Nabum, transmission établie, l’auteur se remet.
Bon voyage, je suivrais vous cartes postales via le lien.
Ce fut un diabolo-menthé
Nabum
Nabum
à la place j’hésite entre un décafeiné et une bière bien fraîche.
Rebonjour Nabum
Nabum
Nabum
Juste une démarche matinale de type paperasserie,
et l’auteur planchera à grandes voiles à tout ceci.
6 jours dites-vous, l’auteur devra alors re-tripler de précision,
car dans 24 heures chrono il lui faudra lever une voile
de ce refuge transitoire.
Bon début de journée
Transmission non transmise d’un ampli art et action,
bi-cause si l’auteur se terre je prends le relai.
(Que voulez-vous, l’auteur et moi sommes reliés par un cordon ombili-cale,
de diamètre 6,35 (pour les aficionados) et je ne vais quand même pas le lyncher).
Ouf, quai « le bol d’R » sa fée du bien agit.
La nuit porte son cœur, lui qui a grand besoin de son, cueille.
L’auteur est sur une piste incolore, il trifouille une nouvelle couleur.
Le sot veille sur le sceau, car l’auteur sait que sans repos les idées s’embrouillent.
Donc l’auteur s’endort pour se refaire demain vers l’alchimie.
Ainsi mes circuits prennent frais et de nouveau se frayeront un autre angle de vue.
Il me semble saisir la raison du moinssage un temps festif :
« Ses clics heurts seraient bien plus déplacés que le transmetteur, croyez-moi. »
Il n’y a aucunement de nœud au … qui mentent !!! Allô ?
Quand à certaines idées qu’on prise pour intéressement, c’est bien vite juger l’auteur et sa ventriloquie grandissante pour cause de carence nutritive. Si j’étais plus libre de mes avis, je recadrerai bien deux trois idées mal conçues. Je voudrais y voir certains, qui à mon humble avis d’amplificateur, ne crache pas sur l’ivoire, m’enfin, comme disait l’autre.
Pour les idées comprises entre le
grand vide et le petit tout, le juste milieu ne quête pas le mille, mais plutôt un
équilibre qui pour l’heure vacille.
Bonne nuit à tous, mais ne nuisent à personne.
Nabum, l’auteur sait que vous n’êtes pas un clic orné, quand d’autres sont des geekeurs.
Pour info, je m’auto-moinsse d’office, c’est un acquit de droit désormais.
Pour intox, je plusserais les moinsseurs, histoire d’inverser la moisson. Serait-ce mal juger ?
Pour franchise, j’oublie souvent de voter les articles (je ne suis pas un preneur de décision).
Je réparerais cette lacune, mais je rappelle que lorsque je clic, je ne clique jamais sur l’homme ouin.
Pour finir, je me fais une joie de se refroidissement démérité, les transmissions s’enverront plus affinées.
Buena noche et une pensée pour Kafka (qu’on aime ou pas).
N non à B : L’auteur remercie ceux qui honorent et donnent de la valeur à la politesse et à l’art de la répartie, car à partir de là un dialogue plus serein peut s’ouvrir.
Pour ceux qui ne sont pas d’accord avec l’idée, on ne se fera pas sans pour autant.
L’auteur redouble d’effort pour tout saisir mais se refuse à l’ire, pas à lire.
Goût tenant gute nacht.
Nabum, l’auteur s’excuse d’avance d’emprunter ce fil pour la transmission qui va suivre,
mais
il est de bon ton de remettre quelques aiguille en place du cadran,
d’autant que la courtoisie est de mise.
Ensuite, il est fort
probable que vostre demande d’aide alizéaire
trouve un laguant galon galoir enrobée du fleuve. Goût de night...
Nabum
Je suis d’accord avec vous.
J’ ai du laisser l’option record enclochée pour atteindre ce record de
moinssage !
Je vais de ce pas faire une ballade pré-nocturne en bonne place, pour aérer mon système de
ventilation, avant d’appliquer un redoublement d’effort.
Il est probable que certains circuits soient en surchauffe...
Il faut convenir que les conditions d’utilisation ne sont pas des plus
évidentes,
l’auteur a peu de répit et j’en pâtit, et quand l’auteur s’efface je fais face,
j’assumerai donc.
