sont vraiment trop forts ces japonais
4 réacteurs détruits et on ne dénombre que 5 morts officielles liées à l’activité des victimes sur le site ?
là question est : Où sont les autres morts ?
comme l’a très bien mentionné Olivier, la majorité des travailleurs recrutés pour les basses besognes sont les « laissés pour compte » , les « intouchables » de la société japonaise
avec qui plus est un lobby dirigée par la mafia.... faut vraiment être dans le déni pour ne pas admettre qu’il y en a certainement plein d’autres de morts, et que l’hécatombe ne fait que commencer
ce que le cartel fait tout bas et que peu dénoncent et tout haut
ce que le cartel fait tout haut et que peu dénoncent et tout bas.. ça marche aussi
^-^
qui a osé mettre un -1 à ton com ? s’rai pas étonnée que ce soit Oursel, jaloux de ne pouvoir faire son coming out de cette façon
je vous conseille également ces deux lectures
le hors série Charlie Hebdo, « l’escroquerie nucléaire »
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article20848
et le livre de Claude- Marie Vadrot « la centrale indémontable »
qui traite du même sujet en retraçant l’histoire du nucléaire « civil » depuis Brennilis
deux liens intéressants :
premier lien
la filière thorium expliquée par le CEA pour comprendre qu’il s’agit ni plus ni moins de continuer la filière plutonium...
http://nucleaire.cea.fr/fr/nucleaire_futur/autres_voies.htm
extrait
Les filières à base de thorium sont donc comparables aux filières à uranium en ce qui concerne les produits de fission et les quantités d’actinides à très long terme ; ils sont intéressants pour le dimensionnement « thermique » des stockages, mais présentent des inconvénients certains pour la fabrication des combustibles solides après retraitement (le problème est toutefois le même pour les cycles de « Gen. IV » avec recyclage intégral des actinides, puisqu’il faudra fabriquer de nouveau le combustible en passant aussi en téléopération). Leur principal intérêt réside dans l’augmentation des ressources ; intérêt à échéance très lointaine si les filières uranium à spectre rapide se développent normalement, à échéance plus rapprochée dans le cas contraire. Sous certaines conditions, évoquées plus haut, ils permettraient de réduire fortement les quantités d’actinides mineurs et, de ce fait, de réduire la charge thermique des verres (durées d’entreposage d’attente et dimensionnement du stockage géologique). Dans un tel scénario, où l’on postulerait l’échec des filières à spectre rapide, le thorium ne peut trouver sa place que dans une filière à spectre thermique capable d’être auto-entretenue :la plus attrayante est la filière à sels de combustibles fondus. Le système nucléaire serait alors le suivant :
le compte-rendu sur le Financement des charges nucléaires de long terme
où l’on parle en milliards d’euros bien entendu !!!
et pour 124 installations nucléaires de base dont 6 « secrètes »... et non pas « seulement » 58 réacteurs...
http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/la-fable-du-thorium-122188
le nucléaire, notre caviar à nous qu’on a, et même qu’on en bouffe tous les jours, pour l’éternité
ajout faisant suite à l’extrait du pv du conseil municipal de Gueugnon du 30 novembre 2011
Fernand Bouiller : Je voulais juste confirmer qu’au terme de la conclusion de la CLIS, on avait ajouté aussi un dosimètre qui est vers la cabane blanche à l’intérieur du stade, c’était important il fallait le faire, on l’a ajouté et je confirme bien que la demande d’enlever des barrières était faite.
compte rendu du conseil municipal du 30 novembre
http://www.gueugnon.fr/documents/portal81/sg_cr_cm_2011_11_30.pdf
dans lequel le maire de Gueugnon souligne le pb de l’extraction des déchets présents et leur transports....ainsi que la réalité d’une surveillance nécessaire du site
extrait --->
Moi je ne souhaitais pas et je l’ai affirmé haut et fort, je ne souhaitais pas que plusieurs dizaines de milliers de tonnes de déchets radioactifs se trouvent sur les routes du Département de Saône et Loire.
