@izarn
Des électeurs inscrits, bien sûr.
Ce qui souligne l’importance de prendre en compte les votes blancs (ou les abstentions car beaucoup considère qu’il est inutile d’aller voter blanc lorsque l’on sait que cela ne sert à rien).
@Fergus
C’est exact…
Donc, pour paraphraser Churchill à propos de la démocratie, je dirais que « le suffrage universel direct est le plus mauvais des modes de scrutin, à l’exception de tous les autres. »
En France, nous avons le suffrage universel mais lorsque l’on compte les voix attribuées à celui qui devient président de la république, on s’aperçoit qu’il n’a été élu qu’avec à peine 40% des voix des électeurs ; sachant, par ailleurs, que certaines voix en sa faveur n’ont été, en fait, que des votes contre la partie adverse.
Hollande n’a été élu qu’avec 36% des voix de l’ensemble des électeurs.
Le problème est que les votes blancs sont ignorés ou occultés…
@velosolex
Comment ne pas être d’accord avec vous !?
Les « Socialistes », comme d’habitude, incapables de traiter les affaires majeures dans leur gouvernance, se polarisent sur des sujets de société, d’une manière totalitaire, avec la déviance dégénérative qui les caractérise.
Un peu exagéré comme article !
Entre ne pas enseigner et survoler le sujet, il y a différence… et quant à l’affirmation selon laquelle « Au collège, comme au lycée, une large part est accordée aux philosophes des Lumières, en français et en histoire. » je ne n’y souscris pas.
D’ailleurs, quelle que soit la matière traitée, je constate que l’enseignement ne cesse de se dégrader… et en ce qui me concerne, je ne suis pas « éloignés du terrain ».
@JL
Officiellement, c’est pour fournir aux internautes des contextes adaptés à leur profil (Style CRM dans le commerce). D’ailleurs, si l’on passe d’une machine à une autre, on s’aperçoit que le moteur de recherche de fourni pas nécessairement les mêmes liens avec la même requête : Les profils enregistrés étant différents.
Au-delà, on peut imaginer d’autres objectifs. Le profil de chaque internaute est cerné et enregistré par l’outil de recherche, sachant que Google participe aux activités de la NSA…
@JL
Oui, c’est une des caractéristiques de Google et c’est fait à dessin…
Pas étonnant que « Lucie Martin » et beaucoup d’autres, lobotomisés par les médias, pleurnichent : Ils se sont pris une sacrée Trump.
@njama
« …s’il y a des politiques dispendieuses nationales ou locales, croyez-vous que ces petits « employés » en soient responsables ? »
Cela va sans dire…
Je ne sais pas si je m’exprime mal ou si vous versez dans la rhétorique mais je ne pointe pas les fonctionnaires mais bien les politiques qui cultivent une part d’administration totalement inutile et couteuse.
Quant au chômage, embaucher des fonctionnaires inutiles réduit, certes, le nombre de chômeurs, mais augmente, de fait, la pression fiscale car il faut payer ces fonctionnaires. Or, ces derniers n’ont aucune plus-value, contrairement à ceux des services publics. Régler la question du chômage par l’emploi de fonctionnaires inutiles n’est qu’un sophisme qui ne fait que porter préjudice l’économie.
Il ne s’agit pas de « licencier » des fonctionnaires, mais de mettre fin à ces sur-embauches, qui empêchent de mettre l’argent public là où il est vraiment nécessaire.
@njama
Je pense qu’il nécessaire de faire la différence entre les fonctions purement administratives et les services publics.
Dès que l’on dit que l’administration coute trop cher, presque tout le monde traduit par « les services publics coutent trop cher » ; ce qui est une extrapolation abusive.
Vous écrivez « Encore un article pour tirer dans le dos des fonctionnaires ! » et vous faites tout un développement sur l’utilité du service publique.
