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Les commentaires de Viriato



  • Viriato 30 mars 2018 09:32

    @Christian Labrune
    Un terrorisme jihadiste qui se fait soigner en Israel quand il est blessé par l’armée syrienne.

    Un terrorisme israelien qui met en prison des enfants (Ahed Tamimi ) et qui massacre les Palestiniens et organise et appuie la destabilisation de tout le Moyen Orient. Et qui se trouve derrière les guerres d’agression impérialistes en Libye, en Syrie. 
    Car, une chose est avoir été victimes en Europe pendant les nazis, une autre est devenir oppresseurs et utiliser des méthodes fascistes pour massacrer les Palestiniens
    La bourde du CRIF, association aujourd’hui dominé par la droite raciste sioniste (Israel est le seul état constitutionnellement raciste du monde...tout ne pratiquant la discrimination des ...juifs séfarades et éthiopiens) de l’ex-militant du Bethar la seule milice armé toléré dans le pays bien que fiché S, Khalifat, aujourd’hui son président, ne peut que se retourner contre ceux qui se reconnaissent dans le judaïsme. (Notion d’ailleurs très contesté, il n’a qu’à lire Shlom Dan).
    L’antisémitisme français a des longs antécédents historiques mais aujourd’hui on ne peut pas dire que la société française soit antisémite (sauf contre les arabes...qui sont des sémites aussi) Hélas, des interventions du type de sieur Khalifat, risquent de le réveiller.



  • Viriato 11 mars 2018 19:59

    « Quel est le point commun entre Macron, le NPA, Syria Charity, Israël, Le Monde, les Frères musulmans, le Parti socialiste, BHL, Alain Juppé, Alexis Corbière, la droite, la gauche, Noël Mamère, les écolo-bobos, les atlantistes, les droits-de-l’hommistes et les gauchistes ? »


    Je me permets de corriger sur cette liste less imprécisions.

    Tout d’abord, manquent ceux qui se « placent au milieu » du type Lutte Ouvrière et/ou Mélenchon, et/ou Paul Laurent et la majorité du PCF. 
    Ils font, naturellement, le jeu de l’impérialisme US principal organisateur de ce « changement de régime » destiné à expulser les Russes de la Méditerranée, renverser le gouvernement légitime syrien qui présentait une certaine divergence ou opposition à leur politique , contrer l’Iran, dépecer la Russie, appuyer son allié sioniste.

    Mais en effet, une grande partie de « la gauche » et de la dite « extrême-gauche » ont soutenu directement ou indirectement l’impérialisme US et sa politique moyen orientale...et cela depuis le Kosovo et la Libye au moins.

    C’est une honte et une trahison manifeste. Ces gens là, qui ont abandonné tout positionnement véritablement de gauche, ressemblent à la gauche de 1914 et leur banqueroute politique se ressemble.

    Il ne s’agit pas de donner la moindre caution politique au gouvernement Assad ni à Poutine (qui a son propre agenda et parfois contre les intérêts des syriens) mais de soutenir le gouvernement d’un petit pays contre une agression d’une coalition impérialiste qui s’appuie sur des bandes intégristes hyper réactionnaires. Agression caractérisée et maintes fois dénoncée par des journalistes indépendants, des diplomates, des militaires, même par Roland Dumas.

    C’est la seule politique de gauche possible. D’ailleurs définie depuis fort longtemps dans ce que les marxistes appellent le Front Uni Anti Impérialiste. Marcher séparés des Assad et des Poutine mais frapper ensemble l’impérialisme US, ses « alliés » qui le suivent à la traine et les bandes réactionnaires qui leur servent de troupes au sol.




  • Viriato 21 janvier 2018 10:50

    @Robert Bibeau

    Je ne suis pas pour promouvoir encore une division de la région avec un état kurde, plutôt pour les états socialistes du moyen orient, entité israélienne non sioniste incluse, mais si la majorité des kurdes veulent l’indépendance nationale, je ne m’y opposerait pas. 
    Aujourd’hui certains partis kurdes sont devenus, trompés derrière leur mot d’ordre d’indépendance nationale, les pions de l’impérialisme US dans la région.
    Il se peut donc fort bien que les prolétaires kurdes se fassent exploiter par des capitalistes kurdes alliés des impérialistes. Il y a des énormes gisements de pétrole dans la région sous « contrôle » kurde.Les monopoles pétroliers US y sont déjà. 
    Cependant, les « solutions » linéaires, « directes », sans médiations ni compromis, sont d’une part le reflet de la impatience théorique des intellectuels sans connaissance de la réalité de la lutte sociale et une impasse anarcho-syndicaliste, sans syndicats, vieille de siècles.


  • Viriato 20 janvier 2018 20:54

    @Robert Bibeau
    Quelle est donc la situation concrète aujourd’hui ?