Ça fait partie de l’histoire locale, elle n’est pas reluisante, elle n’est pas agréable,
elle n’est pas sympathique, elle va nous suivre des générations et des générations au-delà de nos propres personnes mais en aucun cas je ne souhaite faire porter à d’autres populations du Département ce qui a été notre histoire locale
Et en aucun cas enlever les déchets radioactifs et les déplacer dans un autre site ou les déplacer, les mettre sur la route, vous imaginez la responsabilité qui aurait été la nôtre, si il y avait eu des traces de ces matériaux sur les routes du département ou un camion qui ait un accident en transportant ces matériaux-là ?
Je pense que nous aurions eu du mal à la fois à digérer, à déglutir et probablement à dormir. Je n’ai pas voulu prendre cette responsabilité-là, j’ai souhaité que notre histoire locale nous l’assumions ensemble au mieux avec une exigence de travaux demandés à AREVA,
C’est ce que nous avons obtenu, on aurait pu peut-être obtenir plus, sans-doute,
sûrement, aujourd’hui il y a un secteur, un territoire qui est de nouveau visible, regardable, il va falloir d’ailleurs le regarder très attentivement pour qu’il reste dans cet état-là et qu’il soit contrôlé très régulièrement et là-aussi ça fait partie des demandes qu’avec Fernand Bouiller nous avons formulé à de très nombreuses reprises à la CLIS
et nous avons ré-insisté pour que les choses avancent et enfin Mr Rameau quand vous expliquez que la CRIIRAD a fait de très mauvais contrôles au mois d’août dernier, avec des étudiants de l’université de Dijon qui étaient venus de manière inopinée sur le secteur ou qui cherchaient un territoire d’étude, ils ont fait avec la CRIIRAD des tests.
Il y avait trois points chauds, l’essentiel 99,99 % de cet espace-là, les résultats étaient conformes à ce qui avait été prévu au départ, c’est à dire des résonnances et un niveau de radioactivité équivalent au milieu naturel.
J’ai même d’ailleurs posé la question et Fernand Bouiller peut confirmer ou infirmer, à Mr Debord le Président de la CRIIRAD qui était là en tant que personne qualifiée à la dernière CLIS, lui demandant « Monsieur Debord, est ce que ces résultats vous parlent ou ne vous parlent pas » en d’autres termes est ce que ces résultats sont bons ou pas bons, il a fini par me dire, ces résultats me parlent.
Si j’ai obtenu ça du Président de la CRIIRAD ça veut dire que moi qui suis un néophyte en la matière, je peux être rassuré avec encore une fois beaucoup d’exigence et la volonté que celles et ceux qui nous succèderont aient autant d’exigence vis à vis d’AREVA et surtout surveillent comme le lait sur le feu cet espace-là.
Moi je suis déterminé à continuer à avancer, nous sommes déterminés à assurer la protection de nos populations, nous n’avons jamais été aussi proche Mr Rameau, parce que, rappelez-vous, puisque vous êtes des spécialistes des photos, rappelez-vous, l’état de ce parking et retrouvez la clôture agricole aux trois fils barbelés dont je vous parlais tout à l’heure, c’est une réalité et ça a duré 30 ans. C’est sous notre municipalité que les choses ont avancé et je vous en remercie.
merci pour ta contribution mon poulet
tu remarqueras que j’ai publié les conclusions de l’IRSN qui pour rappel sont celles-ci
L’IRSN conclut à la compatibilité des niveaux d’exposition obtenus après assainissement avec un usage de parking, mais souligne toutefois la nécessité de prévenir les modifications possibles de ces niveaux pouvant résulter d’une dégradation des matériaux recouvrant la zone ou de travaux d’excavation..../...
Ce que je souhaite montrer avant tout chose avec le déroulement de cette histoire, c’est la gestion somme toute lamentable et douteuse de la part d’AREVA et le fait qu’on en aura jamais fini, puisqu’il convient désormais de faire en sorte que ce site ne se dégrade pas...
Sans l’intervention de la criirad, de l’asso VPEG, et de France 3, où en serions-nous aujourd’hui ?
Le fait que le parking soit resté fermé malgré les conclusions de l’IRSN, n’est pas anodin non ?
tout comme la somme dépensée depuis le début ! si ?
