Les héros sont fatigués
L’artiste : On dirait que tu t’emmêles les pinceaux ?
L’artisan : Aucun risque... de pinceau, je n’en ai qu’un... et j’y tiens
L’artiste : Accroche-toi à ton pinceau dans ce cas... j’enlève l’échelle
L’artisan : tu es complètement marteau... pourquoi tu enlèverais l’échelle ?
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/07/les-heros-sont-fatigues/
Le mal c’est le capital… oui mon Général !
C’est la tête, à la tête ou dans la tête…
Il faut imaginer le mal heureux
pour avoir accès au bonheur
Le mal se fait du bien… c’est ça le malheur
Parce que le mal ne se fait jamais mal…
il est malin !
Il ne vise que son bien…
aux dépens de tous les autres
Le quant à soi, le pour soi, le chez soi…
c’est là où il s’emballe
Ouvre et découvre le bal…
Ce ne sont pas les autres, donc c’est moi
Le soit disant aimable…
est l’être le plus haïssable
Qui cherche son bien,
ne peut s’empêcher de faire mal
On n’est bien servi que par soi-même !
se dit le mal heureux
On a vite fait de le découvrir
Chacun tirant vers lui la couverture
Pour se protéger, cela va sans dire
Mais aussi pour priver l’autre de sa monture
Que c’est bien de se faire du bien,
se dit le mal heureux
Et ça m’attriste, tous ces bonheurs tristes
Qui attestent qu’en nous le mal est inébranlable…
Maladie incurable
Le moi travaille pour moi
Donc le mal pour le mal…
en amont et en aval…
La définition même de la méchanceté
Moralité : les hommes sont bêtes et méchants
Chacun pour soi…
Et personne pour personne
La vraie politique… la bonne politique
Commence quand on commence
à renoncer à soi
Ne soyons pas sceptiques…
tout idéal est DRAMATIQUE…
L’autre politique,
c’est la politique de l’AUTRE
Celle qui se préoccupe de quelqu’un d’autre
Mais le malheur reste le propre de l’homme
Parce qu’il cherche avant tout
son propre bonheur…
Ni le mien… ni le nôtre…
mais le sien…
qui donne la bonne heure !
Le capital… c’est le mal… oui mon Général !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières :
Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier
Le premier homme n’a qu’une couille
On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux
Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une
En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler)
Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît
En damant le pion à son double... à la face du monde entier
Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel
Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal
Mais de dénoncer ce royaume délétère
Où seul l’instinct grégaire légifère...
Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire
De madame... Rottweiler !
Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même,
ni plus royaliste que le roi
Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer
C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français
On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre
Une femme peut nuire plus qu’aucun autre
Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ?
Cette Valérie me rappelle Salomé
Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré...
Parce que c’est le moment de se demander
Si notre élu est un homme pour de vrai
Avec une couille en moins et une embrouille en plus !
Politude !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières :
Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier
Le premier homme n’a qu’une couille
On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux
Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une
En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler)
Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît
En damant le pion à son double... à la face du monde entier
Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel
Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal
Mais de dénoncer ce royaume délétère
Où seul l’instinct grégaire légifère...
Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire
De madame... Rottweiler !
Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même,
ni plus royaliste que le roi
Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer
C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français
On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre
Une femme peut nuire plus qu’aucun autre
Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ?
Cette Valérie me rappelle Salomé
Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré...
Parce que c’est le moment de se demander
Si notre élu est un homme pour de vrai
Avec une couille en moins et une embrouille en plus !
Politude !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières :
Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier
Le premier homme n’a qu’une couille
On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux
Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une
En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler)
Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît
En damant le pion à son double... à la face du monde entier
Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel
Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal
Mais de dénoncer ce royaume délétère
Où seul l’instinct grégaire légifère...
Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire
De madame... Rottweiler !
Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même,
ni plus royaliste que le roi
Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer
C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français
On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre
Une femme peut nuire plus qu’aucun autre
Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ?
