- > On ne parle pas du socialisme qui serait « la fin du monde », ni de ruiner tout le monde en « terminant » l’argent.
Je parle du socialisme politique, le votre : celui imposé, celui qui a donc une fin.
-> On ne veut pas pervertir le mot solidarité,
C’est ce que vous faites. Ne faites vous pas la différence entre une action volontaire et une action forcée ?
-> mais juste remarquer
que vivre en société veut simplement dire que l’on est organisé de telle
façon que l’on a besoin des autres, contrairement à l’homme des
cavernes...
L’Homme est de par nature un être social même l’homme des cavernes. On ne s’organise pas en société pour avoir besoin des autres, on s’organise en société car on a besoin des autres. Mais cela n’implique pas que la société doit être institutionnalisé et que l’individu doit être bafoué.
-> Alors il vaut mieux que les autres aient encore envie de travailler pour
faire et produire ce que vous ne pouvez faire vous même.
Pour donnez envie aux autres de travailler, vous allez les forcer ?
Si un individu veut quelque chose des autres, qu’il apporte alors quelque chose en échange.
-> Si certains donnent l’impression de trop vouloir prendre et de tout garder pour eux, un jour cela pourra « péter ».
Bravo, vous avez compris pourquoi le socialisme ne peut pas marcher.
-> Quant aux lois du marché, il y a le mot loi, et l’homme peut faire la loi.
Mais il y a une limite, elle ne peut pas accorder des droits que l’Homme ne possède pas et elle ne peut pas supprimer des droits que l’Homme possède.
-> C’est ce que l’on appelle de la politique.
Le but de toute association politique est la conservation des droits
naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la
propriété et la résistance à l’oppression. (Article 2 de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen)