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Les commentaires de Ruoma



  • Ruoma Ruoma 15 décembre 2019 12:08

    En cherchant à me rappeler le nom de cet éditorialiste indéboulonnable, Duhamel, j’ai découvert cet article, qui me semble toujours d’actualité et dont la liste mériterait même d’être réactualisée et complétée par les nouveaux et les manquants.

    Je pense, en particulier, au vénérable Elkabach qui aurait dû figurer sur la couverture et à tous les autres, Jean-Michel Aphatie, Pascal Praud, Patrick Cohen, etc.

    Ce que ne disent pas ceux qui ont commenté l’article, c’est qu’il faut bien voir nos « grands » médias comme l’un des cinq pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire, financier et médiatique.

    Et ce qui caractérise notre époque, l’état de notre pays fin 2019, avec un banquier à l’Élysée et des Gilets jaunes dans la rue, éborgnés, gazés, matraqués, mutilés, c’est qu’il y règne une confusion totale de ces pouvoirs.

    Les médias publics soutiennent inconditionnellement le pouvoir, qui a nommé leurs dirigeants et qui les paye.

    Les médias privés soutiennent le pouvoir qu’ils ont puissamment contribué à porter à l’Élysée, à la demande de leurs propriétaires/actionnaires, lesquels attendent maintenant un retour sur investissement.

    Il suffit, pour s’en convaincre, de voir comment la mobilisation des Gilets jaunes a été « couverte » par ces médias depuis un an, UN AN !

    Tout y est passé, ils sont : violents, stupides, incohérents, antisémites, extrémistes, xénophobes, nationalistes, séditieux, manipulés, etc.

    Nos « élus », parlementaires censés nous représenter, s’avèrent être les larbins du gouvernement, un parlement croupion passant comme un seul homme et sans états d’âme, les « propositions » de loi du gouvernement, toutes plus « de circonstance » les unes que les autres, aussi bien que des traités ou des pactes tous plus scandaleux les uns que les autres : pacte de Marrakech, traité d’Aix-la-Chapelle, CETA, etc.

    Notre justice est définitivement aux ordres, capable de rendre un non lieu dans une affaire de corruption et d’abus de pouvoir d’un politicien (Benalla, Delevoye, etc.), mais de sanctionner de peine de prison ferme un misérable, coupable d’avoir volé un sandwich.

    Même laxisme pour juger les actes de violences illégitimes et illégales commises par des policiers, des Baqueux, des CRS, des gendarmes, dans la répression des Gilets jaunes, mais distribuant à tours de bras des sanctions, lourdes amendes, prison ferme, pour ces mêmes Gilets jaunes qui ont eut le culot de porter leur gilet ou de se protéger des gaz lacrymogènes.

    Et on ne parlera pas, ici, de la complaisance, de l’hypocrisie, ni de la malhonnêteté de l’IGPN, des policiers censés juger leurs collègues et qui n’a fait aboutir aucune des 2 ou 300 plaintes déposées.

    Pour finir ce tour d’horizon, il semble inutile de conclure que ce pouvoir exécutif est lui-même à la disposition du pouvoir financier qui l’a porté à ce poste et qu’il doit maintenant lui apporter les bénéfices de l’opération.

    Traiter Macron de « président des riches » est un pléonasme, il est à l’Élysée pour ça : privatisation de tout et démantèlement de ce qui reste de nos services publics (santé, retraite, chômage, Air France, SNCF, EDF, GDF, La Poste, Française des jeux, autoroutes, barrages, etc.).

    Il ne reste plus qu’à espérer que ce grand mouvement de protestation, que cette grève générale, même récupérée par nos « syndicats », finissent par faire naître une convergence, par dessiller les yeux des nombreux naïfs qui croient encore qu’il défend nos intérêts et aboutissent à un grand nettoyage de ces écuries d’Augias que sont devenues nos institutions et notre pays même...

    Il y a URGENCE ! smiley

    Même si mon commentaire arrive bien tard, j’espère qu’il sera lu par un maximum de monde.



