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Les commentaires de stradiuvarius



  • stradiuvarius 16 septembre 2010 21:08

    Wesh Wesh Cousin, la classe !

    Nique la France, Fuck la france, les Français des Fachos, des porcs....

    Bref rien de neuf sous le soleil quoi depuis début de ta carrière !
    t’a pensé à faire de la musique ?



  • stradiuvarius 16 septembre 2010 19:56

     

    Nous aimerions que Reding ait la même propension à s’indigner des expulsions de Roms de France que du non usage fait des millions d’Euros injectés dans l’économie Roumaine pour intégrer ou améliorer le sort de ces mêmes individus. La passivité est ici complice dans un pays gangrené par une Mafia endémique.

    Nous aimerions également et puisque la Commission en est à distribuer de manière brejnevienne des points de bonnes ou mauvaises conduites relativement aux « traités signés par les états membres » que les votes des Français, Néerlandais, Irlandais ainsi que de tous ceux qui en Europe n’ont pu s’exprimer en rejetant le projet de constitution en 2005 soient rétrospectivement et démocratiquement admis . A savoir que la légitimité de Mr Barosso comme de cette vache luxembourgeoise est inexistante et que les Français ne reconnaissent qu’un seul principe : Celui de leur souveraineté NATIONALE !

    Point BARRE !  



  • stradiuvarius 8 mai 2010 21:49

    Le débat démocratique, nous l’avons depuis 1989, c’est-à-dire 20 ans,  et l’apparition du voile dans les Collèges en France. Il y a donc aujourd’hui un consensus entre l’opinion publique , les « élites » et les politiques pour en interdire le port. Ne reste finalement que la Loi pour être votée. Le débat appartient donc au passé.

    Quand à la question des « identités collectives » à rebours de la tradition Française, Jacobine, fortement centralisée. C’est un fantasme Anglo-Saxon que de penser que la structuration de plusieurs communautés de type Apartheid vivant les unes à côté des autres, s’ignorant de facto par le poids de leurs différences affichées (La Burqa en est une), soit possible en France. Le privé est l’espace ou peut s’élaborer librement votre philosophie, vos croyances, vos coutumes. Votre voisin et le reste du pays  s’en moquent. l’espace Publique par contre appartient à tout le monde, c’est par conséquent un endroit ou l’on adopte un comportement et une tenue vestimentaire  adéquates rappelant que vous n’êtes pas en France dans un pays Musulman ou la Charia s’applique, que la Loi fait de la femme votre égal quoique vous en pensiez. In fine Ce n’est pas un problème de salaire, de question sociale ou d’Euro, c’est de l’EDUCATION et donc du savoir vivre.  



  • stradiuvarius 7 mai 2010 01:44

    Je suis partagé entre 2 sentiments contradictoires concernant la Grèce. D’un côté, un pays dont l’économie souterraine représente 20 à 30 % de l’économie totale ne peut s’adosser confortablement à l’euro et vivre des sacrifices que d’autres ont douloureusement entrepris.
    D’un autre, comment un pays peut-il être à ce point livré en pature aux rats de la spéculation et de la finance ?



  • stradiuvarius 1er avril 2008 03:48

    Ce que dit ici Fouaid est plus que pertinent !



  • stradiuvarius 26 février 2008 21:27

    Merci pour ces precieux eclaircissements "Beubeu"...



  • stradiuvarius 23 février 2008 01:15

    "(pas l’Europe des croisés !)... " ni celle des foulards, des Minarets, des turbans , des Imams, des 5 prières par jour, des moutons égorgés ou des Erdogan Islamistes au passage !

    Réciprocité INTEGRALE ..... ou chacun RESTE chez soi



  • stradiuvarius 23 février 2008 00:30

    Qu’est ce qu’on dénomme "Islam Historique" en Europe ?

    Celui qui s’est fait sur la dhimitude imposée par les Turcs Ottomans Génocidaires dans les Balkans au prix de conversions forcées et d’impots ou celui des Lumières à savoir la Liberté de conscience qui implique un choix consenti et LIBRE ?

    Quand va on enfin ouvrir les yeux sur le caractère NON européen des Turcs ?

     



  • stradiuvarius 21 février 2008 02:39

     

     Certain semblent ici découvrir à rebours le "sex des anges" à savoir que de consensus européen ,il n’est point....

