Merci, Fergus, pour ce digne rappel.
Il y a un autre cas d’injustice juridique encore très peu connu : la perte de nationalité par mariage. Cette déchéance qui venait directement de l’Etat ne touchait que les femmes (françaises) qui devenaient du coup : « concubine », « énième épouse », « maîtresse », etc., selon le statut juridique ou social conféré par le pays du mari.
Les femmes françaises cessaient d’être des « citoyennes » françaises.
C’est encore un sujet peu étudié et donc mal diffusé. Mais un grand historien s’y penche : Patrick Weil.