Toutes mes constantes biologiques sont vérifiées très régulièrement et, ne vous en déplaise, elles sont parfaites malgré 24 ans de régime carencé !
Mes études « inexistantes » valent bien votre bien votre fatuité de science infuse et justifiée par aucune référence.
Détrompez vous mais un repas frugal, des jus de fruits et de légumes centrifugés ( je vous recommande tout particulièrement carotte, pomme, gingembre frais), la consommations de noix, noisette, graines germées, choux et autres verdures variées permettent la composition de nombreuses recettes délicieuses et parfaitement digestes. Aucun coup de barre ne suit ce genre de repas contrairement à celui que vous devez obligatoirement rencontrer après l’ingestion d’une côte de bœuf et de frite, coup de barre compensé par un ou deux café pour tenir éveiller dans ce monde stressé que vous vivez.
Quand à vos réflexions tout aussi arbitraire sur l’église de je ne sais quoi je vous invite à lire mes articles, tous disponibles sur mon blog germedeconscience.unblog.fr , et en particulier celui intitulé « l’indigence programmée de la foi » pour vous rendre compte que vous faites complètement fausse route sur les motivations de l’individu que vous répond.
P.S : Je suis moi même végétarien depuis 1990 sans aucune exception est je me porte très bien pour mes 50 ans, merci.
Une étude inédite par son ampleur et la diversité des
personnes suivies tend à confirmer l’effet bénéfique d’un régime végétarien. De
2002 à 2007, des médecins ont suivi environ 73 300 membres de la
communauté religieuse de « l’Église adventiste du septième
jour » où le végétarisme est prôné. Comme tous ses membres ne
respectent pas rigoureusement ce mode d’alimentation, il a été possible de
différencier l’incidence des différents types de régime alimentaire sur la
mortalité. Résultat : « les végétariens ayant participé à l’étude ont subi
12% de mortalité en moins sur la période de l’étude par rapport aux personnes
mangeant de la viande. La probabilité de mourir d’une maladie cardiaque a été
également inférieure de 19 % dans ce groupe. En revanche, le risque de cancer
fut le même », précisent les chercheurs. Au total, 2570 personnes sont mortes
pendant le suivi qui a duré 5,79 ans exactement. Le ratio ajusté de risque de
mortalité, toutes causes confondues, entre tous les types de végétariens et les
non végétariens est 0,88. C’est-à-dire que pour une personne morte qui n’était
pas végétarienne, il y a 0,88 « mort » végétarien. Ces rapports
différent légèrement en fonction du régime suivi : 0,85 pour les
végétaliens (uniquement fruits et légumes, aucun produit alimentaire issu du
monde animal) 0,91 pour les lacto-ovo-lacto-végétariens (les végétariens qui
acceptent le lait et les œufs dans leur alimentation) 0,81 pour les
pesco-végétariens (les végétariens qui acceptent le poisson et les fruits de
mer dans leur alimentation) 0,92 chez les semi-végétariens (les végétariens qui
mangent de la viande au moins une fois par mois mais moins d’une fois par
semaine) De plus, « les morts liées au diabète et aux insuffisances rénales
dans le groupe étudié ont été aussi moins importantes ». Cette étude, tend à
montrer, une nouvelle fois, qu’un régime alimentaire majoritairement basé sur
les fruits et les légumes a un effet protecteur pour la santé. Et ceci,
notamment chez les hommes, plus que chez les femmes où la différence n’est pas
aussi significative. Notons que l’apport énergétique ne semble pas avoir
influencé ce bilan puisque les différents groupes de personnes (végétariens ou
non) consommaient généralement autour de la même quantité de calories par jour.
Source : Vegetarian Dietary Patterns and Mortality
in Adventist Health Study 2 ; Michael J. Orlich, MD ; Pramil N Singh, DrPH ;
Joan Sabaté, MD, DrPH ; Karen Jaceldo-Siegl, DrPH ; Jing Fan, MS ; Synnove
Knutsen, MD, PhD ; W. Lawrence Beeson, DrPH ; Gary E. Fraser, MBchB, PhD - JAMA
Intern Med. 2013 ;():1-8. doi:10.1001/jamainternmed.2013.6473.
