le 30 à 19h42
Vous écrivez : « A priori, les vaccins sont faits pour réduire le nombre de malades, voire éliminer totalement le virus comme ça a été le cas de la variole. Seulement, on n’en sait strictement rien. »
VOUS AVEZ BIEN RAISON ! Et en voici la raison… que j’ai déjà postée
pour : Mélusine ou la Robe de Saphir.
Dans votre commentaire du 30 janvier 11:41 on trouve ceci :
« C’est ce qui a fait l’efficacité de plusieurs vaccins, et notamment de la campagne de vaccination de l’OMS contre la variole entamée à la fin des années 1960, qui a permis de l’éradiquer au début des années 1980[5] grâce à l’immunité collective atteinte. »
Voici ma proposition :
Certains nous disent :
« C’est la campagne de vaccination de l’OMS contre la
variole entamée à la fin des années 1960, qui a permis de
l’éradiquer au début des années 1980 grâce à l’immunité
collective atteinte. » Il est exact que la transmission du
virus de la variole ne se faisait que pendant la phase éruptive de
la maladie. Cette phase débutait environ 2 jours après le début de
la fièvre (donc pas de contamination pendant l’incubation). En
conséquence, une personne contaminée mais immunisée ne
transmettait pas le virus. On pouvait donc penser qu’il serait
possible d’éradiquer le virus par une vaccination systématique,
généralisée et obligatoire. Il est vrai que ce fut pensé et mis
en œuvre mais cela a échoué.
La variole fut en définitive
vaincue, après de nombreuses vicissitudes, par la recherche active
des malades, leur isolement, l’identification des contacts et leur
isolement.
Vous trouverez une description et analyse de ces
faits dans ces
articles
https://www.aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commence/
https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/
Et aussi dans cette analyse d’une communication poster au
congrès SFSP-ADELF de Bordeaux les 17-19 octobre
2013 :
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2013/10/16/28149160.html
Mélusine ou la Robe de Saphir.
Dans votre commentaire du 30 janvier 11:41
Mille excuses !
Erreur de frappe du premier lien ; voici le bon :
https://www.aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commence/
Mélusine ou la Robe de Saphir.
Dans votre commentaire du 30 janvier 11:41 on trouve ceci :
« C’est ce qui a fait l’efficacité de plusieurs vaccins, et notamment de la campagne de vaccination de l’OMS contre la variole entamée à la fin des années 1960, qui a permis de l’éradiquer au début des années 1980[5] grâce à l’immunité collective atteinte. »
Voici ma proposition :
Certains nous disent :
« C’est la campagne de vaccination de l’OMS contre la
variole entamée à la fin des années 1960, qui a permis de
l’éradiquer au début des années 1980 grâce à l’immunité
collective atteinte. » Il est exact que la transmission du
virus de la variole ne se faisait que pendant la phase éruptive de
la maladie. Cette phase débutait environ 2 jours après le début de
la fièvre (donc pas de contamination pendant l’incubation). En
conséquence, une personne contaminée mais immunisée ne
transmettait pas le virus. On pouvait donc penser qu’il serait
possible d’éradiquer le virus par une vaccination systématique,
généralisée et obligatoire. Il est vrai que ce fut pensé et mis
en œuvre mais cela a échoué.
La variole fut en définitive
vaincue, après de nombreuses vicissitudes, par la recherche active
des malades, leur isolement, l’identification des contacts et leur
isolement.
Vous trouverez une description et analyse de ces
faits dans ces articles
https://www.aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commhence/
https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/
Et aussi dans cette analyse d’une communication poster au congrès SFSP-ADELF de Bordeaux les 17-19 octobre 2013 :
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2013/10/16/28149160.html
Bonne lecture.
@ Seul le contenu compte
Certains nous disent : « C’est la campagne de vaccination de l’OMS contre la variole entamée
à la fin des années 1960, qui a permis de l’éradiquer au début des
années 1980 grâce à l’immunité collective atteinte. » Il est exact
que la transmission du virus de la variole ne se faisait que pendant la
phase éruptive de la maladie. Cette phase débutait environ 2 jours après
le début de la fièvre (donc pas de contamination pendant l’incubation).