Dans sa gestion de ce site, rappelons qu’Areva n’avait même pas pris soin de faire répertorier le les plus de 20 000 tonnes de stériles présents sous ce parking ( est-ce bien légal d’ailleurs ?) et qui y sont toujours ( en ont gratté partiellement quelques couches ici et là )
Il est bon aussi de rappeler que pas loin de là, ( de l’autre côté de l’Aroux) AREVA « gère » également un site de dépôt en sous-sol ( et « remis au vert.. ») de plus de 100 000 tonnes de résidus ? là où autour avait été aménagé le parcours de santé
ce site est classé ICPE (installation classé pour la protection de l’environnement ), enregistré sous le numéro 167 de la nomenclature, déchets industriels provenant d’un site classé..,
déchets conventionnels donc et non INB, (installation nucléaire de base) avec la nomenclature 1711, déchets radioactifs
je vais faire ma suspicieuse et poser la question suivante : plus de contrôles et plus de taxes pour cette dernière, ceci explique t’il cela ? )
à priori la radioactivité présente (déchets considérés de très faible activité) permet cette classification ICPE et le site est normalement sous surveillance...
voici le lien d’un doc de l’ ANDRA qui répertorie tous les sites dits « historiques »
http://www.andra.fr/inventaire2012/03_pdf_inventaire/6-2-Les_situations_historiques.pdf
alors, oui, toi qui as la chance de posséder un compteur, tu peux continuer à surveiller l’endroit
je t’invite même à faire des mesures sur les points chauds relevés par la criirad ( tu les trouveras dans leur rapport)
on en a perdu le fil de l’article dans tout ça !!
hum, oui, pas toujours simple d’expliquer avec l’écrit
bon
toujours est-il que...
je comprends bien que l’électricité verte n’arrive pas directement dans mon ampoule, mais ce que j’utilise comme électricité est injecté sur le réseau par mon fournisseur et c’est ce qui compte, ça réduit la part du nucléaire sur le réseau non ?
et en tout état de cause, je n’achète pas nucléaire puisque mes deniers rémunèrent les producteurs verts
j’ai bon où suis-je définitivement longue à comprendre, ou trop dure à cuire ?
Jo et Lavabo
Il est vrai que vos contributions dans les fils de commentaires sont sans conteste pertinentes et enrichissantes ...
« enfin, si cela donne un sens à votre vie, pourquoi pas ? »
bien dommage que vous n’ayez à coeur de nous faire partager votre savoir et votre réalité dans des articles pour faire évoluer la ligne éditoriale d’agoravox et nos pauvres connaissances.
concernant le mobilier urbain qui contiendrait des substances radioactives
je sais qu’en France, il y a un arrêté datant de 2009 qui autorise l’ajout de ces substances dont voici quelques détails
il y a un dossier complet sur le site de la criirad
arrêté interministériel du 5 mai 2009
http://textes.droit.org/JORF/2009/05/14/0111/0032/
Avis de l’Autorité de sûreté nucléaire du 19 novembre 2008
sur le projet d’arrêté fixant la composition du dossier et les modalités
d’information des consommateurs prévues à l’article R.1333-5 du code de la
santé publique
http://www.criirad.org/mobilisation/img/AvisASN5052009.pdf
Art. R.1333-2 et R.1333-3
http://www.criirad.org/mobilisation/img/R1333-2et3.pdf
oui, j’ai vaguement entendu quelques trucs sur le sujet qui méritent effectivement d’être creuser.....
en parlant de « mobilier urbain » il y a un geste à la portée de chaque citoyen, c’est la « chasse » aux paratonnerres radioactifs
il s’agit d’anciens modèles, interdits à la fabrication depuis 87 mais qui ornent encore moult édifices...
un simple regard suffit à les reperer (châteaux, clochers, girouettes, etc.) : ils sont très spécifiques
Il y en aurait entre 30 et 40 000 disséminés un peu partout :
le but de cette chasse est de les répertorier et surtout d’informer les communes ou propriétaires afin qu’en cas de manipulation ou dégradation, ils puissent intervenir avec les protections nécessaires adéquates
Avec un ami, on en a découvert un par hasard, il y a 3 semaines, en dinant en terrasse dans un petit village près de chez moi, où j’ai pourtant l’habitude d’aller : c’est mon ami qui en levant les yeux vers le clocher l’a repéré, en tout simplicité ^^
plus d’infos ici
http://www.paratonnerres-radioactifs.fr/
merci internet !