    Une région agressée, des petits pays envahis, subissant une guerre par procuration du fait de l’activité conjointe de l’impérialisme US, l’Arabie Saoudite, le Qatar, Israel ou la dite entité sioniste, avec l’appui des impérialismes du deuxième ordre, l’impérialisme français notamment.

    Manque presque total de mouvement « matérialiste dialectique prolétarien » (? ?). Si vous avez voulu dire, des partis prolétaires forts et implantés ou même existants, la réponse est la même.
    Par contre, lutte d’un petit pays contre cette agression abominable : la Syrie qui a tout le droit de se faire aider par d’autres pays de la région ou d’ailleurs à sa demande.

    Que peut proposer un marxiste (ou un « prolétaire matérialiste dialectique » ou le Diable ou le Saint Père s’ils étaient du côté des opprimés et massacrés, ce qui n’est pas le cas) ?

    Seulement un Front Uni de toutes les forces qui s’opposent réellement à l’agression impérialiste tout en ne faisant aucune concession politique aux régimes en place ou à leurs soutiens. Car ce sont des régimes bourgeois, oppresseurs et contraires aux intérêts des « prolétaires » de ces pays et du monde entier (si l’on veut élargir la question).
    Marcher séparés et frapper ensemble.

    Que la mienne est une argumentation typiquement marxiste ? J’en serais honoré et je pense que c’est effectivement le cas.


  • Viriato 20 janvier 2018 16:05

    @Shopi

    « Le rire abonde dans la bouche des .... » 

    L’article des canadiens est mauvais non pas par son langage, car le langage marxiste ou emprunté au marxisme, est un langage scientifique et sociologique spécifique.

    La propagande anti marxiste le voudrait « fatigué ». 

    Il se peut qu’il a été utilisé à contre sens, même, c’est certain qu’il a été utilisé n’importe comment. Mais cela ne reste rien à la validité de ses concepts bien plus précis et correspondant mieux à la réalité que le langage véhiculé par les journalistes et autres idéologues anti marxistes.

    Quant à la « théorie conspirationniste... » est devenue le seul argument de ceux qui n’en ont pas.

    Q’ils ne comprennent ou q’ils ignorent tout de la question, c’est facile de parler de « conspirationniste » et ainsi « éviter » de « répondre » tout en passant pour des personnes à la page ou que répètent comme des perroquets la dernière formule que les « commentateurs » les servent à travers l’outil de propagande audiovisuel.

    Mais l’article reste quand même très limite et ...pas marxiste du tout. Car avancer l’énormité « Les questions nationalistes sont des questions bourgeoises antiprolétariennes » est, objectivement, une aide aux agressions impérialistes contre les petits pays (la liste est longue et la Syrie est la dernière de la liste) et/ou une abérration de tout point de vue.

    Naturellement, une telle appreciation de la situation en Syrie et au Kurdistan, que tant d’autres ont fait, n’est qu’un appui mal déguisé ou inconscient aux forces (impérialisme US, monarchie réactionnaire d’Arabie Saoudite, entité sioniste) qui font tout en leur pouvoir pour « changer les régimes » et mettre en place des horreurs comme ceux qui sévissent au Kosovo, en Afghanistan, en Libye, en Irak et partout où ils interviennent.

    Les marxistes, et ceci est un principe de base et une tradition vieille de plus d’un siècle, s’opposeront toujours aux agressions impérialistes contre un petit pays ou un pays sous-développé, n’importa la nature de ce régime ni les caractéristiques de leurs chefs.


  • Viriato 17 janvier 2018 05:48

    @Lugsama
    Un alibi ?


    Ou une réalité très concrète qui organise des subversion, des coups d’état, des assassinats des dirigeants depuis 20 ans ?

    L’ex- Yougoslavie, la Somalie, l’Afghanistan, l’Irak (deux fois), la Libye, la Syrie (où ils pratiquent une agression par procuration depuis déjà six ans), l’Ukraine, sans parler de leurs plans à Cuba, Venezuela, (plus ouverts), Equateur, Bolivie (à peine cachés) et la publication Urbi et Orbi de leurs intentions envers la Russie, la Chine et l’Iran montrent que « l’alibi » dépasse tous les bornes.

    En Iran il ne s’agit pas de « soutenir » un régime nationaliste contre les masses iraniennes. L’article est très clair là-dessus.
    Il s’agit de montrer tant la fabrication des révolutions dites « de couleur » (toute la manipulation médiatique dont ils font largement usage et ceux qui se laissent y prendre) comme la portée réelle et l’orientation politique pro-US, plus réactionnaire encore que le pouvoir en place, des manifestations montées en épingle.

    Pour les marxistes il s’agit de la préparation d’une agression d’un ensemble de puissances impérialistes conduites par l’impérialisme hégémonique contre un pays sous-développé.

    Comme en Syrie, comme en Libye. Comme partout où les intérêts, ou économiques ou stratégiques de l’impérialisme US sont en jeu.

    Dans ce cas là, je suis inconditionnellement du côté du pays agressé, n’importe son régime ni ses leaders, contre une politique interventionniste, agressive, qui porte atteinte et menace la paix mondiale. 

