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Les commentaires de bavard



  • bavard bavard 14 novembre 2009 23:08

    Ouais, y en a ras le bol de cette histoire de grippe qui n’existe pas. C’est que de l’intox. Qu’ils aillent se faire voir avec leur réaction « citoyenne ».
    C’est des abrutiis. Au XVI e siècle ils auraient soutenu l’inquisition, ils sont aux ordres de l’autorité , de n’importe quelle autorité.



  • bavard bavard 14 novembre 2009 19:27

    Non, mais c’est incroyable, vous êtes un fanatique de « modernisme » ringard, de la déesse de la raison scientifique, vive le progrès scientifique ! Les autres sont des illuminés ! Vive la médecin,e moderne, les labos sauveurs et le camarade Staline, avec des mecs comme vous la vaccination, et la normalité, serait obligatoire !
    J’ai des frissons dans le dos quand je vous lis.



  • bavard bavard 14 novembre 2009 18:57

    Oui, j’ai trouvé la thèse amusante. Au trentième degré...
    Non, les gens ne sont ni aussi machiavéliques et encore moins malins. Ils sont au premier degré.
    Roselyne B croit à son vaccin. Un vendeur croit toujours à son produit. Il n’y a pas tant d’hypocrisie que des idées fixes. Un besoin intense d’avoir raison sinon de se discréditer à se propres yeux. Interrogez-vous, n’êtes-vous pas comme ça ? Ne niez-vous pas quelquefois l’évidence pour ne pas avouer que vous vous êtes trompés ?
    Si les politiques avouent qu’ils se sont plantés sur cette affaire, ils avouent qu’ils ont balancé le fric des contribuables aux labos.
    Les pauvres, le discrédit. Ils ont intérêt à faire circuler une rumeur comme cette article qui viserait à dire « ils sont pas si bêtes » et remonterait leur cotte.
    Mais la vérité est bien plus triste, même pas un petit complot mondial, à peine une affaire de fric. Non, de la bêtise de fonctionnaires gogos qui croient tout ce que leur dit l’OMS, une croyance dans l’insititutionnel, dans les « autorités ». Et c’est sûr que dans les pontes de l’OMS, y a des mecs qui bossent pour les labos. Mais ça leur semble normal, c’est comme la bourse, la finance, le profit, le capitlaisme, point.
    On peur comparer leur grippe à la guerre de 14/18.
    Devoir national, patriotisme. Et les politiques, stupides (peut-être politique c’est un métier pour des gens pas très intelligents et plutôt assoiffés de pouvoir ?) je disais, les politiques décrétaient la mobilisation générale pour une guerre absurde qui profitait aux marchands de canons (ça se trouve les mêmes mecs que big-pharma de nos jours !)
    Là, c’est la mobilisation type « devoir de citoyen » contre un virus qui existe à peine, et ils y croient les politiques, ils sont prêts à se faire vacciner à la télé pour montrer leur détermination à vaincre une maladie qui semble ne pas exister, pas plus que des raisons de faire la guerre aux Allemands en 14/18, comme l’a d’ailleurs souligné Sarkozy le 11 novembre. Mais il a fallu attendre 100 ans pour dire ça, alors que les pacifistes d’alors l’avait compris au premier coup d’oeil !
    Alors ? Les politiques sont-ils stupides ou intensément malhonnêtes ? Le débat est ouvert !



  • bavard bavard 24 juin 2009 07:48

    Moi je trouve le développement excellent.
    Même si je suis personnellement horrifié par le port de la Burqa. C’est pour moi totalement arriéré, et je trouve que planquer les femmes comme ça c’est juste un peu barbare... je suis un mec plutôt anar dans le fondement de mes émotions qui me font ne pas aimer tous les folklores, y compris la messe, shabbat, le pardon des bretons, et la gauche laïcarde avec sa tradition de donneurs de leçon et de profs de philo marxistes et de jacobins de mes deux ! Fuck them all ! Robespierre, Pétain, et tous les monothéistes...
    MAIS il y a une différence entre ses émotions de petit français, et le fait de légiférer. Une obsession « républicaine » de légiférer, toujours plus légiférer. Moi je trouve que tous ces laïcards de choc ont un petit côté guillotineur de 1793 ! Et un petit côté mesquin franchouillard.