Cette Valérie me rappelle Salomé
Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré...
Parce que c’est le moment de se demander
Si notre élu est un homme pour de vrai
Avec une couille en moins et une embrouille en plus !
Politude !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières :
Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier
Le premier homme n’a qu’une couille
On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux
Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une
En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler)
Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît
En damant le pion à son double... à la face du monde entier
Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel
Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal
Mais de dénoncer ce royaume délétère
Où seul l’instinct grégaire légifère...
Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire
De madame... Rottweiler !
Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même,
ni plus royaliste que le roi
Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer
C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français
On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre
Une femme peut nuire plus qu’aucun autre
Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ?
Cette Valérie me rappelle Salomé
Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré...
Parce que c’est le moment de se demander
Si notre élu est un homme pour de vrai
Avec une couille en moins et une embrouille en plus !
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/06/politude/
J’y arrive pas… j’y arrive plus… je ne sais même pas si j’ai le désir d’y arriver…
à gagner ma vie, à nourrir ma famille, à rentabiliser ce que je suis…
Ma plume n’est pas exportable… et la table de ma loi n’est pas rentable.
Comment dire…. que je suis à bout… Comme tous ceux qui s’efforcent à joindre les deux bouts.
Je subis comme on dit, le sort de toute ironie, le revers de toute
fortune… Parce que nul n’a le droit de créer sans rien devoir en retour.
C’est très étrange même le don de soi a un coût : la tête et les yeux.
Tout me pousse à intégrer le système marchand.
J’ai beau dire que je ne suis pas une marchandise, je ne peux éviter ma désintégration… ma solitude… ma lassitude… ma finitude.
Suis-je le cordonnier le plus mal chaussé ?
Suis-je l’aide-soignant le plus mal soigné ?
Suis-je l’artiste le plus triste ou le plus attristé ?
Il paraît que nous le sommes tous et toutes… parce que le verbe être…
est en crise. On ne gagne pas assez pour rembourser la dette… celle que
nul n’a contractée.
Qu’avons-nous à perdre ? T O U T
Puisque l’existence est devenue une question de comptabilité … voire
d’incompatibilité… Entre les moyens et les raisons de vivre.
Tout à perdre… rien à y gagner.
Quelques fleurs… quelques flirts entre grands esprits et puis RIEN.
Rien ne suffit à combler le trou de notre sécu mentale et morale.
Je ne vais pas me tirer une balle dans la tête… NON.
Mais je vous demande de le faire… en cessant de m’encourager à faire ce que je fais : Exister
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/04/ma-precarite/
Game over
Q : que diriez-vous au gardien de l’immeuble,
qui n’a pas trouvé mieux pour initier les autres que d’habiter au rez-de-chaussée ?
Je fais moi-même mes comptes... mais ce sont toujours des contes de fées...
Au présent perpétuel...
Mais il y a toujours quelqu’un pour vous sortie de cette pensée magique... et de vous obliger à poser un pied dans le réel...
C’est quoi ce vacarme ?
Ce sont les étudiants canadiens qui hésitent à prendre les armes
Et pourquoi est-ce qu’ils hésitent ? Parce que les uns prétendent que les carottes sont crues et les autres qu’elles sont cuites. Parmi eux, il y en a qui craignent le bâton, ignorent que c’est le bâton qui les craint... etc...etc...etc...
Ils cherchent l’entrée... en crise et on n’arrête pas de leur montrer la sortie.
Ils veulent la guerre et n’ont que faire du moindre traité de paix. La guerre à l’argent, la guerre aux bouffons... la guerre aux puissants. Ils se sont enfin rendus compte... que leur pire ennemi, ce n’est ni l’état dans tous ses états ni tout l’arsenal des lois liberticides mais l’individu... l’individualisme de toutes ces coquilles vides et avides à la solde du modèle américain.
On me dit : de quoi je me mêle ?