  • Ruoma Ruoma 22 avril 2017 12:30

    Je l’aurais dit autrement : les gens font le constat que rien ne change ou plutôt que tout continue à se dégrader inexorablement, pendant que nos « élites » « se gavent comme jamais ! » pour reprendre la fameuse formule d’Étienne Chouard.
    Ils se trouvent donc à la croisée des chemins avec cette élection, entre la peur et la nécessité du changement.
    Entre le besoin de sécurité et le risque de changer.
    Et la succession des « attentats terroristes », dont celui de jeudi n’est pas faite pour leur faciliter la démarche, mais bien plutôt pour les dissuader de s’aventurer vers d’autres possibilités.
    J’espère donc que mes compatriotes auront la lucidité de faire ce constat, prendront leurs responsabilités, feront preuve de courage et de détermination pour ne pas se laisser, une fois encore, influencer par tous ces bonimenteurs (politiciens professionnels, médias, sondages, « experts ») et prendront le risque de choisir un candidat qui propose un changement profond, véritable, une vraie remise en cause de notre politique, seule solution pour avoir une chance que les choses puissent enfin changer vraiment.
    Et, comme le dit encore Étienne Chouard (voir son tweet récent), c’est prioritaire, urgent et VITAL !



  • Ruoma Ruoma 8 avril 2017 09:46

    Article et commentaires assez consternants...
    Je n’ai pas lu tout l’argumentaire, mais je vous en propose une synthèse :

    • 1°) l’UPR n’est pas le premier parti à avoir proposé le #Frexit en utilisant l’article 50, c’est le PRCF.
    • 2°) comme l’UPR ne se focalise sur la lutte des classes, c’est un parti du système.
    • 3°) bien que nous voulons la même chose, on doit faire barrage à l’UPR.
     
    Il ne vous a pas échappé que l’audience du PRCF reste et restera « confidentielle »...
    La raison en est simple : dans vos prises de position, tout est conditionné par votre dogme communiste, que la majorité de la population ne soutient pas.
    Alors, au lieu de constater que UPR et PRCF militent en priorité pour le Frexit qui devient urgent, voire préoccupant, vous préférez un « chacun pour soi » mortel et stupide, de peur de « pactiser avec un ennemi ».
     
    La France n’a pas besoin d’ennemis, elle en a, mais les Français entre eux sont suffisamment aveugles et stupides pour préférer se combattre et, ce faisant, aider nos vrais ennemis qui se frottent les mains.
    On dirait vraiment une cour d’école : « Non, c’est pas toi, c’est moi ! Non, c’est moi »...
    Et les leaders politiques font de même, notamment ceux du PRCF ou de l’UPR, mais d’autres encore, on a pu le constater au débat sur BFM télé.
     
    Peut-être pleurerons-nous enfin tous ensemble, lorsque la déflagration de l’effondrement de l’euro nous aura tous détruits... (prévision assurée pour dans quelques semestres...)


  • Ruoma Ruoma 4 mars 2017 16:57

    @leypanou
    Votre lien renvoie vers la description d’un forum où l’on n’apprend que deux choses :
    - il existe des organisations françaises pour la sortie de l’euro, de l’Union européenne et de l’Otan,
    - la sortie de l’Union européenne n’est portée par aucun candidat médiatisé. Les autres sont censurés, ignorés, mis à l’index.
    C’est maigre, presque une non-information...





  • Ruoma Ruoma 28 août 2016 00:14

    Il suffit d’ailleurs, pour avoir une idée de l’impartialité, de l’honnêteté et de la déontologie de ces médias, d’observer l’information qu’ils ont dispensé unanimement et avec insistance en 2005, au moment du référendum sur le projet de traité de « constitution » €uropéenne et plus récemment sur la couverture avant, pendant et après le Brexit.
    Avant, pour affirmer que les Britanniques devaient rester, que c’était une stupidité de sortir, que ce serait une catastrophe,
    Pendant pour prédire le rejet du Brexit.
    Et après pour se lamenter sur cette décision, trouver les Britanniques irresponsables, stupides, leur prédire toute une avalanche de problèmes et laisser entendre qu’il faudrait envisager de revoter, qu’une majorité de Britanniques n’avaient pas bien compris l’enjeu du scrutin.



