@Octave Lebel
Copié-collé : « Vous êtes un partisan de l’UE en l’état parce que cela convient à vos convictions et intérêts, c’est plus simple de le dire parce que tout le monde comprend. »
Mais ma parole, vous avez fumé la moquette ? Je comprends maintenant vos approximations.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/23-avril-7-mai-11-juin-18-juin-190539
https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/jean-luc-melenchon-desavoue-par-le-198321
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gope-la-politique-economique-et-191605
@Octave Lebel
La seule chose qui vaille c’est de comprendre que des transferts massifs de souveraineté ont été transférés à l’Union européenne.
Dans ces conditions, « tous les partis politiques » qui ne prônent pas une sortie de l’Union européenne sont vendus à celle ci. Ces partis là sont « anti-Peuple » !
@Octave Lebel
Vous n’êtes pas fatigué de racontez des sornettes ? Copié-collé : « À nous de voir si cela suffit à nous contrôler , nous diviser et nous abuser encore longtemps en nous dissuadant de vouloir mettre en place une démocratie de citoyens correctement informés, respectés et avec les moyens de l’être. Se réclamant d’un partage équitable des richesses produites de façon responsable. »
Et ceci, évidemment, en restant dans l’Union européenne ? Et ceci, évidemment, avec l’obligation de manger son chapeau devant les compétences « exclusives » de l’UE et des compétences « partagées », mais « partagées seulement si l’UE le souhaite ».
Vous vous moquez de qui Octave Lebel ? Vous n’avez pas honte ? La « supranationalité » de l’Union européenne est inscrite dans la Constitution française !
e@Francis, agnotologue
Tout simplement en régulant sa consommation de glucides, quels qu’ils soient, quelle que soit leur origine. Généralement : les céréales (le pain, les gâteaux, les pizzas, les biscuits, les pâtisseries), les féculents, les pommes de terre, les patates douces, le riz (enfin tout ce qui contient de l’amidon qui n’est rien d’autre que de longues chaînes de glucose), toutes les boissons sucrées, et même les fruits.
Le glucose, dans le passé lointain, celui de nos ancêtres du paléolithique, était très rare et difficile d’accès. Le glucose était donc une molécule « précieuse » pour l’organisme. C’est ainsi que lors de la filtration glomérulaire (rénale), le glucose est réabsorbé jusqu’à un taux sanguin de 1,8g/l. Au delà, les reins laissent partir le glucose dans les urines et ne le réabsorbent plus. C’est ainsi que les grands mangeurs de glucides se retrouvent avec du glucose dans les urines. Autrefois, les médecins « jugeaient » de la glycémie de leurs patients en « gouttant » l’urine. Si elle était sucrée, les problèmes étaient sérieux.
Il ne s’agit pas de ne plus manger de glucides. Il faut continuer à se faire plaisir (le « sucre » attise les centres de plaisir). Ce qu’il faut éviter, absolument, à tout prix, ce sont les pics de glycémie, ce sont les « excursions glycémiques ». Il faut considérer les mets sucrés comme une exception et en tirer une grande satisfaction, lorsque l’occasion se présente. C’est un choix de vie pour préserver sa santé. Mais, si l’on pense « nutrition intégrative », il est possible de très bien manger, d’en tirer beaucoup de plaisir et de vieillir en excellente santé, sans aucune pathologie, strictement aucune.
@charlyposte
L’eau Rozana n’est pas la plus salée du marché. La « Saint Yorre » est particulièrement chargée en sodium.
Mais le sodium n’est pas du tout un problème. L’organisme sait réguler la teneur de ses liquides corporels en sodium. L’excès de sodium consommé, soit à travers la boisson, soit à travers de l’alimentation, est excrété par les urines sans aucune difficulté.
Mais il existe un « problème ». Un problème chez « certaines personnes ». Les personnes qui consomment un peu trop, et un peu trop souvent, de glucose à travers les glucides. Parce que les reins réabsorbent le glucose jusqu’à des seuils très élevés. Et pour réabsorber ce glucose des transporteurs « spécifiques » sont mis à contribution par les reins. Les célèbres co-transporteurs « glucose-sodium », SGLT1 et SGLT2 (Sodium-Glucose-cotransporteurs).
