@Pie 3,14
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Excusez-moi mais mon article est extrêmement factuel.
Il est fondé sur des dépêches de presse très sérieuses, du reste reprises par Les Echos , qui n’est pas spécialement un journal « hystérique ».
Par ailleurs, le style de mon article est précis, sobre et démonstratif.
Il n’a strictement rien « d’hystérique ».
Les milliers de lecteurs pourront en revanche juger que c’est votre attaque personnelle contre moi, pleine de haine, dépourvue du moindre contre-argument, dénuée du moindre raisonnement, qui est à proprement parler un réflexe d’hystérique.
Vous ne répondez à rien des différents points de mon raisonnement.
Vous ne faites que m’insulter, et vous insultez aussi les milliers d’adhérents et de sympathisants qui ont déjà rejoint l’UPR.
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Je comprends qu’il vous est très difficile de réaliser que tout ce à quoi vous avez pu croire n’était fondé que sur du vent et des mensonges. Vous constatez avec effroi que c’est en train de s’effondrer sous vos yeux.
Il vous faut donc un bouc-émissaire pour exprimer votre colère et c’est le rôle que vous m’attribuez.
Vous êtes plus à plaindre qu’à blâmer.
FA
@Sylvain Reboul.
Excusez-moi mais où avez vous lu ce démenti officiel ?
Pouvez-vous nous donner le lien de la dépêche car je ne l’ai pas trouvée ?
Si démenti il y avait, il poserait un « petit problème », car l’interview de la ministre a paru dans le plus grand journal économique et financier finlandais !
Si démenti il y avait, il ne prouverait donc qu’une chose : que les euro-fascistes ont exigé en catastrophe d’Helsinki ce démenti officiel, c’est-à-dire un mensonge officiel : la ministre aurait seulement eu le tort de trop parler.
Du reste, si démenti il y a eu - et je ne l’ai pas vu -, il ne trompe personne. La Bourse de Madrid vient de s’effondrer de 3% ce vendredi soir et les taux sur l’Espagne sont de nouveaux à des niveaux quasi-records.
En bref, je ne comprends pas bien qui « prend les lecteurs pour des imbéciles ».
A qui cette remarque s’applique-t-elle ?
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Par ailleurs, vous semblez faire fi des garanties accordées par la Grèce à l’Espagne.
Vous avez tort : si Athènes faisait défaut et refusait de céder les garanties réelles accordées à la Finlande, celle-ci pourrait se porter devant la Chambre de Commerce Internationale qui condamnerait la Grèce, laquelle verrait alors se détourner d’elle les investisseurs internationaux qui n’auraient plus confiance du tout.
C’est d’ailleurs bien parce qu’il est très gênant de donner des sûretés réelles que la Grèce et l’UE ont fait tout leur possible pour limiter ce type de demandes à la seule Finlande.
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Par ailleurs, je n’ai jamais dit que l’euro « allait mourir » du fait de cette déclaration.
J’ai dit et je répète que cette déclaration fracassante de la
ministre finlandaise des Finances constitue un événement historique car
c’est la toute première fois qu’un ministre des finances en exercice de
la zone euro :
Du reste, si la Finlande décidait de sortir de l’euro :
Enfin, je ne sais pas où vous puisez vos informations pour dire que « la Finlande serait seule contre tous les autres ». La Finlande vient de dire tout haut :
FA
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SUITE ET FIN DES MESSAGES PRECEDENTS
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3°) - reconnaissez-vous que la Ve République avec scrutin majoritaire à l’Assemblée
nationale favorise la « dictature du bipartisme », que cette Assemblée
nationale n’a rien d’une Assemblée nationale, ne représente qu’une minorité de
la population, que c’est une priorité d’en sortir, d’avoir un scrutin à la
proportionnelle intégrale ?
Il est exact que le scrutin majoritaire à deux tours favorise le caractère bipartisan de la vie politique française. Cependant, il est non moins exact que les scrutins à la proportionnelle, comme la France les a connus sous la IVe République et comme l’Italie les connaît, aboutit à un émiettement de la représentation nationale. Il en résulte une très forte instabilité gouvernementale et le triomphe des « combinaziones », des combinaisons et des coups tordus des appareils politiques.
En bref, la
proportionnelle intégrale a des défauts tout à fait considérables.
Contrairement à ce que vous semblez croire, il n’y a d’ailleurs pas de corrélation entre le type de scrutin et la résistance à l’empire euro-atlantiste.
Il est exact que ce sont les députés gaullistes et communistes qui firent échouer la CED en 1954, mais il est non moins exact que c’est aussi sous la IVe République que fut signé et ratifié le traité de Rome. Tandis que c’est sous la Ve République que la Constitution européenne fut rejetée, par recours au référendum prévu par la Constitution française.