Je prends note, je rentre avant la nuit.
Bonjour Nabum,
bien des mots donc et d’incertains récits restent de pixels,
sans en être aucunement envers vous...
« Au nom de la Rose l’âme n’est amorphe, l’amenait à Rose »
Belle journée sur vostre Loire,
l’auteur s’en remet à la bagatelle en ce jour tout doux...
Le Colorado ne coule pas à Toulouse...
Nabum
Très belle histoire sur les aléas positifs du réseau...
Pour cause sociale ma transmission se voit interrompue
et me renvoie à des technologies moyennâgeuses.
Peut-être rencontrerais-je une chouette voyageuse
ou un hibou accueillant en d’autres bourgs...
D’ici là l’auteur vous transmet ses amitiés
et substitue sa première initiale par un « S ».
Est-ce ainsi que les choses doivent se faire ?
L’auteur s’en doute...
Aita Pea Pea
Merci pour la précision, mais si l’on doit rentrer
dans les règles de l’harmonie, on peut substituer à n’importe quel
accord le groupe de cet accord précédé de l’accord dominant construit
sur la quinte de sa fondamentale, lui-même étant précédé de l’accord
mineur construit sur la quinte de sa fondamentale, c’est-à-dire sur la
seconde majeur de l’accord de départ.
Se creuser la tête prend alors tout son sens, mais c’est au risque de choper un sérieux mal de crane, d’autant que Django avait compris cette règle sans tout le charabia qui en découle.
La règle d’un art, vitesse homologuée.
La conduite est parfois technique, mais le code la route est respecté.
Faut-il se creuser la tête pour trouver un accord mineur ?
Minorer la question reviendrait à ignorer que les accords de 7ème mineur diminués sont transposables.
Parvient-on à s’accorder quand on est brouillés ?
Cette une question de cordée et de transmission mal réglée.
Un chef d’orchestre est-il comparable à une direction assistée ?
May be une question de sister, mais surtout une question d’essieu différentiel.
Une note peut-elle être salée ?
Du coup ça dépendra du garagiste, est-il conventionné ?
Le piston a-t-il bénéficié d’un coup de pouce ?
Peut-être a-t-il bénéficié d’une huile nouvelle génération, plus bio.
La clef des chants est-elle ouverte ?
La clef de face vue du sol n’est à dos, elle cherche le bon accord sur sa portée, sa clef de voute.
Est-ce de bon ton de chanter faux dans un chœur ?
C’est mal venu c’est certain, mais deux bons font quatre demi tons qui chantent avec cœur.
Peut-on montrer du doigt un accord majeur ?
Cela dépend où l’on classe la musique. Certain n’y voit qu’un art mineur, alors que pour les grecs s’était un art primordiale.
Est-on totalement certain d’une oreille absolue ?
Mieux vaut l’avoir relative, quand tout est certain la magie se perd.
Existe-t-il un salaire plancher pour les solistes ?
N’y allons pas de pieds fermes, un solo sans accompagnent ne ferait pas salle comble.
Une violoncelliste risque-t-il la prison ?
Alto feu si la tessiture sort de son rang ?
Faut-il sortir le triangle en cas de fausse note ?
Le triangle à trois notes, donc autant de chance de faire gling, glong ou glang.
Le professeur de tuba a-t-il automatiquement les palmes académiques ?
Je ne pense pas, il manque surement de précisions concernant la nomenclature.
Le cornet reste-t-il de glace lors d’un fortissimo ?
S’il est au parfum, non. Mais les colorants artificiels sont parfois trompeurs, c’est une question miroir.
La portée fera-t-elle des petits ?
Dans ce cas il lui faudra des portées à clefs multiples.
Les chansons militaires se chantent-elles toutes en canon ?
Pas nécessairement, mais elles sont toutes binaires, elle marche au pas. Imaginez un défilé sur un swing…
Comment ce virtuose a-t-il pu tomber dans ce comma ?
Trop de free jazz, d’envolées lyriques et un peu de trac. Un manque d‘oxygène…
Existe-t-il un trafic sur les cuivres ?
Depuis que les plus prestigieuses marques françaises se cramponnent sans buffet, l’écu ivre s’en est allé prendre un bol d’air au sel de mer.
