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Les commentaires de Zogarok



  • Zogarok Zogarok 4 juin 2012 12:14

    La vie politique est nazifiée, la vie sociale est soumise à une grille de lecture ou chaque pensée non-conforme (décroissant ou national -pour rester sur le terrain politique) est assimilable soit au grotesque, soit à un élément de la galaxie « fasciste ». Il n’y a pas toujours besoin de propagande, les petits maîtres à penser existent partout et distribuent les points et la bonne parole. 


    La remarque sur le sens des mots est pertinente ; un mot sert à s’approprier ou à projeter une idée, un monde ou un concept ; EELV prend en charge officiellement l’écologie, le PS est la formation de gauche standard, alors que leur réalité et leurs préoccupations sont loin de ces étiquettes. Les Français votent pour deux candidats validant ou encourageants les processus qui les plombent, mais ils croient agir de façon raisonnable en se repliant sur les candidats « républicains », alors que ce sont plutôt les « (néo)libéraux-compatibles »... Mais tout est comme ça et c’est à désespérer..


  • Zogarok Zogarok 4 juin 2012 10:00

    J’aime beaucoup cette phrase :


    « Deux papiers récents invitent toutefois clairement à lire le dernier livre d’Alain Soral ou à regarder le premier film de Dieudonné, L’Antisémite.  » 
    (Trois mots plus tard, la simple exposition est assimilée à une « apologie » !)

    Comme s’il s’agissait là, en soi, d’un acte odieux, transgressif, révolutionnaire... surtout pour le film de Dieudonné, pure farce (assez laborieuse d’ailleurs -la 2nde partie) donc objectivement innocent.


  • Zogarok Zogarok 13 mai 2012 10:23
    Bonjour, je ne viens pas polémiquer, mais je veux juste relever quelques détails, au risque d’être un hémiplégique de plus. (sans animosité encore une fois, votre article est intéressant, ouvre des pistes, mais le titre un peu racoleur)

    > Oui, il y a une nette marge entre le score du bloc de gauche au 1er tour (43%) et le résultat de François Hollande au second (52%), mais vous oubliez plusieurs phénomènes :
    - évidemment : les reports de Bayrou et dans une moindre mesure, de Marine Le Pen (plus faibles qu’avec JM Le Pen cependant)
    - mais aussi, on l’oublie : le fait que le bloc de gauche est toujours plus faible au premier tour qu’au second (c’était particulièrement criant en 1995, ou Jospin revient quand même à 48% au second tour, alors que Balladur/Chirac/Le Pen à eux seuls cumulent 52% au premier)


    > Effectivement, Hollande n’a pas mobilisé un électeur sur deux, et surtout, rapporté aux inscrits, son score est faible (plus que les précédents Présidents élus) ; le rapport de force est de 38%-36% des inscrits (à la louche), chiffres à préciser. Sans compter les non-inscrits, naturellement... Mais ça, c’est le jeu démocratique et la limite des principes électoraux. Reste que tout est relatif et qu’avec sa victoire mitigée, Hollande n’est pas tout à fait certain de mobiliser massivement l’électorat PS pour les Législatives - même si le PS reste naturellement archi-favori (merci les seconds tours, les triangulaires & l’absence de proportionnelle !).


  • Zogarok Zogarok 29 avril 2012 13:21

    Toutes ces affaires, toutes ces petites phrases, ne servent qu’à diaboliser Sarkozy et détourner l’attention : pendant ce temps, personne ne remet en question François Hollande, personne ne relève toutes ses convergences avec Sarkozy, surtout personne ne remarque qu’il ne remet rien en cause de tous les engagements et de tous les chantiers engagés pendant le quinquennat précédent.



  • Zogarok Zogarok 29 avril 2012 13:10

    Oui, « faire gagner la droite » : comme si la grande menace était là, comme si l’enjeu était encore bloc de droite contre bloc de gauche. Merci à Mélenchon d’être le meilleur ouvrier, le plus appliqué et le plus méthodique, pour leurrer ce combat d’arrière-garde. 