Comme l’organisme veut absolument récupérer le « glucose », les co-transporteurs du « glucose-sodium » sont mis à contribution pour ramener le glucose dans le circulation sanguine. Du sodium est alors également réabsorbé, par ces co-transporteurs. C’est donc la mise à contribution de ces co-transporteurs « glucose-sodium », par la présence d’une quantité trop importante de glucose sanguin, qui fait « monter la pression ».
Parce que, lorsque l’organisme réabsorbe le sodium, parce qu’il « doit » réabsorber beaucoup de glucose, le pression sanguine va monter. Et pourquoi ? Parce que, physiologiquement, l’eau suit « toujours » le sel. Et lorsque le sang sera chargé de sodium, par un mécanisme physiologique, il devra réabsorber de l’eau. Et ceci provoque une augmentation de la pression sanguine. Et chez les personnes qui ont déjà un problème avec leurs vaisseaux sanguins, qui ont déjà développé de l’hypertension, cette augmentation de la pression sanguine n’est pas du tout, du tout, du tout, la bienvenue. Ce qui fait que les « recommandations » vont dans le sens d’une moindre consommation de sel ! Mais ce n’est pas le sel le problème, c’est véritablement la réabsorption de glucose. En cas d’hypertension, ce n’est pas le sodium alimentaire qu’il faut surveiller, mais la quantité de glucose consommée. Sans consommation excessive de glucose, les co-transporteurs « glucose-sodium » ne seront pas mis à contribution, le sodium ne sera pas réabsorbé, il sera excrété par les urines. C’est mécanique !
@Legestr glaz
Les niveaux de pollution atmosphérique sont particulièrement élevés dans la partie septentrionale de la France. Pas d’activité en plein air durant cet épisode.
Consultez les sites mentionnant la qualité de l’air -AQI-, pour vous rendre compte du niveau de la pollution dans votre environnement. Celui-ci est qualifié de « mauvais » à « très mauvais » dans certaines régions. Les organismes « sensibles » doivent se protéger.
@pemile
Centrez vous sur le sujet qu’évoque cet article soit « la grippe » !
Votre imagination est fertile. Vous voyez un rapprochement entre Trump, la pollution atmosphérique et les maladies cardio-respiratoires. Moi pas.
Je vois simplement une corrélation parfaite entre pic de pollution et pic de maladies cardio-respiratoires. Il suffit d’observer la situation en France depuis quelques jours.
Je vous ai connu en meilleure forme pemile. La réalité observable vous fait du mal. Les mensonges arrivent maintenant à la surface. Vous allez vous en remettre ! Que deviendrait ce site sans vos outrances ?
@Legestr glaz
Episode de pollution : trois départements placés en alerte en Occitanie ce dimancheUn important épisode de pollution aux particules en suspension se poursuit en Occitanie ce dimanche 19 janvier 2025. Trois départements sont en vigilance.Bientôt la fin d’un épisode qui aura duré quatre joursà Toulouse. Selon l’Atmo Occitanie, observatoire agréé, la qualité de l’air devrait enfin s’améliorer à partir du lundi 20 janvier 2025.
En attendant, la vigilance est de mise pour trois départements occitans : la Haute-Garonne et le Tarn-et-Garonne où la procédure d’alerte est toujours en vigueur, ainsi que les Hautes-Pyrénées. Dans ces trois territoires, l’Atmo Occitanie signale un épisode de pollution aux particules en suspension (PM10) pour ce dimanche.
@Legestr glaz
Épisode de pollution atmosphérique par PM2.5 en Ille-et-Vilaine
En raison des prévisions de dégradation de la qualité de l’air ambiant, indiquant un niveau élevé de PM10, la procédure d’alerte est activée pour l’ensemble du département.
Cet épisode de pollution est imputable à la combinaison de conditions météorologiques favorables et de l’accumulation de polluants dans l’atmosphère due aux particules fines provenant notamment des vieilles cheminées à foyer ouvert et d’une émission toujours importante du transport routier.
Au regard du dépassement des seuils fixés par les réglementations françaises et européennes et afin de protéger les bretilliens, le préfet d’Ille-et-Vilaine a pris un arrêté mettant en place des mesures réglementaires visant à limiter l’épisode de pollution, en complément des recommandations sanitaires et comportementales émises lors du déclenchement de la procédure d’information recommandation.