Je ne partage donc pas l’idée selon laquelle la « priorité » serait de sortir su système majoritaire pour revenir à la proportionnelle. De toute façon, cela ne changerait d’ailleurs strictement rien au fait que la France a perdu l’essentiel de sa souveraineté.
Pour moi et pour tous
ceux qui nous ont rejoints à l’UPR, la priorité des priorités c’est de se
rassembler au-delà de tout clivage droite-centre-gauche pour faire sortir la France de l’UE, de l’euro
et de l’OTAN afin de rendre aux Français leur démocratie. Il sera temps, ensuite, d’envisager des
systèmes électoraux mixtes (avec une « dose de proportionnelle » par
exemple), quoi permettrait à la fois de donner la parole à toutes les
sensibilités, tout en préservant l’efficacité d’un gouvernement – droite ou de
gauche -pouvant s’appuyer sur une majorité solide et stable.
En guise de conclusion, permettez-moi de souligner qu’ il y a bien d’autres
façon d’assurer une démocratisation de la société française que par la seule
modification du type de scrutin. Je sous renvoie aux nombreuses propositions
que j’ai faites dans mon
programme présidentiel.
Cordialement à vous,
François ASSELINEAU
SUITE DU MESSAGE PRECEDENT
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2°) - vous vous dites gaulliste, pourquoi de Gaulle a pris Pompidou comme premier ministre, un parvenu de la banque Rothschild, qui en 1973 a fait voter une loi privatisant la monnaie, était-ce afin de se concilier les marchés financiers ?
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Non, je ne me dis pas du tout « gaulliste » et le mouvement que j’ai créé ne revendique nullement ce qualificatif. Je vous renvoie à l’explication circonstanciée qui figure sur notre site Internet : http://www.u-p-r.fr/vos-questions-nos-reponses/le_positionnement_politique_de_l_upr/l%E2%80%99upr-est-elle-un-mouvement-gaulliste-2
Permettez-moi, au passage, de vous signaler que les adhérents de l’UPR viennent de tout l’échiquier politique français, qu’une petite majorité d’entre eux est probablement de sensibilité de gauche, et que le mouvement compte des citoyens résolument anti-gaullistes.
S’il est exact que je parle souvent moi-même de Charles de Gaulle, c’est parce que j’estime que ce fut non seulement notre plus grand chef d’Etat du XXe siècle, mais aussi notre plus grand stratège, avant même Clemenceau. Ses analyses géopolitiques demeurent d’une prémonition et d’une lucidité époustouflantes quarante ans après sa mort.
Pour autant, ce n’est pas parce que je cite et que je m’inspire de ses analyses que je tombe en adoration devant le personnage et je suis le premier à reconnaître volontiers que, comme tout homme, il a commis des erreurs, parfois monumentales. Ses erreurs les plus graves ont été, à mon sens :
Votre question se
rattache à ce dernier point et je regrette, comme vous, qu’il ait cédé la pace
à Georges Pompidou, qui n’avait au fond rien de « gaulliste ».
Pour que vous compreniez mieux comment ce dernier est parvenu à la présidence
de la République,
je crois qu’il faut vous ôter de l’esprit l’idée que Charles de Gaulle serait
allé le chercher à la
Banque Rotschild. Je vous suggère en revanche de lire
l’ouvrage très bien renseigné « ‘Le duel De Gaulle-Pompidou » du
journaliste Philippe Alexandre, paru en 1970.
Vous y découvrirez que de Gaulle fit la connaissance de Pompidou en 1944 et que ce dernier resta ensuite fidèlement dans son ombre pendant toute la « traversée du désert ».
Il ne faut jamais oublier que, lorsque de Gaulle appela Pompidou à Matignon en 1962, le fondateur de la France Libre avait 72 ans et qu’il en avait 79 lorsqu’il démissionna en 1969. De Gaulle était donc un homme âgé, peu au fit des questions économiques et financières, aui avait confiance en Pompidou et qui pensa pouvoir se reposer sur lui. C’est progressivement, tout au long des années 1962-1968, que de Gaulle commença à découvrir Pompidou sous une autre facette, et qu’il l’évinça rudement à l’issue des événements de mai 1968.
Il est également certain
que De Gaulle fit tout son possible pour barrer la route de l’Elysée à
Pompidou, y compris en laissant se développer la ténébreuse « affaire
Markovic » pour tenter de ruiner la réputation de celui qui avait été son
dauphin et qu’il ne revit jamais plus après sa mort le 9 novembre 1970.
Notez bien que la loi à laquelle vous faites allusion est postérieure de 2 ans
et 2 mois au décès de Charles de Gaulle.