    J’approuve à moitié ce que vous dites sur le possible tandem UMP/FN, mais vous devriez aller plus loin car on ne cerne pas bien votre pensée (en quoi ou à quel point le FN est d’extrême-droite, l’est-il exclusivement/essentiellement ?). Il y a en effet le risque de faire du FN un parti institutionnel compagnon de l’UMP ou de son substitut ; cela ramènerait alors l’échiquier politique à une dualité gauche/droite et tout ce que Marine Le Pen a construit, avec Philippot et les ex-chevènementistes, serait balayé. Le FN peut être tenté de le faire pour accéder aux responsabilités ; le risque, c’est de se compromettre. Il ne paraît pas décidé... Le sort de l’UMP après le second tour décidera de tout cela...

    Comme vous je suppose, pour des raisons similaires mais pas avec les mêmes perceptions quand aux partis, je n’irai pas voter la semaine prochaine - moi qui pensait être voué à rester un participant systématique. 


  • Zogarok Zogarok 25 avril 2012 14:19

    Comme si les saillies pitoyables de l’infâme Nadine Morano pouvait influer sur le comportement de tout un peuple... Heureusement qu’il y a ce qualificatif d’ « extrême-droite » et les dérapages outrés de Jean-Marie Le Pen, sans quoi tout cet argumentaire dérisoire serait balayé, et la caste politique mise face à ses responsabilités. Enlevons l’ « extrême-droite » présumée et ce sera le grand vide sur la scène politique française !



  • Zogarok Zogarok 25 avril 2012 14:10

    Ségolène Royal est décidément un alien politique. Le PS, au lieu d’estimer qu’il la « subit », devrait réaliser qu’elle fait plus de bien que de mal à la Gauche. Bien sûr, c’est une girouette, elle a pu être obnubilée par ses objectifs, mais elle comprend les aspirations populaires sans avoir recours aux sondages - et c’est qualité plus précieuse que des dents blanches et bien limées. C’est pourquoi il ne faut pas l’enterrer et qu’elle peut très bien être un adversaire pour Mr Copé dans quelques années...



  • Zogarok Zogarok 4 avril 2012 21:02

    D’accord pour ce qui est relevé, d’accord aussi pour le diagnostic... Je ne sais pas si la remise en question n’incombe qu’à une gauche bien-pensante (elle y contribue grandement, c’est certain) ; la destruction des symboles, la remise en cause voir l’humiliation des structures est aussi à l’avantage du néolibéral « progressiste » et du bobo cosmopolite (ce dernier étant souvent un « bien-pensant » d’ailleurs, mais dans ce cas l’hypocrisie et la méchanceté sont souvent trop prégnantes - mais je crois qu’on s’en coltine tous régulièrement.). 

    Il y a également le dogmatique de gauche (antimilitariste et antinational), dont les légions vont bientôt, par rafales, « moinsser » votre article.

    Vous évoquez « la féminisation » - justement la Marseillaise est assez « masculiniste », plus qu’un hymne offensif comme un autre en tout cas, avec notamment le « projet parricide » pour menace ; l’ordre, les structures et la fierté y sont masculines. Finalement, avec cet élément, la posture d’EELV et d’Eva Joly est encore plus caricaturale, limpide à un niveau presque tristement subliminal.

    Et pour faire écho à « l’enfoiré » (?...), y a-t-il eu un bouleversement de l’identité nationale, de la nature profonde de ce qu’est la France ces derniers temps ? Les Nations ne changent pas leurs atours toutes les cinq minutes, ou bien c’est qu’elles n’ont pas d’Histoire ou n’en ont plus... Les Nations ce n’est pas que la Guerre, c’est aussi une boussole, surtout pour ceux qui n’ont plus rien (d’ailleurs le PCF d’autrefois incorporait totalement cet aspect). 


  • Zogarok Zogarok 4 avril 2012 20:29

    Article intéressant (je parle au premier degré, j’approuve sincèrement la démarche - pas celle de l’objet d’étude en revanche) parce qu’il permet de dresser le bilan la soupe qu’on nous sert. Ne soyons pas trop lapidaires cela dit, il y a des instituts plus crédibles que d’autres et plus « pointus » & puis il y a les suiveurs, il y a tout ceux qui gonflent les scores, forcent les tendances, créent des favoris artificiels. L’envolée de Mélenchon est très suspecte car trop brutale (même s’il a ostensiblement marqué des points) ; quand à celle concernant Bayrou fin 2011, j’ai quelques hypothèses à ce sujet, comme beaucoup je crois...


    Le plus grave c’est lorsque les sondages font autorité alors même qu’on ne mentionne jamais, ni la marge d’erreur (le rolling Ifop/Paris Match est une exception), ni le nombre d’hésitants, d’abstentionnistes, de votes nul et blanc & encore moins tous ceux qui ont refusé de répondre. 

    Par ailleurs, c’est l’autopsie des votes qui serait intéressante : les sondages qui permettent d’évaluer le taux d’anti-Sarkozy ou d’anti-Hollande dans les votes des deux favoris sont plus significatifs que ceux qui propulsent brusquement des cinquième roues du carrosse à la place du troisième homme (hier Bayrou, aujourd’hui Mélenchon).

    Encore une raison d’instaurer la proportionnelle, afin que les électeurs puissent se libérer de cette aberration et que le principe des vases communicants s’applique entre tous les partis, au lieu d’être redouté autour des leaders des blocs de droite & de gauche. Sans cela, les électeurs continueront de s’accrocher à ce clivage qu’ils estiment dépassé ou mineur certes, mais « nécessaire » ; il faut briser ce système du vote « de raison » qui est en vérité un vote à contre-coeur et un vote de soumission. 


  • Zogarok Zogarok 3 avril 2012 23:33

    Surtout que les petites phrases très récentes (depuis ce week-end) font basculer la campagne vers quelque chose de presque comique. On peut comprendre qu’un leader doive rester sur sa réserve, redoubler de prudence ; mais incendier Sarkozy par des petites sorties mesquines et primaires, qui ne font que ridiculiser leurs auteurs, favorisent la victimisation de Sarkozy, et même cette posture de candidat anti-establishment. Au lieu de parler des affaires ou des duperies, les socialistes évoquent un sale garnement... Oui, c’est une mauvaise posture, en tout cas, pour eux il faut espérer que leurs prochaines charges soient plus ambitieuses...



  • Zogarok Zogarok 3 avril 2012 23:27

    Dans le genre péremptoire, vous vous posez là (avec le « rien à faire ici » de brigadier des débats) ! Rassurez-vous, je n’ai dit « dont je suis » que parce que ça ressemblait à quelque chose qui pouvait définir ma « position » (c’est un peu gros mais pas plus que de se dire « de gauche » - et puis s’en va).


    Enfin, je viens de voir vos commentaires... votre sens de la nuance m’a bluffé, votre indépendance aussi...



    Bon, la prochaine fois, je fais un article pro-Hollande ou pro-Mélenchon, sans aucune mesure, et surtout avec une pincée d’antisarkozysme bourrin. J’ai bien compris que ce n’était pas assez, qu’il faut condamner de façon catégorique et univoque pour ne pas être suspect... 


  • Zogarok Zogarok 14 mars 2012 23:25

    Pour l’européisme béat, rien de nouveau chez elle, c’est même le grand point commun des mouvements politiques entre lesquels elle a navigué, ici ou ailleurs..

    Sa droiture a trouvé un certain écho au départ parce qu’elle contrastait avec le cynisme ambiant, notamment de nos plus hauts représentants... Mais Mme Joly caricature tout ce qu’elle touche (encore il y a quelques jours, avec les féministes : elle ne peut s’empêcher, pour donner une saillie percutante, de prendre un engagement totalement grandiloquent et autoritaire (et encore une fois, pour ce qui lui semble un bien & au nom du Progrès), soit l’interdiction des listes ou la parité complète ne serait pas respectée).


  • Zogarok Zogarok 14 mars 2012 23:19

    Avant tout - Je découvre les fonctionnalités AgoraVox, alors désolé si mon message semble candide, mais...


    Je précise qu’à la suite de cette série de messages, il y en avait deux autres (hier en début d’après-midi) ; j’en ai jeté un à la poubelle, mais l’autre n’y était pas encore passé.

    Le premier était signé Bulgroz, qui réagissait par rapport à Scorpion ; le second, de « penajouir », s’adressait aussi à Bulgroz, qui apparemment est une célébrité ici. Je ne pensais pas que les messages étaient censurés ainsi (les deux messages étaient corsés, certes, mais celui de Bulgroz n’était pas injurieux -sauf pour Eva Joly ou Bulgroz était excessif, mais auparavant il ne faisait que réagir) - il aurait été plus simple de les « plier » ?


  • Zogarok Zogarok 13 mars 2012 15:40

    Merci ; je ne suis pas du tout un militant, je reconnais même que ce n’est pas spontanément parmi mes préoccupations, ni un enjeu qui m’interpelle - toutefois je suis loin de croire qu’il s’agit d’un luxe (au contraire, c’est un miroir des inégalités), contrairement à Mr Cohn-Bendit qui s’est entiché d’un sujet « superficiel » pour atterir dans le camp des visionnaires sans avoir à trop prendre partie dans les débats en cours - ou plus « brûlants ». Pour Eva Joly, n’omettons pas qu’il s’agit d’une récente conversion - d’ailleurs elle a tapé à d’autres portes avant ; c’est dire le grotesque de tous ces engagés politiques et du débat.


    Bayrou, j’ai déjà essayé (j’étais trop jeune pour voter en 2007, j’ai choisi le MoDem plus tard), mais là c’est un peu trop me demander. En second tour éventuellement.


  • Zogarok Zogarok 13 mars 2012 15:33

    J’ai quelques doutes sur l’application « concrète » de la sociale-démocratie par Hollande - je sais que son équipe dirigera la France d’ici peu, mais pour autant je n’arrive pas à me décider à simuler l’espoir - d’ailleurs je m’en excuse d’avance, je sais qu’on invite déjà les sceptiques à le faire (est-ce que les fanatiques ne sont pas plus intégristes que leurs maîtres adorés ?).


    Néanmoins, casser EELV pour faciliter la route au PS, c’est ce qui m’apparaît aussi comme la stratégie en vigueur (d’autant que l’absence de charisme et de courage est un peu à Hollande ce qu’étaient les passions borderlines de DSK : une casserole et un boulet qui risquaient d’entamer la présidentiabilité).
    J’irais plus « loin », car je pense que les cadres d’EELV gagnent à rendre leur parti dépendant du PS ; d’abord parce qu’ils ne s’en sentent pas capables pour la plupart, que le défi est trop lourd à relever ; ensuite parce que ça leur permet une marge de manoeuvre - et j’en reviens à l’hédonisme dégoulinant de Cohn-Bendit cité dans l’article.


  • Zogarok Zogarok 13 mars 2012 15:21

    Je vois que vous deux réglez une sorte de conflit, après tout c’est aussi le lieu.