Un fonctionnaire n’est pas nécessairement un agent des services publics. Or, si les services publics sont nécessaires et devraient être gratuits pour, a minima, les plus pauvres, il n’en reste pas moins que la surpopulation des agents administratifs, dans tous les domaines, grève considérablement le budget de l’Etat.
Défendre l’emploi des fonctionnaires sans discernement, c’est cautionner le gaspillage de l’argent public.
Il est clair qu’aujourd’hui, l’administration est un cancer qui nuit considérablement à l’économie et au bien-être des Français.
Dans les services publics, comme l’éducation ou la santé par exemple, l’administration a pris tellement d’ampleur que la part d’opérationnels est devenue largement insuffisante :
Il y a 50 ans, dans l’éducation nationale, il y avait à peu près 30% d’administratifs et 70% d’enseignants. Aujourd’hui, il y a quasiment autant d’administratifs que d’enseignants. L’école périclite, non seulement à cause d’un manque d’enseignants, lesquels d’ailleurs ne remplissent même plus leur rôle, mais encore à cause de son administration pléthorique qui ne fait qu’entraver le bon fonctionnement de l’éducation.
Dans les hôpitaux, les financiers sont à la manœuvre. On ne demande plus au personnel, qui se réduit comme peaux de chagrin, de faire son métier, mais de justifier les dépenses. Là encore, l’administration étouffe le service public.
Les ministères sont exclusivement dirigés par les énarques, qui sont l’archétype du fonctionnaire incompétent, ignorant des réalités et décidant de politiques plus nuisibles au domaine concerné que propre à s’adapter au monde en perpétuel évolution. Cette mafia qui pourri l’existence des Français, s’entoure d’une palanqué d’agents et impose sa dictature dans le seul intérêt de l’Etat, dont elle se dit la seule dépositaire.
Cette même mafia, l’énarchie, maintient un ensemble d’organismes, d’agences et de commissions parfaitement inutiles qui n’a pour vocation que de placer les énarques et de les entourer d’une bureaucratie démesurée à leur service. Les dérives de ces mandarins coûtent au contribuable une centaine de milliards d’euros par an.
Pendant ce temps, le chômage et la pauvreté prospèrent, les services publics se dégradent, quand ils ne sont pas privatisés ; car il faut bien soustraire au circuit économique l’argent nécessaire au financement de cette gabegie.
Oui, il faut bien administrer le pays, mais pas au bénéfice d’une caste profiteuse et dispendieuse à outrance, et encore moins au détriment de ceux qui créent la richesse.
La richesse de notre pays, ce sont les PME/PMI et leurs salariés, les artisans, les chercheurs, les enseignants, les personnels de la santé, les services (transport, énergie, télécom, etc.)
Mettre un terme à gabegie de l’administration, c’est la possibilité de redistribuer 100 milliards d’euros, chaque année, au profit d’actions autrement plus nécessaires à la population que des études statistiques ou des rapports sur les secteurs d’activités d’importance vitale ou sur la stratégique de la sécurité des systèmes d’information.
« Pourquoi personne n’a jamais rien fait de tel ? »
Qui sait ? Peut-être que quelqu’un l’a déjà fait mais qu’il n’y a aucune publicité autour.
En tout cas, cette bonne idée n’est pas nouvelle.
Hackons la démocratie ! /
DemocracyOS
@fred.foyn
Oui, Dupont-Aignan est un vrai parasite de la république.
Il ne fait que de la communication, s’incruste dès qu’un journaliste est aux abords et vit très confortablement au crochet des contribuables.
D’ailleurs, Yerres, dont il est le maire, détient la palme nationale de la ville où la pression fiscale est la plus élevée.
Quant à ses résultats aux élections, s’il conserve son poste de maire, c’est que l’abstentionnisme est élevé (38,5%) et que les autres candidats sont des plus médiocres. En définitive, il n’obtient guère plus de 45% des voix des électeurs.
Son seul levier pour redresser la France, c’est l’impôt massif tel qu’il le pratique dans sa commune.