Il ne s’agit pas là de canada dry mais d’un gin pas tonique qui ne peut pas être digéré par une héritière de mai 68.
N’empêche que je ne peux m’empêcher de dire, que si j’étais Vous... j’arrêterai toute étude.
Un atermoiement illimité... Jusqu’à ce que les autorités daignent ouvrir gratuitement les portes de toutes les facultés... à tous ceux qui veulent bien les remplir !
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/de-quoi-je-me-mele/
Pourquoi la retraite à 60 ans et pas un jour, pas une heure et pas une seconde de plus ?
Parce que nous en avons assez d’être absorbés par l’appât du gain et nos abominables faims…
Parce que nous sommes des affairés, pauvres ou appauvris qui ne seront jamais tirés d’affaire…
Nos corps vivent peut-être un peu plus longtemps mais nos âmes meurent souvent prématurément …
Que de temps perdu pour gagner du temps ! Le nôtre pour le vôtre…
Que de bonheur en moins pour quelques euros de plus !
La retraite, pour nous, ça ne veut pas dire se retirer sur la pointe des pieds pour ne pas effrayer les nouveaux patients qui vont passer sur la table d’opération… non et non !
Nous ne sommes pas des mendiants qui réclamons un peu plus de signes d’affection… non et non !
Nous ne demandons pas plus de temps, pour se reposer après un effort insensé ou pour déposer les armes après une bataille remportée…
non et non !
Mais… pour lire… lire… et lire.
Il y a tellement de beaux livres à lire, d’auteurs à découvrir et de leçons à retenir… pour apprendre à mourir.
La retraite à 60 ans pour lire tout Molière, tout Flaubert, tout Baudelaire.
Et mourir en se disant : non, et non… je n’ai pas fini …
Je vous entends ricaner : Et qui va financer ce manque à gagner ?
C’est ça la question ?
Je fais moi-même mes comptes... mais ce sont toujours des contes de fées...
Au présent perpétuel...
Mais il y a toujours quelqu’un pour vous sortie de cette pensée magique... et de vous obliger à poser un pied dans le réel...
C’est quoi ce vacarme ?
Ce sont les étudiants canadiens qui hésitent à prendre les armes
Et pourquoi est-ce qu’ils hésitent ? Parce que les uns prétendent que les carottes sont crues et les autres qu’elles sont cuites. Parmi eux, il y en a qui craignent le bâton, ignorent que c’est le bâton qui les craint... etc...etc...etc...
Ils cherchent l’entrée... en crise et on n’arrête pas de leur montrer la sortie.
Ils veulent la guerre et n’ont que faire du moindre traité de paix. La guerre à l’argent, la guerre aux bouffons... la guerre aux puissants. Ils se sont enfin rendus compte... que leur pire ennemi, ce n’est ni l’état dans tous ses états ni tout l’arsenal des lois liberticides mais l’individu... l’individualisme de toutes ces coquilles vides et avides à la solde du modèle américain.
On me dit : de quoi je me mêle ?
Il ne s’agit pas là de canada dry mais d’un gin pas tonique qui ne peut pas être digéré par une héritière de mai 68.
N’empêche que je ne peux m’empêcher de dire, que si j’étais Vous... j’arrêterai toute étude.
Un atermoiement illimité... Jusqu’à ce que les autorités daignent ouvrir gratuitement les portes de toutes les facultés... à tous ceux qui veulent bien les remplir
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/de-quoi-je-me-mele/
Zemmour à la crème !
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/03/zemmour-a-la-creme/
Avec toi, j’ai toujours du mal à distinguer le premier, du deuxième sexe.
Sans doute, parce qu’il y a en toi un peu des deux. Je vais dresser le tableau pour qu’on s’y retrouve un peu, tous les deux…
Pour nous autres, femmes, il y a trois options pour faire carrière : garce, pute ou prostituée.