    L’Europe politique , coquille vide qui ne dit point son nom parce que ne s’appuyant que sur de sombres génuflexions afin que le "cycliste ne s’arrête...sinon il tombe" (dixit le poète européen J Delors), n’a plus aucune base démocratique , citoyenne pour lui donner une direction, une assise ou une volonté politique.

    Le machin tourne a vide donc et n’est plus capable que de produire ce qu’il a toujours su faire le mieux : du papier, du traité qu’on qualifiera post mortem "d’avancées significatives" en contemplant la dépouille.

    En attendant, on accumule les bourdes (Kosovo), les non-sens et la soumission en règle au nouvel ordre mondial insufflé par G Bush qui nous refile aujourd’hui le bébé Balkanais (les drapeaux Américains parlent d’eux-mêmes) et qui ne tardera pas demain à nous faire avoir une indigestion avec l’encombrant brontosaure Turc !

     



  • stradiuvarius 21 février 2008 01:19

    Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, c’est le XVIII ème siècle sous la férule des "lumières" qu’il a été inventé menant au "printemps des peuples" un siècle plus tard c’est à dire 1848 .....

    Le XIXème est singulièrement celui des Empires (coloniaux ou pas) - Ottoman, Prussien, Austro-Hongrois, Napoléonien dont la dislocation invitera soit dit en passant les Européens aux 2 boucheries mondiales du XXème. Première remarque donc, le Droit des peuples "à disposer d’eux mêmes" implique et questionne aussi et dans un premier temps celui de la légitimité ou de la Légalité. Le tout étant clairement de savoir ou de déterminer ce qui constitue ses caractéristiques puisque le Non état de guerre et la pacification permanente suffisent à priori à Bruxelles à répondre dans l’affirmative à toute demande formulée dans ce sens ?

    Ce qui pourrait constituer un précédent concernant les Basques, les Corses, les Alsaciens, les Gallois, les Ecossais ou les Frisons étant entendu que la simple éxistence d’une communauté soudée et rassemblée autour d’une langue, d’un Dieu ou d’un passé quand bien même fantasmagorique semble satisfaire au éxigences régionalistes des Technocrates.

    Concernant le Kosovo quel est il précisément ? Sur quoi se repose-il ? l’origine albanophone, ? le socle religieux commun ? la cristalisation de la Haine éprouvée à l’endroit des Serbes ? l’Histoire ? Ou tout simplement la supériorité du nombre puisque qu’il s’avère que les Serbes y sont minoritaires aujourd’hui (10 %) ?

    Et Pourquoi dans le même ordre et sous les mêmes hospices ces derniers ne demanderaitent-ils pas une indépendance de principe au kosovo naissant dans les régions du Nord du "pays" ou ils sont (toujours) majoritaires sous prétexte que ces derniers souhaitent AUSSI rester entre eux ?

    Comment l’UE va t elle réussir à refermer la boite de Pandore qu’elle a négligemment et de manière criminelle réouverte au regard de l’histoire et pour le compte d’un pouvoir qui reste pour elle introuvable puisque les grandes nations européennes (aidées par les responsables citoyens que nous sommes) lui disputent voir lui baffouent ce droit ?

    Lamentables tartuffes !

     



  • stradiuvarius 21 février 2008 00:08

     

     ""Mais finalement ,quelles différences entre mafia criminelle et mafia politico- financière ?"

    Très bonne remarque.

    D’ailleurs, n’est il pas vrai que l’économie Turque (donc son PIB) est aujourd’hui pour moitié viciée par la Mafia et ce que d’aucun appelle pudiquement l’économie souterraine/parallèle.
    Pensez donc l’aubaine pour Erdogan que de voir le contribuable européen assainir et blanchir par ses deniers l’institutionnalisation Mafieuse qui gangrène et gonfle artificiellement les résultats "encourageants" du pays !

     



  • stradiuvarius 20 février 2008 22:57

    La fin de l’Empire Romain d’Occident c’est le Vème siècle (476).

    la Fin de l’Empire Romain d’Orient à savoir BYZANCE détruite et entièrement mise à sac par les TURCO MONGOLS 1453.

     Le centre de gravité de la brillante et fabuleuse Europe a été en éffet, et jusqu’à l’arrivéee des Turcs, Constantinople.

     L’instauration du Califat (et de la religion Musulmane) ainsi que les conquètes Européennes (Balkans) entreprises par les Turcs ont de manière définitive scellé la coupure entre le monde Asiatique Turc et l’Occident.

