Les commentaires de Danjou
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A l’Auteur : Vous avez écrit : « Bernard Tapie redresseur de sociétés... » I l aurait été plus juste d’écrire : Bernard Tapie fossoyeur d’entreprises... Il n’existe aucun exemple d’entreprise que Tapie aurait redressée. Lorsqu’il a demandé au Lyonnais de vendre Adidas, l’entreprise était très mal en point. Tapie entrepreneur c’est une légende.
C’est juste un affairiste/opportuniste doublé d’un enfumeur de première. J’espère bien sûr que Lagarde, Tapie et associés dans cette carambouille vont manger chaud... Mais j’ai des doutes !! -
Bonjour ecowarrior,
Non, je ne suis pas à Singapour. Pourquoi cette question ? -
Vieux Sachem,
Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. -
J’ai regardé Bayrou chez Ruquier. C’était pathétique. L’apôtre de la vérité n’en est pas à un mensonge prés ! Exemple : « il ne faut surtout pas sortir de l’euro car notre dette augmenterait mécaniquement de 20 ou 30% (idem à la dévaluation) ». C’est faux ! Notre dette serait convertie en nouvelle monnaie (en franc par exemple) et le montant resterait inchangé. Ou c’est un menteur invétéré ou un incompétent total. Les deux certainement.
Si demain l’euro était dévalué de 20%, est-ce que pour autant le montant de notre dette changerait ? Je confirme, ce type est pathétique... -
Bonsoir ddacoudre,
D’accord avec toi. Mais pour sortir du système il faut d’abord que la France retrouve sa liberté et sorte de cette U.E. mortifère. Et çà c’est pas gagné quand on voit l’état de la démocratie dans notre pays. La prise de conscience des citoyens est plus que jamais fondamentale et j’espère qu’elle se concrétisera rapidement et positivement malgré la dictature médiatique des tenants de la pensée unique. Espoir !!Bien cordialement -
Bonsoir Aldous,
Je pense que la réponse est contenu dans les différentes vidéo conférences d’Asselineau. L’Europe projet de l’oligarchie américaine... -
Bonjour Bigglop,
Je partage tout à fait votre point de vue et recommande également les analyses très lucides de Jacques Sapir. Merci de votre commentaire. -
Je ne partage malheureusement pas votre optimisme et ce pour deux raisons : 1 - les contextes international et européen ne sont plus du tout les mêmes que lors des réformes Schroeder. L’Allemagne a réussi parce que ses partenaires étaient alors en bonne santé (exportations). 2 - Les économies allemande et française ne sont pas comparables (industrie, démographie...)
Enfin vous oubliez le taux de pauvreté en Allemagne (14% me semble t-il) très supérieur au taux français.Enfin je pense que tant que notre monnaie ne sera pas adaptée aux caractéristiques de notre économie nous rencontrerons les pires difficultés. Nos industries sont pour la plupart positionnées sur des marchés hyper concurrentiels ou la notion de prix est capitale (principe de l’élasticité de la demande au prix). Ce qui n’est pas le cas de l’Allemagne. -
Bonjour Gaijin,
Malheureusement il me semble que ne soyons encore qu’une minorité à le penser. Quand je lis les résultats des sondages sur Sarkozy (sont-ils crédibles ?) par exemple, j’ai comme un doute sur la prise de conscience d’un majorité de nos concitoyens. Espérons... -
Bonjour Hermès,
La grande mutation ? Pour ma part je pense que nous devrions revenir à des valeurs cardinales dont la valeur travail. Valeur travail dans le sens ou le travail de chacun doit être considéré comme un service rendu à la collectivité. Quant à la monnaie son utilisation a été détournée et dévoyée. La monnaie est devenue un produit comme un autre alors qu’elle ne devrait servir qu’à valoriser un travail et faciliter l’échange.Je considère que la valeur d’un produit est égale à : S (sueur) + MG (matière grise). Tout le reste est gratuit (dont les matières premières).Quant aux politiques nous ne sommes pas condamnés à voter pour ceux qui ont créé le désastre. -
Excusez-moi mais je trouve les propos de votre article consternants. Si le peuple est coupable de quelque chose c’est d’avoir voté pour des politicards mystificateurs et souvent corrompus.