  • Ruoma Ruoma 28 août 2016 00:00

    @Renaud Bouchard
    Je ne voudrais pas doucher votre assurance et votre enthousiasme, mais...
    La seule façon pour un personnage d’obtenir une vague de voix importante, c’est d’être connu et entendu.
    C’est-à-dire passer par les médias de masse : télévision grandes chaines ou grands médias.
    Or, la totalité des médias en France est détenue par de grandes fortunes et même les chaînes ou stations de radio publiques brillent par leur bienveillance avec et leur préférence pour le « système » (libéral, néocapitaliste, atlantiste, sioniste, pro-UE, pro-finance et pro-« communauté internationale »).
    Ça n’est pas pour rien qu’un récent article révélait que les médias français sont en queue de liste des médias en Europe classés pour leur impartialité et leur absence de connivence avec le pouvoir.
    Dans ces conditions, je serais curieux de savoir, comment pensez-vous que pourrait se produire l’émergence spontanée de ce tribun providentiel ?
    De Gaulle l’avait prédit : Le président de la France doit être au-dessus des partis. Rien ne serait pire que la gouvernance des partis (je n’ai pas recherché la citation textuelle).



  • Ruoma Ruoma 27 août 2016 22:01

    @mursili
    Plutôt que parler de tout-anglais ou d’anglophobie, il conviendrait plutôt de relever le manque de diversité ou d’ouverture que subissent les Français dans leur propre pays.
    Avez-vous déjà vu à la télévision française des films africains, russes, philippins, argentins, tchèques, grecs, bulgares, géorgiens, turcs, etc. ?
    La réalité, c’est que notre environnement médiatique est confiné entre le français (encore heureux) et les productions de la « communauté internationale », c’est-à-dire essentiellement les états-unis et les pays anglo-saxons.
    Nous ne sommes plus concrètement qu’un pays vassal.
    Alors oui pour apprendre l’anglais à l’école, le jour où l’on pourra tout autant apprendre l’arabe, le chinois, le danois, le russe, le thaïlandais...
    Nous en sommes très, très loin !



  • Ruoma Ruoma 27 août 2016 21:44

    Je suis désolé, la mise en page qui utilisait le format liste à puces n’a pas été prise en compte, ce qui rend mon commentaire un peu difficile à lire... smiley



  • Ruoma Ruoma 27 août 2016 21:38

    Article très pertinent, qui a le mérite de bien poser le problème.
    C’est pourtant dommage que personne ne fasse les relations intéressantes :

    • Léa Salamé, c’est celle qui avait accusé Asselineau de faire de « l’anti-américanisme primaire » à ONPC.
      Il se trouve qu’il n’y a pas d’autre pays dans le monde qui puisse utiliser une telle formule qui permet de cataloguer et discréditer instantanément un intervenant, au même titre que ces autres formules « complotiste », « antisémite », « terroriste », « souverainiste », nationaliste, extrémiste, etc...
      Il se trouve aussi que cette personne qui est bienvenue dans les médias français est très pro-US, a présenté une émission sur France 24 intitulée « Une semaine aux Amériques » et elle a dans sa famille un responsable de la CIA (je n’ai pas retrouvé le lien).
    • Dans le même temps où le français est évincé des médias, télévision, cinéma, publicités, variété, il est intéressant de remarquer que « l’union » €uropéenne entend défendre et développer les « langues régionales », au prétexte d’un patrimoine à maintenir, au détriment de la langue officielle du pays. La France a ratifié la Charte des langues régionales proposée par l’UE, mais ne l’a sauf erreur toujours pas appliquée. On appelle ça un effet de tenaille : amoindrir la langue nationale et faire renaître et renforcer les langues minoritaires (« diviser pour mieux régner »).
    • J’avais relevé par curiosité la nationalité des films ou séries présentés sur toutes les chaînes de la TNT, sur plusieurs mois d’affilée. Les productions anglo-saxonnes (EU, RU, Allemagne, Nouvelle Zélande, Afrique du Sud, Canada, Australie, etc.) occupent en moyenne 50% du programme, l’autre moitié se partageant entre les productions françaises et quelques productions étrangères (Italie, Suède, Espagnol, Japonais, Chinois). J’ai exprimé mon indignation à plusieurs reprises auprès des responsables des chaînes ou des rédactions d’hebdomadaires de programmes, sans aucune réponse.
    • S’ajoute à ça que de plus en plus de grandes écoles vont enseigner directement en anglais (la langue des affaires), laissant le français aux enfants des familles modestes qui bénéficieront d’une formation déplorable ; voir la qualité de l’enseignement dans « l’Éducation » nationale et le niveau actuel lamentable des textes en français (orthographe, précision, etc.) ; qui se retrouveront très vite en apprentissage pour devenir des ouvriers et employés incapables de comprendre leurs chefs dialoguant en anglais.
    • Il faut enfin insister sur le fait qu’on pense dans une langue. En ce sens, remplacer une langue par une autre, c’est faire disparaître tout un ensemble de concepts et de raisonnements qui étaient possibles dans la première et deviennent impossibles avec la seconde. C’est de cette façon qu’on peut voir apparaître dans la législation française ; par ex. les « action-class », le « plaider coupable », ou en disparaître d’autres « le principe de précaution ».

