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Les commentaires de Arnaud Villanova



  • Arnaud Villanova 20 novembre 2009 20:20

    Merci pour cet article, bien qu’il soit un peu convenu.

    Par ailleurs, es-tu sûr que la terre battue soit la surface de prédilection de Verdasco ?!
    A propos du jeu vers l’avant de Djokovic, c’est plutôt en défendant et en cuisinant un peu ses adversaires qu’il les a tous fait craquer dernièrement, notamment Stepanek (3 balles de match) et Wawrinka (sert pour le match) à Bâle qui lui rentraient dedans et sont passés près tous deux de le battre.
    Enfin, la « bonne » saison de Murray avec 6 titres et quelques finales... Oui, il n’y a pas de grand chelems dans le lot, mais à partir de combien de tournois ATP gagnés en une saison est-elle mieux que bonne ???

    Aller, bon Master à toi !



  • Arnaud Villanova 14 novembre 2009 15:25

    J’apprécie votre commentaire.
    La justesse de mon analyse vient tout simplement du fait que je suis, comme vous sans doute, un pur citoyen de la France d’en-bas !
    Je suis d’une famille ouvrière et je peux vous dire qu’il ne suffit pas d’un diplôme d’ingénieur et de docteur en sciences pour changer de monde. D’ailleurs, la France des banquiers, du showbiz, des rentiers, des « fils de », ne me fait nullement rêver, vous l’aurez compris. Pour moi, les nantis, ce sont eux, pas les accidentés du travail, les cheminots, et autres catégories en dessous du salaire médian. Je ne suis pas pour la punition de la réussite, comme dit l’UMP, je suis contre les disproportions obcènes et les injustices indécentes que nous tolérons scandaleusement.



  • Arnaud Villanova 14 novembre 2009 15:08

    En fait, nous sommes d’accord sur tout, Mr Bardamu.

    Je ne récuse pas les frontières, je trouve juste que l’état se trompe souvent de cible en harcelant ceux qui essaient de respecter les règles, tandis que d’énormes trous dans la raquette sont laissés pour de graves abus. Encore d’accord avec vous pour l’avion : nous comprendrons bientôt l’erreur d’avoir abusé de lui pour des réunions de quelques heures ou des week-ends à l’autre bout du monde...

    Enfin, effectivement, les raisons évoquées dans l’article sont du côté des moindres. C’est ce qui les rend palpables et symboliques. Et suggère la gravité du reste.



  • Arnaud Villanova 17 février 2009 18:48

    Mr Mascaret,

    vous ne connaissez pas beaucoup de personnes capables de prendre l’avion deux fois par an. En un sens, c’est normal, puisque sur le milliard de passagers transportés par an (chiffre 2007), on retrouve souvent les mêmes qui abusent de l’avion pour des vacances ou pour des réunions dans les salles de conférences des hôtels des aéroports au lieu de faire une visioconférence par exemple ! Je ne peux que conseiller de lire le livre d’Hervé Kempf « Comment les riches détruisent la planète » dans lequel il explique en substance qu’une classe de super-riches est doublement responsable de nos dérives :

    -d’abord parce qu’ils ont un pouvoir de décision dont ils n’usent pas vraiment ;

    -ensuite parce qu’ils sont présentés comme des modèles de réussite à imiter et à ce titre, ils devraient montrer l’exemple !

    Cela n’enlève pas la responsabilité de chacun, mais elle n’est pas égale suivant les personnes : il faut commencer par réduire les excès les plus graves. Il faut finir de prendre un avion pour se rendre d’urgence à un cocktail à l’Elysée et faire payer la facture à la société (vous rappelez-vous du vol à 100000 euros d’Estrosi ?) et à la bio-diversité.

    C’est donc une crise sociale ET écologique. Je trouve logique que les principes et les valeurs actuelles de notre civilisation se répercutent sur tous les plans et non pas seulement que sur la condition humaine, ou que sur l’environnement.