À compter du mercredi 15 janvier 2025 de 6h00 à 20h00, la vitesse maximale autorisée sur l’ensemble du réseau routier et autoroutier du département est abaissée de 20 km/h :
Cette mesure est affichée sur les panneaux à messages variables disponibles. Des contrôles de vitesse seront réalisés sur les axes concernés.
@Legestr glaz
Levée de vigilance : épisode de pollution de l’air aux particules fines dans le Puy-de-DômeLevée de vigilance : épisode de pollution de l’air aux particules fines
M. Joël MATHURIN, préfet du Puy-de-Dôme, lève la vigilance de l’épisode de pollution atmosphérique aux particules fines sur le département du Puy-de-Dôme, par arrêté préfectoral, ce dimanche 19 janvier 2025. À compter de cette date, les mesures prises par arrêté du 15 janvier 2025 ainsi que les recommandations sanitaires et comportementales ne sont plus actives.
Un pic de pollution aux particules fines s’était installé dans le département du Puy-de-Dôme, depuis le mercredi 15 janvier 2025. Le seuil d’alerte de niveau 1 ayant été franchi, M. Joël MATHURIN, Préfet du Puy-de-Dôme, a pris un arrêté instituant une liste de mesures d’urgence pour répondre de manière spécifique à ce pic et réduire les émissions de polluants, ce mercredi 15 janvier 2025.
Les niveaux de particules sont en baisse et la qualité de l’air s’améliore, ce dimanche 19 janvier 2025, selon les données d’ATMO Auvergne-Rhône-Alpes. Les conditions météorologiques sont propices à l’amélioration de la qualité de l’air.
De ce fait, l’épisode de pollution de l’air prend fin dès aujourd’hui, dimanche 19janvier 2025.
@Legestr glaz
Particules fines : vigilance rouge mardi en Alsace et Haute-Savoie
Une alerte à la pollution aux particules fines, soit vigilance rouge, a été émise pour la journée de mardi dans les deux départements alsaciens et dans la vallée de l’Arve (Haute-Savoie), ont indiqué les autorités lundi.
« Cet épisode de pollution de type +Combustion+ se caractérise par une concentration en PM10 (des particules fines, NDLR) majoritairement d’origine carbonée (issues de combustion de chauffage ainsi que des moteurs froids des véhicules) », selon l’organisme de mesure de la qualité de l’air Atmo Grand Est.
« Avec les conditions hivernales de ces derniers jours (inversions de température nocturne, peu de vent, températures négatives), les particules fines se sont accumulées progressivement sur la région », ajoute l’organisme de contrôle.
Le Bas-Rhin et le Haut-Rhin sont déjà en vigilance orange (seuil d’information et recommandations) lundi.
« Un retour à la normale est néanmoins prévu à compter du mercredi 22 janvier avec l’arrivée progressive par l’ouest d’une perturbation atmosphérique amenant pluies et vent sur son passage, ce qui permettra de lessiver et disperser les particules présentes dans l’air », note Atmo Grand Est.
Cet épisode de pollution implique des recommandations sanitaires, comme le fait d’éviter les activités physiques et sportives intenses, ou encore d’être vigilants vis-à-vis des personnes vulnérables ou sensibles.
En Haute-Savoie, la vigilance rouge est activée à partir de mardi en vallée de l’Arve, a indiqué la préfecture du département.
Cette zone, qui s’étend de Chamonix jusqu’aux limites du Pays Rochois, encaissée entre deux massifs, est particulièrement vulnérable au phénomène dit d’« inversion de températures », lorsque l’air froid reste bloqué sous un air plus chaud, lequel forme un « couvercle » empêchant les polluants de se disperser en altitude.
Des mesures réglementaires sont mises en place jusqu’à la fin de l’épisode, notamment l’interdiction d’utiliser des chauffages individuels au bois d’appoint ou d’agrément, la réduction de la température de chauffage des bâtiments à 18 degrés ou encore l’abaissement de la vitesse à 70 km/h pour les vitesses supérieures ou égales à 80 km/h, précise la préfecture.
@cevennevive
MercI.