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@Orange
Je vous remercie pour l’intérêt que vous portez à mes analyses ainsi qu’à
l’Union Populaire Républicaine.
Je réponds point par point à vos questions :
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1°) vous dites que l’euro est dans l’intérêt des USA, mais dans ce cas,
pourquoi The Economist, la
Pravda du capitalisme, a toujours cherché à discréditer
l’euro ?
a) Il n’y a pas que moi, seul, qui le dis !
Ce sont les déclarations et les actes constants de tous les dirigeants
américains qui le prouvent. Si vous lisez par exemple les dépêches dont j’ai
donné le lien dans le présent article, vous verrez que le président Obama a
remis tout son poids dans la balance pour que la Grèce reste dans l’euro. Il
l’avait déjà fait au Sommet du G20 de Cannes, le 3 novembre 2011
De même que son Secrétaire aux Finances Timothy Geithner l’avait fait lors qu’un sommet des ministres des finances en Pologne le 17 septembre 2011. Le Figaro avait d’ailleurs résumé la situation avec le titre « Les Américains font la leçon aux Européens, en vain »
b)- Du reste, je vous suggère de lire l’article du grand journaliste d’investigation britannique Ambrose Evans-Pritchard, paru dans le très sérieux Daily Telegraph du 19 septembre 2000, que nous avons mis en ligne sur notre site.
Cet article fait suite à
la déclassification des documents « Secret Défense » du Département
d’État américain, à laquelle l’administration Clinton a procédé à l’été 2000,
sous l’effet de la loi américaine, pour tous les documents datant de janvier
1950 à décembre 1969.
Voici ce qu’a découvert
l’un des journalistes britanniques les plus réputés, et dont les révélations
n’ont été suivies d’aucun démenti ni poursuite en diffamation :
Des documents déclassifiés du gouvernement américain montrent que la communauté du renseignement des États-Unis a mené une campagne dans les années 1950 et 1960 pour favoriser l’unification de l’Europe. Celle-ci finança et dirigea le Mouvement fédéraliste européen. […]
Les dirigeants du Mouvement européen – Retinger, le visionnaire Robert Schuman et l’ancien premier ministre belge, Paul-Henri Spaak – étaient tous traités comme des employés par leurs parrains américains. Le rôle des États-Unis fut tenu secret. L’argent de l’ACUE provenait des fondations Ford et Rockefeller, ainsi que de milieux d’affaires ayant des liens étroits avec le gouvernement américain.
Paul Hoffman, directeur de la Fondation Ford et ex-officier de l’OSS, fut également à la tête de l’ACUE à la fin des années 1950. Le Département d’État y jouait aussi un rôle. Une note émanant de la Direction Europe, datée du 11 juin 1965, conseille au vice-président de la Communauté Économique Européenne, Robert Marjolin, de poursuivre de façon subreptice l’objectif d’une union monétaire. Elle recommande d’empêcher tout débat jusqu’au moment où « l’adoption de telles propositions serait devenue pratiquement inévitable »
Lorsque je dis que l’euro a été conçue par les Américains, il ne s’agit donc pas d’un goût pour la « conspiration » ou d’une hypothèse lancée en l’air. C’est parce que les documents « Secret Défense » les plus officiels de l’administration américaine l’attestent.
c) En regard de ces faits, excusez-moi de vous dire que les prises de position du magazine « The Economist » ne pèsent d’aucun poids.
D’une part, et contrairement à ce que vous affirme, ce magazine n’est pas « la Pravda du capitalisme mondial ». C’est un journal qui défend une vision « radicale » (en termes britanniques), c’est-à-dire ultra-libérale . Il a soutenu des conservateurs comme Margaret Thatcher ou Ronald Reagan comme des travaillistes (Tony Blair) ou des démocrates (John Kerry, Barack Obama et Bill Clinton). Partisan de l’intervention américaine au Viêt Nam mais très critique envers l’opération américaine en Irak, il a également soutenu et épousé certaines causes comme la décolonisation, le mariage homosexuel , la légalisation de la consommation de drogues, l’opposition à la peine de mort,. Il a clairement affiché son opposition au traité constitutionnel européen et de l’euro, mais cela au nom du libéralisme : il y voit le risque d’un monstre bureaucratique et ses analyses sont proches, en France, de celle de Charles Gave par exemple. Il n’y a pas de réflexion géopolitique dans cette approche.
D’une part « The Economist » est un magazine britannique et non américain. Or plus de 75 % des Britanniques sont pour le moins « eurosceptiques » et le magazine doit bien s’adapter à son public. N’oublions pas que le Royaume Uni a refusé d’entrer dans l’euro et que sa population se félicite tous les jours de ce chois qui remonte à deux décennies.