    2 mondes peuvent parfaitement cohabiter pacifiquement sans se marier DE FORCE par ailleurs !



  • stradiuvarius 20 février 2008 22:01

    "Je souligne juste au passage que Schuman et Monnet ne pouvaient envisager une Grande Europe sans la Turquie."

    Merci de bien vouloir nous éclairer sur les sources précises dont vous tenez ces informations !

     A savoir qu’il y a l’impérieuse nécessité que les Turcs éprouvent à rejoindre la prospère Europe d’un côté, et peut-être de l’autre tout simplement le refus souverain et démocratique des européens d’acceuillir un pays Asiatique et Musulman en leur sein non ?



  • stradiuvarius 20 février 2008 21:43

     

    « Pour Chypre, je trouve ahurissant qu’on insiste sur la reconnaissance de la partie grecque de l’île comme seul gouvernement légitime, alors que celle-ci a refusé le plan d’intégration du nord voulu par l’ONU. Si l’armée turque est dans le nord…. »

    Faut-il rappeler que l’ONU a fermement condamné l’intervention militaire Turque de 1974 et que pas un état au monde (hormis Israël évidemment) ne reconnaît aujourd’hui à Chypres Nord une quelconque reconnaissance Juridique ?

    Il semblerait ainsi que la conquête armée, la force militaire n’aient plus comme corollaires une nécessaire mise sous tutelle faisant d’un pays conquis , un pays soumis comme ce put être le cas jadis.

    Le Kosovo n’a pas encore été reconnu de manière officielle par les instances internationales.

    Chypres Nord n’est en effet pas (encore) gangrené par la mafia puisque son économie dépend directement de la Mafia Turque. Vous avez raison sur ce point !   



  • stradiuvarius 20 février 2008 21:32

    « Il y a du chemin à faire pour la reconnaissance du génocide arménien, je vous l’accorde, mais les Turcs, en général, sont soucieux qu’on reconnaisse aussi que les exactions perpétrées contre les populations turques à la même période, et qu’on se souvienne que le pays entier était menacé d’extinction. »

    La collusion dangereuse avec l’Allemagne du Kaiser pose la responsabilité directe des Jeunes Turcs quant à l’éventuelle dislocation  définitive de  son empire agonisant. Le massacre organisé de 1,5 millions d’Arméniens s’inscrit ici dans une logique que vous soutenez assez piteusement à savoir que « menacé » de disparaître, l’Empire Ottoman n’avait d’autre alternative que la paranoïaque désignation d’un Bouc émissaire responsable. Ainsi l’Assassinat de Masse n’est plus un crime en soi mais devient de manière vulgaire et indécente, sous votre plume, un dommage collatérale pire un détail de guerre.

    Que dire de l’infernal machinerie orchestrée par Himmler en 1944, la déb^cle étant proche, lequel faisait passer de manière prioritaire les wagons à bestiaux bourrés de Juifs vers les Camps de la mort sur les armes ?



  • stradiuvarius 8 décembre 2007 15:04

    Bonsoir Philippe,

    Merci pour votre réponse. J’ai en effet un peu hésité avant que de prendre la régence comme métaphore, pour Ubuesque que puisse être l’Europe « démocratique » actuelle. J’ai notamment bien ri pour le « moins abscons » que vous soulignez, la concernant :- )

    Je suis de ceux, avec vous, qui ne peuvent comprendre ou supporter qu’un texte à 90 % identique à celui que nous avons rejeté en 2005 ne soit pas (à nouveau) soumis à l’approbation des Français.

    Il y a en effet une (dangereuse collusion) entre les « élites », le pouvoir, les médias, les Turco supporters pour nous expliquer de manière aberrante et surréaliste ce que nous devons faire ,penser ou pire voter.

    Moi en tout cas, je ne me plierai pas, je ne démissionnerais pas...sinon devant un scrutin démocratique qui infirmerait ou contredirait celui de 2005.

    Cordialement,



  • stradiuvarius 7 décembre 2007 23:47

    Comme si il était besoin de démontrer que l’UE n’est pas un projet démocratique.... Il doit y avoir l’URSS ou l’Indochine d’Hô Chi minh pour souffrir la différence parce qu’un Parlement qui à Strasbourg n’a pas même l’initiative des Lois, il doit falloir remonter à la Régence pour constater ce genre d’aberration ! Enfin, si il y en a qui souhaitent continuer à se faire enfler par la rhétorique des « bisous », des « on se tient pas la main ou la barbichette »....Pour moi c’est Non Merci...