    Mais, il faut pas se voiler la face (elle est bonne hein ?).
    C’est contrariant de voir des nanas avec des Burqa (et encore moi j’en vois pas, j’habite à Paris dans un « bon » quartier), pas parce qu’on est révolté par leur sort , ça c’est de la litterature, mais bien que vu l’expansion démographique des musulmans, on a les jetons de voir la France transformée en république islamique.
    Les religieuses ça fait partie du décors et du « Gendarme de St Tropez », mais les femmes en Burqa. Elles semblent sorties de Tintin « Coke en Stock » quand Haddock se prend un plat de couscous dans la tronche envoyé par une fatma.
    Alors les gars, dites-le, vous avez la trouille de perdre les avantages gagnés par Charles Martel à Poitiers

    C’est comme à l’école, j’ai fait la thèse, l’antithèse et je conclus :

    Non, je ne suis pas pour une loi interdisant la Burqa pour toutes les raisons citées par l’article, mais je suis pour l’ouverture de centres de liberté, où qui que ce soit se sentirait une envie de retrouver sa propre détermination et d’échapper à un diktat familial pourrait venir s’exprimer.

    Mais, à tout réfléchir, l’interdiction de la Burqa nous choque parce qu’elle ferait jurisprudence à nos petits particularismes auxquels on tient.
    Mais d’un point de vue pratique, et pour des tas de raisons tenant à notre culture et à notre conception de la liberté, on ne serait pas vraiment contre... à part que si les femmes portant des Burqa étaient verbalisées par la police, leur famille les maintiendrait simplement cloitrée à la maison : la prison en double.

    Non, il faut promouvoir la liberté, et la liberté de ne se promeut pas à coup d’interdictions, messieurs les « républicains » !



  • bavard bavard 20 juin 2009 05:38

    C’est quand même un vrai déchaînement de haine. Curieusement personne n’est modéré au sujet de la scientologie. Ou archi contre, frôlant l’hystérie, ou totalement pour, ne tolérant aucune critique. Et pourtant le sujet n’a rien à voir avec tout cela, mais je pense que les détracteurs n’en ont lu des passages que pour mieux essayer de s’en moquer et le traîner dans la boue, et que les zélateurs manquent souvent d’esprit critique.
    De définir la scientologie par ses principaux défauts est un peu extrême, c’est zapper le contenu réel du sujet. De toute manière les attaquent qu’ils subissent resserrent les rangs, c’est donc une stratégie stupide. Pour ceux qui voudraient vraiment en faire voir à la scientologie c’est la mauvaise méthode, les romains avec la persécution d’état ont perdu contre les chrétiens.
    L’intelligence et pas la force brutale est toujours la bonne méthode pour quoi que ce soit.



  • bavard bavard 19 juin 2009 13:00

    Et ça suffit pour condamner une communauté entière et toute leur croyance ? C’est la première fois qu’il y a des déçus de quelque chose ?



  • bavard bavard 19 juin 2009 12:40

    Pourquoi tant de haine sur des gens qu’on ne connaît même pas ?