là pour le coup, j’ai fait beaucoup de copier coller, c’est un ancien résumé que j’avais fait en décembre et que j’ai trouvé opportun de ressortir et mettre à jour
le tout est de trouver les bons articles et de les recouper, ce qui n’est pas toujours facile car
il y a beaucoup de « journalistes » qui se contentent de coller les dépêches AFP
les sites cea, asn, irsn , andra etc. ont énormément de dossiers mis en ligne ce qui permet de comprendre l’étendu du désastre, en se disant toutefois que ça n’est que la partie visible de l’iceberg.... Et puis, il y a énormément d’autres sources qui permettent de recouper et de mettre à jour tout ça
Gueugnon, j’ai découvert le sujet via le très bon doc d’Elise Lucet sur France 3, qui traite également d’autres zones contaminées, sujets qui méritent de sortir de l’ombre également
Réveil Fukushima
antinucléaire de longue date, je n’avais pourtant jamais mis le nez aussi profond dans la M... nucléaire : la catastrophe japonaise m’a sonnée : plus précisément la deuxième explosion, celle du 14 mars, où là je me suis dit : ils vont nous la « refaire à l’envers » façon Chernobyl
j’ai plus appris en 1 an qu’en 25 ans ...
A l’époque de la catastrophe russe j’étais trop petite pour comprendre, j’ai appris et compris plus tard en visionnant des documentaires ...puis depuis le 11 mars,sur le lobby nucléaire en général, dans un travail quotidien à fouiner sur le net, stocker dossiers et articles sur le sujet dans son ensemble et sur le nucléaire français en particulier :
et je suis révoltée de ce que je découvre jours après jour
un tabou est doucement en train de tomber dans l’hexagone, il ne faut rien lâcher et continuer d’informer, par le net certes, mais en allant à la rencontre des citoyens, hors la toile
tite vache ça va plus vite à écrire que ton pseudo en entier
appelons ça un diminutif amical
tu sais, je veux bien que tu m’ouvres les yeux avec des preuves que je me trompe
je n’ai aucun doute sur enercoop, j’ai un peu peur que tu n’arrives pas à me sortir de mon hypnose cependant, car tu me donnes trop l’impression d’avoir des œillères
ma tite vache
se fournir auprès d’un fournisseur 100% vert a au moins le mérite de réduire la part du nucléaire sur le réseau ( et non je ne suis pas sociétaire chez enercoop mais pourquoi pas ! )
quant au cout sur la facture... il suffit de regarder sa facture edf pour voir qu’elle ne cesse d’augmenter et que c’est loin d’être fini
je préfère que mes deniers aillent à 100% aux producteurs d’énergies renouvelables quitte à payer un peu plus cher
enfin, en aucun cas, je n’oserai dire que produire du matériel solaire ou autre ne produit pas de c02, mais c’est sans commune mesure avec le nucléaire et les risques encourus à utiliser cette énergie
le graphique en question ici
http://ninucleaire-nieffetdeserre.org/local/cache-vignettes/L520xH627/montant_er_hab-ff37c.jpg
il faut arrêter avec l’argument co2 qui ne tient pas !
je m’explique
certes, le nucléaire n’émet pas de gaz carbonique lors du fonctionnement des
réacteurs, si ce n’est par les générateurs de secours au fioul
Cependant la filière nucléaire prise dans son ensemble rejette des volumes de CO2
non négligeables, liés au cycle de vie des réacteurs, de leur
combustible
Le chantier d’un réacteur nucléaire amène une dépense importante d’énergie (tunnels, excavations, etc.). Les matériaux et pièces du réacteur, leurs processus de fabrication, représentent également des émissions à répartir sur toute la durée de vie. Ainsi, les matériaux utilisés pour la construction d’un réacteur (notamment ciment et acier) émettent lors de leur production près d’un million de tonnes de CO2.
