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Les commentaires de Bella Ciao



  • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:30

    @CN46400
    Cessez-le-feu, et indépendance reconnue : 1962

    La Bataille d’Alger (Gil Pontecorvo) 1970
    Avoir vingt ans dans les Aurès (René Vauthier) sorti en 1966 mais autorisé seulement en 1971
    Le vent des Aurès (du réalisateur algérien Lakhdar Amina) : 1972
    La guerre d’Algérie (Yves Courrière) : 1972
    RAS (Yves Boisset) : 1973
    Récemment (2007) : L’ennemi intime.

    Il y a eu beaucoup d’autres films soit directement sur cette guerre, soit avec cette guerre en arrière plan. Il y a déjà eu des émissions du genre de celle-ci (avec parfois débats suivant la projection)...



  • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:14

    Oui, mais aussi plus récent : L’ennemi intime.



  • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:12

    @jymb
    Je suis moins catégorique que vous et j’ai aussi entendu parler de soldats découpés à la hache, de victimes du « sourire kabyle »...
    Cela dit, il y avait un double risque : celui du manichéisme, celui du seul filtre de ces témoins interviewés.



  • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:04

    @jymb
    Je ne sais pas si cette émission avait l’ambition d’embrasser réellement ces huit années et toute la toile de fond de cette guerre. D’ailleurs il y a peu de repères historiques saillants (pas de « bataille d’Alger », pas de janvier 60 avec les barricades...) mais des faits-clés suggérés : par exemple la visite de De Gaulle implique qu’il y a eu le 13 mai 1958, que la 4ème est tombée.
    Personnellement, j’ai pensé que la guerre ainsi racontée est celle vécue (là où ils étaient) et mémorisée par ces quelques personnes interrogées.



  • Bella Ciao 5 novembre 2019 16:56

    @CN46400
    Effectivement, le cas que vous citez du caporal n’affichant pas ses chevrons de couleur (étonnant, d’ailleurs !) mais qui devient particulièrement obéissant comme sergent est surprenant et choquant. Mais il montre en même temps tout à la fois nos contradictions individuelles au sein d’un collectif lui aussi bourré de contradictions et les conséquences d’actes perpétrés par l’adversaire, soit directement connus, soit racontés par les officiers de l’action psychologique...



  • Bella Ciao 1er mars 2019 12:15

    @rogal

    Il y aurait ou il y a une suspicion de cancérogénicité, cela après étude de moult documents...



  • Bella Ciao 1er mars 2019 12:13

    @eau-du-robinet

    Avec Dewayne Johnson, ce sont le Roundup et le Ranger Pro et leur mode d’utilisation qui sont en cause. Au milieu de ces associations chimiques, que peut-on dire du seul glyphosate ?



  • Bella Ciao 15 décembre 2018 22:56

    @ l’auteur

    Inspecteur des Finances ayant pantouflé un temps chez Rothschild, formaté haute fonction publique tendance Bercy, Emmanuel Macron ne pouvait pas être candidat anti-système, et donc encore moins « le principal »... Sa candidature est partie de loin et ses rendez-vous avec ses financeurs datent de bien avant qu’il se déclare.



  • Bella Ciao 15 décembre 2018 20:50

    @wesson
    La Rocque était antinazi, ne serait-ce qu’en raison du paganisme manifeste du national-socialisme. Et il était farouchement anti-boche.
    N’ayant pas admis que de Gaulle se prétende le chef des patriotes en ayant quitté le territoire national, c’est avec les Anglais qu’en 1941 il va s’engager dans un réseau clandestin dont il fondera une « succursale » appelée Clan.
    Wesson, le choix qu’il a d’abord fait n’est justement pas clair. Ayant écrit RÉSISTANCE dans le Petit Journal, il a cependant cru un temps que Pétain, ce soldat, était un rempart, et, progressivement, bien que nanti d’un titre genre conseiller d’État, il s’est éloigné du « maréchal ». Sa déportation après arrestation par la Gestapo n’en fait peut-être pas un « héros » de la Résistance mais témoigne bien de ce qu’il a été résistant. Quant aux communistes, ils lui ont fait payer la trouille qu’ils ont eu de lui jadis (près d’un million d’adhérents au PSF en 1939, du jamais vu avant la guerre, du jamais vu depuis) en le faisant quasiment interner (Thorez vice-président du gouvernement) dans une caserne à Versailles jusqu’à sa mort en 1946...





  • Bella Ciao 31 août 2018 18:05

    @joletaxi


    Merci pour ce lien : le papier est excellent.