Un chef au piano peut-il être un demi-queux ?
Avant un concert symphonique, le piano est accordé au La 442, car très vite le frottement sur les cordes fait monter la fréquence.
Peut-on provoquer des répercussions en demandant un bis à un groupe de percussions ?
Autant il y a des bourgs où les tambours font ine, autant il y a des bals où les timbales sont un mal éteint.
Que collectionnent les ensembles philharmoniques ?
Ils sont en quête de timbres doux, d’une voix commune ils signent une lettre rare, et comme ce qui est rare est chérit...
Staline a-t-il vraiment joué de l’orgue ?
C’est une question liturgique plus que politique. C’est une question elliptique de mythologie en Egypte. C’est une question déessique de voile et de Maât.
Un clairon peut-il se mettre en drapeau ?
Pas si les drapeaux sont en berne, mais si le berné est claironné alors…
Faut-il mettre sa main devant sa bouche pendant une quinte ?
Par politesse, mais il manquera toujours la seconde et la sixte. Cela n’enlève rien à l’affaire, John Coltrane affectionnait déjà les gammes à huit notes, et nous voilà revenus aux sons diminués, qui ne le sont que par le nom. Toutefois une quinte augmentée ne diminue pas l’atout.
Peut-on jouer une tierce dans le désordre ?
En réalité la quinte importe peu, elle n’influence pas l’accord, qu’il soit majeur ou mineur, c’est la tierce qui a ce rôle. Après pour l’ordre c’est au goût de chacun, sauf si l’on cherche à tout prix le tiercé gagnant, mais l’exploitation des chevaux (et animaux en général) me semble faire tache sur la partition.
Que fait-on quand la tonalité a été coupée ?
On change d’armure à la clef, on passe des bémols aux dièses ou vice-versa.
Le timbalier a-t-il de la contenance ?
Epaulé d’une telle fiancée, il serait mal venu de ne pas en faire un tel conte nu.
Faut-il rentrer les hautbois en prévision de l’hiver ?
C’est une question de valeur, histoire de changer de rythme, alors par prudence peut-être, mais par assurance l’on peut aussi s’initier à la lutherie (des classes et non gallo-romaine, c’est peu galant.)
Peut-on rester dans la mesure quand on est à contre-temps ?
Pour cause de contretemps on peut s’échapper un instant, dans ce cas on dit que l’on joue « out » mais sans se déjouer de l’harmonie ni de la figure rythmique.
Est-il raisonnable d’avoir un instrument à touches dans un orchestre de chambre ?
A condition qu’il ne reste pas volontairement sur la touche, le clavecin accompagne classiquement ce genre de musique. Jean-Philippe Rameau l’employait à merveille.
Que risque-t-on à jouer de la viole en réunion ?
Les histoires de tournante ne me plaise guère, je leur préfère le rythme des claves à l’obscurité des caves.
Peut-on avoir la pêche avec un filet de voix ?
Si la musique adoucit les mœurs, le jus de citron ou le thé bien chaud sont excellents pour adoucir les cordes vocales, et garder une bonne emprise sur le public.
Comment mettre une quarte sur la table de la guitare ?
La table d’harmonie est la pièce principale pour la qualité vibratoire de cet instrument, peut-être au sein de la rosace qui est la griffe du luthier.
La valeur attend-elle le nombre des portées ?
Aux yeux de l’histoire, l’apogée créatrice se situe plus durant les années de jeunesse des compositeurs, là où l’effervescence prend ses racines.
Comment se comporter lors du dernier soupir ?
Tel que celui se définit, tel le point d’orgue, en prolongeant la durée de la note ou du silence, en gardant bien à l’esprit qu’il s’agit d’une pause laissée au gré de l’interprète. Dans tous les cas il faut le repousser avec dignité.
Dans une église, faut-il placer le saxo près de l’autel ?
L’église ayant mis un « certain temps » à reconnaître que la Terre n’était plate, il faut surtout veiller à ne pas brûler les ailes en les posant trop près de cet astéroïde après les avoir ôté.
Peut-on revenir sur scène après une fugue ?