    Quand à la question du côté pratique et quotidien de la décroissance pour le citoyen, je n’ai pas la solution, mais une certaine relocalisation des échanges paraît nécessaire (exemple : on achète de la viande d’Argentine et on exporte une partie de la nôtre ailleurs : ces bateaux sont-ils vitaux ?) . Limiter la spéculation avec une monnaie fondante ? Refabriquer des perceuses qui durent 20 ans plutôt que 2 jours ? Re-élever des poulets qui ont couru quelques kms dans leur vie plutôt que quelques cms (les gens veulent aussi de la qualité dans l’assiette, non ?). Proposer de vrais services publics…
    Autre chose, la "sobriété" fait peur, pourtant par exemple, les gens qui restent un mois sans télé pour x ou y raison s’aperçoivent souvent que cela ne leur pas vraiment manqué par exemple, et qu’ils n’ont pas été moins bien informés pour autant. Cela est vrai pour plein choses de notre quotidien. C’est malheureusement un choc, un accident , un deuil ou une catastrophe qui nous aide à faire le tri. Ou alors la réflexion. Encore faut-il s’accorder le temps, denrée précieuse de notre style de vie !

    Quoi qu’il en soit, je ne crois pas qu’on soit obligé d’être rmiste ou de plonger à fond dans le système « balisé » comme vous dites, sans médiane entre les deux. Il y a des choix que vous êtes libres de faire et qui, pratiqués par des millions de gens, auront un poids. C’est trop facile de se dire que « seul, je ne peux rien faire ». Avec un peu de propagande et d’individualisme, tout le monde se dit ça dans son coin. C’est un peu comme la fin de soirée où personne n’ose se lever bien que tout le monde ait envie de mettre les voiles… D’où l’importance des leaders, des exemples, des modèles, des chefs, des élus, des gens médiatisés, etc…



  • Arnaud Villanova 16 février 2009 22:03

    Je comprends tout à fait votre commentaire. Ceci dit, dans un premier temps, avant de quitter radicalement votre emploi, vous pouvez quand même faire quelques pas vers la décroissance, ne serait-ce que par vos achats et votre mode de vie. Par exemple, par l’action de privilégier les transports en commun sur la voiture individuelle. Ou encore, celle de s’abstenir de partir en vacances en avion à l’autre bout du monde deux fois par an. Ou bien, celle de se passer d’un téléviseur dans chaque pièce (dont un géant dans le salon). Etc…

    N’est-ce pas un bon début ? Cela ne vous demande pas de balancer votre travail dans un 1er temps. Reproduit des millions de fois, ce schéma aurait forcément une influence sur la société. Quand personne n’achète un produit (ou que personne ne regarde un programme), il s’arrête.



  • Arnaud Villanova 9 avril 2008 09:50

    Il ne faut pas confondre pauvreté volontaire et souhait de court-circuiter des produits, des modes et des comportements qui, en plus de ne pas être indispensables, sont grandement suggérés (je reste modéré dans le terme) par la publicité et le marketing, et aboutissent généralement au profit de quelques uns au détriment de TOUT le reste, y compris l’environnement ou la santé des gens qui fabriquent ou consomment, pour ne citer que quelques exemples.

    Reste l’illusion pour le pur consommateur d’être à la pointe de quelque chose et de satisfaire un désir qui ouvre les portes du bonheur. Quitte à vivre d’illusions, autant vivre dans celles que l’on peut décemment transmettre aux générations futures.



  • Arnaud Villanova 8 avril 2008 21:33

    Je dirais qu’il pense qu’internet offre des possibilités fabuleuses, mais qu’à l’instar de la télévision qui pourrait être également un instrument fantastique, ce médium est de plus en attaqué par les mêmes vicissitudes que l’on retrouve un peu partout dans notre société. Regardez la publicité qui vient maintenant se surimposer sauvagement aux pages que vous ouvrez : il faut la désactiver soi-même et la petite croix est souvent difficile à trouver. Pendant ce temps là, la pub travaille. Les débuts d’internet étaient loin de tout ça.

    Autre chose : internet est le médium le plus libre d’un côté, mais de l’autre, les adresses IP sont un joli fil à la patte. Donc la toile peut très bien participer à ce monde tout en surveillance et en fichage qui se développe et qui rebute forcément notre ennemi public numéro un, allergique qu’il est aux chaînes et aux boulets !