La garce, c’est celle qui te fait payer un service qu’elle ne t’a pas rendu… et qui finit toujours par te plaquer, parce qu’avec elle, tu es toujours à côté de la plaque.
La prostituée te loue ou sous loue son corps en échange de quelques rubis… elle fait office de service public, et tout le monde y trouve son compte y compris le ministère des finances qui lui demande de rendre des comptes.
Et enfin la pute qui vend son âme pour subvenir à ses besoins et perd toutes les parties en voulant à tout prix, gagner sa vie… parce qu’elle n’aime pas ce qu’elle fait et ne fait pas ce qu’elle aime…
Et sous prétexte qu’elle n’a pas le choix, elle ne l’aura jamais…
Pour vous autres hommes, l’arrogance au masculin, j’ai entrevu trois autres déclinaisons :
Vous êtes ou pauvres ou faibles ou mesquins.
Les pauvres ne peuvent pas faire autrement que ramasser les miettes et n’auront pas d’autre issue tant qu’ils croiront que la voie est sans issue.
Pour eux, la vie est une question de survie, leur corps fait partie du décor.
Les faibles, en revanche sont infiniment plus nombreux… Leur problème et le seul c’est qu’ils ont hypothéqué leurs âmes pour s’acheter une maison, gravir un échelon ou sauvegarder leur guenon.
Les derniers, docteur Zemmour, ce sont les mesquins. Ce sont les pires, les vampires qui ont besoin de notre sang pour se nourrir. Ils nous en veulent d’avoir un sentiment… parce qu’ils sont hommes du ressentiment… qui pour x raisons en veulent toujours à leur maman de les avoir mis au monde avec un cœur artificiel et un faux cul…
Ce tableau n’est pas plus noir que tes idées sur les barbares… Et pour ne pas te ressembler… je vais te dire que j’aime tout ce que tu fais… surtout quand tu fais semblant d’être un homme.
Je fais moi-même mes comptes... mais ce sont toujours des contes de fées...
Au présent perpétuel...
Mais il y a toujours quelqu’un pour vous sortie de cette pensée magique... et de vous obliger à poser un pied dans le réel...
C’est quoi ce vacarme ?
Ce sont les étudiants canadiens qui hésitent à prendre les armes
Et pourquoi est-ce qu’ils hésitent ? Parce que les uns prétendent que les carottes sont crues et les autres qu’elles sont cuites. Parmi eux, il y en a qui craignent le bâton, ignorent que c’est le bâton qui les craint... etc...etc...etc...
Ils cherchent l’entrée... en crise et on n’arrête pas de leur montrer la sortie.
Ils veulent la guerre et n’ont que faire du moindre traité de paix. La guerre à l’argent, la guerre aux bouffons... la guerre aux puissants. Ils se sont enfin rendus compte... que leur pire ennemi, ce n’est ni l’état dans tous ses états ni tout l’arsenal des lois liberticides mais l’individu... l’individualisme de toutes ces coquilles vides et avides à la solde du modèle américain.
On me dit : de quoi je me mêle ?
Il ne s’agit pas là de canada dry mais d’un gin pas tonique qui ne peut pas être digéré par une héritière de mai 68.
N’empêche que je ne peux m’empêcher de dire, que si j’étais Vous... j’arrêterai toute étude.
Un atermoiement illimité... Jusqu’à ce que les autorités daignent ouvrir gratuitement les portes de toutes les facultés... à tous ceux qui veulent bien les remplir
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/de-quoi-je-me-mele/
Najat
Professeur
J’ai parcouru les grandes lignes de votre thèse, j’ai du mal à vous situer dans cette fournaise
Najat
Al alb yachek kol gamil
Professeur
Et moi je dis, encore faut-il avoir un cœur !
Najat
Professeur
J’ai parcouru les grandes lignes de votre thèse, j’ai du mal à vous situer dans cette fournaise
Najat
Al alb yachek kol gamil
Professeur
Et moi je dis, encore faut-il avoir un cœur !