  • bavard bavard 17 juin 2009 08:18

    Oui, il est clair que l’UNADFI est une sorte de chien de garde de l’orthodoxie de la pensée. Veillant pour que rien ne bouge. Il n’est pas uniquement question de la scientologie ici, mais de toute tentative de penser différemment, tout ce qui « n’est pas catholique » comme on disait !
    D’ailleurs, si l’on se penche sur les origines de l’UNADFI on trouve pas mal d’inspiration catholique (bientôt rejoint par des laïcs et francs-maçons). Il ne s’agit pas de critiquer qui que ce soit mais de mettre en avance la protection d’idées acquises et bien installées contre toute tentative de rénovation.
    Ce n’est pas nouveau dans l’histoire : il s’agit de la protection des dogmes. De la réalité consensuelle. Et du petit plaisir mesquin d’être « comme tout le monde ». Alors s’étonner qu’un état par essence réactionnaire (qu’il soit de gauche ou de droite) finance une association visant à veiller sur la normalité des citoyens et des intérêts acquis de certains, c’est tout à fait attendu. Jusqu’au moment où le vent change, où la contestation d’hier devient la normalité d’aujourd’hui, et que de nouvelles idées apparaissent et doivent être combattues par ceux même qui encore hier étaient combattus.
    Et ainsi servent des mouvements comme l’UNADFI, éternels mouvement de chasse aux déviants, protecteurs du dogme, quel qu’il soit.



  • bavard bavard 6 juin 2009 14:39

    Avant, on envoyait les gens faire leur devoir : mourir s’il le fallait pour la patrie, comportement citoyen !
    Et maintenant, le comportement citoyen c’est d’obéir aux diktats de la médecine officielle, prendre des « précautions ». Sécurité à tout va.



  • bavard bavard 6 juin 2009 14:26

    Bien sûr, rien n’est absolu. Mais je parle du côté business. Les pratiiciens de la santé sont souvent probes mais ils sont aussi influencés par le pub des labos. Il y a des pathologies complètement inventées. Je parle de ça. Pas des gens réellement malades.
    Je parle des gens qui vivent les aléas de la vie, et que des choses qui dans le passé étaient des comportements humains comme la tristesse, la timidité, la peur, l’anxiété qui devaient être dépassées par le fait de simplement vivre et y faire face, sont devenus des marchés et donc des pathologies in the big book, avec des pilules pour y faire face !
    Je suis angoissé dans le boulot : une pilule...
    Ma femme regarde un autre mec : une pilule
    Mes enfants sont turbulants et ça me prend la tête. Une pilule pour eux et une pour moi, plus un accompagnement psychologique.
    Il ne s’agit pas de progrès mais d’assujétissement.
    Bon, j’exagère, je suis d’un milieu éduqué donc je ne marche pas dans les combines, pour ploucs et pour pauvres qui sont les vrais clients des labos.
    Chez les gens comme moi, c’est plutôt l’homéopathe, l’ostéopathe, l’acupuncteur et le psychanalyste. Mais on est des planqués. On va pas au front.
    C’est les pauvres qui bouffent les médocs, et c’étaient les pauvres qui allaient se faire déchirer dans les tranchées.
    Les marchands de canons, ils étaient dans leur villa au bord du lac Léman.
    Vous croyez que les patrons de labo consomment ce qu’ils vendent ?
    Que dalle, eux ils se soignent sûrement avec des homéopathes et des phytothérapeutes.



  • bavard bavard 6 juin 2009 14:09

    Vous avez raison Nico, il ne faut pas être extrémiste, mais franchement, la partie business est prépondérante. Tout comme avec la guerre.
    Il y a des gens qui s’en foutent plein les poches. Et les pires sont les labos et les marchands d’armes, qui profitent ou créent le malheur des autres pour gagner toujours plus de fric !



  • bavard bavard 6 juin 2009 14:00

    Et ben ça castagne ! Léon, depuis le débat sur la circoncison je croyais que vous êtiez un antisémite mais comme vous aimez Cohn Bendit, vous pouvez pas l’être ! Excusez la digression.
    Mais tout ça c’est du cinoche.
    Bayrou, je pense qu’il est sincère mais il a une image qui s’est dégradée, je sais pas... Il y a quelques années, il m’était sympathique... et puis moins, il y a aucune raison raisonnée, j’en déduis que comme tout le monde je suis un veau manipulé par des courants de mode.
    Bayrou, ça fait un peu foire au bestiau dans les Pyrénées, Cohn Bendit, ça fait juif allemand, style grande gueule et premier de la classe, Sarkozy, ça fait « Ouah les mecs, passez-moi mes Ray Bans », Ségolène, on la verrait plutôt à l’Action Française qu’à gauche, Tapie, et ben ça fait marchand de tapis.
    Je parle de la connotation, de l’indentification, l’image... pas du contenu, je me demande même s’il y en a un avec du contenu (non, je suis méchant parce que moi-même je suis minable !).
    Voilà, un peu de spectacle pour se distraire.