En conséquence, une personne contaminée mais immunisée ne transmettait
pas le virus. On pouvait donc penser qu’il serait possible d’éradiquer
le virus par une vaccination systématique, généralisée et obligatoire.
Il est vrai que ce fut pensé et mis en œuvre mais cela a échoué.
La
variole fut en définitive vaincue, après de nombreuses vicissitudes, par
la recherche active des malades, leur isolement, l’identification des
contacts et leur isolement.
Vous trouverez une description et analyse de ces faits dans ces articles
https://www.aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commence/
https://www.aimsib.org/2020/05/10/eradication-de-la-variole-la-desastreuse-vaccination-des-sujets-contacts/
https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/
Et aussi dans cette analyse d’une communication poster au congrès SFSP-ADELF de Bordeaux les 17-19 octobre 2013 :
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2013/10/16/28149160.html
Un an après le début de la pandémie et 70 000 morts, le complexe » médiatico-sanitaire » semble découvrir la vitamine D et son efficacité pour lutter contre la Covid (en préventif et curatif).
Cela après avoir traité de charlatans et traîné en justice les médecins et soignants qui préconisaient
ce complément alimentaire pour renforcer l’immunité.
Pourtant son rôle dans le renforcement de notre système immunitaire et
plus particulièrement dans la prévention des infections des voies
respiratoires est connu depuis de nombreuses années, tant par l’OMS que
par l’ANSES.
Selon le Pr Cédric ANNWEILER du CHU d’Angers « les personnes qui
reçoivent régulièrement des suppléments de vitamines D ont, lorsqu’elles
contractent la COVID-19, un risque diminué de l’ordre 90% de faire une
forme grave » (Cf. interview France Inter du 19 janvier à 8h).
Comme 100 % des décès sont des cas graves (c’est une lapalissade), cela
signifie qu’une prescription de vitamine D aurait pu éviter un grand
nombre de décès. Autrement dit, l’absence de recommandation de vitamine D
de la part des autorités sanitaires et des médias est responsable d’un
grand nombre de décès. Il est aussi responsable de l’engorgement des
services de réanimation des hôpitaux qui ont justifié le confinement et
le blocage de l’économie et de tous les dommages collatéraux qui s’en
suivent.
Les familles des patients décédés de la Covid par défaut de
préconisation de Vitamine D seraient donc fondées à porter plainte
contre les autorités sanitaires et les médias responsables de cette
omerta.
En effet, tout se passe comme si pour faire accepter la stratégie vaccinale, présentée comme la seule capable de nous sortir de cette pandémie, il y avait nécessité d’asséner quotidiennement : « Il n’y a pas de traitement, il n’y a pas d’autres solutions que le vaccin ! ».
C’est comme si on avait voulu ancrer dans l’opinion, que la stratégie vaccinale était la seule issue possible à cette pandémie et faire accepter les vaccins à des populations plus ou moins rétives.
@Théo Botopo
Voici le texte :
La vaccination Covid peut-elle empêcher la transmission inter-humaine du virus
et en toute logique sa circulation ?
Quand je prends connaissance de ces diverses communications ou positions, je m’interroge :
MODERNA :
Le médecin chef de Moderna, Tal Zaks, a averti que les résultats des essais montrent que le vaccin peut empêcher une personne de tomber malade ou "gravement malade" du Covid-19. Cependant, les résultats ne montrent pas que le vaccin empêche la transmission du virus.
PFIZER aurait fait une mise au point semblable.