La bourse ou les amis ?
Les bons comptes font les bons amis
Lieu commun qui ne m’inspire rien de bon
Bonté divine...
Que l’homme est mesquin
Bonté divine...
Que la femme est mesquine !
Les bons comptes font les bons amis....
Ha ! Ha ! Ha !et pourtant c’est ce qu’on dit !
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/la-bourse-ou-les-amis/
C’est terrible la conscience
Cette petite flamme qui danse
Pas celle qui me rend présent, les choses présentes
Mais celles qui brillent par leur absence
C’est terrible la conscience
Parce que je ne suis pas seule au monde
Je suis peut être dingue, mais je distingue
Entre la conscience psychologique et la conscience morale
Le je ne suis rien… et le je vous dois tout
C’est terrible la conscience
Pour donner ou retirer du sens
À la vie. À autrui
Cette petite flamme qui tremble
Et éclaire l’ensemble
Oui, je me sens obligée… dans l’obligation de bouger
Et de faire bouger les lignes
Qui nous séparent de la vie, d’autrui
Je me sens obligée de tendre la main
À tous ceux qui ne se sentent pas la force de remonter la pente
À tous ceux qui ont avec moi, une partie liée :
La même raison de vivre et de désespérer
Oui, je me sens obligée de prendre les armes
Et de monter à l’assaut d’un immense quiproquo
Qui prétend que c’est une question financière
Alors qu’il n’en est rien… rectifie la bergère
C’est juste une question d’appréciation…
qui vaut le plus, veut peut-être le moins ?
Avec l’austérité qui se profile à l’horizon,
Nous en sommes tous témoins
C’est notre vision que l’on doit réviser
Nos valeurs que l’on doit imposer
Pour ne plus être à la merci du système
Osons… faisons… FRONT COMMUN
Contre les indignes et les indignés
Soyons plus dignes que jamais !
Sarcosi fan tutte
J’ai toujours haï les extrêmes, même si leur dogmatisme me profite et contrairement à ce qu’on croit çà et là, je méprise la droite. C’est ma part de méprisance à moi.
Quant à la gauche, je l’ai toujours trouvée ridicule... risible... pitoyable... parce qu’au fond, je suis impitoyable. Même si je perds cette élection, il n’y aura pas un seul pour me plaindre... et c’est de bonne guerre... parce que je suis un homme fier...
Non, je ne prends pas les autres pour des cons, je laisse entendre qu’ils le sont... tant qu’ils croiront en quelque chose.... ils n’aboutiront jamais à rien... ce n’est pas du cynisme mais du réalisme... du bon sens : il n’y a pas de différence entre être et avoir... il faut en avoir, pour être, paraître et devenir quelqu’un.
Mon adversaire est con de croire qu’il ne l’est pas. Et con de faire croire que vous ne l’êtes pas...
Avec moi au moins, les choses sont claires : je vous baise en vous disant les yeux dans les yeux que je vous baise.
Tout ce que vous courrez comme risque c’est de prendre votre pied. Parce que pour moi, c’est déjà fait.
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/04/sarcosi-fan-tutte/
Elle : Tu ne l’emporteras pas au paradis
Lui : pourquoi ? Parce qu’il est pavé de mauvaises intentions ?
Elle : non, parce que tu vas perdre mon amour
Lui : « je réussirai », c’est le mot de tout matelot qui va à sa perte
Elle : le mal, tu ne sais pas ce que c’est, tu es normal !
Lui : de quoi tu parles ? De notre passé ou de ton avenir
Elle : ça m’écœure tous ces adolescents avec des boutons plein le cœur
Lui : j’ai refait ma vie, qu’est-ce que tu attends pour refaire la tienne ?
Elle : pas besoin de la refaire, je ne l’ai jamais faite… j’ai toujours été libre
Lui : je l’ignorais, électron prisonnier…
Elle : comment j’ai fait pour t’aimer ?