  • Arnaud Villanova 15 novembre 2007 18:23

    C’est un réconfort de lire un tel article (et celui de Luc Peillon) dans ce climat où nous voudrait nous forcer à croire que la majorité soutient une politique qui lui est défavorable et qui ne profite qu’à l’élite financière et dirigeante. Merci !



  • Arnaud Villanova 14 novembre 2007 18:09

    Merci les médias : voilà la nouvelle origine du paradoxe. La bêtise, elle, n’est pas née de la dernière pluie.



  • Arnaud Villanova 14 novembre 2007 18:06

    Le meilleur article que j’aie lu sur la question depuis longtemps. Merci, tout simplement.



  • Arnaud Villanova 26 septembre 2007 21:40

    Yannick,

    j’ai visité ce camp pour la 1ère fois cette année, en Mai : en plus de mes cours d’histoire, de livres et de documentaires, ma sensibilité a donc eu récemment une occasion supplémentaire de méditer à ce sujet.

    Vous toucherez la sensibilité d’encore plus de lecteurs en étant irréprochable sur la forme, particulièrement pour un sujet pour lequel vous avez énormément de respect.

    Je me suis permis de m’arrêter sur ce point, non pas pour m’exposer à un petit coup bas, mais pour faire une remarque constructive, qui vous paraîtra moins déplacée lorsque vous y songerez en rédigeant votre prochain article.

    Bonne continuation et bonne soirée.



  • Arnaud Villanova 26 septembre 2007 20:09

    A l’auteur,

    une faute d’orthographe dès le titre et sur le nom du camp, thème central de l’article, c’est assez consternant. Ce n’est pas une faute de frappe puisqu’elle est répétée.

    Pardon de m’arrêter à la forme, mais AgoraVox ne dépassera pas le stade de blog collectif médiocre avec de telles affiches. Même sans être docteur en histoire, on pourrait attendre de vous un minimum de respect sur le nom même du sujet de votre article. Par ailleurs, le(s) relecteur(s) aurai(en)t pu se fendre de cette correction minimum avant de le publier.

    Enfin, c’est peut-être cela le journalisme citoyen, un certain reflet d’une époque... et ça tombe bien que votre article soit classé en rubrique « société ».



  • Arnaud Villanova 19 septembre 2007 18:34

    Merci de nous tenir au courant de ce qui se passe en Suisse.

    Je vous rejoins pour imaginer que le temps et l’énergie consacrés à cette polémique de communication indélicate ne sera pas employé à réfléchir à des questions de fond(s ?).

    Ceci dit, au-delà de la pertinence des conditions de fin de séjour d’un délinquant étranger en Suisse, l’affiche joue implicitement mais grossièrement sur l’assimilation de la notion de « gêneurs », voire simplement « différents », avec la couleur noire. Je suis d’accord, les proverbes mentionnent un mouton noir, pas jaune ou bleu. De plus, je suis un partisan de la liberté d’expression, je ne ferais pas retirer l’affiche, mais celle-ci est retorse dans ses intentions et dévoile peut-être le fond de la pensée de ce parti, car on peut difficilement admettre que cela n’est pas pensé.

    Quant au commentaire des 10000 euros, je suis persuadé que, comme généralement, le petit isolé qui amène ses économies devra franchir de nombreuses étapes dont le gros, aidé de ses amis, ne soupçonnera même pas jusqu’à l’existence quand il parlera « millions ».



  • Arnaud Villanova 19 septembre 2007 12:43

    Article intéressant, merci.

    René Guénon écrivait souvent « il n’y a pas de hasard, il n’y a que l’ignorance des causes ». J’ajouterais que certaines causes nous sont probablement inaccessibles par essence.