« Les vaccins Pfizer et Moderna, à base d’ARNm protègent uniquement contre les formes graves de la maladie selon les déclarations des responsables de Moderna et de Pfizer, faites pour l’un sur HBO et sur CNBC pour le second. Mais en aucun cas ces vaccins empêchent d’être contaminé par ce virus et d’infecter d’autres personnes ! «
Selon Pierre Sonigo qui est Docteur en médecine et en biologie, ancien directeur de recherches à l’ Inserm, directeur du développement du laboratoire Bio-Rad :
« Les vaccins ne font jamais mieux que l’immunité naturelle. Ils protégeront probablement bien contre les formes graves mais assez mal contre les rhumes et contre la contagion. Si on attend que la vaccination massive produise une immunité de groupe bloquant la contagion pour déconfiner, on risque d’attendre longtemps… «
À ce stade, la HAS juge que "la vaccination contre le Covid-19 ne devrait pas être obligatoire, ni pour la population générale, ni pour les professionnels de santé" en raison "du manque de recul sur les futurs vaccins ainsi que sur leur capacité à limiter la contagion du virus, cela ne serait pas justifié".
Certains comme Monsieur Barbier voudraient culpabiliser et discriminer ceux qui refuseraient le vaccin, cela en partant du principe que la vaccination est un acte altruiste car elle contribuerait à
établir une immunité vaccinale collective capable d’éradiquer le virus.
Visiblement, ils ignorent que, pour certaines maladies, les vaccinés peuvent rester porteurs du virus dans la sphère ORL
Ils peuvent donc être propagateurs de celui-ci et cela sans le savoir. Ils ne sont donc pas moins contagieux que les non vaccinés. Mais au moins, ces derniers, bien informés, seront conscients de leur possible contagiosité.
SANTÉ PUBLIQUE FRANCE
Au congrès Sfsp de Tours en nov 2015 Isabelle Bonmarin, responsable de la grippe à l’InVS (incorporé depuis dans Santé publique France), déclarera : “ Avec la vaccination contre la grippe on ne cherche pas à « casser » les épidémies mais à protéger les personnes fragiles”. C’est clair ! Le vaccin n’empêche pas le virus de circuler.
Le vacciné Covid contaminé et ne tombant pas malade peut-il transmettre le virus ? Là aussi c’est le cas pour la grippe. Le virus pouvant se loger dans les fosses nasales d’où il peut rebondir et aussi se transmettre par les poignées de portes, le vaccin n’a aucune action sur ce genre de transmission. C’est d’ailleurs pourquoi un vaccin grippal à virus vivant en spray avait été recherché. Il ne s’est pas montré efficace.
Et les vaccinés,
va-t-on leur dire qu’ils peuvent-être porteurs sains et de
possibles propagateurs du virus ?
Il existe des vaccins célèbres qui sont qualifiés d’égoïstes par les épidémiologistes. C’est à dire qu’ils ne protègent que le vacciné mais n’empêchent pas la circulation du virus, c’est à dire que le vacciné contaminé peut ne pas tomber malade tout en ne stoppant pas le virus.
Parmi les vaccins reconnus égoïstes vous avez le BCG, les vaccins antitétaniques et antidiphtériques bien sûr, le vaccin polio injectable.
Pour ce dernier, la raison est simple : les virus polio sont des entérovirus qui se transmettent par les selles quand le traitement des eaux usées est insuffisant. D’où la création d’un vaccin oral à virus vivant qui peut créer une immunité intestinale, ce que le vaccin injectable ne saurait faire. En France cela fait longtemps qu’on n’utilise plus le vaccin oral. Ce n’est pas la vaccination injectable qui a pu arrêter la circulation du virus en France mais la collecte généralisée des eaux usées et leur traitement.
Chez les animaux : le vaccin contre la fièvre aphteuse est connu pour protéger les animaux vaccinés alors que ceux-ci vont laisser le virus circuler sans que l’on puisse savoir s’il est passé dans l’élevage. Autrement dit, les troupeaux vaccinés font perdre la trace du virus. En l’an 2000 il y eut une épidémie de fièvre aphteuse apparue en Angleterre et qui traversera la Manche pour contaminer un élevage français d’environ 160 animaux qui seront abattus.