  • bavard bavard 5 juin 2009 20:29

    Cohn Bendit, il est comme Sarko et aussi comme Le Pen, point commun : ils ont pas la langue de bois. Mais ça ne prouve rien d’autre, mais dans le côté show, ils sont meilleurs.
    Bayrou, lui, il est moins drôle, pas de réplique sarcastiques... Plutôt que de lui faire des reproches pour ses écrit datant de 75, et étant devenu avec le temps très douteux, il aurait pu le tuoyer et lui dire « Hé Dani le »rouge« , t’es qu’un vieux ringard de 68 qui bouffe dans la gamelle de Sarko.. » Le jeu c’était à celui qui ferait paraître l’autre plus con, et c’est Bayrou qui a perdu.
    Mais avoir l’air con ou pas, ça n’est pas un programmes de gouvernement !
    Faut dire de Cohn Bendit a la langue bien pendue, c’est ce qui en 68 a fait son succès !
    Si Dani et Sarko s’allient, on aura vraiment un super cirque au gouvernement manquera plus que Tapie pour faire un spectacle ! C’est ça le showbiz.
    Imaginez Bayrou et Ségolène, ça serait moins amusant.



  • bavard bavard 5 juin 2009 19:55

    Les pathologies sont inventées par des psychiatres laquais de l’industrie pharmaceutique qui drogue les enfants. Cest un marché : les enfants chiants et les adultes tristes, ou angoissés.
    Et quoi ? Depuis toujours il y a eu de enfants chiants, capricieux, des adultes tristes et suicidaires ?
    Et quoi, on devrait droguer les romantiques ? Calmer les chagrins d’amour à coup de prozac plutôt qu’à aller se trouver une autre jolie poupoune, balancer de la ritaline à un gosse hyper turbulent plutôt qu’une bonne baffe ?
    Tout ça pour que les businessmen des labos fassent du fric ?
    Le mêmes qui vendaient des canons, et qui devaient donc avoir la guerre ?
    Après le « patriotisme » d’il y a 100 ans. Le charnier de 14/18, la mort obligée pour la soi-disante patrie.
    Et maintenant la « sécurité »... Un nouveau marché. Pour que ces sales capitalistes de marchands d’armes ou de marchands de médoc s’en foutent plein les fouilles !
    Ils droguent les enfants, en font des dêchets, aggrandissent le trou de la la sécu, pour leurs profits immodérés.
    il y a 100 ans, une jeunesse martyrisée sur les champs de bataille, et maintenant une jeunesse droguée !
    Et toujours les capitalistes qui s’en foutent plein les poches, au nom de « nobles »idées « patrie », « sécurité ».



  • bavard bavard 5 juin 2009 05:20

    Pour continuer avec un peu de retard sur ce qu’on pourrait appeler pour paraphraser Jean Paul Sartre « Réflexion sur la Question des Sectes », je m’excuse de la comparaison, mais l’ambiance que répand la campagne contre l’église de scientologie entre bel et bien dans la grande tradition des persécutions qui ont jalonné notre histoire : les Romains persécuteurs des Chrétiens, les luttes engagée par l’Eglise contre les minorités spirituelles dites hérétiques à commencer par les Protestants. Tous ces mouvements en leur temps taxés de secte. Et, sujet douloureux que l’on m’accusera de comparer, la vague d’antisémitisme de la première partie du XXe siècle.
    Si l’on ose dire maintenant qu’il n’y a pas de problème de secte, les anti-sectes vocifèrent, gesticulent, et jettent des anathèmes.
    Le front anti-secte n’est ni à gauche, ni à droite, il est partout. De la gauche à la droite, comme l’était le mouvement antisémite.
    Ils hurlaient au scandale si quelqu’un avait l’audace de dire qu’il n’y avait pas de « question juive » ! Si quelqu’un disait qu’il n’y avait pas de problème avec les Juifs, c’était un traître, ou un Juif lui-même. Ou l’on était avec ceux qui distillaient la haine, ou contre eux. Et ça, c’est la caractéristique même du totalitarisme.