    C’est à dire contre une politique accentuée depuis des décennies principalement par l’impérialisme US et ses alliés (contraints ou volontaires mais qui sont aussi des puissances impérialistes de deuxième ordre avec leur propres agendas contre les peuples).

     L’impérialisme US utilise aussi des puissances régionales dont leurs dirigeants sont sous leur influence pour accentuer cette oppression. Dans la région des « démocraties » telles l’Arabie Saoudite et l’Israel sioniste en sont en premier ligne. Ces pays autant ou plus racistes, oppresseurs que les pires dictatures sud-américaines fabriqués dans les écoles du canal de Panama, et qui mènent des guerres locales contre le peuple palestinien et yéménite sont tant les complices comme les collaborateurs de l’impérialisme US.

    L’impérialisme US est, aujourd’hui, l’ennemi principal de l’humanité et nier sa réalité c’est s’en faire complices.


  • Viriato 27 décembre 2017 10:51

    @Gilles Mérivac
    Quelle est l’utilité de l’homme ?

    Peut-être aucune, peut-être énorme...à la fois.

    Penser les êtres humains en tant « qu’utilité » est propre de la société « utilitaire », qui produit des choses utiles, ou profitables. Du profit donc. C’est donc penser avec les catégories capitalistes de profit.

    Peut-être que les êtres humains pourront s’occuper d’art, de création, des rapports humains, de la conquête spatiale ou sous-marine ou des entrailles de la terre, ou de l’environnement, ou de poésie.

    Dire que « dans une société robotisée » « l »utilité de l’homme est nulle" c’est faire preuve de peu d’imagination.


  • Viriato 1er août 2017 16:11

    @Lugsama
    La bêtise qui joint l’ignorance.

    Yougoslavie, Afghanistan, Irak, Libye, Somalie, la région russophone de l’Ukraine, Syrie et dans les cartons la République Démocratique de Corée, la Chine, le Vénézuela, la Russie et...plus loin même l’Allemagne si on tient compte des grossièretés de Trump devant la Merkel. Remarque, c’est déjà vu deux fois.
    Dire que c’est « l’Etat qui contrôle le marché » donne toute la mesure de votre niveau. La distribution, la production ont peut contrôler (ce qui n’est pas le cas au Vénézuela) mais ’le marché« ...Vous ne comprenez rien.
    Quant à »la gestion économique« de tout régime qui ne marche pas aux ordres des capitalistes US est boycotté, sapé et ensuite condamné par ceux qui sont en Crise depuis 2008 et n’arrivent pas à en sortir.
    Dès qu’un gouvernement quelconque sort de la ligne tracée par l’Internationale capitaliste (Banques Mondiales, OCDE et autres »organismes« ) toute la machine de propagande lui tombe dessus. 
    Ici, la droite, parle de même chaque fois qu’elle n’est pas aux affaires et chaque fois qu’elle l’est, elle fait encore pire.
    Cherchez autre chose que ces vieux poncifs, ces lieux communs de droite, répétés à l’infini et dont la seul force est justement de pouvoir les répéter à l’infini aidés par vos moyens de propagande. (les »experts« , BFMTV etc.)
    Alors s’il s’agit d’un petit pays, d’abord c’est le boycott, après les sanctions et on finit par la destruction complète du pays. Cela dure depuis trop longtemps et il y en a marre.
    Ses défenseurs peuvent »argumenter" mais les faits sont têtus.


  • Viriato 1er août 2017 14:40

    @bernard29
    La « crise de la distribution » a été provoquée au Chili par les mêmes qui la provoquent au Vénézuela.

    Des produits « introuvables » se sont retrouvés très « trouvables » des le lendemain du coup d’état sanglant de Pinochet. La grande bourgeoisie contrôle la production et la distribution de ces denrées et sabote consciemment avec le concours souvent monétaire de l’impérialisme. Au Chili les transporteurs qui se « battaient pour la liberté » étaient financés par la CIA. Des faits historiques prouvés.
    Vous ne connaissez rien et vous faites une confiance aveugle à l’oligarchie du pays et à l’impérialisme.
    Ce sont eux qui organisent la pénurie et la grève patronale par le contrôle de la plupart de mécanismes de l’état. Les bandes armées de la réaction vénézuélienne sont acquittées par le pouvoir judiciaire, exactement comme au Chili.
    C’est du déjà vu, c’est le même plan, les mêmes méthodes, les mêmes couches sociales habituées à gouverner dans le bénéfice impérialiste et leur bénéfice propre qui se révoltent contre le Chavisme et Maduro, pourtant un réformisme très tiède.

