, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme n’est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L’homme, c’est le monde de l’homme,
l’État, la société. Cet État, cette société produisent la religion, une conscience erronée du monde, parce qu’ils constituent eux-mêmes un monde faux. La religion est la théorie générale de ce monde, son compendium encyclopédique, sa logique sous une forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification. C’est la réalisation fantastique de l’essence humaine, parce
que l’essence humaine n’a pas de réalité véritable. La lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel.
La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle, et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple.
Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple. Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole.
(1) »discours pour les autels et les foyers" , c’est-à-dire pour Dieu et la patrie.
Et voilà pour lui ...
@mursili
Exact ! La grammaire de nos élites télévisuelles est à chier.
Plus les « ouais » qui traînent ici et là, les mots en « isme » qui se prononcent « izme », les « pas » qui perdent leur « ne », etc.
Et du coté des écrivaillons cherchant à s’exprimer coûte que coûte, le manque de majuscules est pour moi symbole d’impolitesse.
Enfin, je suis plus enclin à accepter les fautes d’orthographe comme preuve d’humanité et il serait stupide de corriger un étranger faisant l’effort de s’exprimer dans notre langue surtout si nous savons qu’il est (de Marseille) étranger.
@Florian LeBaroudeur
Lobby des sept Soeurs (https://fr.wikipedia.org/wiki/Cartel_des_sept_s%C5%93urs )
A voir pour aller plus loin : https://www.dailymotion.com/video/xqy60o et
https://www.dailymotion.com/video/xqy6om
@Étirév
Avez-vous jamais lu Marx pour écrire de pareilles idioties ?
"Le Marxisme paraît défendre les travailleurs parce qu’il semble vouloir
tout remettre au pouvoir de l’État afin d’assurer une meilleure
répartition des biens et des fortunes, alors qu’en réalité son but est,
en conquérant les masses ouvrières par la ruse, de tout accumuler entre
les mains des « puissances d’argent », dissimulées et camouflées
derrière des partis politiques qu’elles contrôlent, qu’ils soient
socialistes ou communistes.
La doctrine du Marxisme rejette le
principe aristocratique observé par la nature, et le remplace par la
domination du nombre. Autrement dit : Le Règne de la Quantité... et les Signes des Temps."
Sur l’état, Engels, Lettre à August Bebel, 1875 :
« Il conviendrait d’abandonner tout ce bavardage sur l’État, surtout après la Commune, qui n’était plus un État, au sens propre. Les anarchistes nous ont assez jeté à la tête l’État populaire, bien que déjà le livre de Marx contre Proudhon, et puis le Manifeste communiste, disent explicitement qu’avec l’instauration du régime social socialiste, l’État se dissout de lui-même et disparaît. L’État n’étant qu’une institution temporaire dont on est obligé de se servir dans la lutte, dans la révolution, pour réprimer par la force ses adversaires, il est parfaitement absurde de parler d’un État populaire libre : tant que le prolétariat a encore besoin de l’État, ce n’est point pour la liberté, mais pour réprimer ses adversaires. Et le jour où il devient possible de parler de liberté, l’État cesse d’exister comme tel. »
Sur la nature par Marx lui-même dans Les Manuscrits de 44 :
« Le communisme, abolition positive de la propriété privée (elle-même aliénation humaine de soi) et par conséquent appropriation réelle de l’essence humaine par l’homme et pour l’homme ; donc retour total de l’homme pour soi en tant qu’homme social, c’est-à-dire humain, retour conscient et qui s’est opéré en conservant toute la richesse du développement antérieur. Ce communisme en tant que naturalisme achevé = humanisme, en tant qu’humanisme achevé = naturalisme ; il est la vraie solution de l’antagonisme entre l’homme et la nature, entre l’homme et l’homme, la vraie solution de la lutte entre existence et essence, entre objectivation et affirmation de soi, entre liberté et nécessité, entre individu et genre. Il est l’énigme résolue de l’histoire et il se connaît comme cette solution… L’essence humaine de la nature n’est là que pour l’homme social ; car c’est seulement dans la société que la nature est pour lui comme lien avec l’homme, comme existence de lui-même pour l’autre et de l’autre pour lui, ainsi que comme élément vital de la réalité humaine ; ce n’est que là qu’elle est pour lui le fondement de sa propre existence humaine. Ce West que là que son existence naturelle est pour lui son existence humaine et que la nature est devenue pour lui l’homme. Donc, la société est l’achèvement de l’unité essentielle de l’homme avec la nature, la vraie résurrection de la nature, le naturalisme accompli de l’homme et l’humanisme accompli de la nature. »
@Ⓒⓐⓡⓝⓐⓖⓔ
Salut Ⓒⓐⓡⓝⓐⓖⓔ merci.
