Sujet intéressant que j’ai raté.
Une donnée est erronée et change radicalement la donne : le logiciel libre.
Rien a voir avec le gratuit, vos téléphones sont remplis de logiciels gratuits propriétaire.
Non, c’est librement réutilisable, et c’est ça qui invalide complètement le raisonnement.
Linux est complexe a développer expose l’article ?
Et alors, il n’a pas l’être de nouveau, il est réutilisable !
Même Google l’a utilisé pour faire son Android. et l’état français peut a moindre frais l’utiliser a son tour, sans beaucoup de travail.
D’ailleurs il l’a déjà fait ! Il l’a fait pour l’armée, la gendarmerie, et l’assemblée national après que le débat sur les lois DADVSI, la loi dite vivendi universal, ai permis aux militant du libre d’expliquer les failles des systèmes propriétaire.
La loie est passé quand même, mais depuis chaque député a 2 ordinateurs utilisant des libres, c’est a dire dont on connais le fonctionnement, adapté a leurs besoins propres.
Pour ne pas se couper du monde, comme vous dites, il faut utiliser des mécanismes dont on connais le fonctionnement. Tel est la question et la réponse .... à mon humble avis.
En matière d’écrit internet, tout souligner, c’est comme tout mettre en gras italique, c’est hurler.
C’est efficace pour se soulager, mais pas pour rendre un sujet audible.
C’est de l’abus d’engrais sur l’info, donc pas de l’info bio".
Intéressant à lire, mais c’est un article d’opinion dans la mesure ou il utilise la forme « j’affirme ».
Pas top en science. Alors voici une réponse d’opinion sur la forme.
Je ne remet rien en cause, j’ai pas les compétences, mais j’en ressort avec aucune certitude, aucun fait, aucune date, aucune donnée dont je puisse sereinement faire un acquis.
Vous voyez, même si c’est un article de pointe, il peut aussi bien détourner l’attention de données existantes et non cité, qu’être l’œuvre d’un mythomane qui veux se donner a lui même une image doctorale.
En cours d’amphi ça passe, sur internet c’est plus possible. Car même si les compétences y sont, nous autre, lecteurs, on ne peux pas en juger.
Pire, ce genre d’article fait modèle, et ceux qui n’y connaissent rien a rien ( mettons moi :) ) peuvent utiliser le même ton « docte » pour professer des idées en les faisant passer pour des faits.
Vous parlez de la façon donc l’information circule ?
Moi aussi !
Vous avez envoyé un paquet de données qui imposent de s’interesser à votre CV pour être recevable.
C’est un protocole inadapté car il nécessite de mobiliser plus de ressources en réception qu’en envoie pour aboutir à une information fiable.
Que ça ne vous empêche pas de continuer à traiter ce genre de sujet, au contraire, c’est par ce que c’est intéressant que je prends la peine d’expliquer l’obstacle qui se trouve entre ce que vous voulez partager et ce que je peux en recevoir.
Très bonne continuation.
@epicure
Et les réponses n’ont de sens que dans une logique politique, car toute
réponse n’est qu’un choix. Ces choix peuvent impacter la vie des
citoyens en bien ou en mal.
Sans logique, qui implique des buts et des moyens , il n’y a théoriquement pas de bonne solution.
Est-ce qu’on en est bien certain de ça ?
C’est l’objection logique a mon propos, merci pour cette bonne lecture.
La réponse est dans la partie sur la théorie, sous l’image.
1- Réflexion sur les solution hors partis, par sujet
2- Montage des briques compatibles entre elles dans les partis
3- On ajuste et on recommence, au 1, encore et encore.
En fait la politique se ferait ENTRE les deux, ENTRE les avis par sujets et les partis.
Aujourd’hui elle se fait dans les partis par sujet, on ne réfléchis que dans les chapelles.
Donc je reprend votre exemple pour répondre avec :
_ Clivage fort sur l’europe entre Hamon et Mélenchon, oui.
_ Des éléments peuvent ne pas avoir de sens placé dans un programmes d’ensemble, oui.
(Cohérent ou pas c’est hors sujet pour moi. J’évite le politicien pour rester à l’échelle de la mécanique générale de la politique.)
Par contre la question sur l’Europe est un bon exemple : est-ce que les positions technique de chaque ne peuvent pas créer des mouvements rien que sur cette question ?