    Cela fait 20 ans au moins que l’impérialisme US détruit des pays entiers pour imposer ses choix stratégiques et contrôler le pétrole et le Vénézuela ce n’est qu’un cas parmi tant. il est même capable de mener le monde à une nouvelle guerre mondiale pour sauvegarder sa suprématie. AZlors, détruire encore un pays, le Vénézuela, que leur importe ?
    Les classes moyennes, médiocres faudrait-il dire, sont le fer de lance de l’impérialisme et la réaction, comme au Chili, et seront les premières sacrifiées par ceux qui sont véritablement derrière ce plan de déstabilisation. Exactement comme au Chili où, aujourd’hui les classes moyennes se ruinent pour pour se soigner correctement ou envoyer ses enfants aux universités. Tout se paie là bas, « il n’y a pas de déjeuner gratis » est le motto des gouvernements ultra-libéraux que l’on veut imposer partout, même ici avec Macron.
    il est possible que l’impérialisme et non pas « les vénézuéliens » les couches moyennes aisées plutôt qui vivent au Vénézuela mais qui sont en fait « le parti de l’étranger », des simples instruments, réussissent leur coup qui ne se fera pas, comme toujours quand un peuple lève la tête, sans « couper toutes les épies qui dépassent » dans le même type de flots de sang, oppression, emprisonnements et tortures qui ont été pratiquées au Chili et partout où le cruel impérialisme US met ses sales griffes couvertes du sang des peuples de partout dans le monde.


  • Viriato 1er août 2017 09:38

    La « démocratie » est bonne quand elle sert les intérêts des capitalistes et de l’impérialisme. 

    En Amérique Latine, continent saigné à blanc par l’exploitation et les crimes impérialistes, c’est particulièrement flagrant.
    Un Président élu mais contraire, un tant soi peu, aux diktats US, c’est un Président à abattre.
    Pour cela les US et les oligarchies capitalistes locales contrôlent le Parlement, la presse, la distribution de la nourriture, les terres, le commerce, l’industrie, la finance, les Tribunaux de ’justice’, les Cours de Compte, la Police et l’Armée. 

    Quand ils perdent la Présidence par votation d’un population excédée, ils organisent des coups d’Etat préparés par la mobilisation des dites classes moyennes (ou classes médiocres) après avoir créé de toutes pièces la pénurie car ils contrôlent la distribution des denrées, par l’opposition systématique au Parlement, par le bordel dans les quartiers bourgeois couverts par un pouvoir judiciaire totalement de leur côté par intérêts commun de classe et préparent dans l’armée et la police le coup d’état par une propagande déchaînée dans leurs moyens de presse qui contrôlent l’absolue majorité de « l’information ». si on les touche un tant soi peu, ils crient au meurtre, « au manque de démocratie » soutenus lourdement par l’impérialisme.

    Si tout cela ne marche pas, bien que cela a marché depuis plus d’un siècle dans une Amérique Latine ensanglantée, meurtrie, affamée et torturée par cette ’politique’ impérialiste.
    La liste est trop longue pour la rajouter, mais le Chili est un cas d’école. Alors quant tu ce plan capitaliste et impérialiste échoue devant la résistance des peuples, la menace d’intervention brutale de l’impérialisme se fait jour. Voir la récente déclaration de l’administration US déclarant le Président Maduro « dictateur » par les mêmes qui ont détruit l’Afghanistan, la Syrie, la Libye, l’Irak, la somalie et se préparent à déclencher une guerre contre la République Démocratique de Corée.
    C’est une honte et un scandale que les partis de gauche n’élèvent pas la protestation la plus énergique contre les menées agressives de l’impérialisme et plient sous le poids des agences de propagande capitalistes dites « chaînes d’information ».

    La défense de la souveraineté nationale d’un petit pays contre l’agression mal cachée de l’impérialisme US est un devoir sacré de toute personne décente, honnête, qui ne veut plus d’un nouveau massacre à la Pinochet qui se prépare déjà dans les officines impérialistes avec le concours de tous les oligarques vénézuéliens et de tous leurs complices directs et indirects.
    Il ne s’agit pas seulement de défendre un gouvernement qui somme toute à fait quelques réformes favorables au peuple et sauvegardée sa dignité nationale face à la brutalité impérialiste et ses complices capitalistes européens, mais de la défense d’un principe international qui, violé depuis 20 ans par l’impérialisme sur toutes les contrées du monde nous approche dangereusement des nouvelles massacres des populations progressistes et d’une nouvelle guerre mondiale.

    Viriato



  • Viriato 9 juillet 2017 10:03

    Le « dogme de la négation »...

    C’est le fond de cet article, non ? 
     Nier la critique, l’affaire des propagandistes.
    D’ailleurs, pomper sur les mauvais livres de psychologie de bazar, tout le monde peut le faire.
    Ce qui reste est une « défense » de Macron...sans apporter un seul argument. Mais cela est dans la logique macronienne incapable d’argumenter rationnellement.
    Autrement, comment peut-on « analyser » le silence des « députés » de la LREM lors de la « discussion » sur les ordonnances que la ministre a qualifié d’exemplaire ?
    Il faudrait une  analyse « profond » des « motivations psychologiques » ou tout simplement la preuve qu’ils n’ont absolument rien à dire sur la question et qu’ils se comportent comme des pantins sans idées et sans courage ?