    Heureusement, des personnalités s’expriment sur cette question, dont en particulier Michel Serre (« Il y a bien plus d’inscriptions en anglais en 2016 qu’il n’y en avait en allemand sous l’occupation ») ou un professeur au Collège de France (dont j’ai oublié le nom).

    Heureusement, il est à peu près admis que le Français devrait passer devant l’anglais en nombre de locuteurs dans le monde autour des années 2040.

    C’est donc tout à fait lamentable que ce soit la France elle-même (ou plutôt ses dirigeants marionnettes serviles) qui se désintéresse de la francophonie et renie sa propre langue.

    Mais, rêvons un peu... En 2017, si les Français se ressaisissent, on peut espérer enfin un « Frexit », pour que les choses commencent à changer. smiley



  • Ruoma Ruoma 27 avril 2016 15:08

    @Fifi Brind_acier
    Inutile de m’agresser. Je ne « pleurniche » pas, je dresse un constat et donne des informations.
    Avant de parler de sortir de l’UE, il faut déjà être conscient de toutes ces connexions.
    Maintenant, sur la question de proposer d’en sortir, c’est très joli, séduisant, mais ça ne restera encore pendant des années qu’une douce chimère...
     
    Pour que la France sorte de l’UE en utilisant l’article 50, il faudrait qu’une majorité de la population décide que ça suffit et se mobilise. On en est loin.
     
    Si l’on veut faire un peu de prospective, on peut imaginer plusieurs scénario :
    1 - l’UE se durcit, le TAFTA est adopté, les mouvements d’oppositions restent insuffisants, désorganisés et impuissants,
    2 - les Britanniques votent non au référendum prochain, l’UE continue son lent effondrement,
    3 - les dirigeants les plus réservés sur l’UE organisent à leur tour un référendum sur la sortie dans leur pays, ce qui accélère l’effondrement.
     
    Je penche pour les 2 premières hypothèses avec, dans le meilleur des cas, une sortie de la France à horizon 10 ans.
    À cette échéance, qu’en restera-t-il ?



  • Ruoma Ruoma 27 avril 2016 09:22

    Il serait opportun de préciser que ces grands projets de régions, à cheval sur deux pays, correspondent à la mise en place des eurorégions prévue par la construction européenne.
    L’idée, ou la stratégie, c’est que ces « régions », couvrant deux pays, ce qui efface la frontière, soient les plus autonomes possibles des États et traitent directement avec « l’union » €uropéenne.
     
    Il va sans dire que :

    • - les États qui étaient concernés n’auront plus rien à dire (et les populations non plus, par la même occasion),
    • - il sera plus facile à « l’union » d’imposer ses directives à une région, plutôt qu’à un pays.
     
    Voici une explication en 2mn : https://www.youtube.com/watch?v=lpKSgUTi3xk
    Et le portail de l’eurorégion : http://medalp.eu/fr/?p=43


  • Ruoma Ruoma 27 avril 2016 08:58

    @Le421
    C’est à peu près ça, mais je voudrais compléter votre commentaire...
    Lorsque vous dites « Notre pays... ne vénère que la pourriture humaine », il me semble qu’il faudrait ajouter : c’est-à-dire les 1%, nos « élus », nos banquiers, nos actionnaires et nos « rédacteurs en chef », qui imposent dans les médias de ne donner la parole qu’à leurs maîtres ou à leurs dévoués complices.
    Ce qui signifie que la population elle (les 99%), maintenue dans l’ignorance, la confusion, harassée par la précarité, le chômage, ne fait que subir, même si des voix nombreuses, mais toujours occultées (merci Internet) s’élèvent pour dénoncer cette situation (voir à ce sujet la prolifération exponentielle des pétitions ou autre ICE).
    Il est donc très important de ne pas faire l’amalgame, ce à quoi nous incitent en permanence tous nos médias.
     