L’Inde est le pays du monde qui compte le plus de végétariens, environ 450 millions de personnes, soit près de 40% de sa population. Dans la région du Gujarat, lieu de naissance de Gandhi, 80% des habitants sont végétariens, ce qui en fait l’état le plus végétarien au monde.
En dépit des affirmations péremptoires gratuites et sans fondement de MdeP ils ne sont pas tous carencés et dégénérés !
Entre 2000 et 2009, le taux de prévalence du diabète en France n’a cessé d’augmenter. Il a même progressé plus vite que prévu. En 2009, on estime à plus de 3,5 millions le nombre de personnes atteintes, des chiffres attendus normalement pour 2016. Ils témoignent d’une véritable croissance de l’épidémie. En ligne de mire, comme causes principales du diabète : surpoids, obésité, mauvaise alimentation, sédentarité et faible activité physique.
Les taux de prévalence les plus élevés en France sont toujours en outre-mer. Chez moi sur l’île de la Réunion il est de 8,8% .Fait marquant, à l’inverse de la métropole, les femmes sont plus touchées par le diabète entre outre-mer que les hommes. Ici lles canons de beauté restent des femmes aux très fortes poitrines et aux très fortes hanches. L’alimentation est passée en 40 ans d’une alimentation riz, fruits, légumes sec, verdure et viande une ou deux fois par semaine à une alimentation carnée cuite en sauce grasse 3 fois par jours de même qu’une consommation effrénée de soda riche en sucre raffiné.
Cette disparité géographique n’est pas sans traduire des différences sociales. Plus on est pauvre, plus on est touché par le diabète. Sur un périmètre limité, les chiffres sont sans appel : en Seine-Saint Denis, le taux de prévalence en 2009 est de 5.8%, alors qu’à Paris, il est de 3,2%. L’étude de l’INVS préconise une maîtrise de l’offre alimentaire, le maintien d’un niveau d’activité physique raisonnable et des politiques ciblées, notamment pour les plus de 60 ans et dans les zones géographiques les plus touchées. « Les solutions à cette épidémie passent par une stabilisation du surpoids et de l’obésité », conclut-elle.
Sources : Institut de Veille Sanitaire, Bulletin épidémiologique hebdomadaire (9 novembre 2010/n°42-43)
Je ne fais parti d’aucune secte et prône dans tous les domaines (et dans tout mes articles...) l’indépendance, l’autonomie créatrice, le développement de la conscience de soi et de son rapport monde. Si faire part de son expérience personnel, combien même serait elle alternative et très particulière, c’est « faire partie d’une secte » cela laisse peut de place à l’expression et à la communication ce qui est l’essence même de ce média. Il n’est pas censé à travers ses rédacteurs indépendants répéter en boucle toutes les erreurs, tous les poncifs et la bouillie prémâchée vomie au quotidien par les médias « main stream ». Au lieu de rejeter comme vous le faite des informations qui pourraient vous être personnellement salutaires, vous feriez peut être bien , tout en gardant votre sens critique dont je sens bien qu’il est aussi acide que votre milieu intérieur, faire preuve d’ouverture d’esprit et envisager que la vie ne soit pas faite que de rencontre de compétiteurs acharnés ou de charlatan qui en voudrait à vos maigres revenus.
Que vous soyez convaincu que la compétition est inhérente à la nature humaine ne vaut pas démonstration.
D’où vous vient il que la compétition entre les mâles soit le principe universel qui réunit deux êtres vivants dans une relation amoureuse ? Celui ou celle qui n’est pas particulièrement beau, intelligent, riche ou rusé est-il (elle) suivant votre concept culturel définitivement exclu de toute possibilité d’ amour ou même plus prosaïquement de possibilité de reproduction ? Cela se serait déjà remarqué par une rapide décroissance démographique, ce qui n’est pas le cas !
Au contraire de ce que vous affirmez, à l’école maternelle le petit lulu ou le petit lolo n’achètent pas l’amitié de la petite lili à coup de bien de consommation. si vous observez vraiment les enfants à ce jeune âge c’est la tendresse, le partage et les affinités particulières qui les réunissent et non les bonbons du plus offrant ! Vous transposez là une réaction d’adulte conditionné à la compétition et plongé dans un monde vénal.