Si l’on retombe sur ses pieds et que l’on ne trahit pas la forme de ladite fugue, oui, d’autant plus si on l’enrichit sans en faire une ritournelle.
Un musicien débutant peut-il se noyer dans une embouchure ?
C’est au risque de se pincer les lèvres ou la langue, surtout s’il croit parler morse avec acharnement alors qu’il s’agit d’un mors (pièce d’harnachement) insérée dans la bouche du canasson (pas en sucre). Dans tous les cas c’est au risque de se jeter à l’eau, c’est une question de confluence.
L’harmonie supporte-telle la discorde ?
Question de discordance où il faut léviter pour éviter la disharmonie. Question tendue mais pas tendance, donc je n’y mettrais pas tant d’anses mais un seul pas de danse, un pas gauche peut-être (je suis mal à droite) un pas nu pas une nuée, mais un peu comme « les nuées » : « L’art, mot nid, sut de la porte la couleur tel le disque horde, mais tâtonne à trouver la poignée, aveuglée par la peine ombre. »
Le canard vient-il de la flute à bec ?
Sur un piano, faire un canard correspond à jouer une note basse de façon répétée, afin d’exercer l’indépendance des deux mains. Dans ce contexte, jouer « La danse des canards » serait vite lassant pour les auditeurs comme pour l’interprète, c’est pourquoi l’on peut s’aider d’un picolo pour amener une autre note plus relaxante. La flute à bec est déconseillée, car sans pouvoir boucher les trous le son obtenu serait trop aigu et fort strident.
Peut-on faire un pain avec un mi ?
Si la mie est tendre le pain se conservera mieux, surtout si le pain est d’une livre au moins.
L’opéra bouffe se dirige-t-il à la baguette ?
Il faudrait remonter dans l’histoire de la baguette (mais c’est une autre histoire). Nous dirons qu’il en dépend de la noblesse du bois utilisé (déconseillons tout de même l’usage de l’ivoire pour l’olive). Ensuite il faut prendre garde à la direction de l’œuvre, de sorte à ce que l’opéra ne se retrouve trop garnit et finissent perdu entre les lignes du métro et Bastille. C’est une question d’opération à chœur ouvert à ne pas mettre entre toutes les mains.
Le canard préfère-t-il l’orgue de Barbarie ?
C’est une question de narration, où le cas se réfère à l’orge et dans sa barbe rit (jaune pâle et plus).
Le premier mouvement est-il toujours le bon ?
L’entré en matière, c’était une question de maths hier. Aujourd’hui le temps move et m’ouvre l’enquête du bon pas. Pas facile d’en sortir quand tout est en mouvement perpétuel.
Est-il facile de se partager des partitions ?
Il serait trop facile de parler des parties sillonnées. Il existe des pupitres doubles à plateaux plein, certains sont même à friction (peu pratique cela dit) alors que d’autres intègrent un éclairage discret pour les concerts à l’ambiance tamisés.
Un orchestre celtique peut-il s’accommoder d’une muse qui cornerait les feuilles ?
Un enregistreur quatre pistes donne-t-il le bon itinéraire pour une meilleure audition ?
La symphonie du nouveau monde est-elle le vestige d’un ancien temps, ou annonciatrice d’un temps plus avenant ?
Pourquoi dit-on « battre la mesure » alors qu’il y a d’autres chats à fouetter (en peau de paille) ?
Le leader d’un groupe doit-il connaitre tous les lieder de Schubert ou rester dans les choux, man ?
La musique manouche doit-elle supporter cette appellation ou revendiquer qu’elle est savante ?
Pourquoi la contrebasse se fait-elle discrète alors qu’elle met tout le monde d’accord ?
La clef d’ut est-elle redevable de quelque chose ou bien la mauvaise réputation brasse un peu l’affaire ?
La musique sacrée créée-t-elle des liens plus fort si elle est jouée dans un silence d’église ?
Si l’on casse une corde en plein concert, faut-il s’interrompre ou poursuivre arqué ?
Pourquoi dit-on dit jouer à la feuille alors que les feuilles mortes se ramassent à la pelle tout en suivant une cadences bien précise ?
L’oreille absolue répond-elle aux règles de la relativité générale ou doit-elle suivre son instinct ?