Quant à la crise, remontez à l’origine : la compression des salaires compensée par l’accès au crédit débridé (transfert de 10 points de PIB entre salaire et capital) pour continuer à alimenter la consommation. Ceux qui ont subi sont-ils coupables ?Enfin, en quoi le fait de détenir une assurance vie devrait être considéré comme un acte immoral ? Ce sont souvent les économies d’une vie avec un rendement de 3% par an avant prélèvements. Cà n’est surement pas le bon filon pour faire fortune. Vous avez dit veau d’or ?Reste, et je suis d’accord avec vous, que la condition du travailleur chinois est une honte. Malheureusement c’est devenu le modèle à dupliquer. -
Si vous pensez que je fête, à travers cet article, une victoire électorale, alors je me suis mal exprimé. Il ne s’agit absolument pas de çà. C’est un hommage au peuple Italien qui ne s’est pas couché devant les diktats des thuriféraires de la pensée unique. Donc qui a « mal voté ». Excusez-moi de trouver çà génial !...
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Très beau travail de synthèse. Excellent billet. Nous sommes effectivement dans les années 30 et la déflation va finir par provoquer la déflagration. Car c’est bien la déflation des années 30 (Chancelier Brunning) qui a amené Hitler au pouvoir et non l’hyper inflation des années 20.
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Tingo,
Merci pour vos messages... Si vous voulez dire par là que les « politiques » en Italie, tout comme en France, sont corrompus vous prêchez un convaincu. C’est bien pour çà, entre autre, qu’ils détestent les intrus (cf Grillo). -
Merci pour ce rappel, j’avais totalement oublié que Berlusconi avait nommé son ancien parti Forza Italia... Un sacrilège. Quand à la pensée unique que vous évoquez, la seule autorisée, nous allons en crever. C’est bien pour çà que le vote des Italiens, même si Berlusconi est infréquentable, me réjouit le coeur et me redonne de l’espoir.
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Quand vous évoquez les gens qui risquent la tôle quand le système s’écroulera de quelle catégorie d’individus parlez-vous ? Classes moyennes ? Les classes moyennes en Italie ressemblent à celles de la France. Salariés, bosseurs et fortement taxées (retenues à la source) elles n’ont pas grand chose à se reprocher. Par contre l’économie parallèle, en Italie, fonctionne à plein régime. Le black principalement, qui est après le calcio le deuxième sport national. Et ce sont plutôt les travailleurs indépendants, les commerçants qui en profitent largement. Serait-ce la clientèle de Berlusconi ? En partie très certainement. Autres acteurs : toutes les PME prospères, avant l’euro, du nord. La monnaie unique, malgré une créativité exceptionnelle, est entrain de les tuer. Que toute cette partie de l’Italie ait voté Berlusconi ou Grillo ne serait pas surprenant.
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Salut Yvance,
Cà c’est bien possible ! Pour avoir vécu et travaillé quatre ans en Italie je sais que « la combinazione » n’est pas une légende et que Berlusconi n’en a pas l’exclusivité. Ceci dit je pense que ce doute légitime n’enlève rien au rejet massif exprimé par les italiens. Le score obtenu par Monti est à ce titre éloquent et çà c’est une excellente nouvelle. -
« Le bon choix ? » pas simple en effet ! Commençons par identifier clairement les causes qui nous conduisent inéluctablement au désastre. Je vous recommande la lecture d’un super bouquin « Les faits sont têtus » dont l’auteur est Olivier Berruyer. J’en extrait quelques citations de Von Hayek, maître à penser de Milton Friedman et des néo-libéraux : « Non seulement le concept de justice sociale est un non sens ; mais il est devenu le prétexte par excellence pour liquider les structures du monde libre... » « L’égalité des chances est un idéal totalement illusoire et tout essai de le faire passer dans les réalités risque de créer un cauchemar. » « Une dictature peut-être un système nécessaire pour une période transitoire... Personnellement je préfère un dictateur libéral à un gouvernement démocratique non libéral. » Voilà un résumé de la pensée qui nous a conduit au chaos, depuis 35 ans.
Enfin une citation d’Albert Einstein : « Ne comptez pas sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre ». -
1969 étant dans votre esprit, je suppose l’élection de Pompidou... C’est vrai que le festival a commencé dans ces années là. Nous fêterons d’ailleurs cette année les 40 ans du décret Giscard Pompidou sur la banque de France.
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Merci Baloo, ce fut un plaisir !
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