Lui : un éclair… de lucidité… avant que tu ne retombes dans l’obscurité !
Elle : je t’ai toujours trouvé vieux jeu… mais en fait, tu es puéril
Lui : tu ne sais pas te battre… et tu seras battue
Elle : je ne sais pas me battre, mais te battre… ça je le sais !
Lui : le politique c’est du crédit et tu es la moins crédible des deux
Elle : tu es charitable… mais j’ai le numéro de la grâce sur mon portable
Lui : mais ton abonné va expirer avant le 22 avril 2012
Elle : entre nous, c’est toujours moi qui ai tenu les rennes
Lui : entre nous, le roi n’a jamais pris au sérieux la reine
Elle : oui mon père, je fus, j’étais , je suis vipère
Lui : et moi le pêcheur qui finit par trancher la tête du serpent
Elle : il est vivant… il m’a même fait des enfants… ils sont dans mon ventre !
Lui : tu veux parler de ma semence divine ou de ton moral en ruines ?
Elle : sous tes refrains de petit malin, il y a un fish, un donk, un hasbeen
Lui : parce que tu as du mal avec le français, on a du mal avec ton anglais !
Elle : je suis la seule garante d’une démocratie participative…
Lui : le peuple n’a pas envie de venir vers toi, mais de te voir venir vers lui…
Elle : tu t’aimes un peu trop
Lui : je ne m’aime plus. C’est ça ma plus value !
Elle : tu serais capable de jeter l’éponge pour moi ?
Lui : non, parce que tu ne sais pas nettoyer
Elle : tu es persuadé que tu vas gagner ?
Lui : plus que jamais
Elle : pour verrouiller ta nouvelle campagne ?
Lui : non. Pour déverrouiller d’autres.
Elle : tu as du mal à en avoir une… tu n’en auras pas d’autres !
Lui : j’ai deux cœurs : un pour moi, un pour les autres
Elle : je parie que l’un des deux est artificiel
Lui : perdu ! Les deux sont artificiels… c’est pour cette raison que je pars à l’assaut du ciel !
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/07/royal-et-son-rival/
Avril en vrille !
Ils ne cherchent pas midi à 14 heures
Ils le trouvent à 14 heures
Les abrutis
Pour eux, l’argent ne fait pas le bonheur
Il fait tout juste le leur
Les abrutis
Ils vont voter pour le mieux placé
Parce qu’ils ignorent que ce sont eux qui l’ont si bien placé
Les abrutis
Ils se sentent tellement différents
Mais ce sont toujours les mêmes
Les abrutis
Ils veulent terroriser le terrorisme
En regardant à travers un prisme
Les abrutis
Plus extrêmes que les extrêmes
Ils font naître de nouveaux problèmes
Les abrutis
Après les noirs et les juifs voici venu le temps
De stigmatiser les arabo-musulmans
Les abrutis
Qui nous bernent et nous cernent
Avec des vessies en guise de lanternes
Les abrutis
Ils disent que l’occident est sorti de sa minorité
Parce qu’il a décrété qu’à part la sienne y a pas d’autre liberté
Les abrutis
La civilisation des objets
Ne peut être supérieure aux larmes d’un seul sujet
Les abrutis
Ils éteignent la lumière et allument la télé
Pour y déceler dans le noir toute leur néantité.
Les abrutis
Ils découvrent l’histoire dans les journaux
Ignorant qu’elle est écrite pour eux, vaches, cochons, veaux
Les abrutis
Si on leur présente le Christ d’un côté et la vérité de l’autre
Ils choisiront le présentateur comme seul apôtre.
Les abrutis
Les électeurs ou les élus
Je ne sais pas... je ne sais plus
Les abrutis
Au mois d’avril, ne vous découvrez pas d’un fil !
Mais au mois de mai, ne faites pas ce qui vous plaît !
Ne votez pas, je vous en supplie...
Pour celui qui vous a rendu si petits !
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