Si vous alliez lire ce qu’écrit le « Financial Times » ou le « Wall Street Journal », qui méritent davantage le qualificatif de « Pravda du capitalisme mondial », vous y trouverez des articles sur l’euro d’une tonalité très différente.
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SUITE DANS LE MESSAGE SUIVANT
@Pie 3,14
On se demande décidément à chaque fois ce qui l’emporte chez vous : la mauvaise foi, le cynisme, la suffisance, ou plus simplement la sottise.
Vous vous gaussez du prétendu nombre infime que nous représenterions.
Selon vous, cela prouverait que nos analyses ne trouveraient pas écho dans l’opinion.
Votre ironie est de la même veine abjecte que celle d’un tortionnaire qui aurait soumis un prisonnier à la torture et qui se moquerait de lui parce que son visage tuméfié et ensanglanté le rendrait « peu séduisant ».
Pour répondre à l’abjection de votre rire gras, sachez que la
candidature
de François Asselineau à l’élection présidentielle a été
officiellement déclarée le 3 décembre 2011. Elle s’est accompagnée de la
présentation d’un programme présidentiel, qui est généralement jugé par
tous les esprits impartiaux et de bonne foi qui l’ont visionné, comme
le plus cohérent, le plus précis, le plus pédagogique, le plus
juridiquement irréfutable, le plus techniquement fiable, et le plus
radicalement novateur de tous les autres programmes présentés aux
Français :
http://www.u-p-r.fr/wp-content/uploads/2012/03/Programme-presidentiel-Francois-Asselineau.pdf.
Pourtant, cette candidature a été systématiquement passée sous silence dans tous les grands médias audiovisuels de notre pays.
Selon les relevés chiffrés du CSA, les temps de parole et d’antenne
cumulés, consacrés par toutes les télévisions françaises aux candidats
déclarés à la présidence de la République entre le 1er et le 27 janvier
2012 ont été les suivants :
Ce
silence assourdissant, qui a été également respecté par la grande presse
nationale, a violé expressément les exigences « d’équité » de traitement
entre les candidats déclarés, pendant la recherche des parrainages,
telles qu’elles ont été édictées par le Conseil Supérieur de
l’Audiovisuel.
En effet, suite à notre saisine expresse, M. Michel Boyon, président du CSA, et Mme Christine Kelly, présidente du groupe de travail « Pluralisme et campagnes électorales » du CSA, ont bien voulu nous confirmer, par écrit [lettre du président du CSA -> www.u-p-r.fr/wp-content/uploads/2012/02/PRESIDENTIELLE-Lettre-du-CSA.pdf] et par oral, que la candidature de François Asselineau devait bénéficier de ces dispositions.
Le
silence sans faille de tous les grands médias du pays sur la candidature
de François Asselineau a été d’autant plus intolérable et choquant que
ces mêmes médias ont accordé, en cette période de pré-campagne
présidentielle, une couverture nationale à des candidats fantaisistes,
ou à des candidats isolés n’ayant ni parti politique ni sympathisants
pour les soutenir, ou même à des responsables politiques qui ne sont pas
candidats déclarés.
Venir nous dire que nous n’avons pas rencontré d’écho dans l’opinion, alors que nous sommes dans une dictature médiatique féroce qui réserve 120 heures en un mois à l’UMPS sur les télévisions et 0 heure, 0 minute et 0 seconde à l’UPR, témoigne de la noirceur de votre âme.
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Cela témoigne aussi de votre sottise car vous ne comprenez pas ce qui se passe de façon souterraine dans la société française.
Selon les sondages, 65 à 70 % des Français estiment que la campagne présidentielle est mauvaise, indigne ou honteuse. En effet ! C’est justement parce qu’elle camoufle les véritables enjeux !
Vous apprendrez en outre avec effroi que notre mouvement politique connaît une ascension de nature exceptionnelle.
L’Union Populaire Républicaine (UPR) compte, au 8 mars 2012 :
Plus de
220 sympathisants recherchent des parrainages depuis plusieurs mois.
Les réunions publiques que François Asselineau tient dans toute la
France attirent de plus en plus de monde.
Son long programme présidentiel a déjà été visionné 51 000 fois sur le seul vecteur Dailymotion (http://www.dailymotion.com/video/xmsihw_presidentielle-2012-le-programme-de-francois-asselineau-president-de-l-upr-1-10_news).
Les deux seuls passages du président de l’UPR sur des télévisions ayant une audience significative réalisés à l’automne dernier ont obtenu des scores de visionnage et d’approbation qui ont étonné les journalistes eux-mêmes.
Etc., etc.