Je n’ai pas « d’utopique projet » concernant la coopération entre les humains mais il me parait sensé de réaliser que la compétition comme mode premier d’éducation induit la rivalité, la lutte, la guerre et toutes les violences dont la société est baignée. Si ce monde vous convient, libre à vous de persévérer mais c’est là que se trouve la « suicidaire folie » dont vous faites état et non dans la possibilité d’envisager pour nous même et pour nos enfants une autre voie.
Quant au couplet rabâché sur la nécessité de la compétition pour faire émerger le meilleur c’est un concept élitiste effectivement très utilisé par les tenant des systèmes pyramidaux de pouvoir qui justifient ainsi leur position dominante acquise par la ruse, la force, la violence, la tricherie ou même le meurtre.
On peut être le meilleur cavalier et limité en agriculture. On peut être le meilleur cultivateur et limité dans la forge des instruments qui servent à la travailler. On peut être le meilleur artisan mais limité dans la façon de transmettre les savoirs. On peut être le meilleur enseignant et limité dans les talents de guérisseurs. C’est l’association coopérative des talents qui établit les sociétés les plus durables et non la guerre ouverte entre les humains.
De même que le principe de compétition a été « inoculé » comme vous dites depuis des millénaires dans la quasi totalité des société humaines, de même il n’est que temps d’envisager l’antidote de la coopération pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être.
Je ne crois pas que le principe de compétition soit une caractéristique de la « nature humaine ». Des société dites primitives vivent en coopération depuis des millénaires car c’est le seul mode de comportement et d’action qui permet la cohésion sociale nécessaire à une survie en milieu hostile. La compétition a été introduite pour diviser les hommes entre eux et ainsi mieux régner. Elle est un artifice tellement ancré dans l’inconscient que vous semblez même penser qu’il n’en a jamais été et qu’il ne peut en être autrement. Le piège fonctionne parfaitement, s’auto entretient par la violence qu’il engendre et plus personne ( ou presque) ne se pose de question. Comme pour l’inusable « il n’y à pas d’autre politique possible » ce dogme de la compétition intégré dés le plus jeune âge est devenu « le seul enseignement possible » et donc décliné ad nauseam à l’école, dans les sports, dans la vie politique, dans la vie amoureuse, dans la vie religieuse...
Comment est-il possible de se méprendre à ce point sur mes intentions présumées de souteneur inconditionnel du monde technologique qui nous est promis par l’évolution en cours. Cette attaque directe est absolument infondée et je me demande bien ce qui vous a convaincu d’un tel parti pris !
L’objet de l’article, puisse qu’apparemment cela n’est pas accessible à tous, est de donner des pistes d’adaptation à chacun en visant et développant son individualité, sa particularité et en vivant sa passion afin d’humaniser l’ensemble de la société. Le monde technologique, qui n’est encore qu’à ses balbutiements, est un FAIT. Le constat d’un fait ne vaut pas caution solidaire ! C’est une base d’appui sur le réel afin pouvoir s’y adapter et s’y épanouir malgré tout. La lamentation sur ce qui est, ne guérit rien.
Absolument pas ! Vous vous raccrochez au vieux monde industriel du passé. La production sera locale ou non mais ne sera pas le fait d’humains mais de machines adaptées. Même la maintenance, les diagnostics et les réparations seront le fait de machines « intelligentes » connectées au réseau.
Je crois effectivement qu’il s’agit d’une piste très intéressante pour permettre à une population, qui n’est absolument pas préparée à la révolution en cours, de se libérer des contraintes liées à la survie. Les individus pourront alors s’interroger sur le sens et la direction qu’ils souhaitent donner à leur vie. Cela donnerait à tous le temps de se questionner ou non. On peut penser qu’au bout d’un certain temps, variable pour chacun, le désir d’accomplir un rêve, de créer sa vie se fasse jour. Ce qui est fait avec passion répond à cette « raison particulière » que j’évoquais et aboutit très souvent au succès.