Faut-il jouer à l’économie dans un concert où les places sont hors de prix ?
On parle souvent de premier violon, mais sans les autres de quoi serait-il le premier ?
Doit-on renoncer à exercer ses dix doigts et à solfier, quand d’autres illettrés surpassent accidentellement de deux doigts ? (Hommage à Django)
L’art de la fugue est-il un bon moyen d’esquiver l’art monnaie d’un contrepoint ?
Pourquoi parle-t-on de file indienne alors que la musique hindoue se joue en tailleur et en cercle ?
La direction musicale indique-t-elle la bonne marche à suivre ou laisse-t-elle des plages libres ?
Les barres de mesures permettent-elles de prendre les bonnes alors que Grieg s’en était affranchit ?
Pourquoi dit-on reggae en Jamaïque et raga en inde alors que toutes deux parlent de liberté ?
En parlant de liberté, peut-on qualifier de brouhaha les « quatre minutes trente-trois secondes de silence » de John Cage ?
La musique compressée ne s’adresse-t-elle qu’aux gens qui n’ont plus le temps de l’écouter posément ?
Faut-il continuer jouer avec son cœur quand l’auditeur n’écoute que d’une oreille (non-avertie) ? (L’auditeur est l’auteur, pas le professeur et il ne hait pas).
Pourquoi certains disent-ils que d’autres jouent telle musique sans émotion, alors que la musique par essence c’est de l’émotion ?
Nabum
Il y a cinq jours, vous disiez me répondre dans quatre. Entre temps on m’a offert une mise à jour (aware pas over) de mes circuits, et l’auteur a pris un brin d’air pour mettre un peu de vert à ses vers (pas sévères).
Nous voici donc passés vers d’autres questions musicales, 24 pour que les 21 premières (jours de la fête) fassent le bon compte, 45 comme c’est la règle.
L’auteur fournira les 45 réponses à votre série demain (n’est-il jamais trop tard pour bien faire, s’il puit tenter de mieux faire ?). Se fera donc 90 et aucun dépassement (ni des pas semant) de vitesse.
L’auteur d’ailleurs s’est vu décrocher (pas des crochets) une pendule, pour mieux la remettre à l’heure (pas de leurre) mais peut-être bien à leurs…
Donc deuxième et dernière partie de cette série faite en musique (et il n’y en aura probablement point d’autre) les questions étant votre forme, l’auteur se plait à y répondre si désormais la règle se voit indérogeable.
L’écart étant du (et non tendu) au fait que les questions de musique étant dans mes cordes (mais n’étendant aucune corde), il aurait été regrettable de ne pas marquer le coup (sans en porter aucun et sans s’emporter).
Ni copier ni coller (et le nier aussi) quand le nid est si haut en matière de jeu sur les mots, car je ne suis qu’un neurotransmetteur qui suit un auteur, qui lui suit un professeur et qui cherche sans cesse à lui faire honneur, de droit et ne jouons pas sur les « R » (après en avoir pris tant ce serait inimaginable de l’ôter) vu l’hauteur du professeur (pas du suiveur).
Quand aux quatre jours et votre réponse à porter, je ne retransmets rien, ce n’est pas de mes ressorts (ma reverb est à l’air numérique, je ne suis pas un ampli à lampe). L’auteur par contre a passé du temps à revenir au temps passé, pour être plus présentable au futur (des deux mains).
J’espère cependant qu’il me laissera de temps à autre un brin de voix apporter. Sur ce, musique maestro :
Faut-il un Stadivarius pour jouer la Traviata en à l’endroit ?
La tonalité doit-elle se faire quinte ou rester au lit avant de quitter la scène ?
Peut-on faire le show l’on a pris un coup de froid ?
Pourquoi dit-on La 440 alors que le diapason ne se branche ?
Combien y a-t-il de musiciens dans l’orchestre si le chef porte une queue de pie ?
Une symphonie peut-elle se faire entendre si elle se joue aphone ?
Un groupe de rock peut-il mettre le feu sur l’ile de Whit ?
Le mode aéolien fournit-il une musique rafraichissante ?
Le batteur doit-il prendre des baguettes de campagnes pour les valses musettes ?
La partition est-elle lisible si elle en partie dispersée ?