Continuez donc à vous moquer de nous Pie 3,14 !
Continuez à soutenir le fascisme bleu aux étoiles d’or, qui est en train de mettre la Grèce à feu et à sang, en attendant le tour de l’Espagne, du Portugal, de l’Italie et de la France.
Continuez à penser que la dictature européiste nous musèlera éternellement.
Votre réveil n’en sera que plus brutal.
Excellente réponse de Mahler.
Alchimie ne répond en rien à mon article.
Il est contre.
Pourquoi est-il contre ?
Tout simplement parce que, tel le chien de Pavlov, il a appris à aboyer lorsque l’on dévoile, toutes preuves à l’appui, qu’est la construction européenne.
Et cela pour avoir un sucre.
FA
@M. Pelletier
Tiens donc ? Vous êtes un expert de la zone euro !
Eh bien expliquez donc à nos lecteurs :
1)- le sens exact de la lettre récente du président de la Bundesbank au président de la BCE, au sujet de la collatéralisation de TARGET 2
2)- dans quel objectif M. Weidmann a décidé de faire « fuiter » cette lettre dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung, très probablement sur instruction de Mme Merkel dont il a été l’un des plus proches collaborateurs ?
3)- quel est le scoop que prépare actuellement la Buba et le sens de ce scoop ?
4)- quel est le point de vue de la Banque centrale néerlandaise ?
J’attends vos réponses circonstanciées.
Sinon, votre prétention à une « excellente connaissance de la zone euro » sera d’une suffisance et d’une fanfaronnade extraordinaires.
François Asselineau
@Mor Aucon
Rira bien qui rira le dernier.
Je persiste à annoncer la mort de la zone euro.
J’avais raison quand je le disais il y a 10 ans.
J’avais raison quand j’expliquais que l’on en était proche il y a « à peine quelques mois ».
Et j’ai raison quand j’explique que l’acte de décès se rapproche désormais très vite.
Je n’exclus pas du tout des surprises énormes dans les toutes prochaines semaines.
Mais évidemment, pour comprendre ce qui se passe VRAIMENT, il faut avoir ces quelques connaissances en matière de fonctionnement de la zone euro et de ce qui se passe Outre Rhin qui manquent tant aux européistes comme vous.
Au fond, vous êtes « pour l’Europe » mais vous n’y connaissez strictement rien.
Vous répétez docilement ce que vous avez vu sur TF1.
Quant à l’absence totale de réaction que produit chez vous ce clip aussi grotesque que scandaleux, il en dit long sur la mauvaise foi abyssale qui vous habite.
François ASSELINEAU
@Alexalpin
Votre malveillance éclate de nouveau en plein jour puisque votre réponse prouve que vous ne lisez strictement rien des réponses - déjà faites maintes fois - aux attaques mensongères que vous colportez.
Voyez donc supra la réponse faite par Eddy Roos (qui est la 3ème meilleure classée par nombre de « + ») au sujet de ce mensonge éhonté qui voudrait que je ne m’attaque « jamais à l’UMPS ». Je m’y attaque d’une façon autrement plus cinglante et percutante que Mme Le Pen.
Votre prose est décidément typique des cybermilitants du FN : confrontés aux preuves les plus flagrantes de la duplicité des dirigeants du FN avec le système européiste , ils ne savent, comme vous, que m’insulter et colporter des mensonges.
A propos de cette complicité des dirigeants du FN avec le Système européiste qu’ils font semblant de combattre vigoureusement, je vous suggère d’ailleurs de lire notre dernière étude en date sur la profession de foi de Mme Le Pen aux élections européennes de 2009 : https://www.facebook.com/note.php?note_id=10150469638987038
Jamais, au grand jamais, les cybermilitants du FN ne sont capables de produire une réponse circonstanciée sur le fond de nos argumentaires.
Vous avez tort d’agir de la sorte : des milliers de lecteurs lisent, observent, et méditent sur la vacuité sidérale de votre argumentaire de fond. C’est l’un des éléments qui explique pourquoi l’UPR ne cesse d’engranger des adhésions.
FA
@Alexalpin
Je prends connaissance de vos messages où la malveillance le dispute au faux raisonnement.
1°) Vous m’objectez que je ne pourrai pas appliquer mon programme parce que je n’aurai pas de majorité à l’Assemblée nationale ?
Mais vous rendez-vous compte que l’on pourrait faire cette même et sotte objection à Mme Le Pen, M. Dupont-Aignan, M. Bayrou, Mme Joly, M. Mélenchon, M. Poutou, etc ? A cette aune, seuls Nicolas Sarkozy - et à la limite François Hollande - pourraient légitimement se présenter !