C’est pour des personnes comme vous que je prends le temps de poser quelques informations. Après, tout ce que j’écris reste vérifiable. Je ne suis qu’un modeste « analyste », au sens « intégrateur de connaissances », de données brutes laissées dans l’ombre et le plus souvent ignorées.
Un fossé immense sépare la médecine conventionnelle, ou allopathique, de la médecine holistique. Plusieurs facteurs peuvent altérer la santé mais l’un d’entre eux, l’une de nos constantes physiologiques, à savoir « l’équilibre redox » joue un rôle majeur dans la santé et la maladie. Il faudrait un livre pour expliquer tout ceci.
@pemile
A côté du sujet.
Vous nous parleriez de l’épisode de pollution atmosphérique que connait la France depuis plusieurs jours, laquelle provoque la saturation des hôpitaux ?
Voici ce que l’on peut lire : «
Janvier 2025 : Tension sanitaire extrême, Conséquence d’une insuffisance d’anticipation et de pilotage ?Le syndicat Samu Urgence de France dénonce une mauvaise prise en charge des patients en raison de la forte épidémie de grippe qui frappe le pays depuis plusieurs semaines. Selon une nouvelle enquête menée début janvier, 30% des établissements hospitaliers ont déclaré des incidents graves, consécutifs aux surtensions de l’épidémie de grippe."...
Alors que les niveaux de pollution atmosphérique atteignent des niveaux dangereux, voire très dangereux, c’est la grippe qui conduit les malades dans les services d’urgence. Nous vivons dans un monde formidable, n’est-ce pas pemile !
@Francis, agnotologue
Non, l’huile d’olive est « mono-insaturée », c’est à dire une seule insaturation. Elle est, par conséquent, beaucoup plus stable que les huiles « polyinsaturées » (avec plusieurs insaturations). Malgré tout, l’huile d’olive est « moins stable » que le gras saturé, comme le beurre, l’huile de coco (merveilleuse), le suif ou le saindoux.
Puisque je suis d’origine bretonne, j’ai fait quelques recherches spécifiques en réfléchissant au fait que mes ancêtres du bord de mer n’avaient pas du tout accès à l’huile d’olive et donc, n’avaient pas accès au « régime méditerranéen ». Mais alors, comment faisaient-ils pour rester en bonne santé ? Ils consommaient du beurre et du saindoux (la graisse de porc). Et l’explication est la suivante.
L’organisme humain possède un système enzymatique qui lui permet de transformer le gras saturé en gras monoinsaturé. Et ceci à la demande. Pour faire simple : l’organisme humain sait transformer le saindoux en huile d’olive ! (l’explication plus complexe : il existe des enzymes « élongases » (élongase des acides gras) et des enzymes « désaturases » (acide gras Δ9-désaturase) qui permettent, d’une part, d’allonger la chaine carbonée d’un acide gras saturé (comme l’acide palmitique à 16 atomes de carbones) et de le désaturer ensuite (en y introduisant une insaturation). Et l’organisme fait de même avec l’acide stéarique (acide gras saturé à 18 atomes de carbone) en le désaturant.
Ainsi, l’acide palmitique et l’acide stéarique peuvent être « convertis » à la demande, par l’organisme, en acide oléique (acide gras à 18 atomes de carbone et une insaturation. C’est tout simplement l’acide gras le plus abondant dans l’huile d’olive).
Mais, de ceci, vous n’entendrez pas beaucoup parler. Bien au contraire, il est d’usage de tirer à boulets rouges sur le gras saturé. Un non sens absolu ! Une hérésie devrais-je écrire.
@pemile
A côté du sujet. Vous repasserez. Commentaire insignifiant.
@PaulAndréG (PàG)
Je prends connaissance de votre lien, extrait :
... « Pour avoir une alimentation variée et équilibrée, il est recommandé de manger de tout mais en quantités adaptées. Pour cela, vous pouvez vous reporter aux recommandations alimentaires : Augmenter les fruits et les légumes, les légumes secs,Aller vers les féculents complets, l’huile de colza ou de noix… ;Réduire les boissons sucrées, les aliments gras, sucrés, salés et ultra-transformés, la viande hors volaille… et privilégier les plats faits maison.