_ Une partie bras de fer, genre refus de soumission et rapport de force (tendance mélenchon)
_ Une partie évolution par l’intérieur vers un parlement économique (tendance hamon)
C’est trop schématique dis comme ça, mais l’important c’est que des mouvements de pensés sur l’europe pourraient se faire par « parties », et ce qui est opposable ou pas pourrait faire jour AVANT que tel ou tel position devienne l’engrenage de tel ou tel programme globale.
Moi je pense que si l’idée de l’Europe avait été traité en amont il n’y aurait que 2 courant : les pro réforme, et les pro sortie.
Mélenchon parlait menace de sortie pour obtenir la réforme.
Si le mouvement « phy » avait du choisir, le mode de réforme aurait été un sujet politique préalable.
Vous imaginez ... un grand débat hors période électorale avec le sujet de la réforme de l’Europe traité directement, avec des chapelles, des sondages, des mouvement d’opinions, et les partis qui s’y adapteraient ensuite en vue des élections ...
Moi j’imagine ça comme un système politiques des idées.
Infiniment plus adapté au élections parlementaires, soit dit en passant, puisque les singularité de chaque élus serait incarné par des briques de pensée connues.
L’allusion a en marche est drôle, car l’article date du 1er juin 2013
Vous avez copié collé de la réponse publié ici :
http://www.agoravox.fr/commentaire4925545
Vous m’attribuez donc une place dans vos schéma de pensé, celui de votre profil, indépendamment de mes propos.
C’est dommage, car ces deux articles sont sur deux thématiques autres que les votre, connexes mais distinctes, et en aucun cas opposable.
C’est d’autres réponses intellectuelles sur les même thématiques et vous n’y répondez pas, non, à la place vous répondez à la position que vous m’attribuez dans les votre.
Il est passé :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/de-la-politique-comme-systeme-des-193373
J’y défend l’émergence des pouvoirs intermédiaires par branches, c’est une réponse technique et pratique qui intercale autre chose dans la dichotomie « partis installé moribond contre pouvoir de la rue » qui conclus votre article.
@ Pallas
J’ai du mal m’exprimer.
Rien à voir avec macron.
Je l’ai écris plusieurs fois.
@gogoRat
Merci infiniment d’avoir pris la peine de citer ce texte, c’est très judicieux.
Mais c’est justement une réponse technique en pleine résonance avec ce texte.
Enfin il me semble.
C’est judicieux par ce que les brigues c’est les partis, ce que moi j’ai appelé le choix par le tout
Ce principe écrasent les opinions et casse la diversité, je partage le constat.
L’idée que je défends s’y oppose mécaniquement en défendant des briques par sujet.
Pas des brigues qui sont des brigades de pouvoir qui cassent la diversité, non
Des briques de pensée, des pavés par sujet, qui s’imposent au préalable.
Alors, pour que je comprenne sur un exemple, en quoi le pacte écolo de hulot en 2012, une brique, une partie, qui c’est imposé aux brigues, aux partis, en quoi ce pacte écolo allais a l’encontre des propos de rousseau ?
Par ce que moi ce dont je parle c’est de généraliser cette façon de faire, pour créer un contre pouvoir dans l’organisation même des choses politique.
Inquiétante pourquoi ?!?
Hé, c’est pas toi, c’est les autres !
Dans un monde qui vas vers presque 10 milliard d’humain d’ici 2 ou 3 décennies, qui survivent tant bien que mal en pourrissant la planète, j’ai tendance a croire que c’est plutôt de l’ordre de la sagesse collective de comprendre que le contexte n’est pas propice.
Les autres animaux régulent leurs pulsions reproductrice en fonction du contexte. C’est quand ça va bien qu’ils profitent de la jouissance de la libido, et c’est pour ça que tu peux en jouir, a ton tour, y compris indépendamment de la reproduction.
C’est pas 50 an de contraception plus ou moins fonctionnelle qui vas changer cette imbrication millénaire., que dis-je, depuis des millions d’années au bas mot.
La jouissance de la libido indépendamment d’un contexte jouissif est-elle souhaitable ?
Est-elle seulement humainement possible ?
Il me semble que vous avez peur du vide, le vertige de l’inconnu du changement.
Compréhensible.
J’ai tendance a croire aussi que ma thèse pourrait bien être une réponse pratique à cette peur.
Ca répond aussi au sujet de la distance aristo - démo en créant une marche (sans jeu de mot )
Image insupportable, donc pertinente.
Pour les chiffres ça cause, mais 100% des chiffres sans sources sont nul.
Si, si.