Cette objection fut d’ailleurs celle qui fut faite, fin 1980 et début 1981, par les partisans de Giscard pour contrer la candidature de François Mitterrand. Sitôt élu, celui-ci prit la décision de dissoudre l’Assemblée nationale et les Français envoyèrent un raz-de-marée de députés PS...
En réalité, l’expérience des 30 dernières années a prouvé que l’élection présidentielle est l’élection décisive et que les Français confirment et amplifient leur choix aux législatives.
C’est d’ailleurs l’une des logiques de la réforme du quinquennat et de la coïncidence de dates avec les législatives à la suite.
Si je suis élu, ne doutez pas un instant que ce sera à l’issue d’un tremblement de terre politique et social et que nous verrons alors fleurir des dizaines de milliers de candidats à la candidature UPR aux législatives qui suivront, et que nous aurons alors une très bonne chance de remporter la majorité.
Et si tel n’était pas le cas, je n’en aurai pas moins été élu sur un mandat clair que je mettrai en oeuvre aussitôt. Le recours au référendum, ou au droit de dissolution ultérieur qui n’a pas été abrogé, pourrait alors trancher les éventuelles difficultés qui surviendraient.
2°) Vous m’objectez qu’il est faux de dire que j’ai brisé ma carrière parce que je suis toujours haut fonctionnaire ?
Votre attaque est misérable : je n’ai jamais dit que j’avais abandonné mon emploi et que j’étais allé pointé aux Assedic, j’ai dit et je maintiens que j’ai brisé ma carrière. Car si je n’avais pas défendu ce que je crois être la vérité et la justice, si j’avais obéi comme tout le monde, je serais actuellement à la tête d’un ministère ou d’une grande banque et mes rémunérations seraient 10 fois au moins celle qui est la mienne.
Sans compter l’opprobre psychologique dont j’ai souffert dans mon milieu professionnel et qui est difficile à supporter. Le fait que vous crachiez là-dessus est une infamie.
Puisque vous affirmez bien connaître la fonction publique, vous devriez quand même savoir que je suis protégé par son statut, qui interdit les licenciements. Il n’était donc légalement pas dans le pouvoir de M. Sarkozy de me chasser de la fonction publique.
En revanche, il a été dans son pouvoir de me faire regagner mon corps d’origine. Il se trouve que c’est l’un des grands corps de l’Etat qui bénéficie, depuis des siècles, de l’avantage de fournir une protection à ses membres et de les autoriser notamment à faire de la politique : MM. Giscard d’Estaing, Rocard, Juppé, etc. étaient membres de l’inspection des finances, comme MM. Pompidou, Balladur, Mme Garaud étaient membres du Conseil d’Etat, et comme MM. Chirac, Séguin étaient membres de la Cour des Comptes.
Du reste, si l’on chassait les fonctionnaires des partis politiques, il ne resterait plus grand monde dans bien des partis, à commencer par l’entourage de Mme Le Pen.
Par ailleurs, je vous rassure : les déplacements que j’ai faits en province (une moyenne de 2 jours par mois == et toujours à mes frais ==) n’ont pas perturbé mon travail à l’inspection et je vous signale que je gagne nettement moins que Mme Le Pen, qui occupe un siège de député européen depuis plus de 7 ans.
FA
---
@Dornach
Où avez-vous vu que je disais qu’il y avait un préalable ?
J’ai fait remarquer :
@Pie 3,14
1) Comme je ne suis jamais hypocrite, vous me permettrez de réserver le tutoiement à des personnes que je
connais personnellement.
2) Je note que vous n’avez pas adressé votre numéro de téléphone à l’adresse que je vous suggérais pour vérifier que c’est bien moi qui suis derrière l’ordinateur. J’en conclus donc que vous êtes convaincu de la vérité de mes dires. Je vous en remercie.
3) Je n’ignore pas du tout que la France a été bénéficiaire des aides européennes à son agriculture. Je n’ignore pas non plus que c’était il y a... 50 ans. Et que cela fait belle lurette que la France est contributrice nette, au moins 15 à 20 ans.
Donc cet argument ne vaut rien car il n’est en aucun cas une réponse adéquate à votre objection de départ :
Seriez-vous malhonnête intellectuellement ?
François Asselineau
@suumcuique
Au cas où cela vous aurait échappé, mon article ne porte pas sur la situation intérieure en Hongrie. Orban ou pas Orban, Jobbik ou pas Jobbik, la question n’est absolument pas celle que pose cet article.
Il porte sur la possibilité, pour un Etat ayant ratifié les traités européens, de les violer et sur la réaction immédiate que cela entraîne de la part des européistes.A cet arégrd
A cet égard, le cas hongrois est absolument applicable au cas français du point de vue des obligations juridiques vis-à-vis de l’UE.