    C’est un sujet passionnant. Parfois, dans notre vie, tant d’infimes circonstances « hasardeuses » se combinent pour aboutir à un résultat que l’on se demande parfois, après coup, si tout cela est bien du hasard. Néanmoins, j’ai un doute à propos d’au moins un de vos exemples, celui du chômage. Pour appliquer votre raisonnement, il faut déjà supposer que la baisse du chômage est un objectif sincèrement voulu par nos gouvernements. Je n’ai pas la réponse, mais il me semble qu’un certain taux de chômage profite à certaines entreprises afin de mettre la pression sur les employés. Avec le chômage nul, le salarié reprend une bonne partie de sa destinée entre ses mains, avec un chômage trop fort, la société risque de se briser, mais avec un taux savamment orchestré (et bidouillé selon que l’on considère telle catégorie de personnes ou non), je crois qu’une caste dirigeante n’a pas à se plaindre. Simple hypothèse.



  • Arnaud Villanova 18 septembre 2007 23:34

    A voir la réaction amicale de vos compères, vous êtes un rédacteur apprécié et c’est tout à votre honneur. Vous recelez probablement de talents, mais, dans le cas présent, même votre humour ne rattrappe pas cet article qui est de la famille de ceux qui tendent à faire d’AgoraVox un médiocre blog.

    La vulgarisation est embrouillée, telle ce que vous expliquez à propos de la polarisation des ondes électromagnétiques qui composent le « rayonnement fossile ». Si vous comprenez réellement de quoi vous parlez, la confusion provient peut-être du fait que vous ne vous êtes pas relu : probable au vu de la constellation de fautes de français qui étoilent ce texte !!!

    D’un côté, vous faites montre de la qualité RARE de considérer une théorie pour ce qu’elle est, alors que tant de gens prennent cette construction de l’esprit pour la vérité. Mais de l’autre, vous considérez implicitement comme définitivement acquis certains faits, comme l’expansion de l’univers, et par conséquent son développement à partir d’un état extrêmement dense et chaud, alors que tout cela s’est édifié à partir d’observations très indirectes, incluant notamment l’effet doppler. Ce raisonnement fait actuellement consensus et est peut-être correct, mais puisque vous savez demeurer prudent avec les théories, ne vous départissez pas de vos doutes bienfaiteurs à propos des échaffaudages d’hypothèses et de mesures potentiellement sujettes à interprétation.

    Vous avez bien noté que la science avance mieux en cultivant le doute plutôt que la certitude.



  • Arnaud Villanova 18 septembre 2007 00:34

    L’article, même s’il est une sorte de défoulement assez désordonné, rappelle l’esprit du livre d’Hervé Kempf, « Comment les riches détruisent la planète », qui lui, est parfaitement clair.

    Un des commentaires pose une pierre angulaire du problème : « on ne vous a pas mis un pistolet sur la tempe pour acheter votre ordinateur... ». C’est à tout à fait exact, le citoyen consommateur possède normalement un cerveau et a le droit de réfléchir. Cependant, les publicitaires, le sponsoring et une société ultra-médiatique savent comment influencer grandement la foule. Torts partagés donc : un camp est mauvais par sa bêtise et son aveuglement, l’autre par ses manipulations vénales.

    Les riches et les puissants ont tout de même un rôle et une responsabilité capitaux, que ne détient pas le quidam. D’abord, ils fixent des standards que les autres tendent à imiter, puisque ce sont les valeurs de réussite les plus relayées par les médias de masse. Il se trouve que ces « modèles » ne vont pas actuellement dans le sens de la modération (jets privés, yachts énormes...). Ensuite, ils ont un certain pouvoir de décision ou de persuasion qu’ils devraient faire jouer à plein pour servir leurs convictions. Malheureusement, si leur conviction première est que l’ordre du monde doit rester comme il est car ils risqueraient de plus être au sommet...

    En conclusion, chacun a son rôle à jouer et sa responsabilité à assumer. Le citoyen consommateur devrait plus réfléchir et ne pas se cacher derrière le « moi, tout seul, je ne peux rien faire » tandis que les personnes ayant plus de poids dans la société devraient MONTRER L’EXEMPLE.