La fin des partis ... ou le début des parties.
Thèse alternative et opposable sur le même sujet, abordé sous un autre angle ...
(Article coincé coté modération a cause la dyslexie de son auteur. )
@pallas
L’illusion est l’existence du savoir.
La connaissance concerne les faits.
Par exemple j’ai créé mon avatar a partir du logo copyleft donc j’ai connaissance du fait que votre culture ne vous donne aucun savoir concernant son origine, c’est un fait.
La culture c’est le contraire de la connaissance, c’est le magma génial et informe de cet article qui tente de combler par la logique de l’absence de connaissance, comme des conversations sur les match de l’OM. La culture c’est comme votre message, ce qui pousse en l’absence de savoir, c’est une tentative de pousser vers la lumière, c’est l’enracinement collectif dans le terreau de ce qu’on crois connaître pour essayer de savoir ce qu’on ne sais pas.
La culture peut donc tout aussi bien être l’art de s’illusionner, comme on a su se faire culturellement croire que les bébé ne soufraient pas avant 1987. On les a opéré a cœur ouvert sans anesthésie, c’était pas virtuel, et maintenant qu’on en a connaissance, on refuse de le savoir, et notre culture ne l’intègre toujours pas, ou a peine.
J’espère que ma réponse vous amuse
Elle concerne précisément le rôle de Nicolas Hulot au gouvernement, celui d’orienter la culture vers la connaissance de ce qu’on aime pas voir de l’effet de nos actions.
L’illusion de l’existence c’est Matrix. Trilogie qui traite précisément du même sujet.
L’impossible a percevoir.
C’est pareil a Marseille, On fait les match de l’OM avant qu’il se jouent, ça sert a rien mais ça fait toujours du bien de parler, ça permet de s’engueuler pour de faux ...
En éthologie on explique que les séances d’épouillages servent surtout à créer des clans par affinité, et la présence de poux n’est pas en cause.
La présence d’un sujet c’est comme les poux, c’est pas nécessaire pour tailler le bout de gras.
La preuve je réponds !
@Trelawney
« une femme qui n’y connait rien en économie »
Haaa, ce monde manque tellement de gens qui savent !
Je précise que j’ai rebondis sur le propos, en objectant, mais ce n’est pas une critique.
Il me semble que mon propos vas dans le même sens que le votre, celui de démonter les poncifs, mais a une autre échelle.
Non, l’Allemagne ne va pas bien.
L’Allemagne vas bien pour les suisses.
Mais l’Allemagne vas mal pour beaucoup d’Allemand.
En plus chacun sais qu’elle vas sur une mauvaise pente, qu’’elle n’a pas assez d’enfant pour assurer l’avenir de ces travailleurs actuelles qui sont encore plus souvent des travailleurs pauvres qu’en France.
Quand on est du bon coté on peux croire que le pays vas mieux quand l’argent va mieux.
Mais ce raisonnement est inepte si les richesses produites sont extraite pour accroître les rendements et par là bien souvent les inégalités.
Or dans un monde où les inégalités s’accroissent, on pourrait presque affirmer que si l’argent d’un pays va bien ces habitants vont aller encore plus mal.
Principe évident pour des pays africains plein de richesses.
Donc on en était où déjà ?
Ha, oui, l’Allemagne vas bien pour vous, car elle vas bien pour ceux qui profitent de l’économie.
Mais sont-t-il encore majoritaires, ceux qui profitent de l’économie quant elle vas bien ?
@Eric F « Pas encourageant tout ça »
-> C’est pour ça que je rappelle que le pays est riche et de plus en plus riche !
Aucune raison de se laisser décourager par des graphiques qui s’échinent a démontrer le verre est plus que vide alors qu’il continue a se remplir de plus en plus.
Non pas que le sujet ne soit pas pertinent, mais il masque la réalité globale : Globalement on va bien économiquement.
Alors comme la majorité des français sentent bien que pour eux c’est pas vrais, la dette de l’état est un sujet en phase avec nos ressentis. On reconnais son vécu, et on râle après ce manque comme s’il était le notre.
Or on est collectivement riche.
Or on n’est pas collectivement endetté.
Aucune raison d’être découragé !
Mais devinez quel est l’intérêt de nous décourager ...
Réfléchissez bien a ce qu’entretiens votre état d’esprit ...
Le système après lequel tout le monde râle, il est déjà dans ta réponse, Eric F, et dans ton Article SEPH, et dans l’entretiens d’une pensée en Zoom qui masque la situation globale réelle.
C’est drôle, avec ce genre d’article on arrive à faire oublier que la France EST RICHE :
http://www.journaldunet.com/economie/magazine/1040948-pib-de-la-france/
La France est même aujourd’hui plus riche qu’elle ne l’a jamais été au cours de toute son histoire !
Même si on meurs de plus en plus dans les rues de ce pays toujours plus riche.
http://www.mortsdelarue.org/spip.php?article14
On en arriverais avec ce genre d’article, à faire oublier que la France n’est pas endetté du tout.
Au contraire, la France de plus en plus riche stocke ces richesses.
Non, c’est l’état, qui est endenté, le gestionnaire de la France, pas la France. Et c’est pas pareil !
Vous faites de la France une sorte de ON, qui pourrais permettre de dire ON EST ENDETTE, mais non, c’est faux.
ON, France, est riche, et plein de richesse épargnées.
Mais comme ce on exclus la majorité d’entre nous, français,
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/patrimoine-des-francais-montant-et-130180
Alors ON nous expose comment ON est pauvre et endettées.
Or on est riche et quant on est riche on renfloue le gestionnaire.
Si les 90% des français qui vivent avec 50% de la richesse du pays exigent de faire payer les 10% qui vivent avec l’autre moité des richesses ce problème n’existerais plus.
On, en moyenne, est riche, et donc ON, en moyenne, est capable d’avoir un gestionnaire étatique financièrement solide.
S’il ne l’est pas c’est que ON, en moyenne, ne le veux pas, par ce que ON, en moyenne, n’aime pas payer le gestionnaire de nos richesse.
On ne peux pas a la fois se sentir volé par les impôts, l’argent de la gestion
et en même temps se sentir endetté quand la gestion a des dettes.
_ SI ON PAYE DES IMPÔTS, ON EST PAS ENDETTE
L’argent de l’état est a un autre
_ SI ON EST ENDETTE, ON GAGNE DES IMPÔTS !
L’argent de l’état est comme a soi.
Il faut choisir, si non c’est que de l’enfumage.
Il y a eu deux médiatisations très récemment à ce propos :
_Une dans l’émission « histoire de la pédiatrie » de Michel ciemes (france 2, cet été)
_L’autre dans « enquête de santé » sur la douleur (france) mardi dernier.
Pour vous répondre, le revoie à la date : 1980.
La mise en évidence de la douleur c’est 1987.
La mise prise en charge était lacunaire dans certains service en 2000.
Votre fille à été hospitalisé en 2017, et surtout c’est encore un bébé, il y a donc fort peu de change pour que sa douleur physique n’ai pas été prise en charge, et aucun indice pour penser que l’hôpital soit « fautif » de quoi que ce soit.
Dans votre message il manque la raison de son hospitalisation d’ailleurs, et je me refuse a dire que sous prétexte que vous vouliez la sortir plutôt c’est une erreur de la part de l’hôpital.
Vous savez, dans mon cas l’hôpital m’a ni plus ni moins sauvé la vie. Traumatisé aussi, certe, mais sauvé la vie. Alors a tout prendre ... Non j’en veux a personne, chacun a fait son possible, soignants compris.
Par contre, je crois au traumatismes psychologique dès le plus jeune age. Vous êtes vous séparé de votre fille la nuit ? pour un bébé ça suffit.
Je vous conseil vivement sur la base de mon expérience d’aller voir un psychologue de la petite enfance, et déjà de l’expliquer a votre fille. Mettez des mots sur son vécu, et sur le votre, la prochaine fois qu’elle pleurera a 19h par exemple.
Et rappelez vous, l’enfer d’aujourd’hui a tout les chances, fort heureusement, de ne plus être celui de la souffrance physique, mais il reste celui du changement, de la séparation, de l’insécurité, surtout l’insécurité, qui « agression physique » ou pas, reste la base des traumatismes.
Moi je l’ai redécouvert a 35 ans, donc la réparation est complexe, mais si elle est présenté maintenant a son propre trauma, bien réel je vous entends, par un psy de la prime enfance de préférence, alors elle aura toutes les chances de n’en garder aucune cicatrices qui risquerais de se ré-ouvrir, et bien-sur, puisque c’est votre préoccupation, aucune rancœur contre ces parents.
Un bébé ressent les choses, oui, mais certaines choses doivent lui être présenté pour qu’il les ressente ! Bonne communication a vous deux. ;)
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