Cette épizootie provoquera beaucoup d’agitations et les éleveurs français manifesteront pour réclamer la vaccination de leurs troupeaux alors que celle-ci est interdite. Interdite pour éviter de réinstaller le virus dans nos élevages alors qu’il a été éradiqué.
La toute première condition qui a permis l’éradication de la variole fut le fait que le contaminé n’était contagieux que pendant la phase éruptive pendant laquelle le malade avait des pustules sur le corps et sur le visage. Le test se faisait donc immédiatement à vue. De plus, cette phases survenait 2 jours après le début de la fièvre qui montait à 40 pour la variole majeure, la plus grave. Il n’y avait donc pas de contagieux asymptomatiques et ce fut d’abord cela qui permis l’éradication de la variole. C’est une propriété de la maladie, pas du vaccin.
Un vaccin efficace contre le covid transformerait tous les
vaccinés contaminés en contagieux asymptomatiques, ce qui est la
pire des situations pour contrôler la propagation.
De plus on nous dit que ce n’est pas sûr que les Anticorps déclenchés par le vaccin Covid dans notre organisme soient capables d’éliminer les virus Sras cov 2 qui nous agresseraient de l’extérieur ;
lorsque quelqu’un nous contamine par exemple.
Mais alors qu’en est-il de la capacité de ces mêmes Anticorps à détruire ces mêmes virus qui nous perturbent au sein de notre organisme quand nous sommes infectés ?
@Hugo Botopo
Vous nous dites ceci dans votre article :
« Donc, même dans ces conditions, une vaccination « efficace » en absence d’effets secondaires nocifs, permettrait de réduire ou supprimer -selon le niveau de contamination post vaccinale- les symptomes délétères, douloureux et toxiques dus au coronavirus. »
Voila pour l’aspect « thérapeutique » du vaccin « égoïste » car à ce niveau on ne protège que soi.
Mais qu’en est-il de sa capacité à devenir un vaccin « altruiste » ?
Pour cela il lui faut être capable de tuer le virus qui séjourne dans notre sphère ORL et sur nos
muqueuses.
Et sur ce point de la transmission du virus vous nous dites ceci :
« Entre l’injection du vaccin et la production suffisante d’anticorps les laboratoires estiment qu’il faut une durée de 2 à 3 semaines, comparable à la réaction d’un organisme infecté par de vrais virus avec maladie. Au moins pendant 1 à 2 semaines, les voies respiratoires peuvent non seulement être naturellement contaminées mais encore être contagieuses ! »
Donc, au-delà de 2 semaines, vous pensez que le vaccin sera en capacité de détruire les virus qui se trouveront dans notre sphère ORL , et participera ainsi à la réduction, voir la suppression de la circulation du virus ?
Mais pourtant de gros doutes persistent sur ce point, même chez les fabricants.
( voir mon texte ci-dessous )
Aussi, d’une part, j’aimerais savoir si le vaccin Covid peut participer à réduire, voir supprimer la circulation du virus ?
Et d’autre part, comment, d’un point de vue immunologique, notre système immunitaire va se débrouiller, avec quels outils, par quel procédé il pourra « zigouiller » les virus qui seraient dans mes fosses nasales par exemple ?
Voir mon texte paru en commentaire le 5 décembre 2020 à 21h49 suite l’article de Bernard Dugué :
« La Covid 19 et ses vaccins »
LES VACCINS ALTRUISTES ??? ( COVID ET AUTRES )
La vaccination Covid peut-elle empêcher la transmission inter-humaine du virus
et en toute logique sa circulation ?
Joskam
@Eric F
Bonsoir ;
Avenir radieux ????
https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/
@Eric F
Bien d’accord !
Et voici ma réponse à Francis à 12h50
Le grand slogan des pro-vaccins :
« Il faut se vacciner pour protéger les autres ; la collectivité »
Sauf que pour de nombreux vaccins ça ne tient pas,
comme développé dans mon texte ci-dessus.