  • Viriato 19 mai 2017 07:20

    @Lugsama
    Amalgamer des obsessionnels qui par une ambition déplacée qui leur ruinera la santé, dépensent leur vie à bosser comme des malades... avec les gros capitalistes c’est amalgamer des victimes du chômage endémique et de la pauvreté... avec des fortunes et du pouvoir économique sans commune mesure.

    La moindre réflexion conduit à séparer de tels catégories sociales et cet « argument » ne sert qu’à aider les gros capitalistes et surement pas ceux qui se tuent au boulot parce que leur matérialisme de consommation s’est exacerbé au delà du raisonnable. Ils ne sont pas capables de résister à la publicité qui les attaque de tous les côtés. Il y a pourtant la culture et la vie hors capitalisme.
    17 heures de travail c’est deux fois plus d’usure qu’un ouvrier et cela réduit la vie de l’individu d’autant. N’importe quel médecin vous le dira. C’est du suicide par convoitise « des maisons et voitures » dont ils ne peuvent pas en profiter par leur rythme de travail et l’usure qui en résulte. 
    D’ailleurs si on travail 17 heures c’est tout simplement parce que la productivité d’un artisan est de loin bien inférieur de celle d’un ouvrier qui travaille 35. Celui qui travaille donc 17 par 6 ou 7 jours parfois, produit bien moins de richesses pour la société qu’en ouvrier qu’en fait 35.
    La preuve ? 1.- C’est dans les pays le plus riches que l’on travail moins, l’Allemagne par exemple. 2.- Si on liquidait les 35 heures et les entreprises qui vont avec pour les remplacer par le type de « travailleur idéal » que vous mettez en avant, ce serait la ruine de la société ou ce serait la société des pays le plus pauvres de la planète, ce qui n’ont pas des grosses entreprises avec des centaines de milliers des salariés.
    Un tel « raisonnement » montre les abîmes d’ignorance économique, ou la roublardise tactique, des partisans du capitalisme.
    Les victimes obsessionnelles du capitalisme, ceux qui dépensent une vie entière rien qu’à être exploités par le capital, « à travailler » dans leur vision partielle des choses, la plupart du temps se sont des formes d’ouvriers détachés des gros capitalistes (les petites entreprises, certains artisans, catégories d’un tout petit poids dans les comptes d’un pays, pas plus de 2 ou 3% du Produit) ou des chômeurs déguisés, tout petits artisans qui comptent encore moins comme créateurs de richesse à l’échelle d’un pays.
    Après les avoir exploités jusqu’à la corde, les utiliser comme argument politique c’est exprimer le citron jusqu’à sa dernière goute, mais Lugsama « ne voit pas cela ».


  • Viriato 18 mai 2017 10:07

    @Lugsama
    Enfin, les « alliances » entre l’éléphant et la souris me font sourire. Dites plutôt, ’subordination’ à la politique d’un secteur des USA (divisés comme on le sait sur la marche à suivre) et du Sionisme (que beaucoup des israéliens combattent en France et en Israel) et cela depuis... Sarkozy.

    Remarque que peut-être cela va changer avec le « nouveau » ministre et on ajoutera à cela une nouvelle subordination, cette fois-ci à l’Allemagne. 
    Vu que Lugsama se prends pour « la France » (on va lui laisser ce petit plaisir enfantin) et qu’il nous explique que les banquiers prêtent à intérêt, on va laisser la polémique là.
    D’autres se sont donné la peine de montrer l’étendue des connaissances et la profondeur de compréhension de celui qui « ambitionne de devenir riche » en argent devrait-il ajouter car pour le reste il y a du boulot. 


  • Viriato 18 mai 2017 05:46

    @Lugsama
    Bah oui, c’est le « social » qui « étrangle les ’petites’ entreprises »...


    Les entreprises du CAC 40, par concept des subventions de tout ordre ramassent des dizaines de milliards chaque année. Et ils en ont fait plus de 68 milliards de bénéfices avec.

    L’armée intervient en Afghanistan, en Syrie, en Afrique et le nouveau Ministre d’Affaire Etrangères déclare le jour de son... changement de poste « La France va être présente pour affirmer son rôle dans le monde » ce qui n’est pas donné, loin de là ! (chaque mot est une contre vérité car ce n’est pas « la France » mais les intérêts des grandes groupes capitalistes basés en France ; elle ne sera pas « présente » mais va se mettre aux ordres des US et des sionistes ; et le véritable rôle d’un pays civilisé est de diffuser la culture et l’humanisme et pas les bombes et les interventions militaires à des fins politiques)

    La dette d’ailleurs sert les banquiers qui la provoquent en faisant jouer leurs politiciens stipendiés et qui en bénéficient tant par des subventions comme par le service de la dette.