    Ces derniers temps, celui qui n’est pas contre les sectes est soupçonné d’être complice, ou même membre d’une secte. Au risque d’être accusé de sympathie pour les sectes, on doit prouver qu’on est bien contre. Et tout cela, au nom de la France. Car, il est interdit selon l’ex-patron de la milivude de suspecter la France d’être intolérante et de dire qu’elle ne respecte pas la liberté de religion et les droits de l’homme. En l’affirmant les sectes démontrent qu’elles n’aiment par leur pays, leur patrie. Et voilà ! Les sectes sont des traîtres à la France ! Ça rappelle quand même de vieux souvenirs.
    Et puis, c’est comme dire que la France de Pétain respectait les droits de l’homme, puisque les Juifs n’étaient pas des homme selon la définition des nazis. Mais qui en France aurait osé défendre les Juifs dans les années 40 ? Il faut du courage pour ne pas hurler avec les loups.

    On va m’accuser d’utiliser la douleur de la Shoa pour défendre les « sectes ».
    La Shoa, maintenant que tout est fini, on l’appelle comme ça, mais à l’époque ? C’était la Question Juive, avec un commissariat spécial pour régler ce « problème », un commissariat mis en place par l’Etat Français. Qui, à l’époque, eut cru qu’il n’y avait pas de problème juif ? Même les moins antisémites concevaient qu’il y avait un problème juif. Qui aurait pu admettre à l’époque que quelqu’un dise « Il n’y a pas de problème juif ?

    Mais comme disait Sartre, il n’y a jamais eu de question juive, mais la question de l’antisémitisme. Le problème n’était pas le Juif mais l’antisémite dont toute l’identité était basée sur sa haine du juif. Et c’était aussi son fond de commerce, sa raison d’être. Sans le Juif, l’antisémite n’est rien. Il tire sa force de ce à quoi il s’oppose.
    Et je suis désolé de la comparaison, mais il en est de même pour les antisectes. Même haine, même personnalité, même dévouement à une cause d’exclusion et de haine, même affirmation mensongère de servir la France. Je veux rappeler que des gens comme René Bousquet, Louis Darquier de Pellepoix étaient des hommes qui en leur temps semblaient tout à fait acceptables, mais ils furent responsables de la déportation des Juifs de France.

    Et les Français, dans leur majorité, étaient d’accord, saturés de propagande antisémite. Il suffit de montrer des gens du doigt et d’en faire des boucs émissaires, et le brave peuple suit… « Il n’y a pas de fumée sans feu. » disent-ils, tout à leur plaisir d’être conforme, de ne pas faire partie d’une minorité stigmatisée. « Ils ont bien dû faire quelque chose si on les attaque comme ça ! »…
    L’histoire se répète même si l’on s’obstine à dire « ça n’est pas pareil ».
    La justification est que celui auquel on veut enlever ses droits ne les mérite pas. Tout comme les membres du mouvement Falun Gong en Chine, martyrisés. Et nous sommes allés à Pékin dans un pays dirigé par les pires des totalitaires, comme nous avons été à Berlin en 1936.

    A quand le « commissariat à la question des sectes » mais peut-être existe-t-il déjà : la Milivude.