Des incohérences et un alignement sur des »recommandations alimentaires« totalement folles. Actuellement ces »recommandations« demandent aux populations de tirer leur énergie depuis 40% à 60% des glucides ! Une totale hérésie ! Quant aux huiles de colza ou de noix, ce sont des bombes à retardement. Ces huiles »polyinsaturées« sont très très sensibles à l’oxydation et subissent la peroxydation lipidique.
Par ailleurs, les aliments »gras" ne sont pas du tout un danger. Les acides gras saturés, de qualité, sont même extrêmement bénéfiques à l’organisme.
@PaulAndréG (PàG)
Je ne suis pas « docteur ».
Pour la vitamine C, vous prenez du jus d’argousier d’origine biologique. Deux effets : l’un sur votre santé et l’autre sur une production artisanale que vous favorisez.
Vous pouvez également consommer de l’eau « Rozana » très riche en soufre, ce qui favorisera la production de glutathion, ce très puissant antioxydant qui fait défaut dans les organismes à l’immunité altérée. Tous les choux contiennent aussi beaucoup de soufre et de la vitamine C. A condition d’éviter une cuisson prolongée. Il faudrait donc boire l’eau de cuisson où la vitamine C s’est diluée. Une bonne soupe poireaux/choux/oignons c’est de la bombe pour la vitamine C, mais pas trop cuite à l’excès.
Je parlais, évidemment, de faire appel à l’industrie du médicament pour la NAC ou la vitamine E, mais en situation d’urgence. Mais pour une immunité solide, c’est au quotidien qu’il faut agir. Ainsi vous trouverez avantage à consommer des poissons gras ou des oeufs, ou de la viande de pâturage, riches en vitamine E, bien plus « bio disponibles » que la vitamine E végétale. C’est une réalité biologique.
@pemile
Visiblement vous ne connaissez pas le sens des mots. Mais la réalité biologique est bien celle là : les maladies cardio-respiratoires, en automne-hiver, affectent « l’équilibre redox » dans les voies respiratoires. Si vous ne le savez pas, je ne peux rien pour vous. D’ailleurs, ce n’est pas à vous que je m’adresse, mais aux personnes de bon sens qui peuvent aller vérifier ce que j’écris !
Donc, pemile, si vous croyez à l’efficacité vaccinale, allez vous faire vacciner. Ceux qui pensent « déséquilibre redox » auront intérêt à se supplémenter en molécules antioxydantes. Plusieurs études scientifiques en parlent d’ailleurs, comme celle-ci, décembre 2020 (extrait) :
... « Il existe un nombre limité de thérapies éprouvées pour le COVID-19. Les effets antioxydants, anti-inflammatoires et immunomodulateurs de la vitamine C en font un candidat thérapeutique potentiel, à la fois pour la prévention et l’amélioration de l’infection au COVID-19, et comme thérapie d’appoint dans les soins intensifs du COVID-19.
Cette revue de la littérature se concentre sur la carence en vitamine C dans les infections respiratoires, y compris la COVID-19, et les mécanismes d’action dans les maladies infectieuses, y compris le soutien de la réponse au stress, son rôle dans la prévention et le traitement du rhume et de la pneumonie, et son rôle dans le traitement de la septicémie et du COVID-19.
... Les preuves à ce jour indiquent que la vitamine C orale (2 à 8 g/jour) peut réduire l’incidence et la durée des infections respiratoires et il a été démontré que la vitamine C intraveineuse (6 à 24 g/jour) réduit la mortalité, unité de soins intensifs (USI ) et séjours hospitaliers, et le temps sous ventilation mécanique pour les infections respiratoires graves.
D’autres essais sont nécessaires de toute urgence. Compte tenu du profil d’innocuité favorable et du faible coût de la vitamine C, ainsi que de la fréquence des carences en vitamine C dans les infections respiratoires, il peut être intéressant de tester le statut en vitamine C des patients et de les traiter en conséquence par administration intraveineuse dans les USI et administration orale chez les personnes hospitalisées atteintes de COVID -19.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33297491/
Quant à l’exercice illégal de la médecine, il serait intéressant de comprendre les recommandations de »rester chez soi, prendre un doliprane« et attendre que les choses se tassent ! Et puis, si les choses ne se passent pas bien, le rivotril est prescrit pour soulager les souffrances. C’est donc cette médecine là que défendez pemile ?