    Jeter la faute au « social » ne manque pas d’air. Mais bon, c’est le fait des cerveaux lavés par la propagande de ceux qui tirent profit des « aides » de l’Etat : les gros capitalistes de ce pays et d’ailleurs qui se sucrent, eux aussi, de la manne qui provient de nos impôts.

    En cela on pourrait être d’accord : c’est du « social »...du Social pour les grandes groupes capitalistes. Du socialisme capitaliste qui utilise et profite les deniers de l’Etat (comme du personnel politique de l’Etat que lui sert des VRPs), socialise la misère qui en résulte, et s’approprie du produit du travail de tous. 


  • Viriato 17 mai 2017 23:03

    @Eric F
    Quelle explication !

    J’ai l’impression que tant les « entrepreneurs » comme leurs hommes politiques étaient tous une bande d’ignorants et des nuls...depuis fort longtemps.
    « Les emplois productifs » (de valeur ajoutée. Les emplois industriels donc) « sont détruits »...comme ça quoi, aucune explication.
    Voix passive, pensée passive, passivité générale de ...« tous ».
    Bref, une « erreur » qui peut être « corrigé » ...grâce à la pensée lumineuse de...quelqu’un de très brillant qui est pour une fois au « service de l’intérêt général ».
    Une question de « orientation », de « politique », « de pensée » donc...de Leader (style Macron ? J’ai mes doutes question « leader »)
    Les intérêts, les tendances profondes d’un système mondial cantonné dans les étroits limites des frontières nationales, la concurrence « loyale ou déloyale » (pour les effets c’est pareil), le « développement » inégal, tout ça ce n’est pas significatif ?
    Moins « explicatif » encore que l’Allemagne est devenue l’atelier d’Europe et cela depuis ....au moins 1910...avec deux essais de compenser sa puissance industrielle et commerciale, bancaire aussi, (l’équivalent de la France et de la Grande Bretagne réunies) en 1914 et 1939 et avec des aspirations aujourd’hui de finalement résoudre la quadrature du cercle. Que même Trump s’en est fâché. 
    « On » continue partout à désindustrialiser. Mais moins en Allemagne.
    Baisse du taux de profit, désindustrialisation donc ; « investissements » ne permettant pas de concurrencer des pays plus capitalisés, parasitisme de la finance et donc, donc, donc, les autres grandes pays capitalistes sont plus productifs parce que la productivité du travail est majeure car l’investissement est majeur.
     Alors dans les pays de deuxième ordre et troisième et quatrième etc. on prends les sous et on les met ailleurs question de récupérer le magot et le faire fructifier à partir de la valeur ajoutée produite ailleurs. On parasite donc la production industrielle des autres mais on fait des profits qui est le but de la question.
    Et on peut se lamenter des siècles et cela ne servira qu’à renforcer la tendance car elle est inscrite dans la nature même des capitalismes de deuxième ordre : devenir de troisième ordre, subordonnés aux capitalistes plus importants et essayer comme cela d’en tirer quelque chose.
    Le « sursaut national » signifie avoir bien plus des sous que les autres (beaucoup plus) pour attraper le retard en investissements productifs (industriels donc).
    Comme il n’y a a pas une telle masse des capitaux à investir (et peu de ce qui va avec), on bricole.
    Et on essaie d’en donner de plus en plus aux capitalistes qui n’arrivent pas car ils ont un retard accumulé d’un siècle, la dette s’accumule et tout le monde la paie et la boule continue de rouler.
    Mais ceux d’en haut, qui connaissent la musique, s’engraissent et montent des campagnes électorales pour faire élire celui qui va continuer, en l’augmentant, la même chose.




  • Viriato 12 mai 2017 14:32

    @Hervé Hum
    Il faudrait ajouter que le plus grand expropriateur de la propriété privé c’est ....le capitalisme.

    C’est question de se rappeler la disparition de tant de petits boutiquiers plombés par le grand commerce et le commerce de sous-traitance.
    Des petits agriculteurs par la grande distribution et l’agriculture extensive et industrielle, leurs filières de commercialisation.
    Les petits entreprises cassés par la grand entreprise (par la concurrence capitaliste) et pour ceux qui restent, devenus des esclaves des commandes de la grande industrie.
    Du petit porteur lessivé par la grande spéculation.
    Des artisans obligés de travailler leur vie entière pour compenser leur faible productivité devant la grande production. Au point qu’ils ne dorment plus occupés de « leurs » affaires. Des sous-prolos du capital en fait.
    Le Socialisme ne fait que finir le travail. Tout en assurant la propriété privée ou publique (au fond c’est pareil) des biens d’usage.
    La peur fantasmé du petit capitaliste, cet esclave de sa convoitise, sa peur du Socialisme n’est qu’une projection déportée de sa peur réelle, de son oppression et exploitation par grand capitaliste qui le saigne à blanc.