    S’ajoute à cela que, depuis des décennies, nos « élus », les « législateurs », n’ont eu de cesse de modifier les lois pour qu’elles soient à leur convenance et autorisent ce qui était illégal auparavant. Par ex. retrait du crime de haute trahison de la constitution française pour le chef d’État ou les responsables du gouvernement (comme par « hasard »).
    Ce qui permet aussi de condamner maintenant un lanceur d’alerte, puisque la législation considère illégales les conditions de leurs révélations et les qualifie désormais de délit ou de crime.
     
    En fait, la législation a été modifiée pour la faire correspondre et anticiper ce qui est prévu dans le TAFTA/TTIP, le « fameux » grand marché transatlantique, autrement dit une gigantesque escroquerie internationale en bande organisée...
    Il s’agit de mettre en place un « secret des affaires » qui permette aux multinationales, sous prétexte de lutter contre le pillage des brevets et procédés de fabrication, d’interdire la divulgation de tout secret financier et donc de toute escroquerie.
     
    Cela fait partie du scandaleux volet ISDS qui permettra aux grandes multinationales ou fonds de pension (essentiellement américains) de porter plainte contre n’importe quelle collectivité publique (État, région, département, municipalité, etc.) pour entrave à son business et préjudice sur ses profits devant un « tribunal arbitral » PRIVÉ (voir CIRDI).
    Cet organisme aura le pouvoir de les condamner à de très lourdes sanctions financières et de les contraindre à annuler leurs décisions.
    Avec l’ALENA, par ex. - accord USA-Canada, aucune multinationale américaine n’a été déboutée et tous les instances canadiennes accusées ont été lourdement condamnées. Au passage, il faut savoir que le CETA (accord de libre échange Canada-UE) a déjà été adopté.
     
    Rien de surprenant donc, à ce que ces « négociations » soient entourées du plus grand secret.
    Rien d’étonnant non plus à ce que les « négociateurs » en soient à leur 13ème session, alors que cette « proposition » ne mériterait depuis le début qu’une seule décision : le REFUS.
     
    Mais on sait que les nombreux lobbies présents à Bruxelles et les représentants de l’administration américaine en coulisse font pression constamment pour faire fléchir les « dirigeants » européens.
    Ce n’est pas pour rien que Obama en personne est venu au Royaume-Uni demander à ce que les britanniques votent le maintien dans l’UE.
    Un document américain a d’ailleurs « fuité » récemment. Il révèle que ce projet n’aura d’avantages que pour les entreprises américaines et uniquement des conséquences néfastes pour la partie européenne.
     
    En définitive, l’oligarchie au pouvoir n’est constituée en majorité que d’escrocs et de traîtres et il y a tout lieu de penser que ce projet de TAFTA finira par être adopté, malgré la fronde des populations européennes...



  • Ruoma Ruoma 28 mars 2016 16:27

    En fait, j’avais lu l’en-tête de ces articles...
    Celui de 2015 est écrit par VETEMENTS MADE IN FRANCE, celui de 2016 par « Rendez-nous notre industrie ! »
    Mais le texte est signé en fin d’article, dans les deux cas, par Francis JOURNOT.
    CQFD.



  • Ruoma Ruoma 28 mars 2016 16:04

    Au fait, je n’ai pas pris le temps de vérifier ces chiffres qui me semblent plus élevés que ceux qu’on trouve habituellement.
    Plus curieux encore, en cherchant cet article, j’ai trouvé un texte très comparable de septembre 2015 : Il faut sortir de l’euro et de l’UE avant la faillite, écrit par un autre contributeur (ou le même qui a changé de nom).
    Les chiffres semblent être les mêmes à 6 mois d’intervalle.