14° maxi et 10 ou 11 dans les chambres suivant la température extérieure
@Glosspan
Salut Glosspan c’est qui DF stp ?
« Le résultat général auquel j’arrivai et qui, une fois acquis, servit de fil conducteur à mes études, peut brièvement se formuler ainsi : dans la production sociale de leur existence, les hommes entrent en des rapports déterminés, nécessaires, indépendants de leur volonté, rapports de production qui correspondent à un degré de développement déterminé de leurs forces productives matérielles. L’ensemble de ces rapports de production constitue la structure économique de la société, la base concrète sur laquelle s’élève une superstructure juridique et politique et à laquelle correspondent des formes de conscience sociales déterminées. Le mode de production de la vie matérielle conditionne le processus de vie social, politique et intellectuel en général. Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur être ; c’est inversement leur être social qui détermine leur conscience. À un certain stade de leur développement, les forces productives matérielles de la société entrent en contradiction avec les rapports de production existants, ou, ce qui n’en est que l’expression juridique, avec les rapports de propriété au sein desquels elles s’étaient mues jusqu’alors. De formes de développement des forces productives qu’ils étaient ces rapports en deviennent des entraves. Alors s’ouvre une époque de révolution sociale. Le changement dans la base économique bouleverse plus ou moins rapidement toute l’énorme superstructure. Lorsqu’on considère de tels bouleversements, il faut toujours distinguer entre le bouleversement matériel - qu’on peut constater d’une manière scientifiquement rigoureuse - des conditions de production économiques et les formes juridiques, politiques, religieuses, artistiques ou philosophiques, bref, les formes idéologiques sous lesquelles les hommes prennent conscience de ce conflit et le mènent jusqu’au bout. Pas plus qu’on ne juge un individu sur l’idée qu’il se fait de lui-même, on ne saurait juger une telle époque de bouleversement sur sa conscience de soi ; il faut, au contraire, expliquer cette conscience par les contradictions de la vie matérielle, par le conflit qui existe entre les forces productives sociales et les rapports de production. Une formation sociale ne disparaît jamais avant que soient développées toutes les forces productives qu’elle est assez large pour contenir, jamais des rapports de production nouveaux et supérieurs ne s’y substituent avant que les conditions d’existence matérielles de ces rapports soient écloses dans le sein même de la vieille société. C’est pourquoi l’humanité ne se pose jamais que des problèmes qu’elle peut résoudre, car, à y regarder de plus près, il se trouvera toujours, que le problème lui-même ne surgit que là où les conditions matérielles pour le résoudre existent déjà ou du moins sont en voie de devenir. À grands traits, les modes de production asiatique, antique, féodal et bourgeois moderne peuvent être qualifiés d’époques progressives de la formation sociale économique. Les rapports de production bourgeois sont la dernière forme contradictoire du processus de production sociale, contradictoire non pas dans le sens d’une contradiction individuelle, mais d’une contradiction qui naît des conditions d’existence sociale des individus ; cependant les forces productives qui se développent au sein de la société bourgeoise créent en même temps les conditions matérielles pour résoudre cette contradiction. Avec cette formation sociale s’achève donc la préhistoire de la société humaine. (…) À un certain stade de leur développement, les forces productives matérielles de la société entrent en contradiction avec les rapports de production existants, ou, ce qui n’en est que l’expression juridique, avec les rapports de propriété au sein desquels elles s’étaient mues jusqu’alors. De formes de développement des forces productives qu’ils étaient ces rapports en deviennent des entraves. Alors s’ouvre une époque de révolution sociale. »
Karl Marx dans sa « Critique de l’Économie politique ».
Bien à vous et bonne année à tous.
@Gilbert Gosseyn
Le reportage complet : https://www.youtube.com/watch?v=yqAquBH7xZs
Trash TV. Dans « Les androïdes rêvent-ils de mouton électrique » P.K. Dick commence sa nouvelle avec une une mise en situation du « Penfield ». Un orgue d’humeur qui permet aux protagonistes de programmer leur humeur pour la journée. Le parallèle avec la T.V. est flagrant. Après sa journée de travail en esclavagie le pékin moyen à besoin de débrancher les fils. C’est là qu’il est le plus perméable à la propagande, à coca cola, grâce aux ondes alpha.
https://www.youtube.com/watch?v=Xqq9aJUIEyc
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