FA
@Pie 3,14
Je vous remercie de porter attention à mes articles et à mes réponses.
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1)- Je vous confirme que c’est bien moi qui ai écrit cet article et qui vous réponds en ce moment.
Si vous avez un doute, je vous suggère de me faire parvenir votre numéro de téléphone en écrivant sur http://www.u-p-r.fr/nous-contacter. Si vous le faites avant 21h00, je vous appellerai aussitôt personnellement, ce qui vous prouvera que je suis bien derrière l’écran..
S’agissant de la couleur des réponses, je ne sais pas pourquoi cela fait ça et c’est une bizarrerie. Il semble que ce soit dû au fait que ce n’est pas moi mais notre webmaster qui, pour m’éviter cette tâche, met en ligne mes articles sur Agoravox, avec le même nom et code que moi. Et il semble que Agoravox ne mettrait la couleur adéquate qu’en fonction de l’IP et non pas du nom et du code.
Donc ce n’est ni l’une ni l’autre de vos deux solutions, mais une troisième.
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2) Sur le reste, je note avec plaisir une évolution dans les diatribes à mon encontre. Au lieu de m’agonir d’injures et de sarcasmes comme précédemment, vous me posez des questions sur la suite des événements. Vous posez ces questions de façon narquoise, bien entendu, mais cela témoigne quand même du fait que vous acceptez cette chose minimale en démocratie, qui est d’écouter les arguments d’autrui.
Bien entendu, je n’ai pas le temps de répondre ici en détail à tout le florilège de questions que vous me posez. Mais sachez que j’ai mille choses à répondre, et que je ne demande que cela : être invité sur des grands médias pour débattre avec des personnes qui, comme vous, me feraient ces objections.
Pour ne répondre qu’à l’une d’entre elles, je parlerai de votre objection qui assure à nos lecteurs que "tous les programmes de financement européens disparaissent. La plupart des projets culturels , économiques, patrimoniaux s’en passeront avec légèreté tant le plaisir d’être enfin libre sera prédominant ; Les agriculteurs aussi seront ravis« .
Cette objection prouve deux choses :
Il faut donc que vous sachiez que ce que vous appelez »les programmes de financement européens« sont INTÉGRALEMENT payés par le contribuable français, et même très largement surpayés.
Vous ignorez à l’évidence que l’Union européenne ne fait rien d’autre que d’être une pompe aspirante et refoulante d’argent, sans rien produire par elle-même. Les programmes européens sont donc financés par les Etats-Membres et l’UE calcule le »taux de retour« de chaque Etat-membre entre ce qu’il verse à l’UE et ce qu’il en reçoit.
Actuellement, la France (i.e les contribuables français) verse environ 21 milliards d’euros à l’UE et en reçoit environ 14. La France est qualifiée de »contributrice nette". D’autres Etats, la Lettonie par exemple, reçoit bien davantage qu’elle ne verse.
Cela signifie :
J’espère que cet échange vous convaincra que je ne suis pas l’olibrius complètement coupé des réalités que vous postulez sans m’avoir jamais rencontré.
Je me permets aussi de vous signaler que j’ai très bien connu les allées du ministère des finances et du Commerce extérieur et que je ne suis pas le benêt que vous croyez sur la question de la politique monétaire, commerciale ou industrielle.
En conclusion, je me permets de signaler qu’il est quand même outrecuidant de dire que l’Europe nous protège de quoi que ce soit et de nous faire le coup de l’Apocalypse.
L’Apocalypse, ce sont les prophètes de l’euro et de l’UE qui nous y ont plongé.
Et les choses ne vont faire hélas que s’aggraver, comme le prouvent d’ailleurs les toutes dernières nouvelles de ce jour (rétrogradation de la note de la France par S&P).
Excusez-moi, mais ceux qui ont des comptes à rendre, ce n’est pas moi ni les membres de l’UPR. C’est D’ABORD ceux qui ont plongé la France dans ce désastre et qui ont eu des prévisions fausses à 100% depuis 20 ans.
François Asselineau
@Olivier Perriet
Pourriez-vous me préciser dans quel texte ou dans quelle interview, j’aurais lancé « le slogan »Demain matin, on sort de l’UE !" ?
Si vous condescendiez simplement à lire ce que j’écris - et à visionner ce que je dis - vous découvririez que le point central de mon programme présidentiel consiste à mettre en œuvre l’article 50 du TUE, dont je vous rappelle le texte ici :
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ARTICLE 50
1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant
l’État
membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions
du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité
qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point
b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne.
5. Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
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La première mesure de mon programme (il y en a bien d’autres) consiste à appliquer scrupuleusement cet article 50, ce qui signifie que :
1) - conformément à l’article 50 alinea 1, je propose clairement à mes compatriotes de me donner mandat pour faire sortir la France de l’Union européenne. Ce à quoi se refusent Mme Le Pen, M. Mélenchon et M. Dupont-Aignan.
2)- conformément à l’article 50 alinea 2, une fois élu chef de l’État, je « notifierai l’intention » de la France de se retirer de l’UE.
3)- conformément à l’article 50 alinea 2, la France et l’UE négocieront alors "un accord fixant les modalités de notre retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union".
4)- conformément à l’article 50 alinea 2, cet accord sera conclu avec le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
5)- conformément à l’article 50 alinea 2, les traités européens cesseront d’être applicables à la France à partir
de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ainsi négocié.
6)- conformément à l’article 50 alinea 2, si l’on ne parvenait décidément pas à un accord avec la majorité qualifiée du Conseil, la France sortirait de l’UE de plein droit deux ans après la notification du point 1.
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Pouvez-vous me dire en quoi tout cela ne serait qu’un « slogan » ?
Puisque je ne propose aux Français que d’appliquer la procédure juridique, sereine et réfléchie de sortie de l’UE, sur laquelle sont tombés d’accord les 27 États membres de l’Union européenne en ratifiant ces dispositions, j’aimerais vraiment savoir ce qui vous autorise :
Je suis navré de vous le dire mais, pour tout lecteur de bonne foi, c’est votre morgue, votre ignorance des dispositions juridiques et vos insultes qui signent le manque de « sérieux ».
François Asselineau
@Actias
Sortir de l’Union européenne, un « point technique ».....
On ne nous l’avait jamais faite, mais il y a un début à tout.
Vous avez sans doute le sens de l’humour.
Il est vrai que, dans la famille Le Pen, on ne chipote jamais sur les « détails ».
Au passage, si l’idée de mettre en œuvre l’article 50 pour sortir de l’Union européenne était à ce point anecdotique et sans importance, pourquoi bigre aucun « opposant agréé par les médias » type Le Pen-Mélenchon-Dupont-Aignan ne le propose jamais, affirme au contraire vouloir rester dans l’UE et se conforme à l’omerta sur cet article 50 ?
FA
@Scual
Vous en « apprenez » peut-être beaucoup sur moi, mais j’aimerais, moi, en apprendre davantage sur le raisonnement qui vous permet de me traiter de façon si hautaine et dédaigneuse.
J’ai donc 6 questions à vous poser :
François Asselineau
@non667
C’est Mme Le Pen et non pas moi qui ment.
Car l’article 50 dont elle ose se prévaloir ne prévoit absolument pas de « renégocier » les traités.
Voici ce que dit très précisément l’article 50 :
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ARTICLE 50
1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière
des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant
l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne.
5. Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
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Mme Le Pen attribue donc à cet article 50 une finalité qu’il n’a absolument pas.
C’est fâcheux pour une responsable politique qui est censée avoir fait des études de droit !
En réalité, il s’agit d’un enfumage délibéré : en invoquant cet article 50 pour entamer des renégociations afin de modifier les traités, Mme Le Pen montre que son seul objectif est d’embrouiller l’esprit des Français qui portent attention, de plus en plus nombreux, aux analyses et aux propositions de l’UPR.
Elle table sur le fait que certains tomberont dans le panneau et se satisferont du fait qu’elle cite les mots « article 50 » pour croire qu’elle propose de sortir de l’UE. A l’évidence, cette escroquerie marche en partie puisque vous venez de nous administrer tristement la preuve que vous êtes vous-même tombé dans le panneau.
Pour le reste, Mme Le Pen ne propose absolument pas de sortir de l’UE, ni même franchement de l’euro. Nous avons eu l’occasion de le démontrer ici même :
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/non-le-fn-ne-veut-pas-sortir-de-l-106818
François ASSELINEAU
@Papi
Vous êtes de plus en plus comique !!
Nous n’avons fait que reprendre, une par une, des citations précises et sourcées du programme officiel du FN et des déclarations de Mme Le Pen et de Louis Aliot, qui est le n°3 du FN après son beau-père et sa concubine.
Pourtant, vous vous plaignez en y voyant un jet d’acide contre le FN !
C’est franchement trop drôle.
En fait, vous détestez que l’on regarde de près ce que disent et écrivent le FN et la famille qui le possède.
A part cela, pas l’ombre du début d’une réfutation, bien entendu.
Vous éructez, vous insultez, vous insinuez, vous diffamez...
mais vous êtes bien incapable de répondre point par point à notre article.
Equipe UPR
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