Pour le Covid, les fabricants le reconnaissent eux-mêmes.
Vous en déduisez, Francis, comme moi :
« Il n’y aura donc aucune raison de discriminer à l’avenir, les vaccinés des non vaccinés. »
Pour l’instant, vous êtes le seul à avoir réagi ; et pourtant ceci est très important par rapport à nos Libertés.
Liberté de circulation, respect de l’intégrité physique de la personne, etc...
On parle de non-obligation du vaccin Covid ; mais pire
on fera de ceux qui le refusent de nouveaux PARIAS.
Pour les enfants, 11 vaccins obligatoires, les gens n’ont pas réagi.
Pour le vaccin Covid, là c’est moi l’adulte qui suis concerné ! Et peut-être « obligé » ?! ça devient chaud.
Et peut-être en plus « pucé » ?! Bon, on ne va pas délirer et tomber dans le paranocomplot. On verra bien.
En tout cas il faudra bien se réveiller un jour avant que notre Dignité humaine en prenne un sale coup.
@Francis
Le grand slogan des pro-vaccins :
« Il faut se vacciner pour protéger les autres ; la collectivité »
Sauf que pour de nombreux vaccins ça ne tient pas,
comme développé dans mon texte ci-dessus.
Pour le Covid, les fabricants le reconnaissent eux-mêmes.
Vous en déduisez, Francis, comme moi :
« Il n’y aura donc aucune raison de discriminer à l’avenir, les vaccinés des non vaccinés. »
Pour l’instant, vous êtes le seul à avoir réagi ; et pourtant ceci est très important par rapport à nos Libertés.
Liberté de circulation, respect de l’intégrité physique de la personne, etc...
On parle de non-obligation du vaccin Covid ; mais pire
on fera de ceux qui le refusent de nouveaux PARIAS.
Pour les enfants, 11 vaccins obligatoires, les gens n’ont
pas réagi.
Pour le vaccin Covid, là c’est moi l’adulte qui suis concerné ! Et peut-être « obligé » ?! ça devient chaud.
Et peut-être en plus « pucé » ?! Bon, on ne va pas délirer
et tomber dans le paranocomplot. On verra bien.
En tout cas il faudra bien se réveiller un jour avant que notre Dignité humaine en prenne un sale coup.
@B.Dugué
La vaccination Covid peut-elle empêcher la transmission inter-humaine du virus
et en toute logique sa circulation ?
Quand je prends connaissance de ces diverses communications ou positions, je m’interroge :
MODERNA :
Le médecin chef de Moderna, Tal Zaks, a averti que les résultats des essais montrent que le vaccin peut empêcher une personne de tomber malade ou "gravement malade" du Covid-19. Cependant, les résultats ne montrent pas que le vaccin empêche la transmission du virus.
PFIZER aurait fait une mise au point semblable.
« Les vaccins Pfizer et Moderna, à base d’ARNm protègent uniquement contre les formes graves de la maladie selon les déclarations des responsables de Moderna et de Pfizer, faites pour l’un sur HBO et sur CNBC pour le second. Mais en aucun cas ces vaccins empêchent d’être contaminé par ce virus et d’infecter d’autres personnes ! «
Selon Pierre Sonigo qui est Docteur en médecine et en biologie, ancien directeur de recherches à l’ Inserm, directeur du développement du laboratoire Bio-Rad :
« Les vaccins ne font jamais mieux que l’immunité naturelle. Ils protégeront probablement bien contre les formes graves mais assez mal contre les rhumes et contre la contagion. Si on attend que la vaccination massive produise une immunité de groupe bloquant la contagion pour déconfiner, on risque d’attendre longtemps… «
À ce stade, la HAS juge que "la vaccination contre le Covid-19 ne devrait pas être obligatoire, ni pour la population générale, ni pour les professionnels de santé" en raison "du manque de recul sur les futurs vaccins ainsi que sur leur capacité à limiter la contagion du virus, cela ne serait pas justifié".