  • bavard bavard 31 mai 2009 14:00

    Martial, pas mal votre théorie des contraires ! On peut certainement s’en servir pour séduire une femme (ou un homme)... c’est plutôt efficace !
    Les réactions furieuses à votre article sont le fait d’une petite clique qui deviennent dingues sur le sujet des « sectes ». C’est leur truc. Comme les antisémites d’avant guerre, c’est leur dada !
    Vous pouviez n’avoir qu’un quart de sang juif... mais vous en étiez quand-même un. Même si vous aviez vous-même des tendances antisémites. Non, au bout du compte, ils finissaient par voir le Juif en vous !
    Et vous, comme vous défendez certains apports de la philiosophie de Hubbard dans votre vie... Ils vous rentrent dedans.. Vous n’êtes pas encore « déprogrammé » !
    Ils sont animés par une haine qui les dépasse et ils ont trouvé des boucs émissaires : les « sectes », et en particulier aujourd’hui la scientologie. En fait, ils ragent contre l’Eglise Catholique avant tout, ce sont des laïcard de choc, une sorte de confrérie qui haïssent jusq’à la nausée toute tentative spirituelle. Ils ne peuvent voir en vous qu’un pauvre gars qui n’a pas encore guéri de la scientologie.
    Les nazis avant de détester les juifs, détestait les chrétiens, voyez ce chapitre peu connu de l’histoire, leur tentative d’asservir l’Eglise Luthérienne. Et ils se sont repliés sur le juifs, plus faciles à détruire. C’est ça un bouc émissaire : une minorité à qui on va faire porter le poids de ses propres actions. Car franchement, la manipulation mentale est-elle le seul apanage de la scientologie ?
    Vous avez quitté la scientologie en 1984, une sale époque chez eux, où il y avait une sorte d’affrontement de différentes factions. Dans les années 2000, ils sont retournés à plus de sagesse mais le mal était fait, ils avaient perdu certains de leurs adeptes, dont vous.

    Mais ce qu’on leur reproche est tellement exagéré, et surtout on pourrait le reprocher à tout le monde, aux églises, aux parties politiques.
    La réaction d’ex scientologues (peu nombreux à aller jusqu’à l’attaque) ressemble à la haine qui suit l’amour déçu. Là aussi on peut entendre, « elle ou il a abusé de moi, m’a trompé, m’a menti... » tout est chanté sur l’air de la trahison. Et la femme va rejoindre le club des « femmes trompées », et l’homme celui de « toutes des salopes », et ils râlent, attaquent, se plaignent aux tribunaux avec véhémence !
    Vous n’avez donc pas une position facile, mais vous avez raison, les rangs de tous groupes humains sont resserrés par les attaques. Il a fallu Hitler pour que l’état d’Israel naisse. Mais franchement plutôt que cette attque fanatique contre les « sectes », ne pourrait-il pas y avoir une réflexion saine et non manichéiste ?
    Mais vous, vous êtes un humaniste. Et il y a des moments où ce sont les gens butés et stupides qui tiennent le haut du pavé, vous l’avez bien observé aussi bien dans la scientologie que dans leurs attaquants.
    Mais ces gens dont vous avez préféré vous séparer en 1984 n’étaient pas plus représentatifs de la scientologie que cette offensive antisecte n’est représentative des idéaux de liberté de la république française.
    Vous voulez un peu plus de vérité, de différentiation, et c’est pour ça que vous écrivez..



  • bavard bavard 7 mars 2009 19:27

    Robespierre, un héros de la République ? Alors Mao héros de la Chine, Staline héros du peuple russe, et Hitler héros du peuple allemand ! Y a pas de rue Hitler en Allemagne ?
    Mais on a des rues Robespierre plein la France  ! Un criminel d’état.
    Robespierre aurait pu être accusé de crime contre l’humanité.
    Et c’est vous qui vous attaquez aux sectes, alors que vous sympathisez avec l’ancêtre de l’oeil de Big Brother !
    Vous aimez sûrement la délation au nom de la raison.
    Je préfère adhérer aux raéliens qu’à vos concepts rances, immondes et criminels !