Justement la piste de réflexion proposée consiste à être conscient du monde technologique qui nait sous nos yeux parfois encore incrédules. Le suicide ou les violences en tout genre seront pratiquées en désespoir de cause par tous ceux qui ne l’auront pas vu venir ou auront fait l’autruche. Pour des tâches automatisables des machines habiles humanoïdes ou non seront l’interface active entre le monde et une intelligence artificielle décentralisée ( à la manière du réseau internet). Leur connexion wifi leur permettra l’accès à l’ensemble des données, ils travailleront jour et nuit, se rechargeront par un équivalent wifi sans interrompre leur tâche, ne prendront jamais de congés, n’auront pas de salaire ni de retraite, leur habileté et leur précision surpassera celles du meilleur des chirurgiens ou des meilleurs artisans. L’homme ne pourra les concurrencer dans leurs domaines d’activité.
La musique créative participe au contraire pour son créateur du développement de son talent personnel. Elle saura tenir tête aux musiques synthétiques industrielles qui ne manqueront pas non plus d’exister. L’innovation et l’intuition créative restera l’apanage de celui qui vit sa raison particulière et dont les sens et le mental fusionne vers un objectif passionné.
Connaissant les motivations humaines, pour la baise il y a fort à parier que des humanoïdes « de service » seront les premiers à voir le jour ! Docilité, disponibilité, performances, hygiène, même les putes seront au chômage...
J’ai mis 3 semaines à visionner et lire tout ce que j’ai pu trouver en français et en anglais à propos de cette théorie avant de me risquer à en faire un compte rendu qui bien évidemment , de part le point de vue individuel que j’exprime, ne saurait être exempt d’interprétation ou de coloration personnel. Ce qui m’a frappé, en dépit des mots pas toujours facilement accessibles que j’ai pu employer, c’est la beauté, la complétude et en fait la simplicité de l’interprétation du système qui résulte de cette théorie. C’est souvent le signe que l’on est sur la bonne voie en comparaison par exemple avec la complexité sans cesse croissante d’une théorie des cordes dont les multivers emberlificotés sont soutenus par des équations de plus en plus complexes où des constantes sont introduites ex nihilo pour stabiliser une vision fantasmagorique de la réalité.
« vous pouvez toujours reconnaître la vérité par sa beauté et sa simplicité » Richard Feynman
Soyons précis jusqu’au bout, l’action de diriger vers suppose un sens, une direction et non un but qui est lui du domaine de la projection du désir et donc de la fantasmagorie. Je crois comprendre derrière votre raisonnement que vous penchez vers la théorie du chaos ou le hasard et les « coups de dés successifs » auraient mis l’ordre dans une soupe primitive informe pour créer les règles qui régissent notre univers. Autant découper en particules minuscules un boing 747 et jeter en l’air l’ensemble des milliards de fois en espérant qu’un jour elles s’assemblent pour recréer l’appareil dans son entière fonctionnalité !
Comprendre comment fonctionne le système n’implique pas du tout qu’il faille tous s’en servir de la même façon. Au contraire le point de singularité décrit dans cette théorie qui place la focale de « chaque parcelle, de chaque individu ou de chaque univers créés » sur un centre qui lui est propre dans un espace/temps commun oblige en quelque sorte à vision, à une action, à une participation singulière.
Ce n’est pas fusionner dans une pensée unique que de tenter de mettre en évidence les règles ( gravité, électromagnétisme, bipolarité…) qui s’appliquent au Tout que l’on en soit conscient ou non.
Les mot de Un et Tout désignent en science physique l’unité, la totalité du système sans implication émotionnelle !
Réponse à Shawford34 :
La sommité qui évince dans ce lien les 25 ans de recherche de Haramein et d’un autre docteur en physique, Rauscher, n’a pris que 5mn pour survoler 3 papiers et porte des jugement à l’emporte pièce indigne du doute scientifique. Son jugement est d’ailleurs basés sur des concepts physiques qui justement font que la physique relativiste d’Einstein ne soit pas compatibles avec les avancées de la physique quantique. Cette incompatibilité est la preuve d’une erreur de conception quelque part !