Certains comme Monsieur Barbier voudraient culpabiliser et discriminer ceux qui refuseraient le vaccin, cela en partant du principe que la vaccination est un acte altruiste car elle contribuerait à
établir une immunité vaccinale collective capable d’éradiquer le virus.
Visiblement, ils ignorent que, pour certaines maladies, les vaccinés peuvent rester porteurs du virus dans la sphère ORL
Ils peuvent donc être propagateurs de celui-ci et cela sans le savoir. Ils ne sont donc pas moins contagieux que les non vaccinés. Mais au moins, ces derniers, bien informés, seront conscients de leur possible contagiosité.
SANTÉ PUBLIQUE FRANCE
Au congrès Sfsp de Tours en nov 2015 Isabelle Bonmarin, responsable de la grippe à l’InVS (incorporé depuis dans Santé publique France), déclarera : “ Avec la vaccination contre la grippe on ne cherche pas à « casser » les épidémies mais à protéger les personnes fragiles”. C’est clair ! Le vaccin n’empêche pas le virus de circuler.
Le vacciné Covid contaminé et ne tombant pas malade peut-il transmettre le virus ? Là aussi c’est le cas pour la grippe. Le virus pouvant se loger dans les fosses nasales d’où il peut rebondir et aussi se transmettre par les poignées de portes, le vaccin n’a aucune action sur ce genre de transmission. C’est d’ailleurs pourquoi un vaccin grippal à virus vivant en spray avait été recherché. Il ne s’est pas montré efficace.
Et les vaccinés,
va-t-on leur dire qu’ils peuvent-être porteurs sains et de
possibles propagateurs du virus ?
Il existe des vaccins célèbres qui sont qualifiés d’égoïstes par les épidémiologistes. C’est à dire qu’ils ne protègent que le vacciné mais n’empêchent pas la circulation du virus, c’est à dire que le vacciné contaminé peut ne pas tomber malade tout en ne stoppant pas le virus.
Parmi les vaccins reconnus égoïstes vous avez le BCG, les vaccins antitétaniques et antidiphtériques bien sûr, le vaccin polio injectable.
Pour ce dernier, la raison est simple : les virus polio sont des entérovirus qui se transmettent par les selles quand le traitement des eaux usées est insuffisant. D’où la création d’un vaccin oral à virus vivant qui peut créer une immunité intestinale, ce que le vaccin injectable ne saurait faire. En France cela fait longtemps qu’on n’utilise plus le vaccin oral. Ce n’est pas la vaccination injectable qui a pu arrêter la circulation du virus en France mais la collecte généralisée des eaux usées et leur traitement.
Chez les animaux : le vaccin contre la fièvre aphteuse est connu pour protéger les animaux vaccinés alors que ceux-ci vont laisser le virus circuler sans que l’on puisse savoir s’il est passé dans l’élevage. Autrement dit, les troupeaux vaccinés font perdre la trace du virus. En l’an 2000 il y eut une épidémie de fièvre aphteuse apparue en Angleterre et qui traversera la Manche pour contaminer un élevage français d’environ 160 animaux qui seront abattus.
Cette épizootie provoquera beaucoup d’agitations et les éleveurs français manifesteront pour réclamer la vaccination de leurs troupeaux alors que celle-ci est interdite. Interdite pour éviter de réinstaller le virus dans nos élevages alors qu’il a été éradiqué.
La toute première condition qui a permis l’éradication de la variole fut le fait que le contaminé n’était contagieux que pendant la phase éruptive pendant laquelle le malade avait des pustules sur le corps et sur le visage. Le test se faisait donc immédiatement à vue. De plus, cette phases survenait 2 jours après le début de la fièvre qui montait à 40 pour la variole majeure, la plus grave. Il n’y avait donc pas de contagieux asymptomatiques et ce fut d’abord cela qui permis l’éradication de la variole. C’est une propriété de la maladie, pas du vaccin.
Un vaccin efficace contre le covid transformerait tous les
vaccinés contaminés en contagieux asymptomatiques, ce qui est la
pire des situations pour contrôler la propagation.
De plus on nous dit que ce n’est pas sûr que les Anticorps déclenchés par le vaccin Covid dans notre organisme soient capables d’éliminer les virus Sras cov 2 qui nous agresseraient de l’extérieur ;
lorsque quelqu’un nous contamine par exemple.
Mais alors qu’en est-il de la capacité de ces mêmes Anticorps à détruire ces mêmes virus qui nous perturbent au sein de notre organisme quand nous sommes infectés ?
Monsieur Dugué, je lis tous vos articles et je pense que c’est vous qui pouvez me renseigner sur tous ces points.
Je suis un simple citoyen, sans formation médicale ni scientifique et pour ce texte je n’ai fais que
picorer à droite, à gauche pour son élaboration. Dans l’attente ; merci !
Pour une info très fouillée sur les vaccins et les campagnes de vaccination
je lis régulièrement : http://questionvaccins.canalblog.com/
Et la variole ! ,,éradiquée par le vaccin ???
Et bien on peut en douter, en consultant les archives de l’OMS ;
Voici ce qu’un ami m’a fait parvenir récemment :
Une
expérience toute simple mais édifiante :
Voici, brièvement, un exemple de l’écart entre les “couches profondes”
de l’OMS et les “couches superficielles”. J’envoie ça au hasard de mes
démarches (mail non construit, pas le temps)
“Suite à une campagne de vaccination mondiale menée
par l’OMS, la variole a été déclarée éradiquée en 1980.”.
Dans les ”couches profondes” de l’OMS : Variole au Nigeria page 6 http://whqlibdoc.who.int/smallpox/SE_WP_75.1_fre.pdf
“En 1967 les autorités décidèrent d’accorder la priorité aux
mesures de surveillance et d’endiguement plutôt qu’à la
vaccination de masse, ce qui eut pour résultat de faire
disparaitre la variole en cinq mois, alors que seules 750000
personnes avaient été vaccinées sur une population de plus
de 12 millions ”
Pour avoir une idée de l’importance des “couches profondes”
allez sur : http://whqlibdoc.who.int/smallpox/
Un échantillon des couches profondes : (juste un tout
petit morceau ....) à gauche date du scan du document,
à droite 68 donne l’année du document ; fre indique
qu’il est en français
Et l’on pense encore qu’il est possible de discourir
valablement sur la variole et son éradication en
ayant jamais lu la moindre ligne de ces documents …
En en ignorant même l’existence !!!
Il me parait très important d’en montrer d’abord l’existence, même sans avoir tout lu ni tout digéré
(il ne suffit pas de lire ...)
Pour un complément d’info, on peut lire le doc d’ATTAC :
L’Europe sans les Peuples
@ Sirocco
j’achète mes vestes à Emaus, mais les manches sont souvent trop longues...
Comment vais-je pouvoir les relever sans faire une quenelle ????
Aidez-moi !!!!! Je commence à trembler. Si Valls me vois !
http://questionvaccins.canalblog.com/
Sur le site ci-dessus vous découvrez que ce n’ait pas la vaccination qui a arrêté la variole
et pourquoi l’OMS n’utilise pas le BCG , mais le DOTS
On peut aussi compléter notre information par la lecture de ces deux documents :
“Sclérose en plaques chez les enfants : des données très démonstratives” http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2011/03/18/20609338.html
ainsi qu’une communication sur le sujet au congrès de la Société française de santé publique à Lille : http://p3.storage.canalblog.com/35/91/310209/69807497.pdf
La seconde adresse n’est pas passé ; la voici :
http://p3.storage.canalblog.com/35/91/310209/69807497.pdf
Pour plus d’information on peut se reporter à l’article suivant :
“Sclérose en plaques chez les enfants : des données très
démonstratives”
sur le site :
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2011/03/18/20609338.html
ainsi qu’à une communication sur le sujet au congrès de la Société française de
santé publique à Lille :
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