  • Bella Ciao 31 août 2018 15:54
    @Kent

    Aucune étude sérieuse indépendante n’a pour le moment réussi ce tour de force. Celle du CIRC est une étude bibliographique qui amène le glyphosate au niveau de la viande rouge, des boissons et aliments régulièrement déglutis trop chauds, du travail de nuit, des émanations des échappements diésel… Quant à l’étude de GE Séralini (sur rats), elle ne permet pas de discriminer de façon satisfaisante avec/sans glyphosate sur maïs « normal », avec/sans glyphosate sur maïs OGM résistant au glyphosate (même variété à la base) et d’établir les comparaisons et éventuelles corrélations prouvées. Étude qui plus est non indépendante puisque sponsorisée par Carrefour.

    En revanche, la toxicité des formulations commerciales, à commencer par les Roundup de Monsanto, est évidement à réévaluer (une bonne centaine d’herbicides base de glyphosate, toutes marques (firmes, sociétés) confondues) ; l’ANSES a par exemple ôté l’AMM de toutes les formulations contenant une tallow-amine. La dissimulation par Monsanto (« Monsanto papers ») condamnée en Californie portait sur la toxicité ; d’ailleurs le procès de Californie concerne les effets sur la peau d’un utilisateur reconnaissant n’avoir pas pris les précautions pour éviter ces contacts...


  • Bella Ciao 31 août 2018 15:33
    L’impression d’avoir expliqué au plus simple, mais pour rien…



  • Bella Ciao 31 août 2018 13:59

    2253 visites en ce dernier jour d’août.



  • Bella Ciao 30 août 2018 10:54

    @JMBerniolles


    Les OGM en culture en France, uniquement un maïs Bt (le Mon 810 de Monsanto) n’ont pas « sévi » longtemps… Le maïs Bt récolté n’était pas trié, séché et conditionné avec les maïs non Bt car sa commercialisation était réservée à un pays voisin acceptant les OGM en consommation animale (l’Espagne). Et depuis 2000 ils sont proscrits. Donc prendre du recul est absolument impossible en France.

    Restent les OGM présents dans l’alimentation, soit directs : comment les identifier ? ; soit indirects, via l’alimentation animale (sojas du continent américain) : comment les identifier ?

    Quant à l’étude de G-E. Séralini, outre les critiques de nombreux scientifiques et de statisticiens, mais là il y a controverse et encore débat…, ce qui a choqué c’est qu’elle n’était pas commercialement neutre, notamment soutenue par un grand distributeur en green-washing (Carrefour).


  • Bella Ciao 29 août 2018 10:12
    @Self con troll

    Vous me donnez l’occasion de revenir vers vous smiley

    En raison d’oublis de ma part lorsque je vous ai répondu au sujet des « robots » mais aussi parce que cette question du gros attelage piloté par GPS nécessite de ma part un complément d’information.

    Effectivement, comme vous l’écrivez, ce pourrait être la tentation d’un pilotage à distance, depuis son bureau… comme les gars qui depuis les USA ou Hawaï pilotent des drones au-dessus de l’Afghanistan ou au-dessus de la Mésopotamie. Mais, en réalité, il s’agit d’autre chose et ce qui est important dans ce que j’ai décrit réside dans l’association de la cellule GPS sur le terrain et de l’antenne sur le toit de l’engin effectuant une opération. Car cette association conduit à une résolution de l’ordre… du centimètre. C’est-à-dire qu’un tel système -et il y a de plus en plus d’exploitations agricoles équipées- évite les recoupements, les doubles doses… d’engrais (par exemple les compléments azotés en végétation), de pesticides (bio aussi bien que conventionnels), de n’importe quel intrant ; permet de piloter une irrigation plus économe en eau… Cela est appelé « agriculture de précision ». Vous me direz « tels que décrits, ces systèmes restent dans le cadre d’un modèle agricole à remettre en cause. C’est vrai MAIS toute avancée technologique de ce genre pourra être récupérée dans le cadre d’une agriculture plus vertueuse, plus acceptable, plus durable… tout en restant suffisamment productive pour nourrir une population croissante à partir de moins en moins de terres labourables et de surfaces prairiales disponibles…

    Ce qui m’amène aux drones et à mes oublis. J’ai également eu l’occasion il y a quelques années de voir les premiers drones permettant d’observer et de quasiment quantifier avec grande précision topographique l’état de parcelles de vigne subissant une attaque de mildiou. En lumière naturelle comme ne infra-rouge fausses couleurs les caméras embarquées décrivaient parfaitement l’état physiologique d’une portion de vignoble, tout comme la prévision de récolte et livraison de raisins au chai… En perspective à l’époque : faire appliquer en localisé et avec précision une éventuelle pulvérisation bas volume de pesticide (même bio)…

    Enfin, sauf à le scanner (mais…© ?), je lisais hier dans la revue Réussir Vigne un article fort intéressant sur les travaux et espoirs d’un chef de culture sur un domaine de renom en Champagne (La Malmaison à Epernay) en matière de production durable, agroécologique et même agroforestière. En attendant un quasi non-travail du sol, ce monsieur pose la question »Et si on créait un pulvérisateur autonome sur coussins d’air pour limiter les tassements ?". Et, derechef il utilise sur les tracteurs enjambeurs à roues (*) un système de télégonflage adaptant la pression des pneus à l’état du sol en fonction de l’opération à réalisée. 