    Un système qui développe l’inégalité et les valeurs « vides » telles que la spéculation devrait être logiquement contesté par la majorité qui n’est pas, par essence, la mieux servie par celui-ci. Si, de plus, ce système s’avère conduire à une espèce de suicide collectif... mêmes les plus puissants se demandent sûrement au sommet de quoi vont-ils, eux ou leurs enfants, se retrouver à terme ?



  • Arnaud Villanova 6 septembre 2007 21:36

    Bonsoir à tous, quelques remarques.

    D’abord, merci à Bernard pour cette veille scientifique de qualité. Ensuite, quoi que l’on puisse penser de cette nouvelle théorie, elle a le mérite de proposer une idée sérieuse pour faire avancer un problème fondamental. Le simple fait d’y réfléchir et d’essayer vaut d’être salué.

    Pour continuer, j’ai cru déceler chez certains d’entre vous, dont Voltaire, une confiance absolue en la mécanique quantique. Certes, rarement une théorie aura été aussi prédictive et elle n’a pour l’instant jamais été mise en défaut malgré parfois des prédictions très surprenantes, mais elle ne reste qu’une théorie, sujette à une éventuelle réfutation. Je rappelle que le doute est, avant la certitude, l’ami des hommes en général et celui du scientifique en particulier.

    Enfin, je lis partout « il ne faut pas mélanger ceci et celà ». Je suis d’accord, on a vite fait de raconter n’importe quoi. Néanmoins, toutes les disciplines qui s’intéressent à la « réalité », pour peu que ce concept ait un sens et que ce dernier nous soit accessible, devraient, à un moment ou à un autre, converger et cesser d’être cloisonnées.

    En tout cas, merci pour ces réflexions qui changent des articles sur le 11 septembre ou sur la dernière émission de TV.



  • Arnaud Villanova 4 septembre 2007 23:09

    Quand il n’est pas en vacances chez des amis, ce président a l’art d’assèner en peu de temps une telle densité de réformes (ou du moins d’annonces...) favorables aux riches et très riches (tiens, les mêmes qu’en vacances...), que j’ai quand même du mal à croire que c’est ce que peut souhaiter une MAJORITé de citoyens... à moins d’additionner les lecteurs de Voici/Gala à qui tous ces acoquinements donnent du fil à retordre pour tout suivre, et les retraités qui veulent mettre la jeunesse au boulot en comptant que ça paiera leur retraite et que ça réduira les risques que leur voiture brûle -bien qu’elle soit quand même souvent derrière de bonnes grilles...-



  • Arnaud Villanova 28 avril 2007 01:15

    N’ayant pas (encore) vu ce film, je vous remercie de nous faire partager avec élégance votre ressenti.

    Je dois dire que votre « ennui nécessaire », bien qu’il ne semble pas avoir plu à tout le monde, m’intrigue particulièrement car le cinéma « grand public », comme nos temps modernes, s’y trouve de plus en plus allergique et on a tôt fait de crier aux longueurs insupportables. Pourtant, dans la vie comme au cinéma, de longs moments de silence ou d’inaction prodiguent parfois de précieuses clés...



  • Arnaud Villanova 27 avril 2007 20:29

    Le sujet de l’article est intéressant bien qu’il soit soulevé par une nouvelle improvisation sans lendemain de Mme Royal, qu’elle contredira probablement bientôt comme tous les politiques savent le faire. Pour épargner à l’instant de vaines réactions, je précise tout de suite que je ne soutiens pas non plus Mr Sarkozy, que j’imagine plus compétent, mais dont le programme m’irrite.

    Je reviens vite à l’article et ses commentaires : les arguments économiques sonnent très sérieux, comme toujours, mais je crois tout de même qu’il y a un moment où certaines valeurs devraient surpasser les intérêts économiques. Cela ne prévaut pas que pour le cas de la Chine bien sûr. On pourrait penser à la biodiversité ou au climat par exemple.

    Enfin, un boycott français des JO 2008 est peut-être un boycott insignifiant, mais il pourrait être hautement symbolique et en déclencher d’autres. Cela est imprévisible. Ce qui ne l’est pas, par contre, c’est qu’à tout sacrifier pour ne pas déranger les entreprises, le monde ne s’améliore pas.