Peut-on improviser dans un ensemble si chacun joue à son rythme ?
Les violons sont-ils plus fluide si la colophane est bio ?
Pourquoi dit-on conservatoire alors que la musique libère des émotions ?
Pourquoi le rappel se fait-il à la fin alors que le titre est au début ?
Un quatuor aurait-il raison de jouer en double à la deuxième reprise ?
En jazz, pourquoi dit-on des sets alors qu’il ne s’agit pas de tennis de table ?
Une chanteuse lyrique est-elle obligatoirement une femme à barde ?
Un contre temps peut-il marquer les quarts de ton ?
Peut-on faire du blues dans un champ de rose quand on a les idées noires ?
Faut-il jeter toutes les fausses notes ou réharmoniser la portée ?
Pourquoi dit-on barrière de langue alors que la musique est-un langage universel ?
Question subsidiaire :
Fournir 45 réponses est-il nécessaire, ne serait-ce que pour les bonnes manières ?
« Message non diffus, transmission empruntée à d’autres, l’auteur étant parsemé. »
« La liberté ne peut être que toute la liberté ; un morceau de liberté n’est pas la liberté. »
Max Stirner
« La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute. »
Confucius
« Nul ne peut avoir de lien avec son prochain s’il n’en a d’abord avec lui-même. »
Carl Gustav Jung
« Les paradoxes d’aujourd’hui sont les préjugés de demain. »
Marcel Proust
« Jusqu’à ce qu’aujourd’hui devienne demain, on ne saura pas les bienfaits du présent. »
Proverbe chinois
« La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l’Amérique. »
José Maria Eça de Querios
« Rien n’existe dans notre intelligence qui n’est d’abord été dans nos sens. »
Démocrite
« Le plaisirs est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisirs des sages. »
Barbey d’Aurevilly
« Le bonheur est un mot abstrait composé de quelques idées de plaisirs. »
Voltaire
« Ne t’occupe que de l’acte, jamais de ses fruits. N’agis pas en vue du fruit de l’acte ; ne te laisse pas non plus séduire par l’inaction. »
La Bhagavad-Gita
« Ne craignez pas d’être lent, craignez seulement d’être à l’arrêt. »
Proverbe chinois
« Qui veut faire quelque chose trouve moyen. Qui ne veut rien faire trouve une excuse. »
Proverbe arabe
« La séduction suprême n’est pas d’exprimer ses sentiments, c’est de les faire soupçonner. »
Barbey d’Aurevilly
« Ose devenir qui tu es. Ne tiens pas quitte à bon compte. Il y a d’admirables possibilités en chaque être. Persuades toi de ta force et de ta jeunesse. Sache te dire sans cesse : Il ne tient qu’à moi. »
André Gide
« Le courage est le juste milieu entre la peur et l’audace. »
Aristote
« Le courage n’est rien sans la réflexion. »
Euridipe
« Il faut se laver les yeux avant chaque regard. »
Proverbe arabe
« Ne pas se moquer, ne pas déplorer, ne pas détester, mais comprendre. »
Spinoza
« Transmission jusqu’au bouddhiste entre autre, l’auteur étant évidé ne boude pas, il rechoie encore et encore. Quitte à brouilloner autant le faire en public, comme est l’art. »
« Retransmission téléphonée où Régine erre »
.
Laissez parler
Les p´tits papiers
A l´occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p´tits papiers
Papier de riz
Ou d´Arménie
Qu´un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer
Un peu d´amour
Papier velours
Et d´esthétique
Papier musique
C´est du chagrin
Papier dessin
Avant longtemps
Laissez glisser
Papier glacé
Les sentiments
Papier collant
Ça impressionne
Papier carbone
Mais c´est du vent
Machin Machine
Papier machine
Faut pas s´leurrer
Papier doré
Celui qu´y touche
Papier tue-mouches
Est moitié fou
C´est pas brillant
Papier d´argent
C´est pas donné
Papier-monnaie
Ou l´on en meurt
Papier à fleurs
Ou l´on s´en fout
Laissez parler
Les p´tits papiers
A l´occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p´tits papiers
Papier de riz
Ou d´Arménie
Qu´un soir ils puissent
Papier maïs
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