Ben voyons !
Tous ceux qui n’ont pas vécu dans les DOM-TOM peuvent (peut-être) être réceptif à vos arguments en faveur des pauvres expoités ulta-marins. Ceux-là peuvent sortir leur mouchoir.
Les autres, qui connaissent la réalité du terrain en outre-mer, pleurent de rire...
Le sport régional y est sans conteste la « profitation », le ciment de la socièté l’exclusion de tout ce qui n’est pas local et l’appropriation des subsides de la vache à lait métropolitaine.
Force est de reconnaître que la France, exsangue financièrement, doit renoncer à une danseuse qu’elle ne peut de toute façon plus se permettre d’entretenir.
Les populations d’Outre-mer doivent être misent au pied du mur :
Veulent-elles ou non se satisfaire des millards d’euros que le citoyens métropolitains lui octroient chaque année sans espoir d’un quelconque retour.
Si les enseignants, ingénieurs et médecins métropolitains, suppots d’un colonialiste centenaire, les insupportent, il leur faut les renvoyer dans une Métropole qui en manque cruellemment.
Un référendum s’impose dans chaque territoire ultra-marin.
Si les citoyens des Antilles ou d’ailleurs veulent être directement confrontés aux plaisir de la mondialisation, qu’à cela ne tienne, bon vent !
Si les idées manquent aux utra-marins pour s’émanciper du colonialisme français il peuvent toujours demander des conseils aux comoriens qui ont voté en 1975 à 90% pour leur indépendance.
Bon courage !