Il faut prendre ici le mot intention dans son sens étymologique premier qui est « action de diriger vers », c’est à dire le sens donné par le mouvement, la structure constitutive de l’univers tel qu’envisagé par cette théorie. Il n’est en aucun cas fait mention de « volonté » propre à un « Dieu » qui soit extérieur au système. Ce n’est pas « vouloir être calife à la place du calife » que d’essayer de comprendre les mécanismes premiers qui génèrent le monde qui nous entoure afin de pouvoir suivre son sens plustôt que de s’y opposer, surtout à la vue des énergies mobilisées. L’homme doit effectivement se contenter de vivre sa vie mais pour bien la vivre il vaut mieux faire le choix de l’harmonie avec le sens du courrant que celui de la résistance qu’engendre l’erreur.
Je ne sais pas si vous êtes vous même soumis au « principe d’incertitude d’Heisenberg » mais cette phrase d’entrée en matière visait à faire prendre conscience de l’extraordinaire niveau énergétique qui soutend toute création et qui comme le démontre le physicien Nassim Haramein tend vers l’infini.
Je concède que si c’est pour vous une première approche des théories unificatrices de ce talentueux scientifique, cela puisse paraître indigeste, mais je vous invite à aller plus avant avant de jetter le bébé avec l’eau du bain.
Contrairement à ce qui est annoné un peu plus bas, par un de vos collègue promp à juger, il suffit de taper son nom « Nassim Haramein » sur google pour trouver une centaine de vidéos et conférences qui tentent de vulgarier son travail. Les documents scientifiques et les publications sont sur son site theresonanceproject.org comme indiqué dans l’article qui faisait suite au précédent ( « doubles tores partagés ») déjà publié sur agoravox et dont je me permet plus bas une piqure de rappel.
Ce n’est pas de l’enthropomorphie, c’est une métaphore ! Votre phrase absconce :« L’état énergie/corps transitoire procède du mystère de la création dans l’expression de sa forme combinée durant le « temps » cyclique T » n’est pour le moins, pas d’une grande aide ! ( ça c’est une litote !)
La théorie physique du champ unifié décrit l’unité morphologique de base qui structure la quasi totalité de la réalité qui nous entoure à savoir l’espace. De tout temps la science physique a fixé son étude exclusive sur la matière environnante en laissant de côté l’espace prétendument vide qui l’environne et qui représente pourtant 99.99999% de ce qui est. Pour exemple le volume d’un atome, que l’on considère comme une brique de base dans la construction « solide » apparente, est définit par la rotation à l’échelle de la vitesse de la lumière d’un certain nombre d’électrons infimes autour d’un noyau presque aussi inexistant. A la manière d’une hélice d’avion qui tourne rapidement le mouvement définit un volume essentiellement creux ! L’infiniment grand comme l’infiniment petit sont de même nature et caractérisés par l’espace et qui plus est comme démontré par la théorie physique du champ unifié par un espace extrêmement dense, en mouvement de doubles rotations spiralées superposées et inverses.
Dans une démonstration unificatrice révolutionnaire des physiques quantique et relativiste, le physicien Nassim Haramein décèle les portes d’un savoir plus qu’ancestral qui ouvre des perspectives infinies dans la réalité finie qui est la notre. La possibilité démultiplicatrice d’une structure fractale qui structure le « vide » répond à ce principe : l’infini des détails dans la finitude de la forme. Elle se déploie sur elle-même à mesure qu’elle plonge en spirale dans les abysses infimes de l’échelle du quark. C’est la découverte géométrique de cette structure de base associée à celle d’un mouvement de double tores inversés qui rend les travaux du physicien Nassim Haramein uniques, novateurs et unifiant pour tous les champs des la physique contemporaine. Comme le prévoyait déjà les équations de physique quantique, l’énergie contenue dans le vide tend vers l’infini, ce qui correspond aux caractéristiques déjà connues d’un trou noir. La création de la matière visible (vitesse vibratoire inférieure ou égale à celle de la lumière) est expulsée depuis le centre de ce double vortex dans le champ électromagnétique qui caractérise notre univers tandis que son double corrélé est expulsé de façon synchrone dans le champ informationnel invisible (vitesse supérieure ou égale à celle de la lumière), les deux faces de la création étant à jamais liées instantanément par cet équilibre générateur. L’astrophysique vient de confirmer la présence d’un trou noir au centre de chaque galaxie observable. La matière visible est donc une émanation de l’énergie du vide inversement corrélée à son double informationnel. L’expansion de l’univers visible a pour pendant la contraction du champ informationnel. Ce processus de double création explique en particulier les interactions instantanées constatées mais encore inexplicables en physique relativiste entre deux particules co-crées quelque soit la distance qui les sépare avec une vitesse de communication excédant celle de la lumière.