Dupont-Aignan : L’archétype de l’énarque incapable et profiteur, qui n’a jamais travaillé de sa vie et pour qui la France c’est l’Administration et vis-et-versa.
En votant pour « Debout la France » nous aurions au bout du compte « La France à genoux ».
Le sujet est bien posé dans le temps, l’espace et la psychologie : « Autres temps autres mœurs ».
Les politiques qui se veulent réfléchies et maitrisées dans la poursuite d’un but déclaré, ressemble à un vol d’étourneaux ou un banc de sardines qui évolue sans conscience au gré de la moindre perturbation.
Certains prédateurs savent en tirer parti.
@Zolko
Pourquoi : « anarchie mais organisée » ?
Le mot « anarchie » a toujours été galvaudé par ceux qui défendent toute forme de dictature, comme celle que nous vivons aujourd’hui en France. On emploie ce mot au sens de « désorganisation », « chienlit » (comme aurait dit de Gaulle) mais c’est un tort.
« Bien sûr il y a aussi de nombreux élus exempts des comportements regrettables exposés ci-dessus. »
Il y a de nombreux élus exempts, parce qu’il y a de nombreux petits villages où les maires sont au même niveau que le reste de la population… mais dès que l’on considère les maires des villes importantes, les députés, les présidents de conseils régionaux et autres élus des hautes sphères politiques, la corruption est partout.
Ceux qui accompagnent cette corruption et garantissent l’impunité sont les hauts fonctionnaires. En particulier, les énarques qui gangrènent la justice, la police, l’économie, etc. assistés par les petits fonctionnaires auxquels ils imposent une conduite servile.
D’ailleurs, ces énarques ont tout prévu, jusqu’à la loi n°83-634 du 13 juillet 1983, qui vise à protéger les agents de la fonction publique, dans l’exercice de leur fonction, contre la vindicte des citoyens.
http://social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/protection_juridique_agents_face_agressivite_et_ violence_delphine_jaafar.pdf
Les agents attaché au ministère des finance sont particulièrement protégés, tant l’argent a de multiples propriétés, du financement de la gabegie à la répression par l’asphyxie financière des citoyen un peu trop rebelles.
http://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/carrieres_et_parcours_professionnel/circu laires/C_20080505_NFP2158.pdf
Tant que l’ENA existera, il y aura toujours cette mafia interministérielle, qui se prolonge jusque dans les préfectures et les tribunaux ; qui prône l’autorité absolue de l’Etat et protège par tous les moyens les innombrables privilèges de l’aristocratie républicaine.
De bonnes propositions en effet pour la plus part, propre à combler le gouffre, en terme d’équité, de solidarité et de responsabilité, entre l’administration (de la base au sommet) et le secteur privé.
« Comment rivaliser avec ces entreprises multinationales, comment des travailleurs peuvent ils faire le contre poids au regard de ce que coûte les frais d’avocats et de justice ? »
Hélas, la justice ne profite pas uniquement aux grandes entreprises ; elle profite à tous les « grands », y compris l’Etat.
« De nos jours, il est spectaculaire de constater que la condamnation d’un haut fonctionnaire, d’un homme politique, […] est devenu pratiquement impossible. »
Ceux qui ont du se pourvoir contre l’administration pour faire respecter leur droit, savent que la procédure peut durer des années et que leur seule chance d’avoir gain de cause est d’arriver jusqu’à une justice supranationale : la Cour européenne des droits de l’homme. Dans l’intervalle, s’ils y sont parvenus, ils auront été ruinés.
Lorsqu’on a le droit pour soi, perdre un procès contre une grande entreprise est explicable (inégalité de moyens notamment), à défaut d’être acceptable ; perdre contre l’Etat est un scandale car cela souligne la collusion patente entre la justice et l’administration.
@Fifi Brind_acier
Réponse un peu facile.
Il y a surpopulation de fonctionnaires dans les administrations.
Je doute fort que quiconque se plaigne d’une surpopulation dans le domaine de la santé…
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération