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Les commentaires de John_John



  • John_John 24 février 2012 15:11

    Innover est produire sont des libertés, des droits que personne ne peut contester. Ni vous ni l’État n’avez légitimité à juger de ce qui utile ou non, votre réponse tombe donc à l’eau. Une meilleure utilisation des ressources passe par l’innovation, c’est à dire par l’entrepreneuriat et la liberté économique, certainement pas par la coercition étatique.

    Le PIB n’est un objectif que pour l’Etat, le seul qui n’a jamais assez d’argent pour remplir son tonneau des danaïdes de la dépense publique. Le peuple a droit à la liberté, et c’est bien la le principal.

    Bastiat2012 !



  • John_John 24 février 2012 00:14

     Vous n’avez rien compris, c’est triste. je reprends donc.


    "A mon grand regret, nous mourrons tous un jour. Et, mort, on n’a plus un seul besoin. les besoins des individus sont par nature finis à moins d’atteindre l’immortalité." Sophisme. Aucun lien de cause à conséquence dans votre poncif, aucune valeur donc. Pour chaque individu qui meurt, il y en a un qui né, et même plus. Les besoins de l’homme ne sont limités que par son imagination, qui n’a pas de limite. Les besoins sont infinis, parce que l’imagination humaine est infinie, que ça vous plaise ou non.

    "Une fois ce postulat mis à mal, et l’on pourrait aussi le faire en parlant des ressources par nature limitées , tout ce que vous dites ne tient plus debout.« Si, justement, ça tient très bien debout. Et l’aspect »fini" des ressources ne change rien au fait que l’homme est un animal adaptable, et qu’il saura recycler les matériaux nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Question de temps, tout au plus.

    La réalité est que nos besoins sont par essence finis, que notre planete a des ressources finis et que les gains de productivités font que l’on a plus besoin de travailler. Tout simplement." Conclusion toute aussi fausse que les postulats qui la sous-tendent. De plus, les outils de productions ne sont pas publics, ceux qui ne produisent pas n’ont aucun droit sur le fruit du travail de ceux qui produisent.

    « Le fond du problème se résume à cela [...] Et consommer plus pour faire travailler. » Cela ne change rien au fait que votre analyse est fondamentalement fausse : la quantité de travail disponible dans une économie est infinie. C’est la faute à l’Etat s’il n’y a pas suffisamment de créations d’entreprises pour équilibrer les pertes d’emplois dus à la destruction créatrice de l’innovation.

    Bref, vous tournez autour du pot, ce qui sous-tend votre discours faux, c’est que ceux qui bossent ont un devoir d’entretenir ceux qui sont trop incompétents pour bosser dans une société de la connaissance. Ce qui est, bien évidemment, immoral et injustifiable. Si on travaille, si on produit, c’est avant tout parce que c’est une liberté et que l’on cherche la satisfaction individuelle de ses aspirations. Le collectivisme n’existera jamais, je vous conseille fortement d’arrêter de perdre votre temps avec de telles considérations holistes.



  • John_John 23 février 2012 20:31

    Rien à voir, ceux qui laisse mourir la source de toutes les richesses, l’entrepreneuriat, ce sont les socialistes, pas les libéraux.

    L’utopie, ce n’est pas la liberté, ce n’est pas la responsabilité. L’utopie c’est de croire qu’on peut accroitre les biens en les divisant, c’est de croire que l’on peut décréter la cohésion sociale en punissant le travail et en récompensant l’oisiveté, c’est de croire qu’il est moral de traiter les gens comme des enfants esclaves d’un état-nounou.

    Réveillez vous un peu, vous êtes donc complètement à côté de la plaque.



  • John_John 23 février 2012 15:12

    edit : un phénomène « négatif », sorry.



  • John_John 23 février 2012 15:12

    La destruction creatrice n’est pas un phénomène nouveau, et ce n’est surtout pas un phénomène nouveau.

    Il y a aujourd’hui plus d’emplois dans le monde qu’il y a 10 ans. Le problème du chomage vient du fait que les nouveaux emplois ne sont pas créés dans les pays socialistes comme la France mais vont se créer dans les pays libres et capitalistes.

    Tant que ce pays décourageras la création d’emplois et l’entrepreneuriat, l’innovation détruira des emplois mais n’en créera pas de nouveau pour les remplacer (du moins pas assez pour compenser).



  • John_John 23 février 2012 14:34

    Cet article passe à côté de bien des choses...

    Pour commencer, les besoins des individus et des entreprises sont infinis, le nombre d’entreprises potentielles est donc, lui-aussi, infini. La France a créée plus de 5 millions d’emplois dans les dernières décennies, mais en a vu disparaitre un peu plus ; la cause du chômage ne se situe donc pas dans la dynamique de destruction d’emplois (qui a toujours existé et qui existera toujours) mais bien dans l’insuffisance de création de nouveaux emplois. Ce n’est d’ailleurs pas étonnant dans un pays qui fait tout pour décourager les entrepreneurs et les créateurs de richesse !