  • stradiuvarius 4 décembre 2007 00:38

    J’ai trouvé votre argumentaire très juste Rodofr, et vais de ce pas consulter votre blog.



  • stradiuvarius 3 décembre 2007 23:16

    Il est ainsi préférable d’être pauvre dans un pays Riche plutôt que d’être pauvre dans un pays pauvre. Il est aussi préférable en tant que patient d’être soigné par des biens portants plutôt que par des malades grabataires point de doute la dessus. Le propre du riche, si toutefois il est possible de le définir autrement que sous le seul prisme réducteur de sa richesse ou de ses biens constitués en cheptel comme il est fait par « jesuisunhommelibre », n’est pas de dépenser pour « les autres » mais bien pour lui-même, afin d’accumuler autant de richesses, de bénéfices qu’il lui est permis. C’est le propre de la nature humaine, je ne conteste pas. Un Gps pour sa bagnole, un écran plasma pour les gosses, une piscine pour les vacances ? Mais est-ce vraiment cela la Liberté ? N’y at-il pas là une collusion dangereuse entre confort relatif pour coller aux stéréotypes Bobos du temps et questionnement de l’exercice de sa Liberté à un tout autre niveau ?

    Ainsi, si sa richesse , dans le fait de dépenser ou de partager comme il est dit, était un moyen philanthropique viable d’élever le Libéralisme au rang des nécessités vertueuses pour tous afin de redistribuer ses dividendes voir peut-être d’accéder au sésame suprême de l’ISF , comment se fait il que le nombre de pauvres ne grandisse parallèlement et de manière exponentiel, y compris dans les pays ou le système est le plus abouti, sans rendre les plus démunis, les plus faibles, finalement seuls responsables de leur condition ou de leur endémique « pauvreté » ainsi que de les JUGER comme tel ? Il y a là un paradoxe et une justification simpliste et dangeureuse qui choque si l’on pousse le raisonnement jusqu’au bout.

    Le postulat de base du libéralisme est évidemment une démarche égoïste, autocentrée suggéré par le système. La Liberté ? Mais quelle Liberté au juste ?

    Adam Smith lui-même, idole poussiéreuse de ces Sbires Libéraux en quêtes de référentiels, l’a remarquablement et simplement synthétisé dans cette formulation : « « Mais l’homme a presque continuellement besoin de ses semblables, et c’est en vain qu’il l’attendrait de leur seule bienveillance. Il sera bien plus sûr de réussir s’il s’adresse à leur intérêt personnel et s’il les persuade que leur propre avantage leur commande de faire ce qu’il souhaite d’eux. [...] Ce n’est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière et du boulanger, que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu’ils apportent à leurs intérêts. Nous ne nous adressons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme. »

    Comte Sponville « le Capitalisme est il moral » y répond également en décrivant ses mécanismes qui n’obéissent finalement qu’à ses propres lois, indépendamment de toute notions de bien ou de mal, de bon ou de mauvais. Réduire l’homme à la simple expression de sa « responsabilité » de sa « liberté » ou du « contrat » pour glorieux que puisse être l’idée Libérale qu’on lui accole, c’est faire du moyen la fin et à terme un nihilisme conceptuel qui renvoie donc l’Homme dans les arbres.

    La morale, et tendre vers l’égalité en fait parti dans la notion de ‘justice’ ou de « ’Droit’, est donc introduite par autre chose, ici le Politique, l’intervention humaine, qui sous tend un projet de société, une volonté, une éthique et une organisation cohérente et équitable de la société qui aspire à une harmonisation pour sa propre pérennité ou sa survie, cela afin de corriger les déséquilibres que le Libéralisme comme toute autre système économique induit fatalement. La Gauche y participe ou y participait sans être nécessairement et de manière rédhibitoire « jalouse » ou « envieuse ». Lorsque une idée ou un système, et le libéralisme n’y échappe pas, se drape dans les oripeaux du Dogme et de la Panacée, il n’est plus autre chose qu’un Fascisme et devient l’Homme à abattre. Vous n’êtes plus très loin du compte !



  • stradiuvarius 2 décembre 2007 02:17

    Merci « JL » pour ces précieuses informations.