par ailleurs, il faut prendre en compte les émissions de co2 produite par la filière :
- dans les chantiers d’extractions
- dans les processus de concentration du minerai,
- dans la gestion des déchets en tout genre issus du nucléaire
- dans les transports intrinsèques à la filière : camions, trains diesel, cargo
Les technologies alternatives (solaire, éolien, biomasse, géothermie, etc.) rendent le nucléaire superflu : associées aux économies d’énergie, elles sont déjà assez performantes pour le remplacer et couvrir nos besoins essentiels sans un retour à la bougie.
le nucléaire ne peut pas être considéré comme une “option” :
investir dans son utilisation signifie accaparer d’énormes moyens
financiers et humains dont seront forcément privées les alternatives
possibles. En jargon d’économiste, c’est l’« effet d’éviction ».
Cela concerne la recherche, le financement par les banques et les
institutions internationales, de même que les dépenses des compagnies
électriques. Ce déséquilibre va toujours dans le sens d’une
« sanctuarisation » de la dépense nucléaire, tandis que les budgets des
économies d’énergie varient en permanence, souvent à la baisse.
Selon Amory Lovins, auteur du célèbre « Facteur 4 », « le slogan “nous avons besoin de toutes les options” n’a pas de base analytique et est faux ; nous ne pouvons nous permettre toutes les options ».
Car, en pratique, relancer le nucléaire signifie détourner
les investissements publics et privés des options les moins chères
(sobriété et efficacité
énergétique, développement des énergies renouvelables) vers l’option
nucléaire. De plus, certains choix en excluent d’autres. Ainsi le
nucléaire n’est pas compatible avec une décentralisation des
productions.
Ainsi en France, le nucléaire dit de « quatrième génération » et la fusion nucléaire absorbent à eux seuls environ 70 % des moyens publics alloués à la recherche sur l’énergie, et ce depuis des décennies.
Pourtant, le doute est immense concernant la fiabilité des procédés et
le résultat final : des déchets radioactifs, des produits très
dangereux, qui
faciliteraient la production d’armes nucléaires, seraient manipulés et
transportés (plutonium dans un cas, tritium dans l’autre).
Cette très large ponction financière au profit du nucléaire constitue une entrave au développement des énergies renouvelables, ce que confirme l’analyse du graphique ci-dessous, qui place la France parmi les pays les plus mal classés.
Une première étape citoyenne, quand comme moi vous n’avez pas la possibilité d’investir dans du matériel, habitant en hlm : changer de fournisseur d’électricité :
exemple : http://www.enercoop.fr/
la vidéo est un bêtisier à elle toute seule.. dommage que le commentateur ne soit pas là pour rigoler
ah voui,
c’est vrai qu’ils répètent toujours les mêmes phrases toutes faites en boucle ^^
erreur système sans doute
je ne comprendrai jamais ceux qui prétendent qu’on ne peut vivre sans énergie nucléaire
parfois je fini par penser qu’ au fond, plutôt que de remettre en question leur petit confort perso présent, ils préfèrent hypothéquer leur santé, leur avenir et ceux des générations futures donc de leurs enfants, en espérant passer entre les gouttes..
et surtout j’ai bien compris qu’il existe encore une énorme couche d’ignorance crasse les imprégnant, tellement les mêmes arguments de surface reviennent constamment.
il est pourtant évident que changer pour des énergies renouvelables et bas carbone est possible mais effectivement pour cela il faut remettre en question la société de consommation dans laquelle nous vivons et dans laquelle on nous annihile.
ça n’est pas pour autant revenir au temps des cavernes.
La France, en misant le maximum sur sa filière nucléaire, est en train de creuser son propre trou et nous en paierons tous le prix fort,
et qu’on ne s’y trompe pas, quand EDF, CEA AREVA investissent dans les énergies alternatives, ils ne cherchent qu’à garder leur monopole sur l’énergie
c’est à chaque citoyen de se prendre en main et de réfléchir sérieusement à son comportement au sein de la société.
ne serait-ce que quand il appuie sur un interrupteur...
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