    S’il est vrai que les emplois à faible valeur ajoutée vont disparaitre au profit des machines, ça ne veut pas dire que le chomage est voué à augmenter. La hausse de la productivité est particulièrement recherchée dans certains secteurs sensibles au cout final, alors que par exemple le « fait-main » peut être un très bon argument de vente dans d’autres secteur. C’est là qu’on voit le rôle crucial du marketing dans l’économie.

    Les salaires minimums sont des trappes à chomage, un droit du travail on ne peut plus rigide empêche les entreprises d’embaucher et les poussent à partir dans des pays plus flexibles et plus libres, et l’étatisme ambiant empêche toute réforme de l’éducation et du marché du travail en faveur des moins éduqués. Le principal responsable du chomage, c’est l’Etat et les délires des politiciens de tous bords, ne l’oublions pas.

    Je remarque toujours les mêmes bas du front qui ressortent leurs veilles lubies généticiennes comme quoi les individus sont bêtes ou intelligent de naissance, et qu’un tocard restera toujours un tocard. Bien évidemment c’est stupide et faux, tous les individus peuvent développer des compétences valorisables s’ils s’en donnent les moyens et si la société encourage l’effort et l’ambition (et non pas l’oisiveté et le socialisme comme aujourd’hui). Le pessimisme, tout comme la jalousie et l’aigreur, étant une constante du socialisme, je ne m’en étonnerai pas.

    In fine, il n’y que peu de raisons d’être pessimiste, les problèmes actuels sont autant d’opportunités entrepreneuriales qui peuvent créer des tas d’emplois à condition de laisser les entrepreneurs faire leur boulot. Quand on punit le travail et l’investissement et qu’on subventionne l’oisiveté et le vol de l’argent des autres, il ne faut pas s’étonner des problèmes d’emplois.

    Alors les gauchistes, au lieu de passer votre temps à critiquer et à se plaindre, si vous voulez vraiment aider les nécessiteux (mais j’en doute), créez plutot des entreprises et faites avancer les choses.



  • John_John 23 février 2012 13:32


    "Vous ne pouvez pas demandez à quelqu’un ni à un groupe de vous protéger quand vous-même ne protégez que vos propres intérêt au détriment des autres.« >> Faux, mon intérêt c’est la satisfaction d’autrui, donc mon intérêt se concrétise au bénéfice des autres, contrairement à l’arbitraire étatique qui ne peut se faire qu’au détriment des citoyens qui le financent. 

     »Il n’y a pas de droits sans soumission à des devoirs.« >> Oui, devoir de respecter les libertés des autres. Et surtout devoir de l’Etat de rendre des comptes pour chaque euro qu’il dépense, ce qui est loin d’être le cas. L’impôt sera légitime le jour où l’État saura gérer de l’argent, aujourd’hui c’est du vol pur et simple.

     »Le deal fondateur de la société c’est un peu moins de liberté en échange d’un peu plus de sécurité. Vous voulez la sécurité mais sans rien céder de votre liberté.« >> Faux, ma liberté a des limites très claire : la liberté d’autrui. Et la »sécurité" c’est avant tout contre les extorsions étatique.

    « Vous ne connaissez que le principe de plaisir, et ignorez le principe de réalité : vous êtes un enfant immature, désolé. » >> Vous parlez de vous là.



  • John_John 23 février 2012 13:02

    Un droit de l’homme fondamental est la propriété privée, c’est à dire que l’Etat ne possède pas les citoyens ni leur argent. Qu’on commence par faire respecter ce droit là et après on verra.



  • John_John 4 février 2012 23:14

    Ne vous fatiguez pas avec les trolls d’extrême gauche qui polluent ce site... vous avez parfaitement raison, mais ils sont foncièrement incapable de le comprendre, tant leur idéalisation de l’Etat est avancée à un stade religieux ^^. La résistance aux faits les rends imperméables à la logique : seules les émotions les gouvernent (ooh le pauvre pauvre, c’est forcément une gentille victime du méchant, méchant riche patron !!).


    Le seul intérêt de provoquer ces hurluberlus c’est de décortiquer leurs névroses, voir à quel point la liberté leur fait peur, la responsabilité les terrorise, la jalousie du voisin les étouffe. Et j’en ai vu des belles, du genre « si tout le monde ne peut pas l’avoir, alors personne ne doit l’avoir » (sic). 

    L’étatiste de base ne comprends pas le Droit, puisqu’il autorise l’indépendance, et l’étatiste ne tolère pas la déviance. Tous dans le troupeau, et que personne ne bouge ! Seule l’expression du collectif à une valeur à ses yeux, l’individu n’est qu’un égoïste à mater pour eux. La haine les aveugle, ce n’est malheureusement pas avec des arguments qu’on discute avec ce genre d’illuminés.

    Merci de ramener un peu de raison et de bon sens au milieu des ces excités du collectivisme ! Bon courage


  • John_John 4 février 2012 23:06

    @Eric Le libéralisme n’est pas forcément de droite, c’est une autre dimension que la traditionnelle dichotomie gauche-droite, cf http://www.gaucheliberale.org/public/ppf-11-11.jpg


    Ne vous fatiguez pas avec JL1, c’est un troll d’extrême gauche.
     