    Je précise tout de même que, pour ma part, je n’ai jamais dénigré les compétences d’Eva Joly, tout comme je ne dénigre pas celle de beaucoup de personnages dont j’exècre l’idéologie ou même qui m’apparaisse comme des faire-valoirs, voir des victimes (consentantes ou pas) de leurs acolytes. J’ai conscience du passé d’Eva Joly, de ses combats et c’est vraisemblablement quelqu’un d’éminément brillant et courageux. Sauf que sur le terrain politique pur (et même politicien - ainsi que de la propagande, mais ça, Morano s’est chargé d’en parler), elle n’a ni crédit, ni autorité et ses positions sont au mieux farfelues, au pire, la synthèse de cette aspiration au « progressisme » « absolu, définitif » qui, s’il est charmant (tout ça tient de « l’orgie multiculturelle », en somme), comme toutes les idéologies vaporeuses ou extrêmes, aurait des conséquences aussi mortifère que l’application du néo-libéralisme tel que nous le vivons, nous en France, et tel que d’autres peuples le vivent avec plus de peine encore.

    Bulgroz part peut-être un peu vite, je n’ai pas vu ses précédents coms, toutefois, si l’écologie lui tient sincèrement à coeur, je comprend qu’il n’ait pas envie de prendre des pincettes avec Eva Joly. Elle ne signe pas, en elle-même, la mort de l’écologie, mais si des voix comme les siennes étouffent celles de petits camarades, sans doute plus naifs mais aussi plus honnêtes, alors oui, l’écologie politique sera, sinon achevée, au moins anesthésiée. Et nous sommes en effet sur cette voie (je souligne que l’AEI en est réduite à soutenir la candidature d’Eva Joly).


  • Zogarok Zogarok 7 février 2012 14:57

    Bonjour, on oubliera bien vite cette piètre anecdote, mais s’il est intéressant de la relever aujourd’hui, c’est bien parce que c’est un symbole tellement clair, limpide, « normal » finalement...

    « ne pas entamer son crédit auprès du peuple de gauche » ; allons, allons... Il n’en a plus aucun et bientôt les socialistes de tradition vont tomber de haut, parce qu’ils n’auront plus les moyens de se mentir.



  • Zogarok Zogarok 7 février 2012 14:50

    Ce sondage est grand-guignolesque ; Mélenchon devrait gagner au moins deux ou trois points parce que (certes, c’est un imposteur, mais dans le dogme) c’est l’allié objectif de Marine Le Pen. Notons tout de même que l’abstention passerait de 14% à 22% (merci pour le lien vers le JDD).

    Guéant c’est l’homme-à-tout-faire, c’est celui qui se salie les mains pour son maître ; espérons pour lui qu’il en sera récompensé. La ficelle est cependant un peu grosse.



  • Zogarok Zogarok 7 février 2012 14:43

    Bel exercice d’auto-analyse avec mêmes quelques aveux (c’est toujours utile), mais je ne connais pas votre blog ni votre parcours, donc je ne m’étendrais pas ; en revanche, si je suis d’accord avec tout ce que vous avancez sur Bayrou, évidemment. Mais vous visualiser alors un gouvernement « au-delà des dogmes, des clivages ; or Bayrou, c’est la réunification de nuances d’une même vision du monde, d’une même pensée. Bien sûr, il y a des variantes fortes entre le PS et l’UMP, il y en a même beaucoup au sein des partis même, mais ils se répondent sur de nombreux points et pour l’Europe que vous louez ; quel avantage aurions-nous de choisir Bayrou, puisqu’il va dans le même sens que ses deux acolytes. Tout ça est cosmétique ; Bayrou rêve d’un super-parti identique au modèle d’aujourd’hui, mais qui, par une neutralité apparente, une retenue dans les principes, dans le verbe et dans le style, passera pour »apaisant". D’ou l’arnaque ; c’est un consensus pour mieux fuir vers l’avant.



  • Zogarok Zogarok 7 février 2012 14:31

    Pas un mot dans les grands médias (je sais qu’on a pris l’habitude, mais une aberration reste une aberration, le temps ne la dilue pas, ne devrait pas en tout cas)... Cette affaire me fait penser au sketch d’Alain Soral sur le « nègre de maison ». Enfin, sketch, si seulement...