La récente publication de Nassim Haramein « Le Proton Schwarzschild » (qui a reçu le prestigieux prix « Best Paper Award » dans le domaine de la physique, la mécanique quantique, la relativité, la théorie des champs, et la gravitation à l’Université de Liège, en Belgique au cours de la 9e Conférence internationale CASYS’09 ), pose les bases de ce qui pourrait être un changement fondamental dans notre compréhension actuelle de la physique, de l’astronomie, de la vie, de la médecine et de la nature de la conscience.
Le cubohectaèdre est la géométrie de base, la forme d’équilibre qui structure l’espace entre la formidable puissance d’absorption d’un trou noir (champ gravitationnel) et l’expansion de l’univers réalisé (champ électromagnétique). Le double vortex enchâssé dans la structure géométrique du cubohectaèdre est la dynamique de l’espace dont l’énergie est infinie et qui se comporte comme un super fluide, à la fois lien omniprésent et source de tout ce qui est. Vous pouvez vous faire une idée de ce double vortex en visualisant le mouvement des masses d’air à la surface de notre planète où les rotations se font dans un sens dans l’hémisphère Nord et dans l’autre dans l’hémisphère Sud. Ce double mouvement inversé et superposé établit de façon synchrone la création de l’univers visible d’une part (le côté radiatif, le champ électromagnétique) et le feed back informationnel d’autre part (le côté contractif, le champ gravitationnel). Ce double tore est présent en toute chose, de la galaxie au quark en passant par les êtres vivants. C’est ce double mouvement de création et de feed back informationnel, intimement corrélé, qui permet la conscience qui ne peut être, par nature, que réflexive. La conscience n’est donc pas un épiphénomène mais découle de la nature même du processus de création de la réalité à partir de l’énergie infinie du « vide ». Comme cet espace que l’on qualifie faussement de « vide » représente 99.99999% du tout, cette énergie est partout, en toute chose, en tout être et disponible de façon illimitée.
La question est maintenant de savoir si nous accepterons individuellement puis collectivement d’approfondir et de faire notre cette connaissance unificatrice qui rend stérile et autodestructrice toute accaparation individuelle ou collective d’énergie. La générosité de la puissance infinie est la règle établie dans la création alors que la captation individuelle renseigne l’univers sur la peur du manque et la volonté de domination, d’asservissement. Cette captation induit l’autodestruction car le tout étant unifié, il n’est rien d’autre que Soi à asservir et à dominer et donc in fine à détruire. Les fausses croyances dans le manque, la crise, la pénurie, entretenues par une minorité névrotique paniquée par la peur de perdre leur autorité, leur pouvoir sur le plus grand nombre et le corolaire papier de ce pouvoir : l’argent, ces fausses croyances doivent donc être transcendées en de nouvelles qui intègrent ces données scientifiques d’abondance infinie et d’unité qui nous rendent tous solidaires et co-créateurs. Les divisions sociales, culturelles et religieuses sont les cancers fabriqués qui permettent aux tyrans dominants de maintenir leurs mains mises en masquant la vérité de la créativité propre à chacun et à tous.
La conscience encore une fois n’est donc pas un épiphénomène, elle est la nature même de tout ce qui est de part l’équilibre permanent création/information de ces doubles tores qui sont omniprésents et cela à toutes les échelles de la fractale. Le cerveau humain n’est qu’un capteur de cette conscience de base tout comme une radio est un capteur et une mise en son de la longueur d’onde radio où a été encodée l’information. Notre fonction est donc d’affiner cette perception pour rester en harmonie avec l’intention de la source. Dans le flux infini en expansion, la nage à contre courant est suicidaire. Notre participation individuelle active doit aller dans le sens d’une symbiose collaborative avec le modèle universel enfin dévoilé. Cette symbiose coopérative est l’avenir radieux de l’humanité si elle souhaite en avoir un.
une erreur d’inpression s’est glissée dans une partie de ma réponse pour la durée de vie des éléments il faut lire 10 à la puissance 67 milliard d’années et non 1067 milliards d’années.
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