    Sinon, je suis assez d’accord avec votre approche. Le keynésianisme, c’est l’idée que l’Etat peut faire des investissements rentables (dans les infrastructures notamment) et donc suppléer à une baisse de la demande globale via un endettement non inflationnaire et gérable. Sur le papier certains peuvent se laisser berner, dans les faits, Keynes c’est la planche à billet parce que les élus sont incapables de faire des dépenses avec un ROI >1. ET oui, le keynésianisme tout comme le marxisme est mort et enterré, notamment à la suite des épisodes de stagflation.


  • John_John 2 février 2012 21:03

    C’est vrai que « il faut voter Mélecon » c’est vachement plus intelligent...



  • John_John 2 février 2012 16:36

    Pas plus ni moins terrible ou accablant que les tribunes qui transpirent le communisme, le socialisme, la haine des entrepreneurs et de l’argent, afin de racoler une bonne partie des trolls d’extrême gauche qui traînent leurs guêtres sur Agoravox.



  • John_John 2 février 2012 14:52

    Tellement discret que tous les journaux en parle et que tout le monde est au courant... 





  • John_John 31 janvier 2012 10:57
    M Tricaud, je pense que ce à quoi vous faites allusion est le concept de capabilité défendu par Amartya Sen dans le cadre de l’étude des politiques sociales. 

    Comme vous le savez, il y a la loi et l’esprit de la loi. Votre approche égalitaire visant à rendre les contributions de tous égales aux vues de leur capabilités respectives me semble honnête et pleine de bon sens. Elle n’a par contre rien à voir avec l’approche égalitariste défendu par les jaloux des riches qui ne cherchent qu’à interdire la richesse par pure idéologie. L’esprit d’une telle « progressivité » est complètement différent.

    L’impôt sert à financer les services fournis par l’Etat, pas à rendre les gens égaux par la force. L’Etat est un serviteur de la société civile et doit rendre des comptes aux citoyens qui le financent, certainement pas l’inverse. L’imposition se doit de suivre la même logique : on veut bien payer des impôts, à condition qu’ils soient utilisés avec la plus grande responsabilité et la plus grande parcimonie (et on voit bien à quel point la gabegie actuelle rend légitime toute forme de fraude fiscale, du travail au noir aux paradis fiscaux), et à condition que l’imposition ne se transforme pas en travail forcé, cas où certains individus se voient dépouillés de la plus grosse partie de leurs revenus par l’organisme même qui est sensé défendre leur droit de propriété !

    Alors une flat-tax légèrement rendu progressive pour tenir compte de la capabilité des individus, en échange de la paix sociale ? C’est envisageable, clairement. Par contre, une progressivité dans le seul but d’égaliser la société par la force, alors là préparez vous à une guerre économique que vous n’êtes pas prêt de gagner. 


    @ JL c’est bon, on a compris, comme l’aigri jaloux que vous êtes, vous êtes contre tout ce qui dépasse, on va défigurer les beaux, couper les pieds de ceux qui courent plus vite, lobotomiser les intelligents, engraisser de force les minces, etc, etc. On sera tous nivelés par le bas, pauvres et stupides, et vous serez content.



  • John_John 30 janvier 2012 20:53

    Les oligarchies sont par définition anti-libérales, vous continuez donc à raconter n’importe quoi en bon extrémiste que vous êtes



  • John_John 30 janvier 2012 19:45

    L’Etat est censé représenter le peuple, pas l’opprimer et certainement pas lui spolier sa propriété privée. Vu que le système dans le quel nous vivons n’est absolument pas libéral (56% du PIB de dépense publique, ça s’appelle du socialisme), c’est bien l’effondrement de l’étatisme dont nous sommes les témoins aujourd’hui, et les jours des derniers adorateurs du Dieu Etat sont comptés.



  • John_John 30 janvier 2012 17:13

    La gauche est historiquement libérale... Ce n’est que récemment que les gauchistes se sont rendus compte que la jalousie des riches leur rapportait plus de voix...


    Sinon, on a le droit de s’écarter du débat des fois, surtout quand certains énergumènes veulent nous expliquer que l’avenir c’est le travail forcé pour l’Etat...


  • John_John 30 janvier 2012 16:40

    " charabia incohérent" 

    —> C’est bien ce que je dis, vous ne comprenez même pas les bases. C’est la jalousie qui vous gouverne, tant pis pour vous !


  • John_John 30 janvier 2012 15:53

    Et hop, une preuve de plus que l’obésité étatique cause immanquablement la corruption et l’apparition d’oligopoles privés-publics. 


    Dans un système libéral, la société civile s’assure que la concurrence n’est pas faussée et s’oppose aux abus de position dominante notamment avec des lois anti-trust et une séparation stricte entre les intérêts de la justice et ceux des entreprises. 

    Quand l’étatisme forcené brise cette dynamique de séparation des pouvoirs par une vraie concurrence, on obtient ça : des cartels et des collusions de pouvoir.

    merci le socialisme !