    (*) Je précise à roues parce que certains sont équipés de chenilles répartissant évidemment la pression au sol...


  • Bella Ciao 28 août 2018 10:07

    @Self con troll


    Pour les robots, je suis non seulement incompétent mais surtout pas informé… En revanche il y a des agriculteurs et des mécaniciens agricoles qui phosphorent en permanence sur des solutions dont certaines peuvent avoir un avenir. Il y a un jeune maraîcher en Auvergne qui a imaginé un porte-outils léger, électrique, étroit, pouvant tourner sans grand débattement. Il a construit un prototype et il est probable qu’il intéressera un industriel… 

    Paradoxalement, l’automation est au point sur les gros matériels lourds : j’ai vu, il y a déjà six ans, de gros attelages (parcelles de 150 ha et plus et terres sableuses faciles à travailler) effectuer simultanément travail du sol, semis, dépôt d’engrais (qui peut être organique smiley ) sans… conducteur. Au sol (au centre) une cellule satellitaire relaie les transmissions GPS sur la situation très exacte de la parcelle et sur le toit du tracteur l’antenne GPS transmet le positionnement de l’attelage et reçoit les instructions de conduite et de commandes des outils en flux continu. 

    Cela étant, vous posez la question des sarments au sol. La prophylaxie par l’incinération concerne surtout l’eutypiose et les « maladies du bois » (esca, bois noir), voire la présence d’œufs d’acariens (les « araignées » jaunes et/ou rouges), voire d’autres agents infectieux en régions atteintes : nécrose bactérienne (dite maladie d’Oléron), flavescence dorée… Une prophylaxie du mildiou se résume à l’élimination des feuilles dès la fin de l’automne et éviter les flaques d’eau au sol (notamment dans les vignobles à taille basse ou en gobelets).


  • Bella Ciao 28 août 2018 00:58

    Ah bon ? 2183 visites… vesjem : je vais toucher gros, alors !!! smiley smiley smiley



  • Bella Ciao 28 août 2018 00:47
    Au bout de quelque 120 et quelques commentaires, voici que je lis ce texte de l’Académie d’Agriculture :



    et me dis que, au hasard… smiley vesjem, va se demander où, avec qui, par qui, j’en croque, je touche, j’arrondis mes fins de mois. Car cette fois-ci c’est l’Académie d’Agriculture que je cite. Combien me paie-t-elle, cette docte compagnie ? Et avec quel fric ? smiley 



  • Bella Ciao 28 août 2018 00:01
    @Self con troll

    Pour cette année, évidemment, non seulement pas de raisins mais aussi une défoliaison précoce (sans compter le massacre que j’ai opéré au sécateur pour stopper, au moins affaiblir, l’explosion de black-rot). Cela dit, pour la photo, j’ai eu tous les stades de chacune des deux maladies fongiques smiley

    Donc, perspectives : PROPHYLAXIE. Facile pour le mildiou : élimination de toutes les feuilles tombées au sol car elles sont porteuses des oosporanges (ils se forment dès le contact des feuilles en point de tapisserie encore chaudes avec les pluies orageuses froides d’août et septembre, et les refroidissements nocturnes). Plus fastidieuse pour le black-rot car les tissus chlorophylliens ont tous été attaqués (feuilles, pétioles, vrilles, rafles des raisins…) et sont porteurs de pycnides qui évolueront en périthèces en vue de la multiplication sexuée du champignon. L’ultime occasion sera la taille...

    La prophylaxie pour Guignardia bidwellii (black-rot) est d’autant plus importante qu’aucun des fongicides autorisés en bio n’est efficace. Essayer de le contrarier en traitant à la bouillie bordelaise et en pulvérisant 48 heures plus tard un soufre ? Vous me direz que rien ne m’empêche d’acheter un fongicide « conventionnel », efficace… Sauf mon pari depuis plusieurs années de ne rien pulvériser du tout. En ce qui concerne le mildiou… je pense que je passerai de mon « bio+ » à « bio » et appliquerai en préventif une bouillie bordelaise au stade d’ouverture des rosettes de feuilles (les stades D à DE des professionnels) que je renouvellerai avant les premières plies annoncées au terme de la quinzaine de jours après ce premier traitement…

    Contre la mouche de l’oignon : changer de carré (rotation) car les larves non éliminées en liquidant les bulbes malades (échalotes et oignons) sont dans le sol. En outre je suis tenté cette année de faire… de l’ail.