  • Ruoma Ruoma 28 mars 2016 14:49

    @lsga
    Oui, peut-être, et alors ?... smiley
    Vous reprenez mes arguments avec des contre-arguments plus ou moins discutables, sans conclure.
    C’est juste pour le plaisir de la contradiction ou vous avez d’autres suggestions bien meilleures à proposer ?



  • Ruoma Ruoma 27 mars 2016 15:03

    « L’hypothèse d’une sortie de la France de l’euro et de l’UE devrait être envisagée. »
    Je pense que c’est à peu près le discours qu’a dû tenir Edward Smith en 1912 sur le Titanic.
    Je vais me permettre de reformuler le propos compte tenu de la situation de notre pays :
    Après avoir désorganisé notre agriculture, délocalisé ou vendu notre industrie, supprimé nos frontières et notre monnaie, encouragé les arrivées massives d’immigrants, autorisé les fuites de capitaux et l’évasion fiscale, imposé un commandement américain à notre défense nationale, nous avoir entraîné dans des conflits qui nous étaient étrangers, détricoté notre législation et notre droit du travail, imposé la privatisation de la plupart de nos services publics, préparé notre pays à la déferlante de produits américains grâce au TTIP et à l’omniprésence depuis des décennies de leurs productions audiovisuelles (musique, cinéma), il serait urgent et vital que les Français le réalisent et exigent unanimement que la France sorte immédiatement, définitivement, unilatéralement et légalement de « l’union » €uropéenne, de l’euro et de l’OTAN.
    En fait, c’est urgent depuis au moins une dizaine d’années et légitime depuis 2005, mais la dégradation incessante du pays, les difficultés croissantes de la population et l’évidence de la propagande unanime de nos médias ne sont sans doute pas encore suffisantes.
    Ou alors, je ne sais plus ce que signifie urgence...
    (Bon, je sais que je poste ce commentaire bien tard, mais j’espère que quelques lecteurs le verront quand même...)



  • Ruoma Ruoma 17 juillet 2015 18:14

    À ceux que le sujet intéresse, nous avons là, dans cet échange de commentaires, un parfait exemple des techniques utilisées pour discréditer les auteurs, faire dériver un échange, provoquer les lecteurs pour pouvoir ensuite échanger des insultes, etc... Voir par ex. cet article sur Korben.
    Il faut également avoir à l’esprit que de nombreuses organisations n’hésitent pas à faire appel à des équipes de « trolls » rémunérés pour intervenir sur les sujets « sensibles ».
    C’est par ex. le cas de « l’Union » €uropéenne qui se permet, avec l’argent donné par les pays membres, de payer des équipes chargées d’intervenir pour contredire les internautes hostiles et faire sa promotion (article sur 20minutes).
    Ce qui prouve, s’il en était besoin, la réalité des dégâts que produit dans les pays membres notre asservissement à cette oligarchie, puisqu’ils en sont réduits à utiliser des contre-feux.



  • Ruoma Ruoma 3 juin 2015 23:18

    @hunter
    Comme quoi, quand on est lucide, même sans avoir les informations, on perçoit bien l’état du pays et l’existence d’une sorte de maladie...
    Votre ressenti et votre raisonnement sont les bons, vous avez parfaitement raison et Régis Chamagne fait le même diagnostic que vous, avec les explications et le traitement en plus.
    Merci pour votre message smiley



  • Ruoma Ruoma 2 juin 2015 21:44

    @Petit Lait
    Et en les laissant s’enrichir d’une façon révoltante ?...
    Avez-vous imaginé que la question n’est pas d’avoir des riches, mais de combien de fois plus riches que les pauvres. 10 fois, 100 fois, 1000 fois, 10000 fois ?
    Où mettez-vous le curseur ? À partir de quand trouvez-vous la richesse indécente ?
    Que 80 familles dans le monde détiennent la richesse de la moitié du globe ou que les 1% possèdent plus que les 99% ne vous semble pas anormal ?
    Et de savoir que plus ils détiennent de richesses, plus ils ont de pouvoir et plus ils peuvent s’approprier d’autres richesses et continuer de spolier des populations entières ?
    Il ne s’agit pas de les appauvrir, il s’agit de leur interdire de s’enrichir sans fin.