  • Viriato 12 mars 2017 11:44

    Plus scandaleux encore est que Poutou ne soit pas foutu de les mettre à leur place. 

    Nathalie Arthaud, fait dormir l’audience en répétant toujours la même chose. Au lieu de profiter de ses très rares passages pour faire de la politique elle s’amuse à faire du ’journalisme’ pseudo critique.

    Ces deux candidats, qui ne feront que prendre des voix à Mélenchon, ou ce sont des commentateurs désabusés de la situation actuelle ou se font chambrer par des des arrivistes et des larbins du capital.

    Leur utilité pour la lutte politique des travailleurs confine à zéro. En ce moment, malgré leurs bonnes intentions, ils permettent la survivance de la droite social démocrate (Hamon et le PS. Et ne me dites pas que Hamon est « frondeur » ou de ’gauche’, il est plutôt l’expression même de l’incapacité de ces carriéristes du PS d’avoir au moins une attitude ferme. Hamon vacille entre les ’frondeurs’ , ces couards qui n’ont jamais empêché Hollande de quoi que ce soit, et les Villeneuve et autres Valsistes)

    Poutou aurait du envoyer chier ces connards et comme cela il aurait été bien plus « sympathique » que son attitude polie et retenue devant ces gens.
    Et quand N.Arthaud aura appris à dire autre chose que « interdiction des licenciements » (même si le mot d’ordre est juste) cela fera un gros progrès pour ces intellos qui voudraient expliquer ce que les ouvriers connaissent déjà.

    on peut dire, Mélenchon ne vaut pas mieux, mais au moins en votant pour lui on peut choisir un pôle de regroupement des travailleurs bien de gauche disposés à se battre contre les plans du capital.

    Car, l’élection, elle ne fait que choisir le bourgeois qui va nous appliquer les plans du capital, et ce sera la bataille post-élections, contre le plan Fillon (qui est aussi le plan Macron et Marine le Pen quoi qu’ils disent) qui est le vrai enjeu.

    Bref, voter Merluche, car il concentre le vouloir de la majorité des travailleurs conscients de ce pays, pour préparer les luttes dans la rue. Mais croire à la 6 eme république, et autres fadaises de son programme....il faudrait être bien neuneu.


  • Viriato 3 mars 2017 23:15

    @Harry Stotte
    une société aussi complexe que la nôtre ne peut fonctionner que sur la base d’une multitude d’actions coordonnées, dont la réussite repose sur la liberté individuelle, l’initiative individuelle, la flexibilité individuelle, la responsabilité individuelle« 


    Bref, tout ce qui n’existe pas dans la société capitaliste. Les 85% des salariés de ce pays (et d’autres pays) ne connaissent rien à tout cela.

    Des actions coordonnées ?
    C’est l’anarchie capitaliste. Chacun pour soi et après moi le déluge.
    Les travailleurs ce sont des simples instruments passifs pour la plus grande majorité d’entre eux.

    La liberté individuelle ?
    Dans les boites c’est la terreur patronale directe ou indirecte. La terreur de perdre son travail, le non respect de toutes les conventions, le stress, la fatigue, la drogadiction pour pouvoir tenir et j’en passe.
    Il n’y a aucune liberté pendant plus de 8 heures de travail et un bourrage de crâne permanent pendant les heures de repos.

    L »initiative personnelle ? De qui ? De quel pourcentage de la population ?
    L’absolue majorité ce sont des exécuteurs d’ordres parfois bien absurdes (produire des armes, des drogues, des produits nocifs). Des esclaves salariés craignant chaque minute le plan de licenciement, la mauvaise humeur du chef, la concurrence de ses propres collègues, les croches pattes, les humiliations et les brimades, quand ce n’est pas la flatterie et la prostitution.

    La flexibilité individuelle ? Avez-vous travaillé par chance ? Avez vous essayé de changer de métier ou de profession ?
    Parents ouvriers, ouvrier vous même (pour la grande majorité). C’est une société stratifiée et figée dans son structure très classiste. Fils à papa, fera des fils à papa.
    Quelle flexibilité donc ?

    La responsabilité individuelle ? ou l’irresponsabilité individuelle et collective ?
    DEs salariés qui exécutent des ordres le long de 40 ans de travail ne peuvent pas être « responsables » mais sont des irresponsables par définition. Les seuls responsables (du profit) c’est le 2 ou 3% de la population qui sont des patrons.
    Mais si on parle de l’intérêt collectif : bon nombre parmi eux sont très irresponsables en produisant un tas des produits nocifs ou en passant leur temps à tromper les gens (la publicité).

    Vous devriez revoir votre discours idéologique absurde.


  • Viriato 3 mars 2017 10:00

    C’est un programme ultra libéral matinée de quelques promesses pour attraper les gogos comme les 100 euros pour les retraités qui « ne trouveront pas de financement ».