  • bavard bavard 3 mars 2009 08:59

    Bravo, bien démontré. Et ces charlatans vendeurs accusent les "alternatifs" de leurs propres exactions de vendeurs sans conscience.
    Dans le passé on faisait des guerres pour le roi, la patrie ,et all bullshit ! En fait les militaires étaient les marionnettes de l’industrie d’armement. Et la population trinquait ! Et y croyaient, bande de cons ! Toujours prêts à se battre pour des idéaux imposés.

    Là c’est les médecins, marionnettes de l’industrie de la "santé"
    Finauds les industriels capitalistes, reconvertis dans la santé plutôt que dans l’extermination de populations (ça fait mieux), avec la bénédiction de soi-disants experts, à la botte et à la prime, et des politiques, minables, esclaves, avides, et choisis pour leur stupidité et leur conformisme... et d’une population obéissante, prête à consommer n’importe quelle idée idiote, privée par tradition de tout sens critique. Des moutons !



  • bavard bavard 2 mars 2009 10:03

    Oui, c’est bien le problème. Quel critère ? Mais le critère ne dépend-il pas des intérêts économiques ? On sait déjà que des tas de médicaments sont inutiles voir dangereux, ce qui ne veut pas dire que tous les médicaments sont dangereux, certains apôtres du naturel pourraient le laisser entendre. Pareillement, les médecines dite douces ou alternatives sont entourées parfois de théories séduisantes qui flattent l’intellect de ceux qui n’ont pas de connaissances médicales, c’est compliqué... mais les médecins eux-mêmes adhèrent à des théories alternatives face à des echecs conventionnels.
    Au fond, si le patient meurt après un traitement lourd, on est satisfait quelque part, on a "tout" fait, y compris peut-être torturer le patient, mais s’il meurt après un traitment alternatif, qui a quelque peu mis de côté le traitement lourd, là c’est la trace du grand méchant loup : "la secte" ! Vite le bûcher !
    La médecine est devenue une religion, on y va comme on va à confesse, et les alternatifs, les sectes... brrrr !!!! sont des hérétiques... 
    Peut-être sont-ils des charlatans  ? Certains sans doute... mais toutes les poudres de prelimpimpin des labos, quoique bénies par la sainte médecine, ne sont-elles pas des potions inutiles, quelquefois dangereuses ?
    Moi je me méfie de ces"collèges" d’érudits qui tirent leur salaire de l’industrie pharmaceutique. Il ne faut pas que la sainte médecine reconnue puisse exercer un droit inquisitorial, c’est juste la dictature, le totalitarisme, comme celui de l’église catholique, l’ancienne pensée unique.
    Dans l’histoire, il y a deux types d’hommes : ceux qui défendent le statu quo, et ceux qui vont de l’avant. Et cette commission servira à protéger des intérêts acquis, des idées fixes, donc nocives, au même titre que toutes les formes de pensées uniques dans l’histoire du monde.






  • bavard bavard 1er mars 2009 19:37

    Moi je crois qu’il y a une vraie menace contre la liberté de soins. Qui peut dire quelle est la dangerosité d’une thérapie "non conventionnelle", si ceux qui décident sont eux-mêmes nourris dans le giron de la "convention". Les dés sont forcément pipés.
    Les gens réagissent à travers des préjugés, ils n’ont pas d’informations de première main.
    Les "tout naturel", voit dans la phramacologie une sorte de grand satan, alors que les médecins conventionnels se gaussent comme des bourgeois dans un film de Chabrol des approches soi-disant charlatanesques ; sous Molière ces braves gens auraient eux-mêrmes pratiqué la saignée, ils sont conformistes, minables, sans saveur ni imagination.
    Le nouveau groupe social appelé "créatifs culturels" font descendre les ventes de l’industrie phramaceutique. Et ils ont raison. Parce que l’industrie pharmaceutique, c’est eux big brother, c’est eux la secte la plus grosse, la plus manipulatrice, le plus gros pouvoir. Le fric !!!! Les $$$$$$$$  !!!