Et je vais mettre les points sur les »i« avec ce document :
... Les études épidémiologiques ont mis clairement en évidence les relations entre maladies respiratoires et pollution atmosphérique. Deux polluants majeurs : l’ozone et les particules atmosphériques sont associés à l’aggravation de ces pathologies.
... Leur toxicité passe en grande partie par des mécanismes d’action communs réunis sous le terme de stress oxydant. L’importance du stress et la spécificité des réponses résultent d’interactions complexes entre pro- et anti-oxydants, et conduisent à des stratégies cellulaires différenciées.
... Des niveaux hiérarchiques de réponses biologiques : adaptation, inflammation, lésions, peuvent être déterminés en fonction de l’agression oxydante et des capacités antioxydantes individuelles.
... La prise en compte dans le domaine réglementaire du pouvoir oxydant des polluants atmosphériques, en particulier celui des particules ultrafines, pourrait permettre une meilleure évaluation du risque pour la santé. »...
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2007/07/medsci 2007235p497/medsci2007235p497.html
L’ignorance et/ou le maintien délibéré dans l’ignorance ont des conséquences gigantesques.
@C’est Nabum
Pour se soigner le plus efficacement possible, ou pour ne pas tomber malade, il faut soigner son « équilibre redox » en lui apportant des antioxydants. Les plus « biodisponibles » sont la vitamine C, la vitamine E, la NAC, le bleu de méthylène, l’hydrogène moléculaire.
Pour mémoire :.... « L’impact de la pollution atmosphérique sur la santé humaine reste une préoccupation mondiale majeure. Les études épidémiologiques ont systématiquement identifié la pollution atmosphérique comme étant associée à une augmentation de la morbidité et de la mortalité. Divers polluants atmosphériques, notamment les particules fines et ultrafines, l’ozone, les oxydes d’azote, les hydrocarbures aromatiques polycycliques et les métaux de transition, peuvent agir comme initiateurs de radicaux libres générant des espèces réactives de l’oxygène (ROS), qui attaquent directement l’ADN cellulaire. Le stress oxydatif, qui résulte du déséquilibre entre la production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) et les enzymes antioxydantes, peut induire des lésions des tissus, des lipides, des protéines et des acides nucléiques et joue donc un rôle essentiel dans les maladies liées à l’environnement chez l’homme, notamment le cancer, l’asthme, les maladies respiratoires et l’artériosclérose.
... Notre corps est normalement bien protégé contre les attaques continues d’agents pathogènes et les agressions nocives grâce à un système immunitaire complexe et intégré. Cependant, le bombardement quotidien de polluants de l’air intérieur et extérieur peut nuire à la fonction immunitaire et finalement conduire à des infections (par exemple, infections aiguës des voies respiratoires, diarrhées) et à des affections telles que l’apparition d’un syndrome de malaise (avec symptômes muqueux, coupés et généraux). Nous pouvons tous être exposés par une qualité de l’air réduite, même si certains facteurs augmentent le risque d’affaiblissement de l’immunité (par exemple, un âge jeune ou avancé, l’exposition à la fumée du tabac, la proximité de zones à forte pollution atmosphérique, le travail de bureau, les déplacements domicile-travail). La nutrition est un facteur exogène majeur modulant la fonction immunitaire. même des carences subcliniques en divers nutriments peuvent avoir des effets néfastes sur le système immunitaire, qui peuvent être exacerbés par les menaces environnementales.
... En particulier, l’équilibre oxydant-antioxydant (vital pour la communication au sein du système immunitaire) peut être affecté. Les suppléments alimentaires peuvent aider à restaurer la fonction immunitaire à un niveau normal, et il a été démontré qu’un supplément multivitaminé contenant des antioxydants atténue les symptômes du syndrome des bâtiments malsains, des infections aiguës des voies et de la diarrhée respiratoire. Cette revue examine l’impact d’une qualité de l’air réduite sur l’équilibre oxydant-antioxydant et le rôle de certains micronutriments (vitamines A, D, E, C, B6, B12, folate et oligo-éléments cuivre, fer , sélénium et zinc) et supplémentation en multivitamines. »...
Mais comme les « virus » et la « vaccination » dominent de la tête et des épaules les débats, les méfaits de la pollution atmosphérique passent au second rang, la corrélation parfaite entre pic épidémique et pic de pollution étant cachée au grand public.
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