Regardez quels sont les réels actionnaires de la presse et les subventions versées à la presse... vous aurez un début de réponse.
Quant à cette histoire, elle ressemble de plus en plus à un pot de confiture astucieusement mis devant un politique ambitieux, qui n’a pas pu résister à y tremper le bout des doigts... puis à une belle mise en scène. L’erreur du ou des piégeurs est de ne pas avoir su s’arrêter car l’analyse des ingrédients du pot risque de se retourner contre eux
La réalité, qui apparait progressivement, est que les politiques continuent de se saborder, et ce qui est bien plus grave, de massacrer ce qui reste de notre démocratie.
Dans cette histoire, il apparaît, à postériori, que le point majeur est la collusion des médias papiers sur le sujet. Le fait est que cette presse accepte très mal internet (d’ailleurs comme le ou les pouvoirs qui nous distillent la bonne pensée), alors elle s’est mis sous la bannière officielle et a fait l’énorme erreur de traiter les internautes de fachos.
Vous avez raison, ce qui a pu apparaître comme un pénultième affrontement politique, n’est pas un combat « Gauche-Droite » ... mais devient un combat de maîtrise de l’information, ce qui, tant qu’Internet ne sera pas « réglementé », sera un souci majeur des gouvernants et des groupes d’influence.
Exemplarité d’un raisonnement qui place le repentir et le devoir de réinsertion au dessus de toutes autres considérations, qui corresponds au consensus social qui a prévalu jusqu’à ce jour dans ce pays et qui est l’héritage de siècles de traditions religieuses (la rédemption par le repentir : confession et absolution).
Ce qui change aujourd’hui, c’est qu’une partie de la société réclame une autre approche. L’approche dans le monde « occidental », qui prévalait jusqu’à maintenant, avait été mise en avant par la primauté des devoirs envers elle et ce en réaction en très grande partie contre le communisme, le socialisme, etc....
Jusqu’en 1989 (chute du mur de Berlin), il y avait ce rempart qui « temporisait » la préférence de notre société qui privilégiait l’individu sur les devoirs envers la société ; après cette date, l’équilibre a été rompu et a poussé à l’extrême les droits de l’individualisme.
Votre analyse très factuelle ne tient pas en compte que c’est ce point qui est en train d’être remis en cause et qu’il n’est plus acceptée par un nombre grandissant de personnes qui réclament plus de poids aux « devoirs » envers la société et donc des réparations à ce qui est un préjudice pour le consensus du corps social.
Le tourisme sexuel est un crime contre l’humanité. Il est d’autant plus grave quand il est le fait de personnes qui le pratiquent en le sachant.
Le repentir répare-t-il le crime fait à la société ?, c’est là toute la question, et ce n’est pas la moindre.
Notre société occidentale est empreinte de cette idée de repentir de l’individu et la privilégie au détriment de l’évaluation du mal fait à la société et à la réparation qui lui est du.
C’est ce point qui est remis en cause et fait aujourd’hui débat
pour qu’il ait une retraite de ministre, il faut qu’il tienne encore quelque mois ...
Devant la dérive de la société française, cette initiative n’est pas la première ( la prime automobile à la casse et les niches fiscales sont de fait d’une nature assez proche) et risque de faire tache d’huile : les exemples peuvent être multiples : incitation pécuniaire à aller voter, gratification pécuniaire pour aller se faire vacciner, etc...
Sur un autre site j’ai employé incidemment le mot « alzheimer » au sujet de la mémoire du Président et j’ai fait remarquer, sans aucune polémique, que rien ne prévoyait dans la constitution que la santé « mentale de nos dirigeants » ne fasse pas l’objet de contrôle comme leur santé physique ... j’ai reçu un mail d’avertissement et on m’a signifié que mes propos pouvaient être répréhensibles (?) ... et qu’en conséquence ON censurait la totalité de ma prose.
Autant vous dire que je trouve normal et sain que votre article passe en entier ... continuez
N’oubliez pas la colossalle dette des collectivités publiques américaines refinancées par les ARS (dettes à plus de 50/70 ans financées sur le court terme par adjudication et non sur le long terme .......qui est aujourd’hui insolvable avec un refinancement avec un taux normal long terme).........ce n’est pas à priori du "privé"
Il n’y a pas de taux optimal de prélevement, mais il existe bien un taux maximum de prélevement. Ce taux maximum de prélévement psychologiquement accepté est d’ailleurs différent pour chaque acteur économique. selon, ses propres perceptions et analyses : chaque acteur économique "optimise" son degré de satisfaction.
Depuis plus de 30 ans, le contexte international lui permet de "localiser" ses gains et d’optimiser ses recettes. Pour la France, c’est fait pour toutes les grandes sociétés qui ont toutes utilisées notamment le marché des futures pour localiser en toute légalité dans un pays "accueillant" leurs recettes. Les moyennes sociétés et les gros "contribuables" sont se sont, eux-aussi, progressivement protégès.
Tout celà pour dire, qu’une énorme partie de la richesse créée en France ne rentre pas dans les comptes de la nation. et que chaque année c’est un peu plus de richesse qui s’en va..et ne viendra pas "aider" à résorber le poids de la dette. La responsabilité en incombe bien à la fiscalité française et , autre volet peut-être à analyser, à la "perception" que les acteurs économiques ont de l’UTILISATION des fonds de cette fiscalité.... Alors, sauf à changer complétement de politique et tant que "consensus social perdurera", l’ascencion du poids de la dette dans les comptes de la nation continuera... ou au mieux se stabilisera.
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