    L’Ecole ? Son indépendance signifie sa privatisation. Car, comment rendre « indépendante » l’école sans la privatiser ?
    S’il s’agit de son financement, il ne peut devenir indépendant qu’en devenant à la charge des communes. Il y aura les écoles des communes riches, de qualité et bien pourvues en équipements et ...les autres, qui seront de faible qualité. Cela va pousser les parents à envoyer les enfants aux écoles privées ...qui deviendront de plus en plus chères. Ce n’est pas nouveau, c’est un plan qu’a été mis en pratique dans les pays le plus ravagés par le libéralisme sauvage...avec des résultats catastrophiques.

    Les régimes de retraite ?
    Pour les rendre tous égaux la manière la plus simple est de les rendre privés, c’est à dire la « retraite par capitalisation ». C’est d’ailleurs ce qu’il a laissé entendre dans la scandaleuse présentation de vingt minutes que Pujadas l’a servi hier, au « journal » télé, le laissant parler sans l’interrompre, comme c’est son habitude avec Mélenchon ou d’autres. Là, Macrion a dit qu’un euro serait un euro « pour tout le monde », chacun cotise donc et aura comme « retraite » ou « bénéfice » en fonction de combien il a « cotisé ». C’est donc la retraite par capitalisation, un arnaque déjà pratiqué dans d’autres pays, qu’il a en tête. Comme moyenne, la retraite est équivalente à un tiers de la retraite d’aujourd’hui. 

    La liquidation de la Santé publique, comme de l’école, par le biais de la suppression de 120 000 emplois dans la fonction publique cadre bien avec le plan pour l’école et la santé. Il n’y aura plus besoin de ces fonctionnaires car l’école et la santé deviendront privés. CQFD.
    La réduction de 10 milliards sur l’assurance chômage ne peut se faire encore que en privatisant et en liquidant le statut du chômeur.

    C’est un programme ultra capitaliste, c’est le programme Fillon mal déguisé et la suite de la politique d’Hollande (c’est à dire, saupoudrer de mesurettes dites ’sociales’, les pires attaques capitalistes contre la population laborieuse).

    Son problème, et celui de ses commanditaires, les banquiers et les capitalistes poussés par la concurrence mondiale, est que Macron n’a ni la carrure (sauf si on prend pour cela le travail marketing des médias) ni l’organisation politique pour mettre en place un tel programme qui, très rapidement, va lever une opposition massive dans la rue.

    On va directos vers des jours mouvementés. 

    Les Dieux aveuglent ceux qu’ils veulent perdre.


  • Viriato 24 février 2017 21:34

    @Fifi Brind_acier

    Le système capitaliste ce n’est pas que de la spéculation, c’est avant tout de la production de marchandises car sans cette production il n’y a pas de profit mais de transfert d’argent.

    Quand on spécule on le fait principalement sur une production bien réelle déjà produite ou à produire et s’il se forme une différentiel entre la production et sa forme monétaire (ou spéculative) le système le corrige par une crise boursière ou bancaire ou les deux qui est de courte durée et qui n’affecte que rarement la production.
    Cela ce sont les faits vérifiables.
    Mais quand il se produit une baisse du taux de profit et les investissements ne rapportent, on est devant une crise de surcapitalisation. C’est à dire, la concurrence a obligé les capitalistes individuels à investir massivement dans l’outil productif pour un retour sans rapport.
    C’est donc la crise systémique capitaliste classique qui, avant la première guerre mondiale était résolue par la liquidation brutale du capital excédant. Fermeture des usines et des exploitations et licenciement des travailleurs. Après une période de concentration importante des capitaux le système était prêt à repartir. Cela pouvait durer deux ans. 
    Depuis la fin du XIX siècle la concentration économique et la liquidation du capital excédentaire se règle à coups de canon.
    En 2008, la crise a commencée par être « combattue » par un déversement hallucinant d’argent (afin de maintenir les profits des entreprises mais sans redresser le taux de profit qui est la variable fondamentale) ce qui n’a, naturellement, pas résolue la crise.
    Comme il est difficile d’utiliser la guerre pour liquider le capital excédentaire (le rapport sociologique est très défavorable pour la grande bourgeoisie et les armes atomiques rendent aléatoire un monde post guerre) ça traine depuis lors.
    La solution c’est de finir avec le capitalisme mais quand on se trouve avec une classe productrice (ouvrière, employée, salariée, etc) qui n’a pas conscience de ses intérêts, quand la confusion domine parmi ses représentants politiques, la solution socialiste ; la socialisation et l’internationalisation des moyens productifs pour couvrir les besoins (et non pas le profit) va prendre du temps. 
     Voilà la raison suffisante de l’instabilité politique actuelle. Il est nécessaire de passer à « une autre société » mais la conscience claire de sa nécessité n’est que l’apanage de très peu de gens.
    On ne peut que spéculer quand cette situation se renversera, cela peut-être assez vite car la nécessité est urgente mais cela peut finir avec une autre guerre mondiale (les conditions, les gouvernements et les armées s’y préparent) et toutes les discussions prendront fin.